28 Fév

Comment survivre sans Facebook pendant (au moins une journée) ?

Facebook ©MaxPPP

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Ce vendredi, c’est la journée mondiale sans Facebook. Un évènement en soi dans le vaste monde des réseaux sociaux qui, chose étonnante, a été proposé par Facebook lui-même, avec la louable intention affichée d’aider les usagers à lutter contre leur addiction.
Et là on dit bravo ! Et pour ceux qui trouveraient l’exercice impossible, voici 3 raisons essentielles (ou pas) de zapper Facebook pendant 24h. Et pourquoi pas d’autres jours dans l’année ?

1- Trop d’amis, tue les amis

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De la rigueur que diable ! N’est pas ton ami qui veut, et si tu as tendance à te laisser déborder par les nombreuses sollicitations que tu reçois, met à profit cette journée déconnectée pour prendre du recul. Réfléchir sur le vrai du faux. Regarder et penser à tes amis autrement que par le prisme de Facebook. Fais le tri entre le superflu et l’essentiel. Bref recentre toi sur ce que compte pour toi en faisant fi des histoires des autres.

2- So sad, le virtuel

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Cette journée sera l’occasion de privilégier la vraie rencontre avec tes amis, physiquement. Tu en choisiras un pour déjeuner à midi et quelques autres pour un apéro dînatoire et une soirée enjouée voire endiablée. Mais, tu les auras préalablement contacté par Facebook pour leur proposer le rendez-vous. On n’est pas si vache, on te demande juste quelques heures de privation. On sait que c’est difficile mais tu peux y arriver.

3- Message d’avertissement

Pour que la journée soit vraiment sans Facebook, que tu n’aies pas l’occasion de craquer, préviens au préalable que tu seras « off ». Que tu n’ouvriras pas ta page et les nouvelles (qui du reste peuvent attendre le lendemain ou le sur lendemain) peuvent passer par le téléphone. Tu envoies bouler toute pression sociale du web. Aujourd’hui c’est relâche ! On attendra demain pour que tu viennes liker la page.

Au revoir stress et nombrilisme. Merci Facebook pour ton initiative. On recommencera l’année prochaine, c’est promis et on tiendra plus longtemps aussi. Et puis peut-être, on quittera définitivement (ou pas) la Face-mania.