Au nord de la Pologne, trois villes condensent l’histoire, l’architecture et la gastronomie du pays. Proche la mer Baltique, ce tryptique d’un million d’habitants est une alternative aux emblématiques Varsovie ou Cracovie.
Il y a quelques jours, à Paris, L’Office National du Tourisme Japonais (JNTO) présentait sa nouvelle campagne de communication « Enjoy my Japan » avec un objectif bien précis : encourager les voyageurs à explorer le Pays du Soleil Levant au‐delà des idées reçues et des images conventionnelles.Continuer la lecture →
Et si, pour les fêtes de fin d’année vous partiriez en Belgique ? Depuis Toulouse en une heure trente d’avion, la ville de Louvain est une pépite architecturale aux dimensions humaines.
Ils ne seront que peu, très peu les privilégiés à découvrir le « Niaux interdit« , en Ariège, les galeries habituellement fermées au public et réservées aux scientifiques. Seulement quelques personnes auront, en effet, la chance de visiter ces endroits fermées au grand public, et ce, sur une dizaine de dates, fin 2017 et début 2018, dont les cinq premières sont les19 novembre et 17 décembre 2017, les 21 janvier, 18 février et 18 mars 2018.
A moins de 30 minutes au sud de Toulouse il est possible de se retrouver parmi nos amis les gaulois, de découvrir leur vie et de passer avec et chez eux une merveilleuse journée inoubliable. Parler d’écomusée, de parc archéologique, voir de parc culturel, il est très difficile de classer Le Village Gaulois de Rieux Volvestre en Haute Garonne.
Les Origines:
A la base il s’agit d’une aventure humaine extravagante née suite à un rêve comme presque tout le monde en fait, la nuit, je dis presque car il faut être poète et avoir une âme d’enfant pour rêver comme Jean-luc Blanchard que l’on construit un Village Gaulois.
Et c’est dans cette aventure qu’il s’est lancé un matin, d’abord avec une équipe réduite de 2 personnes, puis 5 sur le terrain, et finalement 11 en tout, bref une équipe de copains reliés par une passion commune : les gaulois.
Ils ont imaginé la construction d’un village gaulois, la reconstitution archéologique d’une vingtaine de bâtiments, en s’appuyant sur les dernières recherches et données scientifiques. Aujourd’hui ce village unique en France est une référence pour les chercheurs.
Ces Neo Gaulois passionnés, tels qu’on les appelle encore aujourd’hui, ont tout fait pour réaliser leur rêve ils sont devenus historiens, chercheurs, ils ont cumulé tous les métiers, cultivateurs, charpentiers, chaumiers, maçons, administrateurs, gestionnaires afin de mener à bien leur projet.
Dès l’arrivée, on est impressionné par un gigantesque fossé, un talus de défense, le rempart qui court sur 200 mètres et ferme le village. Au centre, une porte fortifiée monumentale verrouille le côté le plus exposé du village les autres étant protégés d’une part par une haute falaise, d’autre part par la Garonne.
A l’intérieur, le village s’étend sur 6 hectares. Dès l’accueil un bâtiment immense, plus loin encore des barrières, des remparts, des maisons, des chemins à s’y perdre pour relier le tout. Une bulle, une alcôve, un lieu serein empreint de mystère.
Pourquoi ce site en Volvestre, à 30 minutes de Toulouse (50 kms) … Le choix du site n’est pas le fruit du hasard. En effet, plusieurs sites gaulois ont été découverts aux alentours. Le peuple qui occupe alors la région toulousaine et bien au-delà se nomme alors les Volques Tectosages.
En ce lieu magique si sa vocation touristique est évidente, l’enseignant, le scientifique ou le chercheur trouvera ici nature à réflexion. Véritable centre de ressources, l’Archéosite organise également congrès, colloques, expositions et concerts. Cette reconstitution permet à l’imagination de se développer, obligeant à transgresser les conforts quotidiens … Mais c’est avant tout un lieu où l’imagination est maitre, ou les soucis du quotidien restent comme bloqués par les remparts et où tout devient magique et beau…. Le Village Gaulois de Rieux Volverstre est, peut-être, l’endroit où réaliser ses rêves… Le village gaulois vous accueille tous les après midi pour fêter Halloween (plus de renseignements sur le site) !
La Via Garona, ou GR861, est LE nouveau chemin de randonnée pédestre qui relie les sites de Saint-Jacques de Compostelle entre Toulouse (Basilique Saint-Sernin) et Saint-Bertrand-de-Comminges (Cathédrale Sainte-Marie) sur 170 kilomètres balisés. La Via Garona traverse 41 communes, toutes sont situées en Haute-Garonne.
Pourquoi ne par profiter de cet été pour découvrir la Grotte du Mas d’Azil, en Occitanie, en suivant Magda, une jeune femme préhistorique, c’est ce que vous propose la Grotte du Mas d’Azil durant 3 soirées d’été.
Les 25 juillet, ainsi que 1er et 16 août sont l’occasion de faire découvrir aux jeunes enfants, et à nous les adultes le mode de vie des Aziliens qui vécurent il y a 10 000 ans au Mas d’Azil. Une manière ludique et conviviale de mieux connaitre la Préhistoire.
Au cours d’une soirée, petits et grands suivront Magda, qui ne trouvant pas le sommeil, fabrique des outils, sculpte des œuvres d’art, joue de la musique, déambule dans les galeries, confectionne des bijoux… Un médiateur commentera les activités nocturnes de cette jeune fille.
Au sortir de la Grotte, médiateur et visiteurs partageront un moment convivial sur le parvis de la grotte. Autour d’un feu, en consommant croustades et jus de fruits locaux, ils apprendront l’art de la parure et tenteront de percer le mystère des galets aziliens (mystère)….
