23 Jan

Clermont-Ferrand: le Pôle Central du duo Fanget/Portejoie fait réagir

A Clermont-Ferrand, l’annonce d’une liste « Pôle Central » avec le MoDem Michel Fanget à sa tête (et Gilles-Jean Portejoie en 9ème position), mêlant également des UDI et des UMP frondeurs, a fait réagir. Il s’agit là d’un énième rebondissement dans la campagne électorale qui sonne probablement le glas d’une union au premier tour des Municipales entre Jean-Pierre Brenas, Michel Fanget et Gilles-Jean Portejoie. Continuer la lecture

21 Jan

Clermont-Ferrand: Michel Fanget tête de liste du Pôle Central, Gilles-Jean Portejoie en 9ème position !

fanget-pole central

Énième rebondissement, mardi, dans la campagne des Municipales à Clermont-Ferrand. Alors qu’une liste d’union Brenas/Fanget/Portejoie était encore d’actualité au moment des fêtes de fin d’année, il semblerait que la rupture entre le premier et les deux suivants soit consommée. A 18h, mardi soir, Michel Fanget a présenté sa liste du « Pôle Central », soutenue par le Modem qu’il dirige dans le département du Puy-de-Dôme, l’UDI et qui compte quelques membres de l’UMP. Michel Fanget a annoncé qu’il prenait la tête de cette liste. L’autre information de la soirée, c’est la présence sur cette liste de Gilles-Jean Portejoie en 9ème position ! Les places de 3ème, 5ème et 7ème lui ont été proposées mais, « à sa demande« , c’est à la 9ème qu’il figure. Continuer la lecture

17 Jan

Vichy (03): le bureau national du PS soutient le PRG, le « premier des socialistes » ne veut pas retirer sa liste

Du rififi à Vichy ! Alors que les instances nationales du PRG et du PS ont convenu « de confier la tête de listes aux élections municipales de Vichy à Christophe Pommeray« , selon les termes du communiqué signé par Gérard Charasse (pdt de la Fédération du PRG 03), Pierre Gagnière, propulsé « premier des socialistes » par les militants lors des Primaires d’octobre dernier, affirme qu’il sera bien candidat. Continuer la lecture

16 Jan

Clermont-Ferrand: le PRG rejoint Olivier Bianchi mais Mireille Lacombe joue la carte de la dissidence

« Après le PCF, après la GU, après le MRC, après EELV, voici le tour du PRG de rejoindre la dynamique que j’ai initiée« , voilà ce qu’a écrit Olivier Bianchi sur Twitter le 14 janvier. Ce jour-là, on apprenait que la tête de liste socialiste à Clermont-Ferrand continuait de ratisser large pour constituer son équipe.

Toutefois, le candidat désigné par les militants PS n’a pas « réussi l’unité de toute la gauche » comme il l’affirme pourtant le même jour sur le réseau social. Si le Parti des Radicaux de Gauche a bien rejoint le camp Bianchi, c’est par la voix du président du Conseil Général du Puy-de-Dôme, Jean-Yves Gouttebel, mais Mireille Lacombe, mandatée, selon elle, par le PRG pour négocier avec Olivier Bianchi, a décidé de maintenir sa propre liste.

Le comité national du Parti des Radicaux de Gauche ne s’oppose absolument pas à ma candidature. – Mireille Lacombe

Mireille Lacombe

Mireille Lacombe

« Le comité national du Parti des Radicaux de Gauche ne s’oppose absolument pas à ma candidature« , explique la vice-présidente du Conseil Général en ajoutant que « le président Gouttebel a un groupe politique à gérer et il a souhaité, en vue des prochaines élections cantonales, garder cet apaisement retrouvé dans l’assemblée départementale« . Un choix qui peut étonner de la part de Jean-Yves Gouttebel, dont les relations tendues avec le Parti Socialiste du Puy-de-Dôme ont souvent été à la Une de la presse ces dernières années, mais qui s’explique peut-être par l’échéance électorale de 2015: les élections départementales (ex-cantonales).

Comment des élus de Gauche aussi divers, aussi loin l’un de l’autre dans leurs idéaux, pourront-ils gérer ensemble la ville de Clermont-Ferrand ?

Mireille Lacombe ne veut pas manger de ce pain-ci et maintient le cap. Elle sera candidate à la mairie de Clermont-Ferrand le 23 mars prochain et refuse toute alliance avec le PS. « Je ne suis pas d’accord sur les propositions qui sont faites par Olivier Bianchi » justifie-t-elle et « pense que c’est une liste qui se forme autour des appareils« . Des appareils que la candidate désormais étiquetée « Divers Gauche » ne croient pas capables de se rassembler derrière les projets de la ville. « De quelle Gauche parle-t-on ? Comment des élus de Gauche aussi divers, aussi loin l’un de l’autre dans leurs idéaux, pourront-ils gérer ensemble la ville de Clermont-Ferrand ? » demande-t-elle.

