06 Fév

Haute-Loire: maire de Beauzac depuis 1962, Jean Proriol est à nouveau candidat

Dans son éditorial à la Une du site Internet de Beauzac, commune altiligérienne de 2 762 habitants au dernier recensement, Jean Proriol explique que, « depuis le début de [son] mandat de maire« , il a soutenu « un effort constant pour favoriser les initiatives durables« . Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’applique sans relâche cette politique depuis maintenant 52 ans. Jean Proriol est devenu maire en 1962 ! Mercredi, l’ancien député de la deuxième circonscription de Haute-Loire a annoncé qu’il ne comptait pas en rester là et qu’il était candidat à sa propre succession.

J’ai même l’intime conviction que je peux être utile car j’ai toujours l’énergie et désormais le temps pour le faire. – Jean Proriol

Dans des propos rapportés par le journal L’Eveil, l’UMP Jean Proriol affirme que la commune de Beauzac « lui est chevillée au corps » et il affirme avoir la conviction d’être utile car il a « toujours l’énergie et désormais le temps pour le faire« .

Jean Proriol est élu depuis l’âge de 28 ans. Au cours de sa longue carrière politique, il a été élu neuf fois maire, cinq fois conseiller général, quatre fois conseiller régional, sept fois député et une fois sénateur.

03 Fév

La Voix est Libre spéciale « Jeune et politique » le 8 février à 11h

En partenariat avec France Bleu pays d’Auvergne, France 3 Auvergne propose samedi 8 février à 11h une émission spéciale consacrée aux enjeux des futures élections municipales. Le thème de cette émission : « les jeunes et la politique ».

Récemment, le journal La Montagne a tenté une expérience, auprès de 150 habitants de Riom, dont 50 lycéens. On y apprend que 41% des personnes interrogées ne connaissent pas le nom de leur maire, et que seules 53% se disent intéressées par les prochaines élections. Les jeunes n’échappent pas à cette tendance. Ils assument globalement de ne pas aller voter pour élire le premier magistrat de leur ville. C’est nettement ce qu’a pu constater notre équipe, aux alentours de facultés de Clermont-Ferrand.

Invités sur notre plateau :
– Maxime Costilhes, UMP (ex membre du cabinet de Sarkozy président, candidat aux dernières législatives) 
– Marion Canalès, PS (Attachée parlementaire de François Rebsamen, président du groupe socialiste au Sénat)
– Frédérick Pairault (Délégué Général ANACEJ)

Notre politologue Mathias Bernard interviendra également durant toute l’émission présentée par Yannick Kusy et Jean-Paul Vincent.

Vous pouvez poser vos questions en utilisant le formulaire ci-dessous ou nous adresser vos réflexions sur Twitter via le mot-dièse #f3auvergne. Rendez-vous samedi matin à 11h sur France 3 Auvergne en mode Social TV !

Municipales à Clermont-Ferrand: débattez en visio avec Olivier Bianchi (PS) et Jean-Pierre Brenas (UMP)

Les 25 et 27 février, France 3 Auvergne reçoit Olivier Bianchi puis Jean-Pierre Brenas pour des débats interactifs 100% web . Si vous souhaitez faire partie des quatre internautes sélectionnés et poser en direct vos questions aux candidates à la mairie de Clermont-Ferrand, inscrivez-vous !

Bianchibrenas Continuer la lecture

Clermont-Ferrand: pas d’union de Brenas avec Fanget qui partirait finalement sans Portejoie

Il n’y aura donc pas de liste communes UMP/MoDem/UDI à Clermont-Ferrand au premier tour des élections municipales. « Force est de constater que cette démarche n’a pu aboutir« , peut-on lire dans un communiqué envoyé dimanche soir et signé conjointement par les deux présidents associés du MoDem et de l’UDI du Puy-de-Dôme, Michel Fanget et Hervé Prononce.

