23 Juil

IoT : près de Toulouse, la start-up MerciYanis lève 1 million d’euros

Bonne nouvelle pour l’IoT Valley de Labège ! L’une de ses startups, MerciYanis vient de boucler une levée de fonds d’un million d’euros. Une somme qui va permette à MerciYanis de développer son capteur de nettoyage contre le Covid-19.

L’équipe de MerciYanis ( © MerciYanis)

Aux portes de Toulouse, la start-up MerciYanis surfe sur le succès.

Après seulement 2 ans d’existence, la jeune pousse annonce ce jeudi 22 juillet 2021, sa première levée de fonds. Le tour de table s’élève à un million d’euros grâce à la BPI (via le programme French Tech Seed), au  fond d’investissement OC Seed, à Damien Guermonprez (président de la fintech Lemonway) et à Jonathan Lasserre (Senior Workplace Experience Manager chez Alan).

MerciYanis est un spécialiste des objets connectés dédiés aux services généraux d’une entreprise (nettoyage, sécurité, détection des pannes, gestion du bâtiment,…).

« Nous aidons les directions de l’environnement de travail (DET) à mieux gérer leurs locaux pour répondre aux besoins de leurs collaborateurs. Grâce à une plateforme intuitive reliée à des capteurs et des boutons connectés, nous aidons à réduire le nombre d’incidents pour délivrer une expérience collaborateur optimale » explique Guillaume Blanc, le co-fondateur de MerciYanis.

Une solution qui a rapidement séduit les entreprises. MerciYanis compte environ 70 clients dont EDF, FNAC-DARTY et Villages-Nature.

Mais, l’épidémie du Covid-19 a fait remonter de nouveaux besoins. 

« Les entreprises doivent effectuer un nettoyage plus poussé, plus fréquent pour rassurer les collaborateurs et répondre aux nouveaux enjeux sanitaires. En parallèle, les DET font aussi face aux conséquences de la pandémie sur l’organisation de la vie en entreprise, comme le télétravail et le flex office » poursuit-t-il.

C’est dans ce contexte que MerciYanis a mis au point un module de propreté 2.0.

Grâce à des capteurs IoT, le système permet de nettoyer les postes de travail réellement occupés dans la journée et ainsi « optimiser les coûts des contrats de propreté« .

La levée de fonds va permettre à la jeune pousse Toulousaine de commercialiser son innovation. Mais elle voit déjà plus loin.

« En effet, au-delà de la propreté à l’usage réel, la donnée récupérée par les objets connectés pourra être utilisée pour d’autres sujets. Par exemple, les entreprises pourront diminuer leur empreinte écologique en arrêtant de chauffer des espaces non utilisés » conclut Guillaume Blanc.

Créée en 2019 par trois ingénieurs en informatique originaires d’Aveyron, MerciYanis compte 15 collaborateurs.

Julien Leroy

11 Juil

« Bref, je bosse en réa », la vidéo parodique du service de réanimation de l’hôpital d’Albi

© France 3 Occitanie

Le service réanimation de l’hôpital d’Albi dans le Tarn fait le buzz depuis début juillet, avec leur vidéo « Bref, je bosse en réa« . 

En reprenant le concept de la série télévisée « Bref », les équipes racontent avec humour, leur quotidien rythmé par la Covid-19 et la charge de travail.

Derrière cette parodie, l‘objectif est de casser les préjugés et donner envie de les rejoindre. D’ailleurs, le concepteur de « Bref » Kyan Khojandi les soutien à 100%. 

En attendant de susciter des vocations, la vidéo totalise près de 40 000 vues sur YouTube.

Une de nos équipes de France 3 Tarn a rencontré les acteurs en herbe : 

Julien Leroy

11 Juin

Deconfinement à Toulouse : Enfin un évènement (ouvert au public) autour du numérique !

Le hall de la Cité de Toulouse / © La Cité

Après 15 mois de disette imposée par la pandémie de Covid-19, les professionnelles et les start-up du numérique Toulousain vont pouvoir se retrouver (en vrai).

