27 Mai

30 mai : la Nuit sera jazz au Train théâtre à Portes les Valence

La nuit de tous les Jazz(s) – Samedi 30 mai à partir de 19h00 au Train théâtre à Portes les Valence
«Happy hour», c’est le temps de la rencontre, de la convivialité, de l’échange… mais de 19h00 à 1h00 du matin au Train-Théâtre, c’est bien plus… C’est le temps de la musique, le temps des jazz(s) !

Pour cette 12e édition, la recette reste la même 3 scènes, 14 groupes aux influences groove, swing, be-bop, hard-bop, électro, jazz vocal, funk ou rythm’n blues dans un grand melting pot assaisonné d’un invité prestigieux.

Happy hours in jazz !

La Nuit de tous les Jazz(s) est organisée en partenariat avec Jazz Action Valence, le Collectif Zébracorde et Crest Jazz Vocal.

26 Mai

30 mai : le maître mot à à l’Hexagone de Meylan

Dans le cadre des 20 ans du jumelage avec les établissements scolaires – 20 ans d’éducation artistique et culturelle : POURVU QU’IL NOUS ARRIVE QUELQUE CHOSE de Grégory Faive – samedi 30 mai à 20h00 à l’Hexagone de Meylan

Le théâtre… Drôle d’endroit où UN se présente pour dire quelque chose à UN AUTRE qui lui, est venu pour l’écouter. De quoi est fait celui qui est venu dire ? Comment l’autre est disposé à l’écouter ?
Et qu’est-ce qui se passe si celui qui doit dire ne sait plus dire ?
Il va devoir passer par tout ce qui l’a conduit sur scène pour reprendre consistance. Et ce chemin sera fait de récits, de souvenirs, d’anecdotes, de déclarations d’amour, de mauvaise foi, de doutes… Avec au final l’espoir qu’il arrive quelque chose.

22 Mai

30 mai : De grands textes à l’Hexagone de Meylan

Pourvu qu’il nous arrive quelque chose – samedi 30 mai à 20h00 dans le cadre des 20 ans du jumelage avec les établissements scolaires – 20 ans d’éducation artistique et culturelle / Grégory Faive à l’Hexagone de Meylan

Le théâtre… Drôle d’endroit où UN se présente pour dire quelque chose à UN AUTRE qui lui, est venu pour l’écouter. De quoi est fait celui qui est venu dire ? Comment l’autre est disposé à l’écouter ? 
Et qu’est –ce qui se passe si celui qui doit dire ne sait plus dire ?
Il va devoir passer par tout ce qui l’a conduit sur scène pour reprendre consistance. Et ce chemin sera fait de récits, de souvenirs, d’anecdotes, de déclarations d’amour, de mauvaise foi, de doutes… Avec au final l’espoir qu’il arrive quelque chose.

20 Mai

27/28 mai : La tradition du conte russe au Théâtre de la renaissance d’Oullins – à voir en famille

Le coq d’or / Théâtre musical le 27 mai à 15h00 le 29 mai 19h00 au Théâtre de la renaissance d’Oullins – { à voir en famille à partir de 7 ans }

Avec Le Coq d’Or, Pouchkine s’empare de la tradition populaire du conte russe pour inventer une forme poétique brève, alerte et malicieuse.

Un mage donne à un Tsar un coq magique pour protéger les frontières de son royaume et ne demande pour prix que la promesse de réaliser un voeu qu’il formulera plus tard… À chaque fois qu’une armée ennemie se présente, le coq chante pour indiquer le front de l’attaque et grâce à lui le royaume connait deux années de paix. Un jour le coq chante pour signaler l’arrivée de la princesse Schamakha dont tombe éperdument amoureux le roi. C’est alors que le mage réclame son dû au roi : son voeu, la princesse elle-même….

