Georges Appaix et sa compagnie seront au Pavillon Noir mardi et mercredi 18 et 19 novembre à 19h30
Si vous résidez dans les Bouches-de-Rhône ou le Var, vous pouvez gagner 2 places,en répondant au plus vite ici : Communication.France3PACA@francetv.fr . N’oubliez pas de nous indiquer vos noms, prénoms.
Vendredi 5 décembre 2014 à 20h00 Auditorium du Pharo
Le chef israélien Yaron Traub dirigera l’orchestre philharmonique de Marseille et le violoncelliste Alexander Knyazev pour un concert hors les murs donné à l’auditorium du Palais du Pharo.
Cette soirée donnera à entendre
les Danses de Galanta du compositeur hongrois Zoltan Kodaly
En partenariat avec l’Opéra de Marseille pour cette nouvelle saison musicale, nous vous proposons de gagner des places pour ce concert exceptionnel.
C’est ici et maintenant
Auditorium du Pharo
58, boulevard Charles Livon
13007 Marseille
Tropical, programme en 2 parties par Andrea Costanzo Martini Les 6 et 7 novembre / 20h30 Durée : 1h
Pièce 1 : At the end of words
Pièce 2 : What happened in Torino 1er Prix en danse et en chorégraphie à la 17ème Compétition Internationale de Solos de Danse 2013 à Stuttgart.
Une performance surprenante, fascinante
et par moment presque folle.
Jeu
Pour gagner des places pour jeudi 6 novembre, suivez ce lien Andrea Costanzo Martini est un danseur-chorégraphe qui s’est formé à travers tout ce que l’Europe et le Moyen-Orient comptent de ballets d’avant-garde. Ce qui l’intéresse avant tout c’est une forme d’extravagance portée par une esthétique forte. La sensualité, la virtuosité, le jeu entre intelligence et animalité viennent irriguer sa nouvelle création en deux tableaux Tropical. On y retrouve l’influence du mouvement Gaga* inventé par le maître de la Batsheva Dance Company, Ohad Naharin, avec lequel il fit ses gammes.
*Gaga est un mouvement chorégraphique conçu et destiné aussi bien à un public de danseurs professionnels que d’amateurs qui s’inspire de la circularité des fluides dans le corps.
Au commencement de Tropical, il y a une pièce à moitié vide, des chaises, quelques lampes. Un homme, puis deux, comptent leurs doigts, les parties de leur corps, leurs actions et le temps qu’il reste.
Ils comptent en silence. De ce compte naît un sens précieux du rythme, une structure musicale. Les nombres supportent le mouvement et les actions, les organisent et leur donnent une
direction. Compter permet des rencontres.
Une performance surprenante, fascinante
et par moment presque folle.
Repères
Andrea Costanzo Martini va où la danse le pousse.
Petite leçon de géographie :
Italie (son pays natal) Allemagne (il se forme à la danse classique à l’Aalto Ballett Theater d’Essen)
Israël (il rejoint la Batsheva Dance Company, découvre le langage « Gaga »
inventé par Ohad Naharin)
Suède (il intègre le Cullberg Ballet et crée la pièce pour six danseurs For Men Only)
puis retour à Tel Aviv pour travailler avec la Cie Inbal Pinto & Avshalom Pollak Dance.
Son soloWhat Happened in Torino a reçu le 1er Prix en danse et en chorégraphie
à la 17ème Compétition Internationale de Solos de Danse 2013 à Stuttgart.
La Fiesta des Suds
Du 15 au 18 octobre 2014
à Marseille, Dock des Suds
Défense de dormir ! C’est par cette injonction, de toute évidence joyeuse, que l’équipe artistique de la Fiesta des Suds, nous invite à venir goûter sa 23ème édition au Dock des Suds à Marseille.
Année après année, cette fête qui met en avant la mixité et le partage des musiques et des genres, nous autorise à un bain d’insouciance et de bonheur collectif.
Une Fiesta des minots en préambule le 15 octobre, suivie de 3 soirées denses en réjouissances dont un final en nuit blanche, qui jouera les after jusqu’au dimanche midi.
La Fiesta se réinvente et agite les couleurs du Sud.
A la proue de ce navire, Bernard Aubert veille à faire perdurer l’esprit de la fête et de rassemblement :
A l’heure où certains veulent nous enfermer dans une esthétique, une communauté, un clan, nous, nous savons à la Fiesta que notre planète n’est faite que de croisements, de mixes
et d’attirance vers Son autre. J’aime les pépites, dit-il, les dynamiteurs de sons, les alchimistes, les funambules, les trublions, les retours gagnants, les divas incendiaires des dancefloor,
les passionarias, les inclassables !