Dans ce bref texte envoyé aux rédactions, les deux composantes du Pôle Central expliquent que « les exigences de l’équipe de Jean-Pierre BRENAS (…) ne prennent pas en considération les attentes des Clermontois« . Conséquence, Michel Fanget partira seul de son côté, et seulement soutenu par Gilles-Jean Portejoie. L’avocat clermontois a en effet annoncé à nos confrères de La Montagne, lundi matin, qu’il pourrait renoncer à être candidat. « Je ne veux plus directement mêler mon nom à ce Vaudeville qui désespère les Clermontois, et dont la responsabilité n’incombe ni aux dirigeants de l’UDI, ni à Fanget Fanget » dit l’ancien premier adjoint du socialiste Serge Godard. Contacté par téléphone, il n’a pas confirmé ses propos et affirmé qu’il se plierait à ce que lui demanderait Michel Fanget.

Le premier tour des élections municipales à Clermont-Ferrand aura donc des allures de primaires à Droite. Lequel de Jean-Pierre Brenas ou Michel Fanget arrivera devant l’autre ? Qui sera le mieux à même de rivaliser avec le socialiste Olivier Bianchi ? Pour essayer de trouver une réponse à ces questions, pour savoir quel choix pourraient faire les électeurs clermontois, nous nous sommes penchés sur les résultats des élections depuis 1993, année qui a vu Michel Fanget devenir député.

Si, en démocratie, la vérité sort des urnes, la dynamique n’est, semble-t-il, pas au centre de l’échiquier politique. Alors qu’il avait obtenu plus de 23% des suffrages au premier tour des législatives de 1993 et plus de 28% au même stade en 1997, le MoDem Michel Fanget voit, depuis, ses scores fondre comme neige au soleil. Au premier tour des dernières législatives, candidat sur la première circonscription du Puy-de-Dôme, il n’a obtenu que 4,84% des voix.

Si, comme le dit le communiqué du Pôle Central, l’équipe de Jean-Pierre Brenas avait des exigences, peut-être étaient-elles une conséquence de la récente confrontation des deux hommes dans les urnes. En juin 2012, le candidat UMP était arrivé largement devant Michel Fanget au premier tour des législatives avec 8 918 voix contre 2 087.

L’annonce de la fin des pourparlers entre le Centre et la Droite a forcément fait réagir, dimanche soir. Juste avant de regarder la finale du Super Bowl, le candidat socialiste à Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi, a estimé « pitoyable » le spectacle offert par ses adversaires. Et répondant à une question que lui posait Michel Sauvade, le maire MoDem de Marsac-en-Livradois, sur la menace que représenterait une liste centriste pour le PS, Olivier Bianchi a répondu « avec GJP ? Non, vous allez perdre des voix« . Le MoDem et l’UDI auraient-ils vu là un conseil à suivre…

Le communiqué de Michel Fanget et Hervé Prononce

Après la présentation de l’équipe rassemblée dans le Pôle central autour de Michel FANGET, le 21 janvier dernier, nous avons participé, l’UDI, le MoDem et les membres de la société civile à une dernière tentative de liste commune avec Jean-Pierre BRENAS, dès le 1er tour.

Force est de constater que cette démarche n’a pu aboutir.

En effet, les exigences de l’équipe de Jean-Pierre BRENAS, qui ne prennent pas en considération les attentes des Clermontois, nous amènent à proposer une vraie alternative d’union avec des membres du MoDem, de l’UMP, de l’UDI et de la société civile, afin de réussir enfin l’alternance à Clermont-Ferrand face au parti socialiste qui gère la ville en solitaire depuis si longtemps.

Nous avons donc décidé, aujourd’hui, de soutenir une liste ouverte, tolérante et rassemblée autour de Michel FANGET avec Gilles-Jean PORTEJOIE qui apporte tout son soutien.

Michel FANGET, Président du MoDem                                                   Hervé PRONONCE, Président de l’UDI

 

Le communiqué de Jean-Pierre Brenas

Le principe de l’union approuvé par tous a été acté le 21 janvier dernier. L’entente sur la juste représentation des forces en présence a été validée. Aujourd’hui, malgré tous ses engagements, Michel Fanget décide de rompre unilatéralement cet accord et une nouvelle fois de conduire une liste de division comme cela a été le cas dans le passé.

Jean-Pierre Brenas a, tout au long de la semaine, formulé des propositions afin que toutes les sensibilités puissent être représentées. Quelles qu’aient été ses propositions,  toutes ont été refusées, démontrant ainsi que la décision de la division était hélas prise.

