16 Jan

Comment profiter du succès des cryptomonnaies ? Ces Toulousains vous aident

En 2020, le Bitcoin et les autres monnaies virtuelles ont battu des records. Pour se familiariser avec ce domaine, plusieurs initiatives sont nées à Toulouse. Exemples avec « Le Journal du coin », « Koinju » ou « Money Block » destinés à la fois aux convertis et aux néophytes. Reportage TV.

© Jean-Luc Flémal / MAXPPP

Bitcoin, Chainlink, Binance Coin, Ethereum, Aaeve,… En 2020, les monnaies virtuelles rencontrent de plus en plus succès. Aujourd’hui, plus de 100 millions de personnes les utilisent à travers le monde (selon un rapport de l’université de Cambridge de septembre dernier). 

La plus connue est le Bitcoin. Sa valeur a grimpé de 200 % lors des 3 derniers mois pour atteindre la barre des 22 000 euros.

Mais comment se lancer dans ces monnaies numériques ? Comment éviter les escroqueries ?

A Toulouse, plusieurs start-up se sont lancées dans le conseil et la formation dédiés aux cryptomonnaies. 

Exemple avec « Le Journal du coin.com ». Il s’agit du seul média francophone dédié à l’actualité de ce secteur. Ou encore « Koinju », une plateforme qui étudie les places de marché spécialisées pour conseiller les particuliers et les entreprises.

Une de nos équipes de France 3 Toulouse (Serje Djian et Olivier Denoun) est allée à leur rencontre :

Par ailleurs, il existe « Money Block« , une variante du Monopoly où les Bitcoins remplacent les billets de banque. Un jeu de stratégie qui permet de s’initier (sans risque) aux cryptomonnaies.

Julien Leroy

09 Août

Le Toulousain « Louer une piscine » domine (avec Swimmy) le marché français de la location de piscine privées

La location de piscines entre particuliers est en plein boom en France. Plusieurs plateformes se sont lancées sur ce créneau mais aujourd’hui en 2019, deux startups dominent le marché national : Swimmy et le Toulousain, « Louer une piscine ».

© MaxPPP

Depuis l’été 2017, la location de piscines entre particuliers séduit de plus en plus.

Comme sur Airbnb, les propriétaires de piscines et de spas proposent leur plan d’eau pour quelques heures. Un bon moyen pour rencontrer du monde tout en réduisant le coût d’entretien du bassin. Du côté des baigneurs, il suffit de réserver directement en ligne pour se rafraîchir et profiter éventuellement d’un jardin privé.

Plusieurs plateformes se sont lancées sur ce créneau mais, aujourd’hui en 2019, deux startups dominent le marché national.

Pionnier du secteur, Swimmy est le leader français. La jeune pousse créée par Raphaëlle de Monteynard, revendique 32.000 utilisateurs et plus de 1200 lieux de baignades. 

Juste derrière se trouve « Louer une piscine » né à Toulouse en août 2017 grâce à Arnaud Biehler et Laura Strelezki.

Très vite, le site toulousain rencontre le succès, notamment grâce à des tarifs de groupe (et non individuels).

Aujourd’hui, Louer une piscine cartonne. « 100.000 visites durant les 30 derniers jours. C’est 10 fois plus que l’an dernier » affirme Laura Strelezki. Un pic de fréquentation qui permet à la jeune pousse de proposer 500 piscines aux « 9000 baigneurs » de l’application. « Actuellement, nous avons enregistré plus de 2000 réservation » complète la co-fondatrice.

La location de piscines privées est devenue un filon économique pour les plateformes et pour les propriétaires. Les tarifs varient de 10 à 30 € par personne et les commissions vont de 10 % à 20% selon les deux acteurs du marché. Cela offre une belle marge financière aux loueurs.

Le Airbnb des piscines privées devrait continuer à progresser. La France compte 1,6 millions de bassins privés. Et 1 français sur 4 rêve d’avoir une piscine selon un sondage de la Fédération des Professionnels de la Piscine et du spa (FPP).

Julien Leroy

31 Mar

Bricolage : « Hellocasa », la start-up toulousaine qui fait (à votre place) la course aux artisans et aux devis

Trouver un professionnel du bricolage en quelques clics avec un… prix forfaitaire ? C’est le créneau de la start-up Hellocasa créée par deux Toulousains. Après un lancement à Paris, la plateforme débarque dans la ville rose.

© Hellocasa

© Hellocasa

Pas envie de monter un meuble en kit ? Ni le temps de changer un mitigeur ou de repeindre une chambre ou incapable de rénover la salle de bain,..  le numérique peut aider à trouver un professionnel du bricolage en quelques clics et sans que cela vous coûte un bras.

C’est le service promis par start-up Hellocasa, créée en 2014, par trois Toulousains : Benjamin Rezzak, Julien et Mathieu Desarnauts. 

Mise en service et forfaits de travaux en ligne

Hellocasa est un service en ligne de mise en relation avec un artisan et « proposant des forfaits de travaux (..) du bricolage à la rénovation » résument les deux fondateurs.

Vous soumettez votre demande de travaux sur la plateforme, et vous propose, sous 48 heures, une entreprise spécialisée et certifiée (par la start-up) en peinture, électricité, plomberie ou jardinage.

Il existe évidemment d’autres services similaires comme les Tarnais de ToolMapps. Mais, Hellocasa propose des forfaits pour chaque intervention. Ainsi, aucune mauvaise surprise au moment de régler.

Débarque à Toulouse

Ce « Uber » du bricolage s’est lancé en 2014 dans la région parisienne. La jeune pousse souhaite, aujourd’hui, se déployer en France. Toulouse est ainsi le premier bureau régional. L’antenne locale a ouvert ses portes ce mois de mars.

La start-up revendique 700 professionnels répertoriés et plus de « 12.000 interventions » depuis sa création. Dans la ville rose, elle espère atteindre la barre des 1000 prestations d’ici la fin de l’année 2017.  

>> Plus d’info en image avec ma chronique dans « 9h50 le matin Occitanie » sur France 3 – Mars 2017 :


Tout ce qui buzz : HelloCasa

>> Plus d’info sur : hellocasa.fr

Julien Leroy