Cet évènement de l’écosystème locale aura lieu le mardi 6 juillet 2021 à la Cité de Toulouse. 

L’annonce a été faite ce vendredi 11 juin lors d’une conférence de presse de la French Tech de Toulouse. Cette dernière veut ainsi fêter le déconfinement et son arrivée  au sein des locaux de la Cité.

Le programme détaillé sera dévoilé d’ici quelques jours. En attendant, les festivités débuteront vers 15h00 par des ateliers et une keynote. Ensuite, le public pourra échanger directement avec des entrepreneurs. Près de 200 créneaux de 10 min chacun seront proposés d’ici une dizaine de jours. Enfin, une soirée est prévue jusqu’à 22h00.

L’évènement pourra accueillir jusqu’à 400 personnes simultanément.

Ouverte depuis mars 2020, la Cité veut devenir la référence régionale de l’économie de demain. Une « station F » aux couleurs de l’OccitaniePour y parvenir, la Région a racheté en 2017 les anciennes halles de Latécoère dans le quartier de Montaudran à Toulouse. 

La fête du 6 juillet permettra au public de découvrir (enfin) ce site et de l’inaugurer (comme il se doit).

Julien Leroy

11 Mai

Insolite Covid-19 : Privés de scène, des artistes offrent un concert à des vaches dans l’Aveyron

Comment organiser un concert avec du public en pleine crise du Covid-19 ?

A Rodez, l’équipe du lieu culturel « Le Club » ont eu l’idée de chanter devant… des vaches !

Un nouveau public (chanceux) qui a pu écouter les mélodies d’un groupe formé pour l’occasion. Sur scène : Gari Grèu (le chanteur de Massilia Sound System), Gabriel Martin et Vincent Gilbin (On s’en tape) et Jamin.

Pour marquer le coup, les bénévoles et les musiciens avaient tout pensé : scène suspendue, enceinte aux quatre coins de l’étable et jeux de lumière. Le concert a eu lieu à la fin du mois de mars 2021 chez un éleveur de Bertholène, à l’est de l’Aveyron.

Les organisateurs ont également eu l’idée de filmer cet évènement sous forme de reportage TV. La réalisation est signée par Fiasco Productions.

La vidéo parodique est en ligne sur YouTube depuis le 7 mai dernier. A voir sans modération.

Au-delà de la performance artistique, l’objectif est de sensibiliser le grand public à la fermeture des lieux culturels durant la pandémie.

« Le Président veut l’on se réinvente, nous les artistes. Alors, on organise des bœufs pour les vaches » résume le chanteur Gari Grèu.

Un clip musical est également en cours de préparation. Il sortira d’ici quelques jours.

09 Avr

Défoulez-vous avec le premier jeux vidéo (gratuit) sur la Covid

Pour le troisième confinement national, changez-vous les idées avec un jeu vidéo sur la… Covid-19 ! L’idée semble saugrenue mais « Fightin Fools of Pandemic » devient rapidement hilarant et addictif.

Très facile à manier, vous dirigez un personnage (masqué) en train de courir dans une rue. L’objectif est de récupérer le maximum de doses de vaccin et éviter les obstacles (pangolin, chercheur barbu, cas positifs et poubelles).

A vous de décrocher le meilleur score et de défier vos proches !

Entièrement gratuit, le jeux vidéo peut se jouer sur un ordinateur.

« Fightin Fools of Pandemic » a été conçu par la start-up Freya Game basée à Labège, près de Toulouse.

« Le jeux a été créé par l’équipe, en dilettante (..) pour se défouler, entre deux dossiers » racontent Willy et Alexis, les fondateurs de la société. « Si la communauté accroche on poursuivra le développement » assurent-ils.

Freya Game est un éditeur de jeux vidéo pas comme les autres. Il produit des serious games visant à développer l’esprit critique, promouvoir l’éducation média et lutter pour l’inclusion numérique. 

« L’objectif de notre jeu est de se défouler mais aussi d’être un support ludique pour encourager aux bonnes pratiques chez les jeunes » précisent le duo. D’ailleurs, la création comporte de nombreux références à l’actualité.

