12 Juin

La French Tech invite les start-up de Toulouse à conquérir les USA et Israël

La French Tech Toulouse propose aux jeunes entrepreneurs, deux missions à l’international. L’objectif est de se faire connaître hors de la ville rose et favoriser le contact avec des donneurs d’ordre étrangers.

© Christophe Morin / MaxPPP

Participer au salon DLD de Tel Aviv

Le premier appel propose de participer au DLD Innovation Festival à Tel Aviv, du 5 au 7 septembre 2018.

Depuis 2010, ce salon professionnel est le grand rendez-vous annuel de l’écosystème numérique israélien. « C’est le 2e écosystème parmi les plus favorables aux start-up dans le monde, juste derrière la Silicon Valley » assure Philippe Coste, le directeur Délégué French Tech Toulouse.

Inscription avant le 22 juin en cliquant ici

Partir dans un incubateur d’Atlanta

Pour la 3e année consécutive, l’opération d’échange de startups entre Toulouse et Atlanta est renouvelée.

Du 14 au 20 octobre, les jeunes pousses de la ville rose pourront partir dans 3 incubateurs de la métropole américaine : ATDC, The Garage et Sandbox ATL.

Les candidats intéressés doivent s’inscrire d’ici le 22 juin sur cliquant ici

Lancé en novembre 2013, le programme « French tech » a pour objectif de « construire un grand mouvement de mobilisation collective pour la croissance et le rayonnement des startups numériques françaises » explique le ministère à l’économie numérique.

Toulouse a obtenu le label en novembre 2014 et reste aujourd’hui la troisième région française dans l’industrie numérique avec 38 000 emplois, 3000 entreprises et plus de 2600 chercheurs.

Julien Leroy

16 Nov

Montpellier accueille le secrétaire d’Etat chargé du Numérique


Mounir Mahjoubi est à Montpellier ce jeudi 16 novembre. Le secrétaire d’Etat chargé du Numérique rend visite à des start-up et participera à la 39e édition du DigiWorld Summit.

Mounir Mahjoubi, secrétaire d'État chargé du numérique, ce matin à Montpellier / © laurent Biasetti‏

Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État chargé du numérique, ce matin à Montpellier / © laurent Biasetti‏

Les visites des secrétaire d’Etat chargé du Numérique en Occitanie sont plutôt rares. Après celle d’Axelle Lemaire en 2016 à Rodez, son successeur, Mounir Mahjoubi, est à Montpellier ce jeudi 16 novembre. 

Une visite officielle qui débute ce matin par une rencontre avec les start-up de l’hôtel « French Tech » de Montpellier. A midi, le secrétaire d’Etat chargé du numérique et député LREM, participera au salon du Digitworld summitCette après-midi, il visitera le Mas numérique de Villeneuve-les-Maguelone et fera la connaissance des écoles numériques de la capitale héraultaise. 

Julien Leroy

02 Oct

Toulouse : le leader mondial des robots agricoles « Naïo Technologies » obtient le Pass French Tech

La start-up toulousaine de robotique agricole « Naïo Technologies » vient d’obtenir le Pass French Tech. Ce label national est attribué aux pépites reconnues pour leur hypercroissance et la qualité de leur innovation.

© Naïo Technologies

© Naïo Technologies

Bonne nouvelle pour l’écosystème des start-up toulousaines !

La jeune pousse Naïo Technologies, basée à Escalquens près de Toulouse, vient d’obtenir le Pass French Tech. Ce label national de la French tech est attribué aux pépites reconnues pour leur succès et la qualité des innovations. 

Grâce à cette reconnaissance nationale, elle va bénéficier d’un accompagnement privilégié auprès des partenaires économiques. 

C’est la 12e start-up toulousaine qui obtient ce label. 

Naïo Technologies est le leader mondial dans le domaine des robots agricoles. La société a notamment mis au point le robot « Oz », capable de se diriger dans les champs et de désherber les parcelles, sans abîmer les cultures. Quand il a fini sa parcelle, il envoie un SMS au propriétaire pour l’avertir qu’il est prêt à travailler ailleurs.

Une soixantaine d’exemplaires a déjà  été vendue en Europe. Oz peut se révéler une aide précieuse, notamment pour la maraîchage biologique, car il permet de désherber sans produits chimiques et d’éviter ainsi une tâche humaine fastidieuse.

La start-up commercialise « ses robots en France métropolitaine et en Europe, notamment, en Suisse, en Allemagne, au Danemark, en Belgique, en Angleterre et en Irlande. Et depuis peu en Martinique et en Nouvelle-Zélande » précise le communiqué de presse de la French Tech Toulouse.

