18 Jan

Il y a 41 ans, Toulouse se réveillait sous plus de 20 cm de neige !!

© Daniel Mennecier, Archives départementales de Haute-Garonne

Pour débuter la semaine, la page Facebook des Archives départementales de la Haute-Garonne nous propose de remonter le temps, jusqu’au 18 janvier 1980. Ce jour là, Toulouse se réveillait sous plus de 20 cm de neige. L’un des records de la ville rose.

© Daniel Mennecier, Archives départementales de Haute-Garonne

Grâce aux clichés de Daniel Mennecier, photographe aux Archives au moment des faits, revivez cette journée anniversaire :

Il y a 41 ans aujourd’hui, le 18 janvier 1980, Toulouse se réveillait sous plus de 20 cm de neige. Vous en souvenez-vous…

Publiée par Archives départementales de la Haute-Garonne sur Lundi 18 janvier 2021

Alors que 2020 aura été l’année la plus chaude jamais enregistrée, ces photos rappellent que Toulouse a connu plusieurs vagues de froid.

En 1914, le Canal du midi était même entirelement gelé !  D’autres hivers rigoureux vont se succéder, notamment en 1985 (où il faissait -19°C dans la ville rose). Le dernier record date de janvier 2012 où Météo France avait enregistré 13 jours sans dégel.

Julien Leroy

17 Jan

Insolite : CNews confond le Capitole de Washington avec… Toulouse !

Ce samedi 16 janvier 2021, CNews a commis une (belle) bourde. En voulant illustrer un article web sur le Capitole de Washington, la chaîne de télévision a utilisé une photo de la place du Capitole… de Toulouse. L’erreur a fait le tour des réseaux sociaux. 

© Grégory Philipps/ Maxppp

Toulouse et Washington ont un point commun : le Capitole. Cependant, la similitude s’arrête ici. Les deux édifices ont des fonctions politiques et symboliques bien différentes, sans parler de l’architecture. Bref, impossible de les confondre !

Pourtant, la rédaction de CNwes a fait la bourde ce samedi 16 janvier 2021.

En publiant un article web sur l’arrestation d’un homme armé à proximité du Capitole de Washington, la chaîne d’information l’a l’illustré avec une photo de… Toulouse ! 

Julien Leroy

16 Jan

Comment profiter du succès des cryptomonnaies ? Ces Toulousains vous aident

En 2020, le Bitcoin et les autres monnaies virtuelles ont battu des records. Pour se familiariser avec ce domaine, plusieurs initiatives sont nées à Toulouse. Exemples avec « Le Journal du coin », « Koinju » ou « Money Block » destinés à la fois aux convertis et aux néophytes. Reportage TV.

© Jean-Luc Flémal / MAXPPP

Bitcoin, Chainlink, Binance Coin, Ethereum, Aaeve,… En 2020, les monnaies virtuelles rencontrent de plus en plus succès. Aujourd’hui, plus de 100 millions de personnes les utilisent à travers le monde (selon un rapport de l’université de Cambridge de septembre dernier). 

La plus connue est le Bitcoin. Sa valeur a grimpé de 200 % lors des 3 derniers mois pour atteindre la barre des 22 000 euros.

Mais comment se lancer dans ces monnaies numériques ? Comment éviter les escroqueries ?

A Toulouse, plusieurs start-up se sont lancées dans le conseil et la formation dédiés aux cryptomonnaies. 

Exemple avec « Le Journal du coin.com ». Il s’agit du seul média francophone dédié à l’actualité de ce secteur. Ou encore « Koinju », une plateforme qui étudie les places de marché spécialisées pour conseiller les particuliers et les entreprises.

Une de nos équipes de France 3 Toulouse (Serje Djian et Olivier Denoun) est allée à leur rencontre :

Par ailleurs, il existe « Money Block« , une variante du Monopoly où les Bitcoins remplacent les billets de banque. Un jeu de stratégie qui permet de s’initier (sans risque) aux cryptomonnaies.

Julien Leroy

13 Jan

A Muret, Nelly Lestrade cartonne sur YouTube avec ses cours… de peinture au couteau !

138 000 abonnés et près de 12 millions de vues… à 48 ans, Nelly Lestrade est devenue une star sur YouTube. Sa spécialité : des tutos de peinture au couteau réalisés depuis son atelier de Muret.

