Val d’Oise my balade, c’es une application gratuite qui propose de nombreux parcours et activités selon le calendrier et surtout recence près de 1000 sites patrimoniaux dans le Vexin. Elle a été développée par le département du Val d’Oise pour un coût de 150.000 euros.
Focus à travers le reportage de Tania Watine et Veit Blumlhuber :
Val d’Oise MyBalade, c’est donc un guide de poche interactifplutôt novateur dans le genre, immergeant son utilisateur dans son environnement réel, avec des données et des paysages virtuels, sur son smartphone. On a bien aimé le pilotage via la détection des mouvements (leap motion) ou de celle du support mobile. Bref, si vous aimez le Val d’Oise, le Vexin ou simplement partir à la découverte du patrimoine francilien, voilà une appli à avoir dans la poche.
C’est une idée qui ne manque pas d’air qu’ont eue Romain Lacombe et David Lissmyr, en créant il y a un peu plus d’un an Plume Labs, une start up développée chez Agoranov, l’incubateur parisien supporté par le ministère de la recherche, ParisTech ou encore la Mairie de Paris.
Plume Labs permet d’observer heure par heure la qualité de l’air dans la ville de votre choix et vous aide dans l’exercice de vos activités en fonction de la pollution constatée. Trop de pollution ? Pourquoi ne pas remettre votre jogging à plus tard ? La qualité de l’air est bonne ? Sortez bébé ! Résultat : un site didactique et une application disponible depuis mai dernier (Plume Air Report, dispo sur iOs et Android) qui, « grâce aux sciences des données, à l’open et au big Data, permettent de mieux appréhender son activité en fonction de la qualité de l’air », résume ainsi Romain Lacombe, CEO de Plume Labs.
Capture du site Plume Labs
Tout est parti d’un simple questionnement, nous raconte l’entrepreneur. Qu’est-ce qu’on respire quand on est à Paris ? Est-ce que c’est grave ? Quid quand on fait une activité ? Quels sont les degrés de pollution ?…
« On s’est rendu compte qu’avec cette pollution très variable, on avait besoin d’une sorte de météo urbaine capable de montrer comment la pollution évolue, un peu à l’instar des météo des plages », explique Romain Lacombe. Ainsi, Plume Labs s’intéresse à Paris et son agglomération, bien sûr, mais aussi à 10 autres villes françaises et à 60 villes au total dans le monde.
L’application donne des conseils, des recommandations, vous envoie des alertes en plus des bulletins du matin ou du soir. Bref, d’avoir une longueur d’avance sur la pollution et d’anticiper.
A chaque pays ses sources, puisque chacun va avoir ses organismes, ses associations agréées… En Île-de-France, il s’agit d’Airparif. L’utilisation de leurs données en temps réel, ajoutée aux prévisions météo et à un algorithme qui analyse l’historique des phénomènes météorologiques permet d’offrir une approche inédite de l’étude de la pollution qui, représentée sous forme d’un graphe, devient simplissime. Ou comment démocratiser une information complexe et l’aborder de façon ludique…
« On rend visible un phénomène invisible », conclut Romain Lacombe. Et on est assez d’accord avec lui. Pas étonnant du coup que Plume Air Report ait été téléchargé plus de 10.000 fois des les premiers jours de sa mise en ligne.
>> Les autres applications sur la météo et la qualité de l’air que l’on vous conseille d’avoir sur votre smartphone ou votre tablette : La Chaîne Météo, Airparif, Europe Air, Respire, Weather Pro…
La raquette Babolat Play permet de récolter de nombreuses informations sur le jeu du joueur.