Pour jouer : Cliquez ici ! 

Julien Leroy

03 Mar

Covid-19 : Faute de match, les clubs de foot de Haute-Garonne lancent un tournoi virtuel sur « FIFA 2021 »

Pour continuer à motiver les jeunes footballeurs durant cette pandémie, le district Haute-Garonne de football organise un tournoi virtuel sur le jeu vidéo « FIFA 2021 ». Chaque club du département engage une équipe de licenciés. Une coupe eFoot unique en France.

© MaxPPP

Depuis plusieurs mois, les tournois de football amateur sont à l’arrêt en raison du Covid-19.

« On s’est alors demandé comment garder le côté compétitif chez les jeunes et maintenir une activité » explique Thierry Anel, président du Grenade FC. Il a alors l’idée d’organiser un tournoi de football virtuel au sein de son club. Le concept séduit aussitôt le District de Haute-Garonne qui veut le proposer à tous.

Tous les clubs de foot du département sont invités à participer à cette première Coupe eFoot31 par club.

Les matchs se joueront sur le jeu vidéo « FIFA 2021 » pour Playstation 4.

« L’idée est ne pas faire un tournoi individuel mais une compétition virtuelle par équipe. Un format unique en France » précise Thierry Anel.

Chaque club engage un groupe de footballeurs (filles ou garçon) âgés de plus de 16 ans. Les formations s’affronteront dans une série de 3 matchs. Les meilleures équipes pourront remporter l’une des 8 PS4 en jeu. Le matériel reviendra obligatoirement au club qui pourra ainsi ouvrir une section eFoot.

Le District de Haute-Garonne espère ainsi garder ses licenciés. « On veut également montrer aux parents le côté positif du jeu vidéo » complète Thierry Anel.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 14 mars 2021. Le tournoi débutera en avril. Si les conditions sanitaires le permettent, les organisateurs rêvent d’organiser les phases finales dans une grande salle avec la présence de joueurs professionnels.

Plus d’info sur https://haute-garonne.fff.fr

Julien Leroy

23 Sep

Pop culture : Face au Covid, le TGS de Toulouse est reporté à 2021

TGS 2017 (© Julien Leroy / France 3 Occitanie)

Les passionnés de jeux vidéo, manga et comics vont devoir attendre quelques mois supplémentaires pour se retrouver au salon du « Toulouse Game Show ».

Initialement prévu les 28 et 29 novembre 2020 au nouveau parc des expositions de Toulouse (MEETT), la plus grande convention geek du sud Ouest est victime (à son tour) du Covid-19 et des mesures sanitaires

« La tenue du TGS Toulouse était déjà incertaine du fait de la limitation en cours à 5000 personnes. Au lieu d’annoncer une levée de cette restriction comme nous l’espérions encore il y a un mois, le préfet de Haute-Garonne vient d’abaisser cette jauge à 1000 personnes, jusqu’à nouvel ordre » annonce l’équipe du TGS Événement ce mercredi 23 septembre sur leur page Facebook.

Le salon est repoussé au 1er et 2 mai 2021. 

« L’ensemble de vos billets restent valables pour cette nouvelle date » précise la direction.

Quant au programme, « beaucoup d’invités et intervenants nous ont déjà fait savoir qu’ils seraient toujours présents (..) Malgré un gout très amer, la bonne nouvelle, c’est que cela va nous permettre de booker des invités qui ne pouvaient pas venir cette année à cause du Covid » poursuit l’équipe du TGS

L’autre bonne nouvelle pour les 65.000 visiteurs annuels : « il y aura 2 éditions à Toulouse l’an prochain, ce sera l’occasion pour nous de nous surpasser et de vous surprendre avec cette première édition au MEET et ensuite, faire encore mieux avec l’anniversaire de notre 15ème édition 🙂 » conclût-elle. 