Nelly Lestrade (©)

« Fort de mon expérience de professeur de peinture au couteau, mon fils m’a convaincu en 2018 d’ouvrir une chaîne YouTube. J’ai commencé à faire des tutos comme si je donnai un cours » raconte Nelly Lestrade. Le succès est immédiat. Sa première vidéo sur la réalisation d’un bouquet de fleurs totalise plus de 200 000 vues.

En l’espace de 3 ans, Nelly Lestrade a produit une centaine de tutos sur la peinture au couteau.

Basée à Muret, l’artiste peintre est tombée amoureuse de cette technique picturale apparue au 19e siècle. En fonction de la forme de la lame, on peut déposer la pâte à des endroits précis. Cela offre des tableaux à la fois réalistes et colorés. 

Contrairement à une idée reçue, « la technique est elle-même ludique » explique Nelly Lestrade. « Même si on n’a jamais peint, on peut produire sa première oeuvre au bout de 3 heures« .

Après avoir vendu ses propres toiles, la Muretaine ouvre en 2008 son atelier de cours avant de l’étendre sur YouTube.

Totalement gratuit, Nelly Lestrade poste un nouveau tuto chaque lundi en variant les thèmes et les styles.

Vous pouvez ainsi apprendre à réussir un voilier, un paysage ou une lady à New-York tout en devenant un as du couteau à peindre.

© Nelly Lestrade

Les vidéos de Nelly Lestrade totalisent 12 millions de vues. Elle est suivie en Europe mais aussi au Brésil, au Québec et en Russie. A 48 ans, elle est devenue une star du web. D’ailleurs, elle a reçu récemment le trophée d’argent récompensant les youtubeurs de plus de 100.000 abonnés.

Un succès qui l’a amené à publier son premier livre en juillet 2020 : « La peinture à l’huile. Peinture au couteau » aux éditions VIGOT/ULISSE.

Découvrez sa chaîne YouTube en cliquant ici !

Julien Leroy

08 Jan

Occitanie : une litière connectée pour surveiller la santé de son chat

Basée à Montpellier, la startup Novandsat lance la commercialisation de « Caremitou ». Avec ses nombreux capteurs, cette litière innovante permet de surveiller la santé de son animal. Une prouesse technologique enfin disponible.

© Caremitou.

« Aujourd’hui, trop particuliers ne font pas la démarche de se rendre régulièrement chez le vétérinaire pour contrôler la santé de leur chat. Pourtant une simple analyse d’urine suffit souvent à  détecter une maladie chronique type diabète, insuffisance rénale, troubles hépatiques… » expliquait Philippe Daurenjou au moment de recevoir son prix au CES 2020.

Douze mois plus tard, le fondateur de la start-up Novandsat peut (enfin) lancer la commercialisation de sa « maison e-sante » pour chat.

Baptisée « Caremitou », son innovation réinvente la litière pour nos amis félins.

Truffés de capteurs, la litière peut peser l’animal, relever sa température et réaliser des analyses d’urine du chat sans qu’il s’en aperçoive. Le tout à domicile !

Les données recueillies sont ensuite envoyées sur le smartphone du maître ou directement au vétérinaire.

« Caremitou est la solution idéale pour toutes les parties ! A la fois au profit du propriétaire, qui dispose d’un suivi régulier sur la santé de l’animal et au profit de l’animal qui ne subit plus le stress de l’analyse lors d’une consultation physique, ainsi que du vétérinaire qui peut suivre en continu la santé du chat et intervenir au bon moment si nécessaire » précise Philippe Daurenjou.

Après des mois de tests, l’objet connecté est disponible à la vente pour la somme de 299 euros.

Avec 14 millions de chats en France, le marché semble prometteur. La start-up ambitionne de vendre 3500 litières d’ici fin 2021.

Plus d’info sur https://www.caremitou.com/

Julien Leroy

05 Jan

Rugby insolite : les joueurs du Castres Olympique s’amusent (en slip) dans la neige

Compte Instagram de Wilfrid Hounkpatin

Ce mardi 5 janvier, la neige s’est invitée dans plusieurs départements d’Occitanie dont le Tarn. Un beau manteau blanc qui a réjoui les joueurs du Castres Olympique.