Le socialiste Laurent Johanny veut propulser « le Puy en avant »

Laurent Johanny a présenté mercredi 15 janvier une partie de la liste qui se présentera aux élections municipales du Puy-en-Velay. Laurent Johanny est investi par le PS pour mener la liste « le Puy en avant » probablement face au maire sortant, l’UMP Laurent Wauquiez, qui n’a, pour l’heure, toujours pas déclaré sa candidature.

PS-Puy

La tête de liste socialiste est entourée de colistiers de tendances diverses, communistes, écologistes. De gauche à droite, Claude Beaunet (contrôleur des finances publiques), Catherine Granier-Chevassus (chirurgien des hôpitaux service d’ophtalmologie à l’hôpital Émile Roux, conseillère municipale d’opposition), Didier Allibert (architecte, Parti Communiste), Sabine Chirol (enseignante), Sylvain Machefert (écologiste).

La liste est encore en cours de constitution pour atteindre les 25 membres requis. Les grandes lignes des projets pour la ville ont été présentées pour plus de solidarité, plus d’attractivité, plus de dynamisme.

Avec Elodie Monnier, journaliste France 3 Auvergne, bureau du Puy-en-Velay

15 Jan

Déçu par le Parti Socialiste, Alain Martinet, 1er adjoint à Clermont-Ferrand, le quitte

Ses tweets, quarante-huit heures après le premier tour de la primaire socialiste qui a désigné Olivier Bianchi comme tête de liste à Clermont-Ferrand pour les prochaines élections municipales, avaient fait grand bruit. Le 12 octobre dernier, sur ce même blog, Alain Martinet affichait son étonnement face aux résultats du scrutin dans certaines sections et s’interrogeait sur l’existence même de la démocratie au PS. Continuer la lecture

12 Jan

Antoine Rechagneux veut porter le FN à 18% sur Clermont-Ferrand

S’il est entré dans la sphère politique depuis longtemps, « j’étais très copain avec les maires d’arrondissements à l’époque où Paris était tenue par le RPR« , dit-il, l’engagement d’Antoine Rechagneux est beaucoup plus récent. Celui qui portera à Clermont-Ferrand les couleurs de Marine le Pen lors des prochaines élections municipales n’est encarté au Front National que depuis mai 2013. Continuer la lecture

11 Jan

Clermont-Ferrand: Brenas-Portejoie-Fanget, le plan à trois quasi finalisé ?

Brice Hortefeux a présenté ses vœux à la Droite auvergnate, samedi matin. Dans un hôtel du centre-ville, l’eurodéputé et conseiller régional UMP a évoqué une ambiance de réconciliation à Clermont-Ferrand alors que les discussions entre l’UMP Jean-Pierre Brenas, le MoDem Michel Fanget et Gilles-Jean Portejoie auraient considérablement avancé au cours de la semaine. Les trois hommes seraient sur le point de s’entendre et un accord final pourrait intervenir dans les prochaines jours pour la présentation d’une liste commune dès le premier tour des élections municipales. Continuer la lecture

08 Jan

Selon Wikipédia, Olivier Bianchi est déjà maire de Clermont-Ferrand ! (mise à jour)

Si on se réfère à l’encyclopédie participative Wikipédia, le socialiste Olivier Bianchi est le prochain maire de Clermont-Ferrand. Il l’est même « depuis 2014« . Dans la page qui affiche la liste des maires, son nom apparait déjà sous celui de Serge Godard. D’après le relevé des modifications faites sur l’article en question, c’est à 23h05, le 7 janvier, que le nom d’Olivier Bianchi a été ajouté.

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La question est maintenant de savoir qui a fait cette modification prématurée, et dans quel but…En tout cas, l’information n’a pas tardé a être remarquée. Quatre minutes après sa publication, un étudiant auvergnat en Sciences Po publiait une copie d’écran sur Twitter.

 

Un autre étudiant, clermontois, a quant à lui ironisé en évoquant « un algorithme immuable » qui garantirait le pouvoir à la Gauche à Clermont-Ferrand.

Mise à jour

Olivier Bianchi n’est déjà plus le maire de Clermont-Ferrand ! Alain Laffont lui a succédé le 8 janvier à 15h29. Le leader de la Gauche Anti-Capitaliste a toutefois eu un règne court sur la commune puisque remplacé une heure plus tard par Valéry Giscard d’Estaing. Un clin d’oeil plein d’ironie à l’ancien chef de l’Etat, candidat malheureux en 1995 aux élections municipales à Clermont-Ferrand, battu d’un cheveu par le maire sortant Roger Quilliot.

laffont-wiki

vge-wiki

06 Jan

Alain Marleix (UMP): « Nous avons plein de grandes villes sans tête de liste crédible »

Dans les colonnes du JDD, le 5 janvier, le député UMP du Cantal, Alain Marleix, estime, concernant les élections municipales, que l’échéance a été mal préparée par son parti. « Nous avons plein de grandes villes sans tête de liste crédible. À Nantes, il n’y avait personne. Ni à Besançon, ni au Mans! » dit-il.

Ce sarkozyste, ancien responsable des élections au sein de l’UMP, estime par ailleurs que « cela ne sera pas l’apocalypse« .

 

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