La première raquette connectée est apparue il y a un an et a propulsé le tennis dans une nouvelle dimension. Imaginée par Babolat, cette raquette 2.0 truffée de capteurs est capable d’analyser les coups du joueurs, revers ou coups droits, de déterminer la zone d’impact de la balle, l’effet appliqué (lift ou slice ?), la puissance de la frappe… La Babolat Play -c’est son nom- a été adoptée par de nombreux joueurs du circuit pro. Et a été récemment sous les feux des projecteurs à Roland Garros, puisque c’est depuis le 1er janvier 2015 la raquette officielle de l’espagnol Rafaël Nadal, dont le parcours cette année s’est certes arrêté en 1/4 de finale (battu par Novak Djokovic 7/5-6/3-6/1) mais dont les performances sont toujours scrutées sur la terre battue de la Porte d’Auteuil…
Parmi les autres joueurs adeptes de cette raquette d’un nouveau genre, il y a aussi la chinoise Li Na, la danoise Caroline Wozniacki ou l’américain Ryan Harrison pour ne citer qu’eux… Mais il y a surtout les amateurs, car il s’agit d’un modèle destiné autant aux grand public qu’aux pros. Avec elle, l’expérience de jeu, et son approche, est inédite, enrichie, comme nous l’a expliqué Thomas Otton, Directeur Communication du fabricant, que nous avons croisé au RG Lab de Roland Garros.
>> VIDÉO – Voir l’interview de Thomas Otton en intégralité :
Pour M. Otton, cette raquette et les informations qu’elles peuvent envoyer, c’est l’avenir du tennis. « D’ici 10 ans, toutes les raquettes seront connectées » affirme-t-il
On enrichit l’expérience du jeu. Une fois qu’il a joué, le joueur synchronise sa raquette et continue à jouer, chez lui, avec ses amis, à comparer ses données, à les comparer à celles de Rafael Nadal [et d’autres joueurs pros], et puis il essaye de battre ses records…
« Il y a une vrai dimension ludique qui n’enlève rien au jeu sur le terrain mais qui rajoute énormément d’expérience pour le joueur de tennis » explique ainsi Thomas Otton. Ce dernier peut en effet tout analyser… (ou presque). Il suffit juste d’appuyer sur un bouton situé à l’extrémité du manche pour que la raquette se mette en marche. Une petite led bleue clignote et indique qu’elle fonctionne. Les capteurs, parmi lesquels un accéléromètre, un gyroscope et bien d’autres encore, sont tous intégrés dans le manche justement. La batterie aussi. Les ingénieurs de Babolat ont tout fait pour que malgré toute cette technologie embarquée, le poids, mais aussi la balance de la raquette, restent inchangés par rapport au modèle initial non connecté. Histoire de ne pas perturber le jeu du tennisman / de la tenniswoman averti(e).
Bref, ça fonctionne et c’est vrai que c’est sympa de voir ses performances s’afficher, une fois la synchronisation réalisée en Bluetooth, sur votre smartphone ou votre tablette… Comme toute technologie, l’innovation a un coût. Comptez environ 150€ de plus pour une raquette connectée en comparaison de son modèle standard. (à partir de 299€).
De nombreux système pour analyser votre jeu
150€… C’est le prix de quelques accessoires qui proposent les mêmes fonctionnalités que le système embarqué dans la raquette Babolat Play. A la différence que ceux là peuvent s’installer sur n’importe quelle raquette, et que si vous la cassez (la raquette…), eh bien vous pourrez toujours récupérer l’accessoire pour l’installer sur un nouveau modèle. Parmi les produits qu’on a retenu, il a le capteur Zepp. Cette société américaine propose ainsi plusieurs produits pour les sports de « swing » (tennis, baseball et golf). Là aussi, le capteur détermine la puissance, la zone d’impact, les types et nombres de coups (revers, coup droit, smash…) que vous aurez réalisé pendant votre match.