En découvrant leur centre d’entraînement de Lévezou enneigé, les rugbymen ont retrouvé leur âme d’enfant : batailles de boules de neige et promenade en… caleçon ou en slip !

Des scènes insolites que certains champions Tarnais ont partagé sur Twitter ou Instagram, créant ainsi un mini-buzz. Leurs publications ont été partagées des milliers de fois.

Julien Leroy

17 Déc

Découvrez la (magnifique) performance de danseuses de pole dance au sommet de Peyragudes

Offrez-vous aujourd’hui une « bulle d’oxygène ». Le réalisateur Toulousain Patrick Foch publie un clip où deux danseuses réalisent une chorégraphie pleine de poésie sur un sommet des Pyrénées.

© Patrick Foch

Pour cette fin d’année, le réalisateur Toulousain Patrick Foch nous offre un moment de poésie et d’évasion. 

Ce jeudi 17 décembre 2020, il dévoile sa dernière création artistique baptisée « Axis Mundi ».

Un clip musical où deux danseuses de pole dance réalisent une magnifique chorégraphie sur les hauteurs de Peyragudes, dans les Hautes-Pyrénées. 

« Durant le premier confinement, je ressens un peu de frustration de ne pas tourner, de ne pas sortir et donc des envies me traversent l’esprit » explique ce professionnel de l’image.

« Après le clip d’Imagine Dragons, je voulais retravailler autour de la danse, des corps, du mouvement, du geste mais une autre danse, alors tout doucement je suis allé regarder du coté du Pole Dance. J’ai trouvé que la dimension  artistique était un peu trop souvent perdue au détriment du côté sexy/Las Vegas » poursuit Patrick Foch

C’est ainsi que l’idée artistique de cette vidéo est née.

Les danseuses Loriana Lorenzon et Céline Garbay ont accepté de révéler ce défi inédit. Leur chorégraphie est « une performance défiant la gravité » avoue Patrick Foch. Un vrai plaisir pour les yeux ! 

AXIS MUNDI 4K from Pat Foch on Vimeo.

Patrick Foch n’est pas à son premier essai. En janvier 2020, il a réalisé le nouveau clip musical du groupe américain Imagine Dragons en imaginant une danse aquatique. La vidéo a totalisé plus de 29 millions de vues.

Julien Leroy

15 Déc

Lancement de la 5G à Toulouse et dans 36 communes avoisinantes

© Alexandre MARCHI / MaxPPP

Après des mois de tests, le réseau 5G est activité officiellement ce mardi 15 décembre à Toulouse. Une première offre commerciale proposée par Orange.

« En lançant la 5G à Toulouse, Orange remplit ainsi son rôle d’opérateur leader en accompagnant au mieux l’évolution des modes de consommation des Français, leur permettant de bénéficier de la meilleure qualité de réseau possible, même dans les zones les plus denses » précise l’opérateur télécom.

Son réseau 5G couvre Toulouse (« 99% de la population« ) mais aussi 36 communes de l’aire urbaine de la ville rose. Un déploiement qui va de Léguevin à Saint-Orens en passant par Portet-sur-Garonne, Tournefeuille, Blagnac, Ramonville et Lespinasse.

© Orange

Le 1er octobre dernier, Orange avait obtenu, lors des enchères, la plus grande part des blocs de fréquences en jeu. D’ici fin 2020, l’opérateur veut connecter 160 villes en France.

Dans les prochains mois, SFR, Bouygues et Free proposeront à leur tour, des offres 5G sur l’agglomération toulousaine.

A quoi va servir la 5G ?

2G, 3G, 4G, 5G,… la future norme de téléphonie mobile doit permettre aux opérateurs d’offrir à la fois un débit plus important que celui offert par la 4G actuelle et un temps de latence.

La 5G promet de répondre aux futurs besoins de connectivité en particulier dans la voiture autonome, la santé connectée ou encore l’internet des objets.

Dans le monde, plusieurs ont déjà lancé les commercialisations de la 5G. 14 pays européens ont devancé la France. Sans oublier la Chine et les USA. Le pionnier est la Corée du Sud qui déployé ce méga réseau dès avril 2019. 

Julien Leroy

14 Déc

Toulouse : lancement d’une monnaie virtuelle éco-responsable

Créer une monnaie locale éthique pour favoriser les circuits courts et mieux respecter l’environnement. C’est l’idée de deux étudiants de l’INSA de Toulouse. Ils s’apprêtent à lancer « Seed » en février 2021.

