« Vous savez, ou pas, qu’en ce moment le pays, la ville où je vis, sont DANGEREUX. Tindindinnnnnnnnnnnnnnnnnnn. »
La libération heureuse des 3 otages Français du Yemen va probablement faire ressurgir ici où là, les commentaires sur les risques et les dangers que comporte l’expatriation dans les zones de conflit.De doctes conseilleurs diront d’ici comment se comporter là bas. En situation, les réactions et les attitudes oscillent entre paranoïa, prudence et insouciance. Le parti pris de cette blogueuse expatriée au Kenya tranche par son ton iconoclaste. Mais il est vrai qu’elle se présente elle-même comme « violemment humaine »…