Cette profession de foi en tête, chacun devrait y trouver son compte car à la Fiesta on ne fait pas que le plein de musiques actuelles mais aussi d’arts visuels, de gastronomie et d’éco-attitude.
Le mois d’octobre est devenu, au fil des années, LE mois de la sensibilisation au dépistage du cancer du sein.
Premier cancer féminin, c’est aussi le plus mortel. Toutes les femmes que nous connaissons sont concernées : nos mères, nos femmes, nos filles, nos soeurs, nos amies … Qui n’a
pas eu dans son entourage une femme touchée par cette maladie ?
L’Institut Paoli Calmette, à la pointe de la recherche
La recherche sur les cellules souches cancéreuses qui seraient à l’origine de la maladie, est porteuse de grands espoirs pour l’avenir.Un groupe de recherche de l’Institut Paoli Calmette est parvenu à isoler ces cellules à l’origine de la maladie et à caractériser leurs spécificités. Mieux les connaître pour pouvoir proposer un traitement efficace capable de les cibler pour chaque patient, est un enjeu de taille pour l’Institut marseillais qui fait partie des équipes phare, reconnues pour ce travail de recherche
Les choses avancent, donc, et la guérison aussi dit le Professeur Patrice Viens, Directeur général de l’Institut Paoli Calmette, spécialiste du cancer du sein. : » Après la saison 1 de la révolution, avec les premières thérapies ciblées dans les années 2000, aujourd’hui, nous lançons la saison 2 pour des traitements plus efficaces contre les cancers agressifs en élargissant l’étude moléculaire de 50 à 400 gènes. »
Place à la mobilisation
Chaque année, les équipes de communication déploient leurs talents pour réussir ce rendez-vous citoyen. Pour le lancement de sa campagne 2014, le Comité 13 de la Ligue contre le Cancer a choisi, lui, de rassembler le plus grand nombre en organisant une flash Mob sous l’ombrière du Vieux Port à Marseille. Elle aura lieu simultanément dans 4 autres villes du département : sur les places des Mairies d’Aix-en-Provence, d’Arles, de Sausset-les-Pins et de Salon-de-Provence.
Rendez-vous vendredi 3 octobre 2014 à 18h30
Amis, famille, collègues… pour tous ceux qui viendront nombreux soutenir cette action, il est temps pour vous de faire quelques répétitions.
La chorégraphie est signée Jacqueline Plan de l’Atelier de Danse Plan du 1er arrondissement de Marseille.
A vous le rythme endiablé du » La La La « de Shakira !
Du 5 au 8 août 2014 aux théâtres Antique et du Nymphée de Vaison-la-Romaine
Quel plus bel écrin que ces gradins de pierres antiques pour entendre s’égrener la voix des griots des temps modernes ? Pour sa 7ème édition, le festival Au fil des voix, à l’instar de son grand frère Les Suds à Arles avec lequel il partage un décor naturel splendide, il affirme haut et fort la vitalité des musiques et des cultures du monde.
En ouvrant les festivités avec Johnny Clegg, zoulou blanc et chantre de Nelson Mandela, le ton est donné : embarquer le public dans une transe et placer la saison sous le signe du métissage culturel.
D’Afrique du Sud on passera au Maghreb pour découvrir la sensualité et le phrasé soul de la chanteuse marocaine OUM. Sa marque de fabrique : revisiter les musiques traditionnelles de son pays – chants sarahouis ou gnaouas en les confrontant à sa maîtrise toute personnelle du Rythm’n Blues et de la Soul.
Déjà venue enchanter le public lors d’une saison précédente, Carmen Souza, figure incontournable de la musique cap-verdienne viendra réveiller notre goût de la saudade.
par Olivier Hoffschir
Enfin c’est au concert d’une Catherine Ringer, dopée par sa découverte du tango – qu’elle interprète avec le duo de Gotan Project – que nous invitent les organisateurs, comme s’il fallait à une transe sud-africaine, répondre par une transe latino-américaine.
France 3 Provence-Alpes est partenaire du festival Au Fil des Voix Le programme complet
Théâtre des Salins, Martigues du 16 mai au 4 juin Gagnez vos places pour une soirée exceptionnelle, le 16 mai prochain. Pour jouer c’est ici
Depuis 25 ans, Bartabas, le père de Zingaro, nous apprend à vibrer avec les chevaux. Vibrer, vivre – oui – mais aussi entrer en symbiose avec les animaux dont il sollicite la beauté et la connivence. Avec sa troupe il développe, au fil des créations, une forme de spectacle vivant où se mêlent théâtre équestre, danse, musiques et poésie. Autant d’invitations au voyage et de vecteur d’émotions universelles.
