19 Sep

Rétrospective Olivier. O. Olivier à Arles

Peintre de l’absurde et de l’inquiétant

A partir du 20 septembre 2013, les Arlésiens pourront se plonger dans l’oeuvre étrange d’un peintre originaire de Martigues, dont le père, lui-même artiste, avait installé son chevalet dans le quartier de Montparnasse à Paris.

Le service culturel de la Mairie d’Arles confie les clés de la chapelle Sainte-Anne, place de la République à Arles, à Claudine Martin pour y organiser une rétrospective de l’oeuvre d’Olivier O Olivier, son mari disparu en avril 2011.
Cette exposition est organisée dans le cadre de Marseille Provence 2013.

Mais pourquoi exposer Olivier O Olivier en Arles ?

Cela n’a rien du hasard… Son père, Ferdinand Olivier, lui-même peintre, était originaire de Martigues et aimait en peindre les environs. C’est la filiation qui parle dans l’attachement de l’artiste à cette région. Comme beaucoup, il multiplie les séjours en Provence, de Martigues au Paradou ou de la Camargue sauvage aux Alpilles et bien avant de peindre ses corridas dans la neige, tout dans la ville d’Arles l’émeut : les arènes, les églises innombrables, les cloîtres, les ruelles, la richesse architecturale de ses hôtels particuliers, la place du Forum, le Rhône, tout. Il connait bien la corrida. Plus encore, la proximité de la Chapelle Sainte-Anne (où seront exposées les oeuvres d’Olivier) du Musée Arlaten n’est pas sans résonance avec des souvenirs d’enfance d’un atelier chargé d’objets et de meubles provençaux.

Une oeuvre prolixe

Dans les années 80, c’est une promenade dans les Alpes suisses et la vision qu’il en conçoit qui lui intiment la nécessité de se lancer dans la série des Arènes Gelées :

Homère plaçait les Héros dans un passé lointain. Nietzsche situe le Surhomme dans l’avenir. Le matador est actuel : il existe. Mais je ne veux pas le peindre. Je veux plutôt le simuler parodiquement; par des bonshommes de neige, êtres de l’hiver, qui sont lourds de forme, froids, clownesques, et sans âme. Ma parodie est un hommage à tous les matadors, grands et petits, espadas et peones. De nombreux peintres ont représenté de façon réaliste la corrida. Je ne veux par le faire. Par superstition. Je ne veux pas, par un acte qui ne demande aucun courage physique, essayer de simuler la bravoure des toreros. Je ne peux le faire – comme les clowns parodient la vie – que dans un hommage burlesque.
Olivier O Olivier

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L’exposition restera en place jusqu’au 20 octobre 2013
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04 Juil

« Moment précieux » avec Marie-José Justamond

Dans la ruche bourdonnante du 66 rue du 4 Septembre à Arles, Marie-José Justamond a bien voulu se prêter au jeu des questions-réponses, à quelques jours de la 18ème édition des Suds à Arles, festival dont elle est l’âme pensante et la fondatrice.


photo : Florent Gardin

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L’entretien

PZ : A l’évidence, l’exposition de la diversité culturelle que vous proposez à travers les musiques du monde constitue en soi une fenêtre grande ouverte sur le monde et sa richesse. Alors, cet aspect patrimonial que vous évoquez, est-ce qu’il ne prend pas une dimension particulière à Arles dont on connaît la richesse architecturale, témoignage de son histoire à travers le temps et les civilisations ?

MJ.J : C’est certain, il est amplifié, il est valorisé parce que ce sont des lieux magnifiques. On est dans le patrimoine mondial de l’Unesco, donc effectivement ce sont des lieux qui inspirent énormément les artistes. Cela ne m’arrive pas souvent mais il y a huit ans j’avais accompagné le chanteur éthiopien Mahmoud Ahmed jusqu’au théâtre antique où il allait se produire et là… 2000 ans d’histoire tout de même ! il était sous le charme… et c’était très fort. Par ailleurs, je dirais que dans la structure du festival, certains des concepts ont été inspirés par ce patrimoine bâti. Les moments précieux par exemple nous ont été inspirés directement par la Cour de l’Archevêché et cela fonctionne très bien. C’est un concept qui a trouvé son public donc c’est une chance inouïe de pouvoir profiter d’ une aussi belle ville que la ville d’Arles, dont le cœur est petit et facilite la flânerie d’un lieu à l’autre, d’un concert à l’autre. Les apéros-découvertes, les siestes musicales, les salons de musique et toutes les autres occasions de rencontres.

