La comédienne Alice David prête à nouveau sa voix à Lara Croft dans la version française de Rise of the Tomb Raider, qui sort le 13 novembre sur XBox One et XBox 360.
La comédienne Alice David, connue du grand public pour son rôle dans la série Bref mais aussi pour avoir incarné l’amoureuse de Philippe Lacheau dans Babysitting (elle sera aussi à l’affiche du deuxième volet, Babysitting 2, dans les salles le 2 décembre 2015, NDLR) a été choisie pour prêter sa voix à l’icone féminine du jeu vidéo, Lara Croft, dans le prochain Rise of the Tomb Raider, qui sortira le 13 novembre sur XBox One et XBox 360 (sortie prévue en 2016 sur PS4).
C’est elle qui avait déjà doublé Lara Croft dans le reboot de la saga Tomb Raider, sorti en 2013.
J’ai tout de suite accepté quand on m’a proposé de faire à nouveau la voix française de Lara Croft, confie la jeune comédienne. « C’est une vraie battante, très déterminée. Ce personnage-là est vraiment différent de tout ceque j’ai pu faire jusqu’à présent ».
On attend avec impatience de voir le résultat ! Rendez-vous le 13 novembre, donc, pour les fans de la franchise Tomb Raider (et les néophytes tentés par l’aventure !
Aiden en train de tirer dans le nouveau jeu d’Ubisoft WatchDogs.
Watch Dogs, c’est la nouvelle franchise d’Ubisoft qui devrait donner du fil à retordre à la série des GTA. Vous n’avez pas pu passer à côté si vous êtes Parisien : en 4 x 3m, les affiches où l’on voit le héros Aiden, le smartphone à la main sont partout : bus, métro, murs d’immeubles… Sur Twitter aussi, le hashtag #WatchDogs s’est hissé d’un coup dans les TT (Trending Topics) du réseau social. Normal, après plusieurs reports, le jeu sort aujourd’hui, 27 mai 2014, et sa sortie est une des plus attendues de l’année dans le monde du jeu vidéo.
Pour le pitch, vous incarnez donc Aiden Pearce, un Hacktiviste, entendez un roi du piratage, qui infiltre les entrailles du réseau informatique de Chicago pour tenter de mettre à bas un système corrompu. Un justicier masqué des temps modernes, animé -comme souvent- par un désir de vengeance, à la différence des super héros habituels qu’il n’est qu’un gars comme vous et moi -certes surdoué de l’informatique- mais juste armé d’un flingue et surtout… d’un smartphone. C’est ce dernier, connecté au système de la ville, qui se révèle le plus utile. Grâce à lui, vous serez capable de surveiller et de hacker tout ce qui vous entoure, mais aussi d’accéder aux caméras de surveillance, de contrôler les feux de signalisation, de téléchargez des informations confidentielles sur vos cibles… Bref, tout ça du bout des doigts… et de votre manette de jeu…
Collecter des informations sur les gens à leur insu, les exploiter… ça ne vous rappelle rien ? Bien sûr, quand on découvre Watch Dogs, on pense bien sûr à Edward Snowden et au scandale de la NSA, à Big Brother… Bref, on est, vous l’aurez compris, dans un jeu qui soulèvera bien des questions sur l’utilisation de nos données informatiques et qui mise -avec réussite- sur un réalisme qui a amené les développeurs canadiens à consulter des spécialistes de la cyber-sécurité. De quoi mener Watch Dogs sur la route de nombreux records…
En attendant les chiffres des premiers jours de ventes qui s’annoncent prometteurs, Ubisoft a déjà communiqué sur le fait que Watch Dogs avait déjà enregistré un record de précommandes pour une nouvelle marque. Cocorico ! (n’oublions pas qu’Ubisoft est un studio français…) De bon augure pour la suite… Et de quoi sonner le véritable départ des consoles de nouvelles générations ?
WatchDogs, Ubisoft, disponible sur PC, XBox 360, Xbox One, PS3, PS4 et Wii. De 45 à 60€
Les plus :
le côté moins « violence gratuite » que GTA
le réalisme de la ville de Chicago
la variété des missions proposées : infiltrations, courses poursuites, shoot’em up (séquences de tirs
Les moins :
Un jeu qui n’a pas le droit à l’erreur… Il faut faire oublier aux joueurs que Watch Dogs a été maintes fois retardé
Intelligence artificielle des ennemis parfois limitée
Quoi de mieux que la Journée de la Femme pour vous parler d’une des héroïnes les plus emblématiques du jeu vidéo : Lara Croft, de retour depuis le 5 mars dans le reboot Tomb Raider (sur PS3, xBox 360 et PC). Avant son arrivée dans le monde du jeu vidéo au milieu des années 90, les femmes dans les jeux vidéos ressemblaient et avaient le rôle de bimbos aux capacités intellectuelles limitées. Mais Lara a tout changé.
