Du 29 mars au 1er avril se déroule la féria d’Arles, première manifestation de la temporada taurine française.
En 2013, Arles place la tauromachie dans la lumière de cette année culturelle pour rappeler, comme l’a fait récemment le Conseil Constitutionnel français, que la tauromachie est une exception culturelle qui enrichit notre patrimoine.
Mais une fois passée la lumière des projecteurs, Arles, ville de chevaux et de toros, demeurera fidèle à son identité en mettant en valeur un patrimoine ancré dans le coeur de ceux qui y vivent.
A année exceptionnelle, programme exceptionnel !
Ce ne sont pas moins de 3 Mano a Mano qui opposeront Juan Bautista, l’enfant du pays à Sébastien Castella, tous deux chouchous des arènes françaises; puis Javier Castaño et Fernando Robleño et enfin, à cheval cette fois, Andy Cartagena et Diego Ventura. Ce dernier face à face préfigurant la présentation d’une autre équitation, issue des pratiques guerrières, comme celle des 4 écoles qui se produiront cet été sur le sable des arènes.
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La Course Camarguaise, une aficion de terroir
Au nombre des jeux taurins qui enchantent la ville durant 3 jours, la Course Camarguaise tient le rôle de tête mais les courses en ville, bandido ou abrivado qui alternent avec les défilés de peña (fanfare) font tout aussi partie de la féria.
Décryptage en vidéo
La course camarguaise par A.Décotte
La féria d’Arles c’est aussi le Comité des fêtes de la ville qui lui donne sa dimension en organisant dans tous les quartiers de la ville l’animation nécessaire au rayonnement de la fête.
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