PZ : Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ce nouvel opus qu’est « La Nuit » initié avec le soutien de MP2013, qui va encore enrichir cette semaine de découvertes musicales ?

MJ.J : Tout d’abord je dois vous dire que ce projet sur lequel nous travaillons depuis 2 ans est et restera un événement exceptionnel lié à MP2013. Il serait impensable de le réitérer chaque année car tant sur le plan financier que sur celui de l’organisation, c’est extrêmement lourd. Mais revenons un peu en arrière. Dès 2008, avant même que la candidature de Marseille ne soit entérinée, nous leur avions proposé, un projet de recherche sur le thème Nomadisme et deltas qui a été très bien accueilli et dès l’année suivante, nous avons démarré le projet. Donc chaque année c’était un delta différent qui était mis à l’honneur à travers sa richesse musicale et patrimoniale d’une manière générale. Nous avons donc exploré le Guadalquivir, le Danube, le Pô, le Nil et bien sûr en filigrane, le Rhône.
Mais pour revenir à 2013 et La Nuit, à un moment donné, j’ai ressenti le besoin de créer un événement plus « grand public », plus facilement compréhensible par le plus grand nombre. Il faut dire qu’il devient de plus en plus difficile de réunir tous les publics, ils sont morcelés, sectorisés : on a un public spécifique pour le Théâtre antique, un autre pour les Moments précieux, un autre encore pour l’Atelier des forges et enfin celui des scènes en ville. Donc l’envie, voyez-vous, était de réunir à nouveau tout le monde et cette idée de nuit blanche a émergé et c’est réellement passionnant à construire et, évidemment, je l’espère, passionnant à vivre.
C’est une trentaine de concerts dans seize lieux différents du cœur de la ville. Chacun pourra prendre l’expérience comme il le souhaite, soit par le temps, soit par l’espace en s’aidant des plans que l’on va proposer, soit d’un point vue artistique musical ou patrimonial. Créer sa propre déambulation et rencontrer de très belles musiques, du festif, de l’électrique, oui, mais aussi de l’intimiste, du sacré et chaque fois en harmonie avec les lieux. Cette nuit-là on n’utilisera pas le Théâtre antique, très peu la cour de l’Archevêché mais des lieux moins habituels comme : la commanderie de Sainte Luce, le Musée Réattu, les Cryptoportiques, les Thermes de Constantin. Le jardin de l’église Saint-Honorat des Alyscamps, le toit du cloître Saint-Trophime. Autant de lieux qui nous ont été « prêtés » pour l’occasion grâce au concours du service du patrimoine de la ville d’Arles.
Voilà, le concept de la nuit c’est cela. Maintenant on espère qu’il va faire beau et chaud !

PZ : Il y a 18 ans, que’est-ce qui vous amène à monter la première édition du festival ?
Est-ce que c’était inscrit en vous depuis longtemps ?

MJ.J : J’ai toujours travaillé dans le domaine de la culture; de très nombreuses années aux Rencontres internationales de la photographie puis dans la musique et dans l’édition, aussi bien en production qu’en communication. Donc tout cela m’était assez naturel.