Certes, elle est arrivée à l’époque des polygones et premières modélisations 3D qui faisait la part belle à sa plastique aguicheuse et son short sexy qui ont fait fantasmer plus d’un ado boutonneux. Mais elle arrivait avec son caractère, bien trempé, et ça, dans le jeu vidéo, c’était totalement inédit.
Il y a eu d’autres essais après Lara. Bayonetta par exemple. Mais l’héroïne arrivée en 2010 n’a pas l’aura de Lara. Une aura qui malgré tout, après 16 années d’existence et de multiples opus en veux-tu en voilà, se décrépit peu à peu, laissant les fans sur le bas-côté. Lara a donc perdu de sa superbe, un comble !
Pour cette année 2013, l’éditeur Square Enix a donc décidé de tout remettre à plat. On appelle ça un « reboot » dans le monde du jeu vidéo. Repartir de zéro. Mais comment fait-on rennaître une icône ? C’est tout le challenge auquel a tenté de répondre le studio canadien Crystal Dynamics qui a eu en charge le développement de ce nouveau Tomb Raider, dans lequel on découvre une nouvelle Lara de 21 ans, plus moderne, plus timide mais toujours aussi exploratrice. Moins sexy diront certains ? Peut-être. Pas forcément. Disons qu’elle ressemble plus à la -jolie- voisine d’à côté et qu’on ne va pas s’en plaindre, car le jeu n’en devient que plus réaliste.
A noter que c’est la charmante Alice David, de la série Bref, qui a prêté sa voix à cette nouvelle Lara. Elle sait se montrer très convaincante dans les nombreuses cinématiques du jeu. Un jeu qui nous a séduit par son univers assez ouvert. Et puis avouons-le, revoir Lara progresser dans ce reboot à l’intrigue bien ficelée est assez agréable. Avec en bonus un mode multijoueur efficace, et une jouabilité accessible, on ne peut que féliciter les développeur pour cette renaissance réussie.
La voilà, la nouvelle console de Nintendo qui va -du moins pour les qualités graphiques- pouvoir rivaliser avec les Playstation 3 de Sony et XBox 360 de Microsoft. Car il faut l’avouer, ce n’était pas le fort de la Wii, loin de là.
Non, ce dont la Wii peut se vanter, c’est peut être d’avoir révolutionner un peu la façon de jouer aux jeux vidéo. Finis les joueurs avachis dans les canapés, carton de pizza et canette à portée de main et casque d’interaction floqué sur la tête pour achever le cliché. Avec la Wii, le corps tout entier servait au jeu. Et du coup, la communautés des joueurs de jeux vidéos s’est mué. De hard gamers dont on ne va pas revenir sur le portrait cliché (j’en faisais partie, pizzas en moins 😉 , les joueurs sont devenus des papy, mamy, des jeunes branchés qui grâce à cette petite console et ses accessoires transformaient leur salon en salle de remise en forme, de taï-chi… bref, le petit monde du jeu vidéo, développeurs en tête, a dû adapter les titres proposés à cette nouvelle vague de joueurs pas comme les autres, fans de FPS et autres simulations sportives jusqu’auboutistes…
Exit la Wii… Place à la Wii U. Une lettre en plus, (après un espace pour marquer que l’évolution est vraiment importante ?) qui tente de révolutionner encore un peu plus le jeu vidéo de salon. La nouveauté, outre les traditionnelles améliorations des performances graphiques ou de la mémoire embarquée, réside en une manette originale qui intègre un écran géant faisant office d’écran secondaire au Téléviseur relié à la console, histoire d’afficher plus d’infos, des statistiques, des maps, des mini jeux… Baptisée GamePad, elle peut aussi faire office d’écran principal pour libérer le téléviseur à un membre de la famille qui aurait envie de regarder un programme de France Télévisions (ben oui, forcément). Elle reprend l’action principale et devient alors console « on the go »… mais en restant « inside the house », bien sûr. Les parents apprécieront (à moins que ce ne soit eux, les joueurs…).
Le concept mérite le coup d’oeil, l’essai même. On reviendra vers vous après quelques heures passées sur quelques uns des 23 titres disponibles au lancement de la console, aujourd’hui.
D’ici là, n’hésitez pas à nous dire ce que vous pensez de cette nouvelle console de salon en postant vos commentaires.
La Nintendo Wii U est disponible en version « Basic » à 299 euros et version « Premium » à 349 euros.