© Seed

« Envie d’une monnaie qui a du sens… » résume en quelques mots Séréna Giraud, co-fondatrice de Seed.

Depuis 2017, cette étudiante Toulousaine de 22 ans (et membre de l’équipe de France de patinage artistique) travaille avec Yann Tavernier (également en 4e année de l’INSA de Toulouse et ex-volleyeur professionnel) sur un projet de monnaie virtuelle éco-responsable.

Sa particularité : une monnaie locale qui fonctionne uniquement dans tes changes favorisant les circuits courts et l’environnement. 

« Le principe, c’est que chaque action ou consommation responsable sera récompensée avec des Seeds. Ensuite, ces Seeds pourront être cumulés puis réutilisés dans un réseau d’enseignes éthiques, locales et durables pour réaliser de nouvelles actions et consommations de ce type. L’objectif, c’est de favoriser une économie locale tout en créant un cercle vertueux où chaque action responsable en entraîne une nouvelle » précise Séréna Giraud.

« Nous nous situons donc à mi-chemin entre une monnaie locale et un système de fidélité responsable » complètent les fondateurs.

En effet, Seed récompense l’achat éco-responsable mais aussi les actes tels qu’un trajet en vélo ou la participation à un atelier sur l’écologie.

« Pour que ça fonctionne, on est en train de dénicher un tas d’alternatives sur Toulouse et ses alentours et dans tous les domaines : alimentation, restauration, cosmétiques, transports… » assure le duo. 

Plusieurs enseignes spécialisées dans l’économie sociale et solidaire se sont montrées très intéressées par l’initiative.

© Seed

Séréna Giraud et Yann Tavernier s’activent pour finaliser leur monnaie virtuelle. Une version beta est prévue dans les prochaines semaines avant un lancement officiel en février 2021.

En attendant, ils ont lancé une campagne de crowdfunding. Près de 9500 euros ont été récoltés sur les 12 000 espérés. Il est encore possible de les aider financièrement jusqu’au 21 décembre sur la plateforme Zeste.

Depuis plusieurs années, les initiatives eco-responsables foisonnent à Toulouse. D’ailleurs, l’économie sociale et solidaire (ESS) pèse 867 millions d’euros sur la ville rose et regroupe plus de 33 000 salariés selon des chiffres de Toulouse Métropole.

Julien Leroy

09 Déc

Labège : une nouvelle directrice pour l’IoT Valley

© IoT Valley

Près de Toulouse, l’IoT Valley de Labège annonce ce mardi 8 décembre, l’arrivée de Sylvie Vergez en tant que directrice générale.

Elle succède ainsi à Bertran Ruiz (directeur général) et Simon Vacher (directeur des opérations) à la tête de l’association depuis 2014. Ces derniers ont décidé de créer luer propre startup : Airsaas.io, spécialisée dans la transformation digitale des entreprises.

Ingénieure informatique, Sylvie Vergez s’est lancée dès 1994 dans l’expérience entrepreneuriale, en cofondant l’agence web « Midiway ». En 2011, elle est nommée Directrice du développement de la Mutuelle Nationale des Sapeurs-Pompiers de France avant de participer en 2014, au développement commercial de Sigfox.

A la tête de l’IoT Valley, Sylvie Vergez va poursuivre la stratégie de développement et d’accélération de l’écosystème de Labège.

« L’IoT Valley donne les moyens à un territoire de dynamiser son économie et de renforcer ses capacités de résilience. Notre proposition de valeur réside dans un modèle d’exécution qui accélère l’innovation de l’industrie, tout en favorisant l’émergence de startups. L’IoT Valley garantit l’accès à la meilleure expertise dans les technologies du numérique associées à la valorisation de la data (IoT, IA,…) » – Sylvie Vergez, Directrice Générale de l’IoT Valley.

Fondé en 2011, l’IoT Valley de Labège est un campus de start-up et d’innovations spécialisées dans l’internet des objets. Elle héberge Sigfox, plus de 40 startups et partenaires regroupant 645 collaborateurs.

Sylvie Vergez devra également finaliser le projet du campus mondial de l’IoT Volley prévue pour 2022.

Julien Leroy