Enfin, nous étions en 95. Michel Vauzelle, l’actuel président de la région, venait d’être élu maire d’Arles. Nous étions en juin. A l’occasion d’une discussion que nous avons eue, il m’a parlé de la Méditerranée, avec beaucoup d’intensité, de la conférence de Barcelone et il a conclu en me disant : « eh bien vous qui êtes une professionnelle de la culture, plutôt typée

« Suds », c’est peut-être le moment de faire une proposition». Il ne m’a pas parlé de projet à proprement parler, il ne m’a pas passé une commande. II m’a parlé de politique, en homme politique.
C’est quand même assez rare et exemplaire C’est pour cette raison que j’aime raconter ce point de départ.
Voilà, ça s’est passé comme ça. Ensuite, des amis que j’avais à mes côtés, qui sont toujours là aujourd’hui, d’ailleurs, ont créé une association et tout s’est structuré, organisé, avec les difficultés que vous pouvez imaginer, mais progressivement. Et j’aime bien la façon dont cela s’est épanoui et continue de s’épanouir. Ce que l’on souhaite avec l’équipe, ce n’est pas tant devenir gros que faire un Beau festival qui sache aussi rester à la mesure de la ville.

A la fin de notre entretien, j’ai demandé à Marie-José Justamond si le label les Suds faisait des émules à travers le monde – après tout, un tel concept ne peut que susciter l’envie de le dupliquer. Et bien oui ! Il y a déjà Ville des Musiques du Monde en Seine-Saint-Denis, dont le contexte n’a rien à voir avec Arles, l’antique, mais où l’on revendique une vraie filiation avec les Suds. Et puis en Asie, un festival qui fonctionne encore sur les mêmes ressorts. Sans compter les demandes nombreuses de passerelles, parrainages ou collaborations qui ne font qu’asseoir un peu plus la réputation professionnelle internationale du festival des Suds.

Propos recueillis par Pernette Zumthor

Les Suds à Arles se déroulent du 8 au 14 juillet 2013
Le site officiel

Rencontre de Manon avec la directrice des Suds, pour le lire

02 Juil

J’ai rencontré la directrice des Suds à Arles

Bonjour à tous !
Ici Manon, la stagiaire com’ de France 3 Provence-Alpes aux côtés de Pernette !
Je suis étudiante en Info/Com à Avignon.

Quoi de mieux qu’une interview pour entrer dans le bain ? Alors pour satisfaire la curiosité de tous à propos du festival des SUDS à Arles qui se déroule du 8 au 14 juillet prochains, je suis allée à la rencontre de Marie-José Justamond qui a eu la gentillesse de bien vouloir répondre à mes questions… En espérant que mes premières armes sauront vous satisfaire.

Pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle Marie-José Justamond, je suis la directrice et fondatrice du festival des SUDS à Arles.

Pourquoi avoir choisi la ville d’Arles pour les SUDS ?

C’est la cité d’Arles qui a inspiré les SUDS, carrément. J’ai fait le choix de vivre dans cette ville car j’y ai trouvé exactement ma dimension, un environnement esthétique et patrimonial qui me convient parfaitement. J’ai fait en sorte, pendant plusieurs années, de travailler dans le secteur de la culture tout en vivant dans la ville d’Arles. Et à un moment donné, les circonstances ont fait que c’était le moment de créer ce festival.

Il est souvent écrit « les SUDS à Arles », pourquoi préciser ?
En existe-t-il dans d’autres villes ?

Pour l’instant il n’en existe pas à proprement parler dans d’autres villes, mais il est vrai que nous avons des collaborations qui sont des formes de partenariats. C’est aussi une façon d’identifier. Dire « les SUDS à Arles » c’est comme dire le festival de Cannes, c’est-à-dire en même temps donner une ville et une atmosphère.

Où « dénichez-vous » les artistes dits « en découverte » qui sont programmés en premières parties des concerts ?

Nos métiers sont très structurés. Nous nous fréquentons énormément d’un point de vue international. Donc je vois souvent mes collègues producteurs et autres directeurs du festival, et les artistes. Nous sommes vraiment au cœur de tout ce qu’il se passe dans les musiques du monde. Il est donc normal que j’entende parler très rapidement de beaux artistes, et à partir de là je choisis d’en faire venir certains pour les donner à découvrir au plus grand nombre au festival des SUDS. Mais ce n’est pas tellement « dénicher », ce sont vraiment des réseaux professionnels qui fonctionnent bien.