Autre produit, le capteur de Décathlon, vendu sous sa marque Artengo et baptisé Personal Coach… Tout un programme pour un concept assez proche, le capteur ne se plaçant en revanche pas au bout du manche mais au cœur de la raquette de tennis. Point fort : le prix, à partir de 69€, mais à ce tarif, exit l’application dédiée et le transfert sans fil. Il faut utiliser un cable pour connecter le capteur et regarder les données sur un ordinateur… Moins fun… mais moins cher, donc…
A côté de cela, il y a les bracelet, (bientôt les montres ?) qui s’y mettent, avec un peu (beaucoup) moins de précision… pour l’instant. A noter pour être complet et puisqu’on parle de montre, que les applications autour du tennis qui vous facilitent le jeu fleurissent également sur ce type de support : on a bien aimé par exemple l’application TennisWatch, dispo sur l’Apple Watch, la montre connectée d’Apple, et qui permet d’inscrire le score d’un match et de le retrouver ensuite sur son smartphone. Pratique ! Et en plus ça évitera les disputes sur le point (« Mais on en était à 30A » – « Non, y’avait 40-30 là ! »).
Des murs interactifs pour s’entraîner…
Une autre innovation sympa également en démonstration au RG Lab de Roland Garros. Le mur digital au doux nom de code « Digi-Tennis 2.0« . L’idée est venue de Rémi Gilberton, ancien joueur professionnel à l’ATP et qui a aujourd’hui sa propre académie de tennis en Normandie, à Houlgate près de Deauville. Ce concept unique, breveté, permet d’apporter là aussi une petite note ludique, lors des entraînements cette fois. Le mur propose une sorte de grille composée de ronds de lumières.
Le Digi-Tennis 2.0, un mur digital à Leds (Crédit photo : OC)
En fonction de programmes prédéfinis, vous devez viser les lignes ou les zones et essayer de faire le meilleur score. Très sympa, en tout cas une alternative bien plus dynamique au traditionnel mur de béton des années 80. Le RG Lab l’a approuvé, tout comme d’autres tournois qui l’ont proposé en animation. « Ce mur est aussi adapté à d’autres sports, comme le football ou le handball », nous a confié Rémi Gilberton. « Avec ce type de mur, on rend l’apprentissage, toujours long et parfois laborieux, nettement plus fun ». Le Digi-Tennis sera d’ailleurs installé en exclusivité dans son académie dès le mois de juin pour les sessions d’été… Avant d’équiper des gymnases et terrains municipaux ? A suivre…
>> La vidéo de Rafael Nadal à la fin de son match du 1er tour à Roland Garros. Interviewé par Cédric Pioline, il a expliqué, écran géant à l’appui (combien a payé Babolat ?) la technologie de sa nouvelle raquette…
Free a dévoilé ce mardi 10 mars une nouvelle box, la freebox mini 4K, première Box au monde capable de traiter un signal 4K et qui embarque le système Android TV de Google.
Voilà les informations essentielles à connaître sur cette petite bombe : la freebox mini 4K, disponible au tarif de 29,99 euros par mois, embarque l’ADSL 2+, la VDSL 2, la fibre optique, le WiFi jusqu’à 450 Mbit/s… Elle est 5 fois plus petite que la Freebox Crytal qu’elle remplace.
Elle permet d’avoir accès à laTV de Free (+ de 200 chaînes) et à l’offre Freebox Replay.
A noter de l’innovation aussi côté télécommande avec une fonction de recherche vocale pour vos programmes et la possibilité de visionner les contenus de son smartphone/tablette sur son téléviseurs via la techonologie Google Cast embarquée.
>> Petit recap en image :
Pour les abonnés Freebox révolution, Free propose de profiter de la Freebox mini 4k pour 1,99€ par mois supplémentaire, histoire de la brancher sur un second écran dans la maison…
Concernant les mobiles, Free permet dorénavant d’avoir jusqu’à 4 forfaits mobiles à 15,99€ pour le tout illimité… « Rappelez vous, il y a quelques années, un abonnement mobile coûtait près de 120€ pour une offre similaire. Free a fait diviser par 8 le prix de la facture de téléphonie mobile des Français » a tenu a rappeler Xavier Niel.