Le spectacle que reçoit le Théâtre des Salins de Martigues est inspiré des rites funéraires mexicains. Mais ici; point de tristesse et de pleurs : la fête des morts à la mexicaine est joyeuse et colorée. Comme à son habitude, le théâtre équestre Zingaro invite au voyage. Bartabas s’inspire ici d’une Amérique latine mystérieuse et festive, qui mêle les squelettes et les bonbons, la procession et le carnaval.
Pour cette création, Bartabas a imaginé un dispositif révolutionnaire : À l’espace convivial de la piste centrale, s’ajoute une piste circulaire – et comme flottante – qui entoure le public en hauteur, ce qui donne l’impression que les chevaux volent au dessus des spectateurs.
On est au-delà du cirque, du théâtre équestre, du théâtre tout court : une cérémonie grandiose et gaie qui provoque l’émotion muette et la transe. Quand les chevaux piétinent Dieu et Diable… Bartabas a gagné son combat : la mort est morte. Viva la muerte !
Après avoir martelé la terre de son Théâtre Équestre Zingaro, durant plus d’un quart de siècle, voici que Bartabas s’attaque au ciel. Préparez-vous à entrer dans une danse de l’âme joyeusement macabre, déroulée sous vos yeux autant qu’au-dessus de vos têtes. Un double carnaval endiablé et sonore, un voyage latino dans l’au-delà. Un requiem païen mené par les tambours des chinchineros dans un tourbillon d’apocalypse et d’orgue de Barbarie. Avec, encore et toujours, le cheval comme élément – acteur central à toute la mise en scène.
Un documentaire de Jean-Louis André Diffusion le 26 avril à 15h20 sur France 3 Provence-Alpes et Côte d’Azur puis en replay durant un mois
Gérald Passédat, héritier du Petit Nice à Marseille, aurait pu n’être qu’un cuisinier, mais il a choisi la voie difficile de la création. Considéré aujourd’hui comme l’un des chefs les plus réputés, son domaine s’étend désormais jusqu’au Mucem. Comment a-t-il réussi à inventer une cuisine qui lui ressemble ? Comment y transpose-t-il un paysage, ses souvenirs d’enfance, son amour de la Méditerranée ?
Un film, une rencontre
Jean-Louis André tourne son film en très peu de temps. Nous sommes à la veille de l’ouverture des trois restaurants du Mucem dont le chef marseillais s’est vu confier la création. Au fil du tournage, et ce sera perceptible dans le film, la pression gagne en intensité pour cet homme au destin solaire.
Chef trois étoiles, Gérald Passédat est coutumier des équipes de tournage à l’affût de l’image nécessaire à la survie des émissions culinaires. Mais aucune jusqu’ici n’était venue poser ses caméras avec l’intention de percer un mystère : comment conceptualiser, réinventer une cuisine méditerranéenne, savoir le dire et le montrer ?
Telle était l’ambition de Jean-Louis André. Et la rencontre a lieu. Familier du monde de la gastronomie, Jean-Louis André n’avait pour autant jamais approché Gérald Passédat. Pourquoi l’avoir choisi aujourd’hui ?
Une cuisine pure
Passé maître dans l’art de rendre leur saveur première à tous les produits qui viennent composer sa cuisine, Gérald Passédat a aussi le goût des mots pour décrire cette passion qui le tient. Il n’a pas le discours lisse et façonné pour les médias que l’on rencontre souvent aujourd’hui. A chaque questionnement, il va puiser au plus profond de lui-même et réinvente les mots pour le dire.
Cet homme au physique de rock-star, que la mer a vu naître et qui lui offre les sujets de ses plus belles réussites, nous livre les secrets d’un héritage : celui d’une enfance passée à côtoyer le bleu des fonds marins, au pied de la maison familiale. A l’image du paysage que son regard enveloppe tous les jours, sa cuisine est dérangeante de pureté, elle veut donner le vrai goût aux chairs de poissons, comme il le dit lui-même.
Etre sur le fil du rasoir, c’est son credo : le produit, la chair, la maîtrise de la cuisson et la recherche permanente dans la cuisine du Petit Nice. Bosseur à la mémoire vive, il travaille sans filet – jamais de notes, tout dans la tête. Une couleur, une texture, un produit rare ou, au contraire, très simple, tout cela s’imprime et devient, un jour, une semaine, voire des années après, le plat que plébiscitent les clients,comme ce fut le cas pour le Loup Lucie Passédat , la star de sa carte, qu’il mit 15 ans à peaufiner.