Le TGS de Toulouse n’est pas le seul salon victime de la recrudescence de l’épidémie. D’autres grands événements sont également contraintes d’annuler ou de reporter. Dernier exemple, la foire internationale de la ville rose qui devait démarrer le 26 septembre prochain.

Julien Leroy

21 Sep

Les pistes du Sénat pour lutter contre la fracture numérique

Après 4 mois d’audition, la mission d’information du Sénat sur la lutte contre l’illectronisme et pour l’inclusion numérique, a rendu ses conclusions ce jeudi 17 septembre 2020. Les 23 sénateurs de la commission (dont 4 de la région Occitanie) ont émis 45 propositions tout en soulignant l’urgence de la situation face au Coronavirus.

© Pierre HECKLER / MaxPPP

« L’illectronisme ne disparaîtra pas d’un coup de tablette magique ! » résume Raymond Vall, sénateur RDSE du Gers et rapporteur de cette mission d’information.

De mai à septembre 2020, l’élu gersois et 22 de ses collègues ont réalisé un audit sur la fracture numérique en France.

Cette commission parlementaire baptisée « lutte contre l’illectronisme et pour l’inclusion numérique », a été lancée par le groupe RDSE du Sénat après le confinement. L’école à la maison et la crise du Covid-19 ont fait émerger les inégalités numériques des Français. 14 millions de Français ne maîtrisent pas les usages du numérique selon l’INSEE.

Durant 4 mois, les sénateurs ont auditionné plus de 90 personnes (principalement en visioconférence) et se sont déplacés le 3 juillet à Labège aux portes de Toulouse. Cette commune est labellisée « Territoire d’action pour un numérique inclusif » depuis 2019.

Ce travail a permis de formuler 45 propositions afin de lutter (enfin ?) contre la fracture numérique des Français. Elles ont été dévoilées ce jeudi 17 septembre lors d’une conférence de presse au Sénat.

Du chèque-équipement à la sentinelle de l’illectronisme

D’abord, les sénateurs soulignent que « la dématérialisation généralisée de services publics à marche forcée laisse 3 Français sur 5 sur le bord de la route, tant les démarches administratives en ligne sont complexes ». Ils préconisent ainsi de revoir la stratégie numérique des sites publics en passant « d’une logique 100 % dématérialisation à une logique 100 % accessible »

Ensuite, les élus réclament que l’inclusion numérique soit une priorité nationale dotée d’un fonds « d’un milliard d’euros d’ici 2022« . Parallèlement, ils suggèrent d’installer des « sentinelles de l’illectronisme » dans les territoires.

La fracture numérique passe également par le coût de l’équipement. Le rapport propose de créer « un chèque-équipement destiné à la location ou à l’achat d’un équipement de préférence reconditionné« .

Enfin, l’étude évoque le « choc de qualification au numérique dans les entreprises, en particulier les PME-TPE, les commerçants et artisans » et demande le déblocage d’un « crédit d’impôt pour la formation au numérique« 

En conclusion, les parlementaires insistent sur l’urgence de la situation face à l’épidémie du Covid-19.

« Quelle que soit sa forme, l’exclusion numérique constitue un handicap majeur dans une société toujours plus numérisée. L’accélération de cette évolution avec le confinement et le développement du télétravail rendent encore plus urgente l’inclusion numérique du plus grand nombre » précise le sénateur Gersois Raymond VALL. 

Le reste des propositions sont à lire dans le rapport final ou dans la synthèse.

Note : Ce groupe de travail était composé de 23 sénateurs dont 4 de la région Occitanie : Raymond Vall (sénateur PRG du Gers), François Bonhomme (sénateur LR du Tarn-et-Garonne), Viviane Artigala (sénatrice PS des Hautes-Pyrénées) et Angèle Préville (sénatrice PS du Lot).

Julien Leroy

19 Sep

Face au Covid, le cierge de Lourdes se lance dans le e-commerce !

Face à la crise du Coronavirus et à la baisse de fréquentation de la cité mariale, l’unique Ciergerie de Lourdes se dote d’un site de vente en ligne. Les fidèles peuvent désormais commander différents cierges et être livrés partout dans le monde. Reportage.

