Premier acte : dimanche 13 janvier à 18:30 à Arles.
Une demie-heure de feu et de lumière. Dimanche il faudra vous masser sur les quais du Rhône bien avant 18h30 pour ne rien rater d’un spectacle que les organisateurs annoncent exceptionnel. La compagnie d’artistes artificiers, poètes et savants fous va frapper fort ce dimanche pour faire parler d’elle !
On prévoit un déluge de lumières et d’étoiles pour embraser les quais. Des révélateurs, créatures rayonnantes et transparentes à la fois, arriveront à bord d’une embarcation de feu, à la découverte de la ville et feront parler les quais en images, sous un feu continu de lumières et d’étoiles.
Découvrez leclip de présentations des créations du Groupe F
Du 5 au 11 janvier
Une version originale en Comédie-Ballet du Bourgeois Gentilhomme de Molière.
L’acteur, metteur en scène rêvait de retrouver l’âme des représentations de l’époque, avec danseurs et musiciens sur scène. Il réussit son pari en convoquant tous les arts et promet au public marseillais un Bourgeois loufoque et étourdissant !
Avec des professionnels à la renommée sans faille : Christian Lacroix pour les costumes, Kaori Ito pour la chorégraphie, Éric Ruf pour la scénographie et Christophe Coin pour la direction d’orchestre, on atteint l’ apothéose des sens et des arts tant espérée par son héros, Monsieur Jourdain. Interprété par Pascal Rénéric, le bourgeois vit son heure de gloire, gentilhomme imaginaire, à la fois exaucé et battu, dupé et triomphant, en ce moment théâtral si rare où le ridicule fait place à l’émerveillement pur.
Extraits des représentations données au théâtre de Fourvière à Lyon
Pour ceux qui n’auraient pas de places, une captation du spectacle leur sera projetée au cinéma le Prado à Marseille
Mardi 22 janvier à 14h et 20h / Cinéma Le Prado, 36 avenue du Prado – 13006 Marseille Pour plus d’infos
Du 15 au 22 janvier, les Aixois pourront assister à la dernière création d’Angelin Preljocaj en sa maison du Pavillon Noir.
« Ce que j’appelle l’oubli » est un spectacle inspiré au chorégraphe par le texte original de Laurent Mauvignier.
Ce qu’en dit Angelin Preljocaj
« J’ai découvert Ce que j’appelle oubli de Laurent Mauvignier dès sa sortie. La forme-même du texte immédiatement m’a passionné. C’est une unique phrase, une longue phrase interminable qui imbrique le jeu des corps et la structure littéraire d’une façon radicale. Cette matérialisation de la chair rend le texte très sensuel. Il est habité corporellement, avec des textures très diverses ; le corps agressif, vif, violent, le corps plus lascif, sensuel, malsain, amoureux… »
A propos de la création du spectacle
Un propos politique
Angelin Preljocaj rend compte également dans son interprétation, du caractère éminemment politique que revêt le texte, à travers le drame qu’il relate.
Une profonde réflexion sur l’exclusion, la marge, la société, le consumérisme, tout cela à travers le dialogue silencieux des corps.
Rencontres et répétitions publiques
Vous pourrez assister à une répétition publique le 8 janvier à 18h au Pavillon Noir En savoir plus
De plus une rencontre avec les 2 créateurs vous sera proposée le 15 janvier à 18h à la Cité du livre d’ Aix-en-Provence En savoir plus
Jeux
Dès le 7 janvier vous pourrez tenter de gagner votre place pour les représentations des 21 ou 22 janvier au Pavillon Noir.
Pour cela il vous suffira de vous connecter sur notre site En savoir plus
La presse
Ce que j’appelle l’oubli était présenté cet automne à la Biennale de la Danse de Lyon.
Le point de vue de Raphaêl de Gubernatis dans le Nouvel Obs.com
Le lancement de l’année européenne de la Culture MP2013 aura lieu les 12 et 13 janvier depuis le pavillon M à Marseille.
France 3 Provence-Alpes, partenaire officiel de la manifestation, déploie à cette occasion un dispositif exceptionnel pour vous permettre d’être aux premières loges. Samedi 12 janvier, dès 11:30 sur nos antenne et sur le web, uneVoix est libre consacrée à l’événement en direct depuis le pavillon M.
Dès maintenant, imprégnez-vous d’une programmation d’exception en accédant à notre timeline (création Christophe Monteil)
La présentation animée des principales réalisations architecturales de MP 2013 (création Monia Vitiello)
Le pavillon M sera l’épicentre de la manifestation.
Guichet unique d’accueil du grand public pour Marseille-Provence 2013, centre d’exposition et espace des partenaires, le Pavillon Marseille sera ouvert au public, début 2013, place Bargemon.
Avec ce hors-série publié par La Provence, En balade ce ne sont pas moins de 38 stations de Haute-Provence et des Hautes-Alpes qui sont passées au crible.
Ce spécial de 75 pages vous emmène dans les plus beaux villages d’altitude. Au pied des sommets des Ecrins et du Queyras, culminant à près de 4000 m, dans les vallées merveilleuses de la Blanche , de l’Ubaye ou du Champsaur.