Jean-Pierre Brenas regrette cette position. Il persiste dans sa volonté d’union et présentera une liste rassemblant tous ceux qui croient en l’unité et veulent sincèrement l’alternance. Elle représentera toutes les sensibilités composant l’opposition républicaine, toutes les catégories socio-professionnelles, tous les quartiers.

Jean-Pierre Brenas, dont la seule préoccupation est l’intérêt des clermontois, en appelle à la raison et reste la main tendue pour aboutir à l’union.

Les clermontois sauront se souvenir de ceux qui par la division empêcheront l’indispensable succès de l’alternance. Oui à ceux qui construisent l’union, non a ceux qui agitent la division.

Plus que jamais, l’objectif numéro un est de battre la gauche et le candidat socialiste. Jean-Pierre Brenas à la tête d’une liste de rassemblement UMP-Centristes incarne l’avenir, le rassemblement et un véritable espoir d’alternance  politique à Clermont-Ferrand.

02 Fév

Marie Savre mènera une liste Lutte ouvrière à Clermont-Ferrand

Marie Savre est candidate LO à Clermont-Ferrand

Marie Savre est candidate LO à Clermont-Ferrand

Lors des élections municipales de 2001, la liste Lutte Ouvrière clermontoise menée par Daniel Séguy avait enregistré le score le plus faible avec 5,15% des voix. En 2014, le parti d’extrême-gauche tentera de faire mieux avec une liste menée par Marie Savre.

L’actuelle conseillère municipale, formatrice de profession, sera secondée par Dominique Leclair, ouvrier chez Michelin. Le fabricant de pneumatiques est justement l’une des cibles de la liste anticapitaliste : « Michelin réalise des profits records et supprime des emplois. Il faut prendre l’argent de Michelin et ses actionnaires et le redistribuer localement ! » projette Marie Savre. Autre cible de la candidate : le Parti socialiste, auquel Lutte Ouvrière s’était pourtant associée lors des municipales de 2008. Alors qu’est-ce qui a changé ? Aujourd’hui le PS est au gouvernement et sa politique ne sert pas l’intérêt des travailleurs et des chômeurs, qui ne se font pas suffisamment entendre selon la candidate. Son programme est avant tout économique : « interdire les licenciements et augmenter les salaires »… des employés municipaux, pour commencer !

Marie Savre sera également candidate dans la circonscription du Centre aux élections européennes.

01 Fév

Une deuxième liste à droite à Chamalières

Comme lors de la précédente élection, la droite se présentera divisée au premier tour des municipales à Chamalières. Une seconde liste conduite par Brigitte Vaury-Billebaud, qui vient de se mettre en congé de l’UMP, affrontera celles de Louis Giscard D’Estaing (UDI) et d’Eric Spina (PS). Cette liste nommée « Réveillons Chamalières » se veut une alternative à la municipalité actuelle mais elle apparaît clairement comme un signe de division et de querelle personnelle.

L’échange d’amabilités a déjà commencé : « Je n’ai pas retrouvé chez le fils les qualités que j’admire chez le père », attaque Brigitte Vaury-Billebaud. Riposte de Louis Giscard d’Estaing : « Si elle veut utiliser son énergie sur le plan local – puisqu’on ne l’a pas vue à Chamalières depuis 10 ans – qu’elle le fasse à Clermont-Ferrand où elle a déjà été deux fois candidate ».

Alors que ses militants sont présents dans les deux camps, l’UMP affirme ne soutenir ni l’un ni l’autre des candidats. Notons la présence, sur la liste « Reveillons Chamalières », de la belle-soeur de Brice Hortefeux ainsi que de Gérard Amblard (divers droite), déjà candidat contre Louis Giscard d’Estaing en 2008.

Reportage de Pierre-Oliver Belle et Eric Taxil. 
Intervenants : Brigitte Vaury-Billebaud (tête de liste « Ensemble réveillons Chamalières »),  Christophe Serres (président de l’UMP du Puy-de-Dôme), Louis Giscard-d’Estaing (tête de liste « Pour Chamalières, une équipe en action »).