Belle et agréable soirée au cœur de l’histoire et au milieu de merveilleux paysages que seule l’Ariège sait nous proposer.
Pré Découverte de Manchester (Grande Bretagne) en annonce de nos prochains reportages ….. Manchester à 2 heures de Toulouse grâce à de nombreux vols notamment avec à la compagnie Flybe. Vols qui permettent de passer un week-end, ou plus, So British.
Manchester, la ville où la gentillesse de ses habitants, leur disponibilité (pour les non anglophones et les autres) ne peut que vous donner envie d’y retourner pour profiter de tous les charmes cachés de cette cité qui nous ouvre ses bras, son cœur.
Un petit avant gout en attendant de découvrir certains lieux plus en détails suite à ma visite de cette cité que je ne connaissais pas et qui m’a surpris de par sa diversité et la gentillesse de ses habitants.
En 1992, l’ancienne draperie de Esch-sur-Sûre, au Luxembourg, a été transformée en Centre du Parc Naturel de la Haute-Sûre (Maison du Parc), et depuis lors elle héberge le centre d’accueil avec une exposition interactive sur le Parc Naturel, un espace de vente de produits régionaux et un musée dédié à la transformation de la laine en drap (filature, tissage, apprêt).
Le Parc Naturel de la Haute-Sûrepréserve les vieilles traditions artisanales de la région.
Une corporation de tisserands existait dès le 16e siècle à Esch-sur-Sûre, ses origines vont de pair avec l’invention des premières machines à travailler la laine. En 1807, Martin Schoetter-Greisch installait une machine à fouler (moulin servant au foulage des étoffes de laine, c’est-à-dire à resserrer et à enchevêtrer les fils de laine pour conférer de l’épaisseur et du moelleux au tissu). Dix ans plus tard le premier métier à filer est installé. L’entreprise a été agrandie en 1866, afin d’assurer toutes les étapes de la production du drap.
L’endroit était propice à un tel projet : l’eau de la Sûre livrait une énergie permanente et bon marché. L’entreprise connut par la suite un essor continu. En 1866, la société s’agrandit, et la draperie Schoetter est alors capable d’exécuter sur place toutes les opérations, de la préparation de la laine au tissu fini. Les frères Demuth rachètent la fabrique en 1901 pour 11.000 francs. La spécialité de la maison, le « Tiirtech« , un drap fait d’un mélange de lin et de laine, devient un produit prisé par les paysans. La draperie compte aussi parmi ses clients réguliers l’armée, la police, la gendarmerie et les PTT, ainsi que toutes les administrations de l’Etat qui ont besoin de tissus pour leurs uniformes.
Lors de visites guidées de la draperie (uniquement sur demande), les machines et installations soigneusement restaurées entrent en action.
Autre attrait de la maison du Parc, son exposition sur le Parc Naturel, les visiteurs de tout âge sont informés sur le Parc, ses habitants et son environnement. Les plus jeunes peuvent, dans de petites cabanes et d’une manière ludique, se familiariser avec la faune et la flore locale, ainsi qu’avec des projets spécialement conçus pour eux.
Et pour terminer leur visite, les gourmands pourront à l’aide de la vaste gamme de produits régionaux présents au sein de la petite boutique, créer leur corbeille personnalisée.
Il existe un petit pays, proche de nos régions, peu connu et qui pourtant mérite que l’on s’y attarde. De part son histoire, ses paysages, sa gastronomie le Luxembourg est un pays riche où il fait bon passer des vacances et ce qui ne gâche rien… au Luxembourg la langue officielle est le français.
Parmi tous les trésors que cache le Luxembourg le château médiéval de Vianden est un site incontournable. Construit entre le 11e et 14e siècle sur les assises d’un castel romain puis d’un refuge carolingien, il est une des plus grande et plus belle résidence féodale de l’époque romane et gothique d’Europe.
Mais avant de parler du château arrêtons nous au village de Vianden qui se trouve aux pieds de cette demeure. Ce joli petit village médiéval est un bijou ou séjournaVictor Hugo dont la maison, devenue musée, se visite. Village qui a su préserver son patrimoine et qui mérite lui aussi de beaux moments de promenades.
Jusqu’au début du 15e siècle, il était la demeure des puissants Comtes de Vianden qui pouvaient se vanter de leurs relations étroites avec la cour impériale et dont le plus glorieux, Henri Ier (1220-1250), avait comme épouse Marguerite de Courtenay, proche parente des Capétiens, rois de France. En 1417, le comté et le château furent légués par héritage à la branche cadette de la maison (allemande) de Nassau, qui, en 1530, recueilli également la principauté française d’Orange.
La chapelle et les deux logis seigneuriaux, comme pièces les plus remarquables du château, ont été réalisées vers la fin du 12eme jusqu’au commencement du 13e siècle. Le quartier des Juliers à l’ouest du logis seigneurial majeur, aujourd’hui disparu, datait lui du début du 14e siècle, alors que le quartier Nassau, que nous voyons aujourd’hui, fut érigé seulement à partir du 17e siècle.
En 1820, sous le règne de Guillaume Ier d’Orange-Nassau, roi des Pays-Bas et grand-duc de Luxembourg, comte de Vianden, le château fut vendu et laissé à l’abandon pour finir à l’état de ruine.
Le château échut en 1890 au grand-duc Adolphe de la dynastie de Nassau et resta à partir de cette date propriété de la famille grand-ducale jusqu’en 1977, où il devint, par acte de vente, domaine de l’état luxembourgeois.