22 Jan

En février à Boulieu-lès-Annonay : Travail de médiation auprès des scolaires

Dans la semaine du lundi 17 au vendredi 21 février : Clown à l’école par la compagnie Les chercheurs d’air.

 Compagnie les chercheurs d'air

Fondée sur une démarche où l’action artistique et l’éducation populaire sont complémentaires, la médiation, dont le dispositif « Clown à l’école » fait partie, est un des axes de travail de Quelques p’Arts… avec la diffusion et l’aide à la création.
Cette action mise en place avec la compagnie Les Chercheurs d’Air permet à Quelques p’Arts… d’intervenir auprès des tout petits, au-delà de ses projets déjà menés avec les écoles, collèges et lycées de la région.

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En janvier : « Marie Tudor » au théâtre de Bourg-en-Bresse

Marie Tudor (création) – Théâtre à partir de 14 ans par le Groupe La galerie – Mardi 28 janvier 20h30 – Mercredi 29 janvier 19h00 – Jeudi 30 janvier 14h00 (durée 2h00)

Photo : C. Gondrexon

Photo : C. Gondrexon

Théâtre, politique et passion amoureuse s’imbriquent dans ce drame de Victor Hugo. Une épopée à suspense sur les bords de la Tamise, où se croisent le vaudeville et le film noir, le drame shakespearien et la tragédie antique !

Photo : C. Gondrexon

Photo : C. Gondrexon

Le Groupe La Galerie est Compagnon de Saisons du Théâtre de Bourg-en-Bresse qui l’accompagne ainsi dans sa dernière création en lien avec le Centre culturel Aragon d’Oyonnax.

Photo : C. Gondrexon

Photo : C. Gondrexon

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En janvier, Ekatérina Ivanovna au Théâtre de Villefranche

Mardi 28 janvier à 20h30 & mercredi 29 janvier à 19h30 -Théâtre par la compagnie L’unijambiste / David Gauchard – création en résidence

Écrite en 1912 par Léonid Andreïev à Moscou, cette pièce est d’une modernité déconcertante traitant d’infidélité, d’émancipation et de la place de la femme dans une société régie par l’homme en ce début de siècle.

  • Rencontre avec l’équipe artistique ma 28 à l’issue de la représentation
  • Rencontre avec le traducteur et poète français André Markowicz autour du théâtre russe, lu 27 à 18 h 30, au bar du théâtre. Entrée libre.

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17 Déc

En janvier à la Maison des arts de Thonon-les-Bains : Macbeth

Macbeth, The Notes – Mardi 28 à 20h – Mercredi 29 à 20h – Jeudi 30 janvier à 20h30 au Théâtre du Casino – Conseillé à partir de 14 ans

Texte : d’après Macbeth de William Shakespeare
Adaptation et mise en scène : Dan Jemmett – Jeu : David Ayala

Photo-David-Ayala-(CPH)-LIGHT

Photo-David-Ayala-(CPH)-LIGHT

Le metteur en scène britannique a encore frappé. Après Shake, La Comédie des erreurs, Les Trois Richard, Dan Jemmett a décidé cette fois-ci de mettre sens dessus-dessous cet autre chef-d’œuvre de la littérature anglaise, Macbeth, poursuivant ainsi avec gourmandise et bel esprit sa relecture de Shakespeare.

Autre fidélité, il retrouve ici David Ayala (photo). Le comédien est une nature, l’un des plus talentueux de sa génération tant il est capable de toutes les métamorphoses, de se transfigurer, de passer du calme à la tempête en un quart de seconde.
Sur scène, David Ayala incarne le seul personnage de cette adaptation : le metteur en scène. On comprend que la répétition générale de Macbeth, qui vient de s’achever, s’est mal passée. Pendant que les techniciens finissent de nettoyer le plateau, il prend une chaise et s’assied, sort un carnet de sa poche et commence à donner les notes qu’il a prises en s’adressant au public comme s’il s’agissait de ses acteurs. Très vite, le metteur en scène s’échauffe, jusqu’au délire, pour finir par se prendre pour Macbeth lui-même et par interpréter tous les rôles.