Bref, Free a tout compris. Niveau tarifs du moins. Reste à maîtriser la qualité du réseau. Et surtout, à avoir des images 4K à diffuser… Car maintenant qu’on a la TV et la box, il serait bon que les diffuseurs s’y mettent.
De nombreuses applications existent pour vous faciliter les transports au quotidien, à Paris et en Île-de-France. Itinéraires, infos trafis en temps réel, petites astuces pour gagner du temps… Une quantité d’applis vous proposeront des services aussi utiles qu’insoupçonnés. Une fois celles-ci installées sur votre smartphone, vous aurez dans la poche tout ce qu’il faut pour vivre les transports plus sereinement. Même en période de grêve ? Normalement, oui…
Découvrez notre sélection des 7 applications à posséder absolument pour sortir votre pass Navigo avec le sourire en toute circonstance…
Toute l’information en temps réel sur les transports en commun franciliens : en plus des trains, RER, métros et tramways, l’appli Vianavigo diffuse le temps d’attente des prochains bus RATP (Paris et banlieue) et Transdev (réseaux TRA, CSO, TVO Valmy, Apolo 7, Montesson, Rambouillet, Vulaines, Lieusaint, Vaux le Pénil et Conflans à ce jour). Le service est ainsi disponible sur les arrêts de près de 530 lignes de bus en Ile-de-France, de Paris à Sartrouville ou de Melun à Chelles. Egalement accessible via l’appli : la réception des perturbations en temps réel sur vos lignes (par notification), la recherche d’itinéraires multi solutions avec la fonction EVITER, la mise en favoris, le plan du réseau…
On apprécie son ergonomie et la clarté de son interface. Vous y retrouverez également la possibilité de consulter vos itinéraires, de voir l’état du trafic en temps réel, de définir des trajets et « Lignes favorites » pour ajouter à votre écran principal un petit widget qui vous permettra de visualiser les prochains départs de vos lignes…favorites. Pratique ! A noter que Moovit est disponible dans une dizaine de villes en plus de Paris : Marseille, Bordeaux, Rennes, Toulouse, Nantes, Strasbourg, Angers, Aix-en-Provence, Nancy, Avignon, etc.
3. Citymapper, Citymapper limited, gratuit, sur iOS et Android
On appelle ça un must have. Une de ces applis indispensables (mais toutes celles de cette sélection le sont, non ? 😉 ) Quoiqu’il en soit, Citymapper était très attendue par les Parisiens qui avaient déjà pu la tester à Londres ou à New York. Elle offre désormais sa belle interface et toutes ses fonctionnalités aux usagers de notre chère capitale ! Lauréat de nombreux prix, Citymapper vous permet de planifier vos itinéraires et ce, via tous les modes de transports : bus, métro, RER, Transilien / train, tram, vélos partagés (Vélib’ avec infos en temps réel) et taxis / VTC (vous pouvez réserver un Uber directement à travers l’appli). Sont également dispos : les horaires et infos en temps réel (prochains départs et arrivées, infos trafic, perturbations et même la… météo !). on a bien aimé le partage de destination via la fonction “Rendez-vous quelque part” ou encore les calories brûlées durant voter trajet. Si si !
4. Google Maps, Google, gratuit, sur iOS et Android
On connaît l’appli de Google pour ses cartes précises et sa navigation GPS. Peut-être moins pour ses itinéraires de transports publics ! C’est pourtant une des nombreuses fonctionnalités qu’elle propose. Bref, un véritable couteau suisse de la mobilité, qui vous évitera de faire des aller-retour enter différentes applications et vous permettra de choisir, avec les conditions de trafic en temps réel, entre la voiture et les transports en commun et, quelque soit votre choix, de vous guider à bon port. Le tout simplement et sans fioriture.