28 Jan

Marine le Pen annoncée à Clermont-Ferrand le 11 février

AFP PHOTO / BERTRAND LANGLOIS

AFP PHOTO / BERTRAND LANGLOIS

Dans un planning chargé, Marine le Pen pourrait consacrer une journée à l’Auvergne. Elle est annoncée le 11 février prochain dans le Puy-de-Dôme. La présidente du Front National devrait également tenir une conférence de presse ce jour-là à Clermont-Ferrand, commune dans laquelle Antoine Rechagneux est la tête de liste du Rassemblement Bleu Marine.

27 Jan

Clermont-Ferrand: et l’on reparle d’un trinôme Brenas/Fanget/Portejoie…

De gauche à droite: Gilles-Jean Portejoie, Jean-Pierre Brenas, Michel Fanget

De gauche à droite: Gilles-Jean Portejoie, Jean-Pierre Brenas, Michel Fanget

C’est une histoire sans fin…Alors que Brice Hortefeux avait lancé « un appel solennel » devant le club de la presse d’Auvergne, vendredi matin, pour que la raison l’emporte et que l’union Brenas/Fanget/Portejoie se fasse, les trois hommes se sont retrouvés lundi matin dans le bureau du vice-président de l’UMP, resté en Auvergne pour régler définitivement cette affaire. Continuer la lecture

24 Jan

Municipales 2014 : un duel classique se profile à Aurillac

municipales_aurillacCe jeudi soir dans la préfecture cantalienne  la campagne pour les municipales  s’est accélérée. Pierre Mathonier (PS) a rendu publique la liste qu’il conduira pour les élections des 23 et 30 mars prochain. Une équipe composée de femmes et d’hommes issus des grandes familles de gauche radicaux et communistes, mais aussi de représentants de la société civile, et dont seuls les écologistes sont absents. L’équipe emmenée par le maire sortant a été renouvelée à 50%.

On connaît une baisse de population, ce n’est pas une fatalité. – Pierre Mathonier (PS)

Pierre Mathonier a voulu mettre l’accent sur quatre « défis » : la démographie, la fiscalité, le cadre de vie et le lien social. Le candidat socialiste espère ainsi conserver l’attractivité d’Aurillac et attirer de nouveaux habitants. « On connaît une baisse de population, ce n’est pas une fatalité. On a des moyens de lutter, ce sont des moyens qui nécessitent une réflexion longue. C’est à la fois un travail sur l’économique, un travail sur l’habitat donc il faut continuer le travail qu’on a déjà initié ». « On ne peut pas augmenter les taux de taxe d’habitation. On ne peut pas les baisser non plus parce que les contraintes financière sont telles qu’aujourd’hui, ce n’est pas envisageable. Mais il va falloir travailler à des process innovants pour trouver des financements pertinents pour porter nos grands équipements. C’est tout un travail d’ingénierie financière qu’on doit pouvoir réaliser. »

Jean-Antoine Moins (UMP) a été désigné pour conduire la liste de droite. Le 4 février, il présentera son équipe, mais d’ores et déjà, le leader de l’opposition municipale est passé à l’offensive. Il a choisi d’aller sur le terrain pour expliquer sa vision d’une autre politique à Aurillac. Pour le leader de la liste « Pour Vous pour Aurillac »« la ville préfecture doit retrouver un nouvel avenir et, face à son déclin, il faut proposer une nouvelle façon de gérer. »

Aurillac doit retrouver un nouvel avenir et, face à son déclin, il faut proposer une nouvelle façon de gérer. – Jean-Antoine Moins (UMP)

« On a de moins en moins d’habitants, et donc les difficultés économiques de la ville d’Aurillac vont aller en augmentant, et ça va être la même situation pour la communauté d’agglomération. » explique-t-il. « Donc aujourd’hui, il faut arriver à rassembler la ville et la communauté d’agglomération ; c’est pour cela que j’ai annoncé dés le début que le maire d’Aurillac devait être aussi le président de la communauté d’agglomération pour arriver à réunir ces compétences, à avoir une meilleure organisation, une organisation plus resserrée entre les deux collectivités. Tout cela pour réduire les impôts des Aurillacois. »

Dans l’immédiat aucune autre liste ne s’est manifestée pour ces élections municipales à Aurillac. Si on en restait là, les Aurillacois pourraient connaître le nom de leur prochain maire dès le 23 mars au soir.