Ecrite en 1606, cette tragédie de Shakespeare est d’une modernité confondante. On y trouve tout ce qui peut encore faire l’homme d’aujourd’hui : la soif de pouvoir, les agissements les plus vils pour parvenir à ses fins, l’absence de remords vis-à-vis de ses actes, qu’il va au fil du temps légitimer, la solitude profonde de celui qui n’éprouve ni amour ni compassion pour autrui.

Macbeth, The Notes n’est pas seulement un regard ludique et amusé sur les rouages du théâtre, mais une vision insolite et réjouissante, une relecture radicale d’un texte classique si fondateur.

PRESSE Le metteur en scène britannique n’aime pas faire comme tout le monde. Même quand il adapte du Shakespeare, Dan Jemmett se fait plaisir et ravit du même coup ses contemporains en revisitant le maître à travers le prisme de la farce fantaisiste et populaire. Télérama

16 Déc

En décembre à l’amphithéâtre de Pont-de-Claix : Sganarelle ou la représentation imaginaire

par Catherine Riboli | Nom’Na Jeudi 19 décembre 14h00 & 20h00
Pour tous, dès 10 ans | durée : 1h10
D’après la première comédie de molière : Sganarelle ou le Cocu Imaginaire

Photo : Pierre Planchenault

Photo : Pierre Planchenault

Après Shakespeare (As you like it présentée l’an dernier à l’Amphithéâtre), c’est à Molière que s’attèle la metteuse en scène dans son joyeux processus de retour aux sources du théâtre. Sganarelle ou le cocu imaginaire est une pièce en un acte multipliant des malentendus cocasses, avec comme épicentre un bourgeois de Paris persuadé que sa femme le trompe. Plus il avance, parle, raisonne, et plus son illusion gonfle et gagne les autres !

Catherine Riboli s’empare de cette comédie opposant réalité et imaginaire pour s’interroger et nous interroger sur le théâtre. Son curieux dispositif quadri-frontal met en abyme la pièce en train de se jouer. Les comédiens s’adressent aux spectateurs et interviennent dans la représentation, l’interrompent… Ils glissent sans cesse du jeu à la réflexion sur le jeu. Et les spectateurs du rêve à la réalité, dans la légèreté et la jubilation.

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12 Déc

En janvier pour Boulieu-lès-Annonay : Le vol du rempart

Mardi 28 janvier 20h30 au Théâtre à Annonay – Le Vol du rempart par la compagnie Mauvais Coton

 

« Un spectacle où il est question de ramper, de voler, bref de s’extirper par tous les moyens. Et s’il faut employer les chemins les plus extrêmes pour avoir encore une chance de passer le rempart qui nous sépare de l’infini, alors oui ! Prenons ces chemins. A un moment, il faut se mettre en danger, à un moment il faut relâcher la garde pour que la vie s’exprime. Il s’agit d’amour, de voyage en tant que chemin de vie, d’hommes du monde, et d’apparences trompeuses. »

 

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11 Déc

Décembre à l’auditorium de Seynod : cent culottes et sans papiers

Mardi 17 décembre à 20h30 – CENT CULOTTES ET SANS PAPIERS de Sylvain Levey par la Cie Ariadne
Mise en scène : Anne Courel – en savoir plus

Cent culotte et sans papiers

Sous la plume de Sylvain Levey, l’école devient la caisse de résonance de la société contemporaine. L’auteur dresse un inventaire sensible des objets trouvés dans une école de la République, une de celles dont le fronton arbore fièrement Liberté-Egalité-Fraternité. L’air de rien, de la cave au grenier, dans les classes et la cour de récré, il glane, ramasse, observe et fait parler les objets, nous raconte toute une histoire de France des sans-culottes aux sans papiers !

Une veste militaire taille 34 tachée de chocolat, une cagoule bleu marine, un mouchoir blanc, trente blouses grises, année scolaire 1941, et une étoile jaune sont les clefs qui nous mèneront aux véritables personnages de cette pièce : Samir, l’enfant reconduit à la frontière, Courpartout, l’élève souffre-douleur, la jolie fillette dont tout le monde est amoureux. A coups de petites chroniques poétiques et de maximes politiques, il nous conte une histoire plurielle pour évoquer l’histoire de tout un chacun.

Un texte ludique pour nous inviter à une réflexion sur le monde qui nous entoure. Un petit manuel d’instruction civique à partager en famille !

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