L’application officielle de la RATP. Avec elle, vous pouvez consulter en un clic vos horaires favoris, trouver le meilleur itinéraire vers votre destination directement depuis la page d’accueil et choisir de recevoir ou non des alertes en cas de perturbation sur vos lignes favrorites. On aime aussi la géolocalisation des stations et gares autour de vous, l’accès aux horaires des prochains passages des RER, Métro, Bus, Noctilien, Tramway et lignes aéroports. Bref, complet, simple et sérieux.
6. Transilien SNCF, SNCF, gratuit, sur iOS et Android
Avec l’appli Transilien de la SNCF, vous serez tenus informés des horaires des trains SNCF en temps réel et avez la possibilité de recevoir des alertes pour votre ligne. Intéressante, la page « Info Trafic » avec les perturbations et notifications des travaux en cours ou à venir. Pratique pour anticiper ses déplacements le week-end ou lors des vacances scolaires, et vérifier s’il y en a les modifications d’horaires habituels. On aime bien aussi la rubrique « ACTUALITÉS » qui vous fera découvrir quantité d’événements et manifestations qui ont lieu près de chez vous.
7. Paris ci la sortie du Métro, P.Ung, 0,99€, sur iOS et Android
C’est la seule appli payante de notre sélection mais elle propose vraiment un concept innovant et est véritablement complémentaire par rapport aux applications citées précédemment. C’est tout simple : Paris ci la sortie du Métro vous propose de gagner du temps dans le Métro, le RER et le tramway, en vous indiquant quel wagon et même quelle porte sera la plus proche de votre sortie (avec les rues qui vous interessent) ou de votre correspondance. En tête de train ? En queue de train ? Plutôt au milieu ? Si vous avez l’hbaitude de voyager en heures de pointe ou êtes pressés, cette app vous fera gagner de précieuses secondes… suffisantes parfois pour ne pas rater votre correspondance ! Ou de ne pas prendre le mauvais couloir ou la mauvaise sortie ! On aime aussi la possibilité de visionner les plans de toutes les stations, ligne par ligne et ça pour le métro (lignes 1 à 14), le RER (A, B, C, D et E) et les tramway T2, T3…
Huawei et le PSG se sont associés pour créer une édition exclusive du Huawei Ascend Mate7 limitée à 32 exemplaires et floqués de la signature de 5 stars parisienns.
C’est plus facile quand on est un partenaire du Paris Saint-Germain. Mais l’idée est plutôt sympa : Huawei et le club de la capitale se sont associés pour lancer une édition exclusive du Huawei Ascend Mate7, limitée à seulement… 32 exemplaires.
La particularité de cette édition spéciale ? Les smartphones du constructeur chinois sont numérotés et gravés avec les signatures de cinq stars du Paris Saint-Germain : Zlatan Ibrahimovic, Edinson Cavani, Blaise Matuidi, Javier Pastore et David Luiz (qui porte d’ailleurs le nouveau… 32 !). Proposée dans un beau petit coffret avec une pochette en cuir sur mesure réalisée dans l’atelier parisien du malletier de luxe Moynat, ce smartphone collector qui fera baver les plus grands fans du clubs coûte tout de même la modique somme de 1499€… Mais quand on aime, on ne compte pas, non ? Si ? Bon d’accord… Joyeux Noël quand même !
Disponible à la boutique Paris Saint-Germain des Champs-Elysées (mais dépêchez-vous ! 32 exemplaires, ça part vite…)
Les Parisiens sont de véritables Twittos ! C’est ce que l’on peut conclure après avoir observé le remarquable travail du blogueurEricFisher. Ce cartographe de formation a utilisé 3 téraoctets de tweetsgéolocalisés pour dresser une carte interactive aussi instructive qu’artistique…
Quand vous avez 6,3 milliards de tweetsgéolocalisés sous la main et que vous êtes développeur au MapBox, que faîtes-vous ? La réponse est donnée par Eric Fischer, qui après avoir recueilli tout ces tweetsgéolocalisées pendant trois ans et demi, a décidé de réaliser une carte. Il a donc inséré quelques 6.341.973.478 tweets dans sa base de données et voilà le résultat :
On y découvre bien sûr les villes les plus connectées, mais aussi, à l’intérieur de ces villes, les endroits d’où l’on tweet le plus. Comment a-t-on obtenu ce résultat ? C’est tout simple : chaque tweet est représenté par un point lumineux (attention, les retweets n’ont pas été pris en compte). Paris sort loin devant les autres villes françaises, ce n’est pas vraiment une surprise. Mais on voit des lieux qui se distinguent et d’où l’on tweete le plus.
