Un exploit, le renversement complet du rapport de force prévisible, et un constat imparable, avec 20 % de participation, les Français de l’étranger ont clairement repoussé l’idée d’une représentation territoriale.
Avant d’aller plus loin dans l’analyse des résultats définitifs (voir widget), on ne changera pas une ligne du constat du premier tour effectué dans le billet précédent : les députés de l’étranger sont mal embarqués, seule la « jeunesse » des nouveaux élus (PS et Verts) pourrait représenter une note positive dans cet échec collectif. A noter aussi, les félicitations de circonstances des battus qui semblent plus spontanées que dans d’autres cercles plus anciens. Une sorte d’esprit de corps qui aurait pu être l’amorce d’un regroupement trans partisan des élus hors métropole.