© France 3 Occitanie / Emmanuel Fillon

Depuis 1928, la Ciergerie de Lourdes fabrique et commercialise différentes gammes de cierges pour tous lieux, tous événements religieux et toutes célébrations (naissances, mariages, baptêmes, communions,..). Elle en produit, chaque année, entre 300 et 500 tonnes avec de la paraffine qu’elle recycle.

Mais l’épidémie du Coronavirus est venue perturber l’unique fabriquant de cierges de la ville. Fournisseur historique du Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes, elle a subi de plein fouet le confinement et la baisse de fréquentation des pèlerins (moins 80% par rapport à 2019).

Alors pour rebondir, l’entreprise pyrénéenne s’est lancée dans le e-commerce en ouvrant son premier site de vente en ligne : www.ciergerie-lourdes.com.

« Tous les fidèles peuvent désormais acheter le véritable Cierge de Lourdes, ainsi que les autres produits, et se faire livrer dans le monde entier en quelques clics et seulement quelques jours » assure Patrice Le Morvan, directeur général de la Ciergerie de Lourdes.

Le site s’adresse autant aux particuliers qu’au monde ecclésiastique.

« En parallèle, ce site marchand est une opportunité pour le développement de notre entreprise et sa pérennité » complète-t-il.

La Ciergerie de Lourdes espère ainsi redynamiser ses ventes. Avec 15 salariés, l’entreprise presque centenaire, affiche un chiffre d’affaire de 1,2 millions d’euros en 2019.

Plus d’information en images avec le reportage de France 3 Tarbes (Emmanuelle Rouillon et Emmanuel Fillon) :

Julien Leroy

24 Août

Cette start-up (de Labège) mesure l’impact du Covid-19 sur les petites entreprises françaises

Après 6 mois d’épidémie de Covid-19, le secteur économique souffre et particulièrement les petites entreprises. Mais comment mesurer leur état de santé financière ? Près de Toulouse, la startup Axonaut lance le premier observatoire de la trésorerie des TPE et PME françaises.

© Vincent Isore / MaxPPP

« Ce sera un RDV mensuel pour suivre l’évolution de la crise mais aussi les mesures prises par le Gouvernement pour aider les petites et moyennes entreprises françaises ! » explique Quentin Leymarie, Responsable Marketing chez Axonaut

En s’appuyant sur un échantillon de 2137 structures (comptants entre 1 à 50 salariés), la baromètre se concentre uniquement sur la trésorerie et les impayés.

Ces deux chiffres sont de « véritables indicateurs de la santé économique, ils permettront un suivi clair et régulier » précise-t-il.

Après une première estimation au mois de juillet, le tableau du mois d’août 2020 est dévoilé ce lundi.

« Malheureusement, la crise continue pour nos petites structures. Les impayés ont augmenté de 6% en 1 mois, soit 66 000 euros. Concernant la Trésorerie, elle reste stable à 79 000 euros. Les TPE/PME françaises ne survivraient pas à un nouveau confinement car elles ne disposent que de 2 mois de Trésorerie » constate Quentin Leymarie.

L’autre but de ce baromètre mensuel est de « proposer des solutions (..) De chaque crise émerge des solutions pour le futur : démocratisation du télétravail, R&D, utilité des plateformes collaboratives SaaS (outil de gestion en ligne), transformation numérique » analyse l’équipe d’Axonaut. 

Justement, leur startup cherche à simplifier la gestion administrative et financière des PME et TPE

Les fondateurs, Nicolas Michel et Nicolas Ricard, se sont aperçus que « Les chefs d’entreprise (..) passaient plus de temps sur l’administratif que sur des actions à valeur ajoutée, génératrice de chiffre d’affaires !« . Partant de ce constat, ils ont créé un logiciel qui rassemble le commercial, les devis & factures, la trésorerie et la comptabilité.

Née en 2017 à l’IoT Valley de Labège, Axonaut revendique 19.000 utilisateurs à travers le pays et emploi 15 personnes. 

Julien Leroy

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