Par exemple cette ligne à l’ouest de la capitale : qui part de la Défense et qui apparaît en nette surbrillance quand on arrive sur les Champs Elysées. Mais aussi les Gares (du Nord, Saint-Lazare…) très connectées. La Défense aussi, brille par sa concentration de posts envoyés sur le réseau social. Tout comme le quartier Châtelet-Les Halles, qui concentre une population très active sur les réseaux sociaux.
Et si on fait un focus au niveau des rues, on obtient une image comme celle-ci, où l’on imagine clairement les visiteurs tweetant leur selfie depuis la Pyramide du Louvre ou la Place du Carroussel :
On ne peut que vous inviter à vous amuser comme on l’a fait à vous balader dans cette carte d’une richesse incroyable qui nous en apprend beaucoup sur notre comportement smartphone en main et notre façon de partager nos moments de vie sur la Twittosphère et, plus généralement, sur les réseaux sociaux.
Si Jésus et Moïse avaient eu des smartphones, se seraient-ils envoyés des SMS pour échanger leurs miracles ? C’est une des situations loufoques mais ô combien hilarante imaginée par Gad Elmaleh dans son dernier One Man Show, « Sans tambour…« , qui sort aujourd’hui en DVD.
Alors on ne va pas spoiler quoique ce soit, mais sachez que le sketch qui réunit ces figures de la religion nous a fait beaucoup rire et on voulait le partager. Et pour qu’il n’y ait pas de jaloux, sachez que les musulmans, les bouddhistes ou les juifs en prennent aussi pour leur grade au même titre que les catholiques. Toujours avec subtilité, et un souci du détail qu’affectionne tant l’humoriste.
Bref, vous l’aurez compris, le smartphone utilisé dans ce sketch n’est qu’une excuse pour vous en parler, mais si vous avez envie ou besoin de rire, n’hésitez pas ! Surtout que l’image de Moïse en mode Selfie devant la mer rouge coupée en deux, y’a pas a dire, ça s’afficherait à coup sur en TT sur Twitter (TT= trending topic).
Le Nest Learning Thermostat pourraient réaliser des économies de l’ordre de 13-31 % au niveau du chauffage
Comment révolutionner le marché des détecteurs de fumée et autres thermostats en les rendants attirants ? Ce challenge -car c’en est véritablement un- saugrenu pour beaucoup avouons-le, a été relevé par l’entreprise américaine Nest. Peu connue encore du grand public français, Nest a pourtant réussi à faire installer ses produits dans plus de 130 pays. Tout en étant commercialisés uniquement aux Etats-unis, au Canada et au Royaume Uni. Aujourd’hui, jeudi 18 septembre, Nest débarque en France ! (Et aussi en Belgique, en Irlande et aux Pays-Bas).
Le détecteur de fumée qui apparaît souvent comme une verrue sur votre plafond -pour les quelques personnes qui en ont installé un dans leur domicile- n’a pas évolué depuis une cinquantaine d’années. Alors que la loi obligera chaque foyer à installer un détecteur de fumées à compter du 8 mars 2015, la question est simple : comment révolutionner un des marchés les moins sexy de l’industrie ? En apportant un design sympa et des fonctionnalités actuelles, comme la connectivité par exemple… Un détecteur de fumée connectée et intelligent, capable de communiquer avec d’autres appareils de la maison et votre smartphone ou votre tablette, il fallait y penser… Et c’est ce l’idée qu’ont eu les ingénieurs de Nest. Vive la Silicon Valley et ses bonnes idées 😉 (l’entreprise est basée à Palo Alto).