Nicolaï Rimsky Korsakov, au tournant du XXe siècle se saisit de cette fable pour composer un grand opéra d’une invention mélodique débordante. L’idée est venue à Gérard Lecointe, Jean Lacornerie et Étienne Guiol de revenir aux sources du livret en mêlant texte et musique dans une scénographie très singulière, évocatrice d’une Russie toute faite de chevauchées et de mystère. Délaissant la version opératique, Gérard Lecointe invente une dramaturgie musicale en puisant dans toute l’oeuvre du compositeur, en adaptant les pages au fort pouvoir évocateur : musique dramatique, musique guerrière, musique pour la danse, musique féérique. En virtuoses, Les Percussions Claviers de Lyon bâtissent une cathédrale de son pour cette Russie fantastique où Pouchkine et Korsakov répandent un parfum d’encens oriental.

19 Mai

27/28 mai : acrobaties & musique… vive le nouveau cirque à la rampe d’Echirolles

Opus / Compagnie Circa & Quatuor Debussy / cirque musique – mercredi 27 et jeudi 28 mai – 20h00 à La Rampe à Echirolles – pour tous

Opus mêle la prouesse du nouveau cirque, la grâce de la danse et l’intensité des quatuors de Chostakovitch. Depuis sa création en juin 2013 aux Nuits de Fourvière de Lyon,le spectacle rencontre un succès unanime et grandissant notamment à l’international. À l’origine de ce ballet circassien, un amour partagé par les deux équipes artistiques pour la figure de Chostakovitch et ses quatuors à cordes, devenus pour trois d’entre eux le cadre quasiment narratif de la pièce. Sur les lignes rhapsodiques des œuvres du génie russe s’agrippent ainsi quatorze acrobates, hommes, femmes, tour à tour danseurs, personnages et objets. Ensemble, ils livrent une chorégraphie énergique aussi saisissante de beauté, de force que de sens, où l’individu dans sa solitude et sa fragilité ne cesse de repousser ses propres limites… ainsi que celles du cirque et de la musique.

18 Mai

27 mai : ménage à trois au Dôme théâtre d’Albertville

ANATOMIA PUBLICA par la Compagnie Man Drake – Danse/Théâtre – Mercredi 27 mai à 20h30  au Dôme théâtre d’Albertville

L’étrange destinée de la grand-mère du chorégraphe constitue le point de départ de la pièce. Son mari étant considéré mort à la guerre, elle se remarie. Mais quelque temps après, le disparu est de retour… Ils choisissent alors de former un ménage à trois. Pour exprimer les sentiments et les tensions, les danseurs décomposent les gestes dans un flux continu de ruptures nerveuses, de scratchs et de mouvements saccadés. Des « bugs » et des tics dont la maniaquerie, décuplée par le rythme implacable de la pièce, révèle l’arrière-pensée des intentions et des désirs.

13 Mai

23/24 mai : Serge Papagalli à Bourgoin Jallieu

Serge PAPAGALLI – La santé par les plantes Samedi 23 mai à 20h30 & Dimanche 24 mai à 17h00 à la Salle Polyvalente de Bourgoin Jallieu

Après avoir fait un film, de la télévision et de la radio, Serge Papagalli, le plus célèbre moustachu du Dauphiné, est de retour au Théâtre Jean-Vilar pour le plus grand plaisir de tous ! Ceux qui connaissent déjà les Maudru font partie de la famille, la porte leur est grande ouverte. Les nouveaux sont également les bienvenus, mais il faut leur expliquer : Depuis 1996, Serge Papagalli raconte avec tendresse les aventures d’une famille de petits agriculteurs dauphinois en moyenne montagne qui essaye de survivre tant bien que mal face à un monde qui se « mondialise » de plus en plus et s’éloigne du leur, sans cesse.

Pour aller où ?… c’est une autre question. Voici ici pour vous, le nouvel épisode de l’aventure : nous retrouvons le père Aimé Maudru, et son neveu Désiré, un peu dérangé mais ô combien philosophe, un nouveau-venu Gaston Bataille dit «La goutte », cousin spécialiste en alambics et gnôles en tous genres. Que se trame-t-il dans la cave de cette ferme dauphinoise, juste en dessous de la chambre du gîte…?