Est-ce plus souvent vous qui allez voir les artistes ou bien c’est eux qui viennent vous voir ?

Nous recevons énormément de propositions bien sûr. Et si cela ne leur est pas venu à l’idée avant, quand c’est nous qui allons les voir, nous sommes très bien reçus puisque le festival a une belle image. Il met en valeur les artistes par les lieux, par le suivi des médias, par la fréquentation professionnelle. Le plus souvent c’est eux qui nous font des propositions, nous en recevons des milliers puisque nous en recevons du monde entier. Mais il est vrai que cela m’arrive de contacter moi-même un producteur ou un artiste directement, ce qui est plus rare puisque je préfère qu’il soit déjà accompagné professionnellement, ce qui est souvent plus simple.

Comment sont ces artistes dans l’intimité ?

C’est vraiment comme dans la vie, il y a des artistes qui sont aussi différents que n’importe qui. Il y en a des supers, il y en a des merveilleux, il y en a des moins drôles. Dans l’ensemble, dans les musiques du monde il est vrai que c’est plutôt un milieu chaleureux, ouvert, curieux et généreux. On ne peut pas généraliser, je pense que c’est vraiment comme dans la vie car on a des individus très différents même si nous avons tous souvent des valeurs communes.

Quelle organisation cela demande de faire déplacer autant d’artistes ? Comment réussissez-vous à tout gérer à la fois ?

La spécificité des SUDS c’est que nous recevons beaucoup d’artistes certes, mais que nous proposons au public. Car le cœur du festival et du projet c’est le public avant d’être les artistes, c’est être médiateur entre ce public et les artistes. Et comme nous proposons beaucoup de choses au public aussi dans la journée, il y a donc une énorme logistique, et particulièrement cette année avec le projet MP13 qui est très lourd aussi. C’est un gros travail pour toute l’équipe qui grossit au fil des mois. Nous sommes cinq permanents dans l’hiver, dès le mois de Février les stagiaires commencent à arriver, ensuite ce sont les intermittents qui viennent régulièrement dans l’année et de plus en plus souvent, et pendant la semaine du festival nous sommes plus de 200. C’est compliqué à gérer, il faut accueillir du public, accueillir des artistes aussi, toute la technique, les voyages, etc. C’est très lourd.

Comment réussissez-vous à faire privatiser des grands lieux de la ville d’Arles, comme le Théâtre antique, pour pouvoir y faire des concerts ?

Ce sont des lieux municipaux gérés par la ville qui les met à notre disposition à ce moment-là, et nous avons une convention. Il y a une difficulté pour le Théâtre antique qui est quand même grand, il fait 2500 places, c’est que dans notre secteur il n’y a pas assez de têtes d’affiche susceptibles de le remplir à notre goût. Donc, chaque année c’est un challenge pour trouver ces noms-là susceptibles de remplir ces 2500 places, ou alors ce sont des associations d’artistes. Ce n’est pas simple.

Comment se remarque l’évolution du festival depuis sa création en 1996 ?

Il y a quelques années nous pouvions nous permettre de remplir le Théâtre antique sans têtes d’affiche. Le public était curieux et même avec des inconnus nous pouvions le remplir. C’est plus dur en ce moment parce que c’est la crise, parce que les gens ont moins de moyens, ils investissent plutôt dans des spectacles où il y a des artistes qu’ils connaissent déjà. Cela fait partie des choses que j’ai vu se transformer au fil des années. Il y a moins de curiosité, c’est pour cela que nous proposons aussi beaucoup de possibilités de concerts gratuits dans la journée et même en soirée, à l’occasion de la fameuse « Nuit » cette année.

Un dernier mot sur l’ambiance à Arles pendant les SUDS ?

C’est très chaleureux. Mais bon, c’est normal que je le vive comme ça, ce sont des artistes que j’aime et tous mes collègues professionnels que j’aime également, que je retrouve à ce moment-là. C’est aussi l’avis des arlésiens qui disent que la ville se transforme, qu’elle devient très sympathique, très chaleureuse à ce moment-là. On peut déambuler de place en place, de rues en rues et découvrir, au gré du cheminement, ces superbes musiques.