Julien Leroy

19 Juil

Les smartphones (incassables) du Toulousain Adar Télécom sont en redressement judiciaire

Adar Télécom est en redressement judiciaire. Cette société toulousaine est spécialisée dans les mobiles ou tablettes « durcis ». Depuis un an, elle connaissait une croissance fulgurante avec des appareils antichocs et étanches, vendus dans le monde entier.

© Adar Télécom

© Adar Télécom

Le pionnier mondial des téléphones durcis est placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Toulouse, depuis le 11 mai 2017. La période d’observation devait durer jusqu’à septembre ou octobre, selon nos informations. 

Depuis 2008, Adar Télécom développe des smartphones et des tablettes « antichocs, étanches et robustes« .

La société toulousaine s’est d’abord adressée aux professionnels et aux amateurs sports extérieurs, évoluant dans des environnements peu propices à la bonne santé d’un téléphone. C’est ainsi que la gamme MTT est née.

Très vite, l’entreprise toulousaine est devenue l’un des leaders mondiaux de ces appareils robustes. Si bien qu’en août 2016, Adar Télécom signe un contrat mondial avec le géant du bricolage, Staley Black & Decker. Depuis, les smartphones toulousains sont distribués dans 35 pays à travers le monde.

Profitant de cette croissance, Adar Télécom décide, en décembre 2016, d’ouvrir son catalogue au grand public avec la gamme « MTT #beyondlimits ». Des smartphones (quasiment) incassables au design épurés pour attirer les particuliers. Il « accompagne son utilisateur dans toutes les situations du quotidien, des plus banales (travail, sorties, loisirs, sport, quotidien avec des enfants en bas âge, …), aux plus extrêmes (travail en extérieur, sports extrêmes, etc) » précisait Christian Massoji, directeur marketing d’Adar, au moment du lancement. 

Aujourd’hui, l’entreprise et ses 15 salariés sont dans l’incertitude. La direction n’a pas encore répondu à nos sollicitations.

Julien Leroy

25 Juil

Numérique : Tarbes et Toulouse obtiennent le label « Réseaux thématiques » de la French Tech

Le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron et Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du numérique ont dévoilé ce lundi 25 juillet à Laval, la troisième vague de labellisation de la French Tech dont les lauréats des nouveaux « Réseaux thématiques French Tech ». Une annonce très attendue par les professionnels du numérique en France et en Occitanie.

La French Tech à Laval - 25 juillet 2016 (© French Tech Toulouse)

La French Tech à Laval – 25 juillet 2016 (© French Tech Toulouse)

 

Renouvellement de la French Tech Toulouse

Comme annoncé il y a quelques jours sur ce blog, le label French Tech a été renouvelé pour Toulouse. Après l’avoir obtenu en novembre 2014, il était improbable que la ville rose perde cette reconnaissance. Toulouse est la troisième ville française dans la filière du numérique avec 38 000 emplois, 3000 entreprises et plus de 2600 chercheurs.

Par ailleurs, les 12 autres métropoles françaises labellisées French Tech, dont Montpellier, ont été également renouvelées pour une durée de 3 ans.

Lancé en novembre 2013, le programme « French tech » a pour objectif de « construire un grand mouvement de mobilisation collective pour la croissance et le rayonnement des startups numériques françaises » explique le ministère à l’économie numérique. En effet, la France est à la pointe dans le secteur du numérique qui pèse 40 milliards d’euros. 

Tarbes rejoint la French Tech avec son réseau thématique sur l’énergie

Les acteurs du digital et les collectivités locales attendaient surtout l’annonce des lauréats du nouveau label baptisé « Réseaux thématiques French Tech ».

Il récompense les écosystèmes numériques spécialisées dans un secteur. L’opération permet également aux start-ups situées hors des grandes métropoles, de rejoindre le programme de la French Tech.

En Midi-Pyrénées, seuls Toulouse et Tarbes étaient candidats. Le dossier de la ville rose portait sur 5 thématiques : l’nternet des Objets, les systèmes autonomes, la e-santé, les industries créatives et le retail. Tandis que Tarbes souhaitait rejoindre la French Tech avec un projet ciblé sur la transition énergétique et baptisée « EnergyTech Hautes-Pyrénées ».

Au final, Tarbes a été sélectionné pour rejoindre le réseau thématique sur la transition énergétique. Les startups des Hautes-Pyrénées feront ainsi équipe avec 16 autres territoires en France dont Bordeaux, Montpellier,…

Quant à Toulouse, la ville rose est retenue dans les 5 réseaux thématiques où elle avait candidaté.

Julien Leroy