Avril 2016

#6 par iX Compagnie sur une chorégraphie de Philippe Vuillermet – mercredi 27 avril à 20h30 – danse au Dôme théâtre d’Albertville

Un danseur, un beat boxer, un chorégraphe et… des amateurs.

#6 met à l’honneur le groupe et tout ce qui lie, unit, rassemble, tout ce qui crée du collectif. Avec des gestes simples, puisés du quotidien (pulsations, rythmes, déformations…), le chorégraphe Philippe Vuillermet propose un spectacle graphique et très esthétique, auquel participent plus de 80 amateurs de la région d’Albertville.

Dans les yeux des autres par la Compagnie ACTA à L’Espace 600 de Grenoble – Jeudi 28 avril 10h00 & 19h30 + Vendredi 29 avril 10h00 & 14h30
Pour tous dès 12 ans – Mise en scène : Laurent Dupont

Une piste ronde, ensablée, une arène rouge. Au centre, une danseuse. Elle contemple, agenouillée, les châteaux de sable de son enfance. Cette création s’inspire des questionnements des jeunes suscités par la figure insoumise, rebelle et éclairante d’Antigone.

L’ours qui avait une épée par Lardenois et Cie / Camion A Histoires sur le parvis du Théâtre de Privas – Mercredi 20 et jeudi 21 avril à 14h00, 15h45 & 17h30 au théâtre de Privas

«Cet ours est un guerrier. Avec son épée, il coupe tout ce qu’il trouve. Même La forêt ! Mais un jour, le fort où il habite est emporté par les eaux du barrage.
La faute à qui ? Au sanglier ? Au renard ? Aux oiseaux ? A moins que les tours que nous jouons à la nature nous retombent parfois sur la truffe ? »

Le mouvement de l’air d’Adrien Mondot et Claire Bardainne – Danse et arts numériques – Vendredi 15 avril, 20h30 au Toboggan de Décines

Trois danseurs-acrobates sont immergés dans un espace onirique, où des dispositifs de suspension leur permettent de s’élever en l’air. Rémi Boissy, Farid-Ayelem Rahmouni et Maëlle Reymond évoluent au milieu d’images générées par ordinateur en temps réel, grâce à des interventions humaines en régie et des capteurs sur scène. Les images ne défilent donc jamais à un rythme imposé, mais respirent avec les danseurs, bougent avec eux, à la manière d’un partenaire de jeu doté d’une sensibilité propre.
Un spectacle d’une grande poésie, à combiner avec un match de foot au Parc Olympique Lyonnais : Le mouvement de l’air le 15 avril + le match OL/OGC Nice le 16 avril pour 30€.

La Framboise Frivole par Delicatissimo Mercredi 6 avril 2016 à 20h00 au Grand angle de Voiron

Conçu et interprété par Peter Hens au chant et violoncelle, Bart Van Caenegem au piano et au chant
Ils sont fous ces Flamands ! Ce nouvel opus de la Framboise Frivole marque le retour de Bart Van Caenegem au piano, aux côtés du brillant ténor et violoncelliste Peter Hens. Les deux aventuriers partent à la recherche de l’Archet perdu…
Pour les néophytes, le principe de ce groupe est de nous montrer par d’hilarantes digressions musicales, agrémentées d’une suite de jeux de mots, que le classique est à se tordre de rire. Cette quête échevelée les conduira dans un univers absurde et décalé où tout peut arriver : voilà soudain Haendel dialoguant avec Brel, Franz Schubert se frottant à Michel Berger, et Barbara aux Rolling Stones…
Gags visuels, effets spéciaux, jeux de lumière, le spectacle est total et déclenche les rires en cascade. Une gourmandise absolue qui tient toutes ses promesses.

Papiers d’Arménies / Musique du Monde – Samedi 02 Avril à 20h30 au Théâtre de Privas

Inspiré des airs traditionnels d’Arménie, de Géorgie, de Grèce et de Turquie, Papiers d’Arménies invite au voyage, sillonnant ces chemins qui, d’Orient en Occident, ont inspiré bon nombre d’artistes, de poètes, de peintres… Des faubourgs d’Istanbul aux tavernes du Pirée, on vibre au son du bouzouki et du rembétiko, cette musique des quartiers pauvres peuplés aussi d’arméniens arrivés par bateau dans les années 1920. Au souffle saisissant du doudouk se joint le son déchirant du kamantcha, on passe du rire aux larmes, pour qu’enfin l’accordéon ranime la fête et console les âmes en peine.
Désertant les frontières, là où Papiers d’Arménies réinvente son Arménie, jaillit une musique profonde, empreinte d’histoires, de visages, de cuisines à la saveur épicée, de ces moments de fête jusqu’au petit matin… Papiers d’Arménies raconte cette Arménie, vivante et plurielle.