Dans le genre, c’est un peu une révolution. Commençons par Nest Protect, le détecteur de fumée et de monoxyde de carbone. En France, plus de 250 000 feu se déclarent chaque année ds les foyers. Soit un toutes les 2 minutes.
Le Nest Protect vise à faire baisser ce chiffre, en offrant une expérience utilisateur tout a fait inédite. Cet appareil, capable de détecter la fumée et le monoxyde de carbone, communique avec des couleurs et avec des mots, vous envoie des messages et des rapports sur votre iBidule, marqué d’une pomme ou fonctionnant sous Android. Le progrès est pour tous. Quoique. A 109€, ca fait tout de même cher le détecteur de fumée. Les discours marketing vous diront qu’un appareil qui peut sauver des vies n’a pas de prix. Certes. Mais face aux appareils nettement moins sexy qui inondent le marché et s’échangent à une quinzaine d’euros, il va falloir trouver sa place. Mais Nest Protect dispose tout de même de sérieux arguments. Le premier, c’est sa détection du monoxyde de carbone. Ensuite, c’est la possibilité de savoir exactement d’où vient l’alerte, et quel est le danger. Car si vous avez plusieurs détecteurs, ils communiquent entre eux… Il dispose également d’une fonctionnalité de veilleuse, qui s’allume lors de votre passage dans le couloir en pleine nuit par exemple. Discret et efficace pour éviter de marcher sur les petits cubes de Lego abandonnés par votre petit dernier. Vos pieds lui seront reconnaissants. Enfin, il sait reconnaître la vapeur de la fumée. Utile dans une cuisine ou une salle de bain. Mais c’est surtout sa connectivité qui le démarque. Couplé à votre smartphone, où que vous soyez, vous saurez ce qui a été detecté chez vous : fumée, mouvement… le tout avec un visuel très travaillé. Normal quand on sait que de nombreux salariés de Nest ont été extirpés de l’enterprise Apple. « L’expérience utilisateur », comme ils l’appellent, ils connaissent…
Nest Protect, disponible en version pile ou filaire, 109€ ttc
Le deuxième produit disponible à partir d’aujroud’hui est le Nest Learning Thermostat. Tout est dans son nom. C’est un thermostat qui va au fil des jours apprendre votre mode de vie pour adapter votre chauffage dans votre maison.
Compatible avec des systèmes de chauffage au gaz, au fiou ou encore au sol hydraulique, c’est sa simplicité d’utilisation qui est assez déconcertante. On tourne sa molette vers la droite pour augmenter la température, on la tourne vers la gauche pour la baisser. Et le tour est joué : le thermostat, en plus de se plier à vos envie, sait s’adapter au type de chauffage de votre maison pour obtenir la température souhaitée à l’heure voulue. Car c’est aussi une des fonctionnalités intéressantes du produit : la programmation. Depuis l’appareil -ça, les concurrents savent aussi le faire- mais aussi via l’application dédiée qui permet d’accéder à toutes les données et les réglages de l’appareil. Objectif visé : des É-co-no-mies ! Eh oui, il faut savoir que le chauffage représente 60% de la facture d’électricité soit environ 1600€ par an en moyenne. Avec un appareil de ce type, capable de couper le chauffage quand il ne détecte pas votre présence (oui, il dispose aussi d’un détecteur de présence) ou durant la nuit, quand vous partez en voyage… mais à l’inverse qiu sait que la maison doit être chaude à 18h quand les bambins rentrent de l’école… les économies peuvent aller jusqu’à 30%. Maxime Véron, directeur marketing des produits Nest, nous a précisé que pour Paris, dans un appartement de type 3 pièces avec 2 chambres, c’est 15% d’économie. Pas mal. De quoi rembourser rapidement l’appareil la première année (il coûte 219€ à la base) et se faire plaisir ensuite… 😉 D’ici là, vous aurez appris à maîtriser les rapports énergétiques mensuels envoyés sur votre boîte mail, l’historique de 10 jours, et vous vous serez amusés à amasser le plus de feuilles car vous aurez été le plus écolo de votre région. Bref… didactique et écologique. On aime. Ses points faibles ? Un prix pas assez serré -le prix de l’innovation- surtout quand on ajoute la centaine d’euros de l’installation d’un pro recommandée (la liste des installateurs agréés Nest sur le site du fabricant). Mais la bonne initiative, c’est le petit cadeau pour les premiers acheteurs puisque jusqu’au 24 septembre, l’installation est offerte par Nest.