Fabien Gandilhon

Reportage de Claude Bernard et Lydie Ribes. Intervenants : Pierre Mathonier (PS, liste « Aurillac pour tous ») et Jean Antoine Moins (UMP, liste « Pour Vous pour Aurillac »).

Olivier Bianchi et les 54 noms qui veulent « réinventer Clermont-Ferrand »

liste-bianchiSocialistes, écologistes, communistes, radicaux, ou rien de tout ça (en apparence), voici de qui est composée la liste « Réinventons Clermont-Ferrand » menée par Olivier Bianchi. On savait déjà que le rassemblement de la gauche et un minimum d’ouverture à la société civile était un vœu du candidat à la succession de Serge Godard, vendredi matin, la presse locale a pu mettre un visage sur chacun des 54 autres noms présents sur sa liste.

Olivier Bianchi a pris la parole peu après 11h, comme prévu. Il ne s’est pas attardé au micro. Il a énuméré rapidement les dix grands axes de son programme avant de laisser une vidéo présenter ses co-listiers. Si le leader socialiste rappelle que sa liste est renouvelée à 60% par rapport à la précédente (celle de 2008), on notera toutefois que les cinq premiers visages siègent déjà au conseil municipal de Clermont-Ferrand, trois sont même adjoints au maire. Seconde sur la première mouture de la liste PS, celle d’avant les alliances avec EELV et le PCF, Sondès El Hadifi est reléguée en sixième position.

L’enseignement bien représenté

Lui-même chargé d’enseignement, Olivier Bianchi s’est entouré de nombreuses personnalités issues du monde éducatif. Ainsi, sept de ses co-listiers exercent dans l’enseignement quand six autres sont retraités. Enfin, si la tête de liste aura 44 ans en juin prochain, la moyenne d’âge des candidats est de 47 ans.

La liste complète:

  1. Olivier Bianchi (PS)
  2. Christine Dulac-Rougerie (Société civile)
  3. Grégory Bernard (PS)
  4. Odile Vignal (EELV)
  5. Cyril Cineux (PCF)
  6. Sondès El Hafidhi (PS)
  7. Philippe Gorce (MRC)
  8. Françoise Nouhen (PS)
  9. Jérôme Auslender (PS)
  10. Magali Gallais (PCF)
  11. Nicolas Bonnet (EELV)
  12. Cécile Audet (PS)
  13. Saïd Akim Bara (PS)
  14. Isabelle Lavest (PRG)
  15. Simon Pourret (PS)
  16. Dominique Briat (PS)
  17. Philippe Bohelay (PS)
  18. Marie-Laure Busselot (EELV)
  19. Pascal Guittard (PS)
  20. Dominique Rogue-Sallard (EELV)
  21. Dominique Adenot (PS)
  22. Sylviane Tardieu (PCF)
  23. Guillaume Vimont (EELV)
  24. Valérie Bernard (PS)
  25. Gérard Bohner (GU)
  26. Marion Canalès (PS)
  27. Jérome Godard (PS)
  28. Monique Bonnet (MRC)
  29. Jean-Christophe Cervantès (PCF)
  30. Claudine Khatchadourian-Tecer (PS)
  31. Christian Portefaix (PS)
  32. Sandrine Duboc-Geay (PS)
  33. Abdelmajid Mellouki (PS)
  34. Nicole Prieux (PCF)
  35. Frédéric Pilaud (PRG)
  36. Nicaise Joseph (PS)
  37. Pierre Miquel (PCF)
  38. Manuela Ferreira de Souza (Société civile)
  39. Christophe Bertucat (PS)
  40. Patricia Aucouturier (PCF)
  41. Djamel Ibrahim-Ouali (PS)
  42. Pascaline Bidoung (PS)
  43. Claude Leroux (EELV)
  44. Marie-France Vogt (PS)
  45. Patrick Dumas (PS)
  46. Sandrine Bergerot-Raynal (PS)
  47. Jules Barthélémy (PS)
  48. Catherine Rousset (PCF)
  49. Jean-Paul Delorme (PS)
  50. Isabelle Strub-Dupontreue (Société civile)
  51. Christophe Judet (PCF)
  52. Eliane Garzon (PS)
  53. Clément Orambot (EELV)
  54. Carole Courtial (PS)
  55. Pierre Sabatier (PS)