Soucieuse de la mise en valeur des territoires qu’elle couvre avec ses antennes locales et régionales, France 3 Provence-Alpes Côte d’Azur a choisi tout naturellement de soutenir cette initiative éditoriale.
Jean-Christophe Maillot vit pour créer, imaginer, raconter des histoires à travers sa compagnie, composée d’une cinquantaine de danseurs
internationaux. Le chorégraphe et directeur des ballets de Monte-Carlo donne à la danse une place essentielle. Il a créé des passerelles avec l’Académie Princesse Grace, qui forme de jeunes danseurs, et il invite les plus grandes compagnies internationales à se produire à Monaco.
L’émission nous entraîne au coeur de cet univers de rigueur et de rêve : dans les salles de répétition des ballets de Monte-Carlo, on découvre les
étapes d’une création artistique et l’on rencontre quelques-uns des principaux acteurs.
En prolongement de l’émission, un documentaire inédit de 52’ d’Alain Guillon :
Le chorégraphe revisite ici une oeuvre mythique du répertoire classique. Interprété pour la première fois en 1877 au Bolchoï, le ballet de Tchaïkovski a été joué, depuis, des dizaines de milliers de fois à travers le monde. Quel souffle peut lui apporter une nouvelle chorégraphie ?
Dans ce documentaire, ce n’est pas tant la célébrité de l’oeuvre et de son histoire qui prévaut mais bien l’acte de création en lui-même : ce moment où l’un des plus célèbres chorégraphes au monde décide d’adapter l’oeuvre, de s’en imprégner, de la faire sienne et de la redonner au public… Des premières répétitions jusqu’à la Générale, le film accompagne au jour le jour le travail de cet artiste paradoxal et plonge dans l’intimité de la création d’un ballet légendaire.
Une coproduction : Ere Production / Mezzo / Les Ballets de Monte-Carlo / France 3 Côte d’Azur
Les épices ont changé notre mode d’alimentation, mais aussi notre appréhension du monde et de nos vies.
Raconter la fabuleuse aventure des épices c’est à cette tâche que s’est attelé Christian Lajalé dans un documentaire qui voyage à la recherche du bonheur, de l’émerveillement et de la soif de découverte : La fabuleuse aventure des épices
Olivier Roellinger, le plus globe-trotter des cuisiniers et créateur de poudres d’épices, raconte avec passion cette épopée.
Fruit d’un tournage de six ans, ce documentaire nous fait voyager de Cancale, en Bretagne, jusqu’aux rivages de l’Inde, du Vietnam, du Brésil, du Portugal… et d’autres pays qui ont jalonné cette magnifique histoire qui est la nôtre.
Au Pavillon noir d’Aix-en-Provence commence ce soir mercredi 5 décembre – et pour 5 représentations – une adaptation chorégraphique du conte Peau d’Ane, immortalisé au cinéma par Jacques Demy et Catherine Deneuve.
Peau d’âne fait donc peau neuve avec Emilio Calcagno, ancien danseur du ballet Preljocaj et fondateur de la compagnie ECO.
Avec cette pièce pour douze danseurs et circassiens, Emilio Calcagno tire ce conte du XVIIème jusqu’à nos jours, « glacial et glamour » selon ses termes. « J’aime, explique le chorégraphe, de Perrault, l’âne, le gâteau et la symbolique des robes ; et des Grimm, les chasseurs, le creux de l’arbre, la forêt. Étrange conte, que celui de Peau d’âne. Il me fascine, m’intrigue, me hante depuis toujours par sa beauté, sa manipulation, sa transformation. Mais qui est aujourd’hui Peau d’âne ? et que se passe-t-il sous la peau, dans la peau ?
En décalant les lieux et leurs symboliques, notamment par un travail vidéo, Emilio Calcagno multiplie les angles de lecture de ce conte qui nous hante et nous questionne sur notre mue, ce passage auquel personne n’échappe, de l’enfance à l’âge adulte.
Création 2012 Pièce pour 12 danseurs et 5 figurants Chorégraphie et mise en scène Emilio Calcagno Dramaturgie Emilio Calcagno, David Wahl Création musicale originale Nathaniel Mechaly Musique enregistrée avec la participation de l’Orchestre de Picardie Scénographie Philippe Meynard Costumes Aline Ochoa Réalisation cinématographique Emilio Calcagno et Buffalo Corp / Thibault Mombellet & Morgan S. Dalibert Lumières Abigaël Fowler Création multimédia Claire Roygnan Danseurs Marie Barbottin, Jérémy Deglise, Marion Frappat, Gaëtan Jamard, Leonardo Maietto, Benjamin Marchand, Adrien Mornet, Johanna Levy, Louise Luck, Stefania Rossetti, Bruno Selingue, Coline Siberchicot Avec l’aimable participation de Stéphane Bern, narrateur Production Eco/Emilio Calcagno Coproduction Théâtre National de Chaillot, Opéra-Théâtre de Saint Etienne (réalisation des costumes et des décors), Faïencerie-Théâtre de Creil, Théâtre Olympia – Scène conventionnée d’Arcachon Partenaires Orchestre de Picardie, Château Saint Just, Baccarat, SNCF, Lancel, Make Up For Ever Partenaire média Têtu