Les arlésiens sont donc en accord avec toute cette musique ?

Je n’ai jamais eu de plaintes à ce niveau-là, c’est plutôt de la musique harmonieuse, ce n’est pas violent du tout.

Merci Marie-José Justamond !

Entretien avec M-J Justamond par Pernette Zumthor

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25 Juin

Macha Makeïeff au 19/20

Mardi soir dans le journal de France 3 Provence-Alpes, la directrice du théâtre de La Criée était l’invitée de Sylvie Depierre. L’occasion pour elle de faire le point sur sa première saison lancée avec brio à l’heure de Marseille, capitale européenne de la culture 2013.

Revoir son entretien en plateau


Macha_Makeïeff, directrice du théâtre de La… par france3provencealpes

Nous donner envie de vivre la prochaine saison du nouveau coeur battant de la ville de Marseille.

Cyrano, Molière, Ulysse, Brecht, Carmen, Goldoni, Oncle Vania, Racine, Ali Baba, Shakespeare, Britannicus, Beethoven, Marx, Agrippine, Tchaïkovski, Pommerat…Et d’autres encore !
Bravo l’artiste !

24 Juin

FIDMarseille, 24ème édition

Dans une semaine, se réunissent à Marseille tout ce que le monde cinéphile compte de passionnés,  autour d’un  cru millésimé MP2013 du festival international de Cinéma, le FID.

Cent-vingt-quatre films répartis entre compétition, écrans parallèles, découvertes, inédits ou rétrospective. Une programmation patiemment tissée par Jean-Pierre Rehm et son équipe pour faire dialoguer entre eux tant de regards, d’horizons et de pensées en marche.

L’année 2013 accueille FIDCampus qui s’inscrit dans un projet de Marseille-Provence 2013. Son objet : développer une plateforme de rencontres et d’échanges autour de la jeune création. Onze étudiants issus d’écoles de cinéma et d’art du pourtour méditerranéen et de France participeront à ce programme de formation. Les étudiants prendront part à des sessions critiques autour de leurs films de fin d’études, qui seront analysés par Yann Dedet, monteur, Caroline Champetier, chef opérateur, Khalil Joreige et Marie Voignier, réalisatrice. Ils seront présents aux journées du FIDLab, plateforme d’incitation à la coproduction du FIDMarseille. Egalement au programme de la formation : un panaroma des fonds de soutien et plateformes de coproduction, une rencontre avec les producteurs Philippe Avril (France, Unlimited) et Luis Urbano (Portugal, O som e a fùria), une visite des studios de postproduction la Planète rouge avec leur directeur Lionel Payet, une rencontre avec Rabih Mroué.
Autant dire une chance à saisir pour ces cinéastes en herbe…

Pour feuilleter le programme c’est ici :

Mettre en avant les racines des civilisations qui nous entourent, se souvenir du passé par des témoignages fort et un écran spécial en hommage à l’oeuvre de Pier Paolo Pasolini avec une rétrospective complète de son cinéma. Voila ce qui sera à l’honneur durant cette 24ème édition du FIDMarseille. Les quelques 20 000 spectateurs attendus pourront déambuler entre cinémas, galeries, lieux en plein air ou théâtres, dont le fameux Théâtre National de La Criée.

A l’issue de cette semaine consacrée au septième art, huit prix seront décernés aux films qui auront fait leur effet.

Les séances demeurent à des prix abordables (5 € à tarif réduit et 6 € à plein tarif), et sont disponibles à l’achat dans les diverses billetteries du festival, à l’Espace Culture, dans les offices de tourisme des villes de Marseille et Aix-en-Provence ou encore à la FNAC.

Et si vous attendez impatiemment le FID chaque année, sachez que vous avez la possibilité de vous abonner aux « lettres d’info », qui vous donneront chaque mois toutes les informations sur le festival à venir !

Plus de renseignements sur le site du FID
Bon festival !

Article élaboré avec la complicité de Manon Estival