Marseille, la grande
Gérald Passédat a toujours cru en sa ville. Pour lui, Marseille a le destin d’une très grande. Contribuer à ce rayonnement s’est imposé à lui depuis toujours. Son installation au Mucem où il vient d’ouvrir trois restaurants de gamme différente, n’est pas le fruit d’un calcul de boutiquier mais bien l’aboutissement d’une pensée qui le traverse. A trois semaines de l’ouverture sous les feux de la rampe, on pardonne au chef quelques sautes d’humeur. Passer de l’intimité de son fief de Malmousque aux 400 couverts quotidiens du Mucem, le challenge a de quoi ébranler le chef le plus aguerri…
S’étonner, toujours
Jean-Louis André n’est pas un bleu dans l’univers de la cuisine. Les plus grands de l’hexagone sont passés devant sa caméra et d’aucuns se voient croqués dans les rubriques qu’il signe dans Saveurs, le magazine gourmand. Autant d’activités qui font de lui un spécialiste – mais jamais blasé plutôt vivifié par ce qu’il sait de l’essence même d’une cuisine gastronomique.
Passédat, du bleu dans l’assiette un film de Jean-Louis André durée : 52′
une coproduction France 3 Provence-Alpes / Armoni Productions avec le soutien du CNC et de l’image animée
sera diffusé le 26 avril à 15h25 sur France 3 Provence-Alpes et Côte d’Azur puis visible en replay pendant un mois
Jusqu’au 4 janvier 2015 aux Carrières de Lumières Les Baux-de-Provence
Il faudrait être fou pour rester insensible à l’explosion de couleurs à laquelle nous expose le nouveau spectacle des Carrières de Lumières. Klimt et Vienne, un siècle d’or et de couleurs traverse 100 ans de peinture viennoise : un véritable voyage initiatique pour qui ne connaît pas cette période picturale qui ouvre la voie vers la modernité.
De Gustav Klimt à Egon Schiele en passant par Hans Makart, le précurseur néo-classique et Fritz Hundertwasser, l’héritier fantasque, c’est toute l’école symboliste de Vienne du début du 19ème à laquelle on rend hommage aux Baux-de-Provence. L’or et les motifs décoratifs, caractéristiques des oeuvres de Klimt, resteront un phare de cette révolution artistique. Le spectacle présente ainsi les oeuvres qui ont fait la singularité et le succès de Klimt : sa période dorée, ses portraits et ses paysages.
Culturespace, gestionnaire du site prestigieux des anciennes carrières des Baux-de-Provence depuis 2011, a mis au point une installation numérique à la pointe de la technologie qui repense radicalement notre rapport à l’art et à sa diffusion. Cent vidéoprojecteurs pilotés par des serveurs graphiques qui projettent des images sur les parois verticales de la carrière et, au sol, un tapis d’images.Tout un dispositif visuel et sonore qui invite le visiteur à une expérience sensorielle tout à fait convaincante. C’est un trio italien – Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi – à qui l’on doit cette prouesse de technologie et d’inventivité baptisée AMIEX Art Music & Immersive Experience. A leur actif, ils comptent déjà plusieurs réalisations aux Carrières de Lumières mais aussi au Palais des Papes à Avignon ou au Val de Grâce à Paris.
Nicolas Mathey, technicien vidéo, fait partie de l’équipe qui, tous les jours, surveille de près les 100 vidéos-projecteurs et les serveurs qui leur sont dédiés. Aucun bobo n’échappe sa surveillance et il n’est pas rare de devoir monter dans une nacelle qui l’emmène à 15 mètres de haut au chevet des machines.
Mais au-delà de son rôle technique indispensable, il peut aussi, comme ses collègues, donner à un public souvent très curieux, des explications sur le fonctionnement du dispositif mis en place. En effet, en poste aux Carrières depuis quelques années, il a suivi de près le montage des 3 derniers spectacles que l’on doit au trio italien.
Avec un nombre de visiteurs en constante augmentation, Les Carrières de lumières ont réussi le pari, grâce à ce concept original de diffusion culturelle, de devenir le passage obligé des tours-opérateurs qui sillonnent la région. Allemands, canadiens, suisses, américains ou français, très peu d’entre eux boudent leur plaisir.
Petits réactions en vo, saisies au vol dans le mistral qui n’épargnait pas les carrières ce jour-là.
Accéder rapidement à la biographie des concepteurs :
France 3 Provence-Alpes est partenaire de l’événement Parier sur l’intelligence et la curiosité du téléspectateur, donner envie de découvrir, de connaître, de rencontrer, vivre la connaissance comme une aventure… tels sont les leitmotivs de France 3 !