N’en disons pas trop, ça pourrait leur porter la guigne ! Nous serons heureux de vous accueillir et restons à votre disposition pour tout renseignement dont vous auriez besoin, par téléphone, par mail ou à l’accueil du Théâtre .

12 Mai

22 mai : vive la fête foraine au Pont de claix

LA FOIRE DES PRAIRIES par Julie Desprairies et la Cie des prairies | Pour tous, dès 10 ans | durée : 50 min. Place Michel Couëtoux (devant l’Amphithéâtre) au Pont-de-Claix – vendredi 22 mai à 23h00

cirque

La fête foraine fait rêver petits et grands, avec les carrousels, la pêche aux canards, les sucreries, les jeux d’adresse… C’est cet univers que se réapproprie la chorégraphe Julie Desprairies. Depuis plus d’un an – dans le cadre d’Ailleurs en ville journée hors les murs de l’Amphithéâtre – l’artiste et ses danseurs préparent cette foire en collaboration avec les habitants et les associations de la ville.

Le mouvement étant au coeur du projet, différents stands sont proposés en fonction des talents et des envies de chacun. De la maison fantôme à la buvette, le visiteur est invité à se mettre en mouvement, sans qu’il ait besoin de savoir danser, ou simplement à regarder avec le même plaisir. Qu’est-ce qu’on gagne à La foire des prairies ? Le plaisir d’être ensemble, de se mettre à danser sans s’en rendre compte, de participer à une oeuvre collective, d’assister à une performance unique, chaleureuse et actuelle.

11 Mai

21 mai : Baptiste Trotignon en trio au Dôme Théâtre d’Albertville

BAPTISTE TROTIGNON TRIO – Musique Jazz – Jeudi 21 mai à 20h30 au Dôme Théâtre d’Albertville

Le pianiste de jazz Baptiste Trotignon propose un trio de haut vol avec, à la contrebasse son fidèle partenaire Thomas Bramerie et, à la batterie, le maître américain du groove Jeff Ballard. La musique de son dernier album, Hit, reflète le métissage de multiples sources d’inspiration : ici une chanson presque pop, parfois un climat très rock, ailleurs une mélodie latine…

07 Mai

20/21 mai : Feydeau et Levin à Bourgoin-Jallieu

COURT CARNAGE – Feydeau & Levin – Salle polyvalente de Bourgoin-Jallieu – Mercredi 20 mai à 20h30 + Jeudi 21 mai à 20h30 – Dès 14 ans – Durée 1h30

Reprenez votre souffle !
Deux pièces en un acte de Georges Feydeau et une d’Hanock Levin pour entrer dans l’univers déjanté du vaudeville.

  • FIANCÉS EN HERBE & CONDAMNÉS À VIE – Textes Georges Feydeau
  • POTROUSH – Textes Hanock Levin – Traduction Laurence Sendrowicz

carnage

On crie, on pleure, on s’invective, on se séduit, on s’épouse. La Terre devient plate, certains pays disparaissent de la carte…. Les innocents sont conduits à la potence tandis que les coupables sont blanchis. Quant aux amoureux, à peine pubères, ils se disputent et s’injurient l’anneau à peine passé au doigt. Pendant ce temps, Mme Potroush brutalise, rase, hache et tronçonne tous ceux qui ont une pensée différente de la sienne. Laurent Brethome, grand admirateur de Feydeau, s’amuse et nous avec lui, de la cruauté délicieuse des situations propres à ces pièces de jeunesse.

Au milieu, une énigmatique Madame Potroush fait le lien. Une forme de tréteaux mordante et grotesque au vitriol comme il se doit. Sous ses airs légers, le spectacle est un plaidoyer contre l’ignorance et les obscurantistes de tout poil.