Nest Learning Thermostat, 219€ ttc. En option : le socle pour thermostat, 35€ ttc
Un véritable écosystème…
Enfin, à noter que le fabricant a lancé un label « Works with Nest », qui correspond à un programme de partenariat avec des produits des fabricants comme Jawbone, Whirlpool, LIFX, Mercedes, Logitech, Google…
Bref, matériel et logiciel, apps et services… Nest vise en réalité à devenir un véritable écosystème qui permettra de rendre votre maison « consciente », tout en promettant de préserver vos données personnelles liées à son utilisation. Heureux quand on sait que l’entreprise a été rachetée il y a quelques mois par Google. D’ailleurs, Nest est même allé jusqu’à embaucher des hackers pour vérifier qu’il n’était pas possible de s’infiltrer sur ses réseaux…
Images, caractéristiques, tarifs… découvrez toutes les infos sur l’iPhone 6 et l’iPhone 6 Plus, les nouveaux terminaux d’Apple présenté lors d’une Keynote événement à Cupertino.
En 1984, Steve Jobs présentait au monde le Macintosh au Flint Center de Cupertino. Ce 9 septembre 2014, son successeur à la tête d’Apple, Tim Cook, a officialisé ce qu’il considère comme la plus grande avancée dans l’histoire de l’iPhone, et présenté deux nouveaux terminaux : l’iPhone 6 et l’iPhone 6 Plus. (lire la suite de l’article ci-dessous)
Équipés des nouvelles puces A8, les iPhone 6 et iPhone 6 Plus sont plus fins -respectivement 6,9 et 7,1mm contre 7,6mm pour l’iPhone 5S- et sont dotés d’écrans de 4,7 et 5,5 pouces. La résolution de l’écran de l’iPhone 6 Plus, précise Eli Hodapp (@hodapp) sur Twitter, est plus importante que les consoles de nouvelle génération. « Think about that for à minute »…
Au niveau du capteur photo, Apple annonce que s’il dispose toujours de 8MP, il est totalement inédit. La sensibilité et la stabilisation ont été améliorées. Et le rendu est, d’après ce que Phil Schiller présente aux journalistes sur l’écran géant de la salle, bluffant. Quand à la camera Facetime, elle dispose d’une nouvelle optique et d’une ouverture qui laisse passer 80% de lumière en plus.
Les nouveaux iPhones seront livrés avec iOS 8. Apple a d’ailleurs profité de l’événement pour annoncer son service de paiement Apple Pay, fonctionnant avec les réseaux Visa, Mastercard et American Express. Le mode d’emploi ? Scannez votre carte de crédit ou utilisez celle liée à votre compte iTunes et utilisez le lecteur d’empreinte Touch ID pour sécuriser vos paiements. On demande à vérifier mais ça semble simple.
L’iPhone 6 et l’iPhone 6 Plus seront disponibles dès le 19 septembre en France en coloris argent, or et gris sidéral. Côté tarifs, Apple annonce un « premier prix » à 709 € pour l’iPhone 6 en version 16 Go, 819 € pour le modèle 64 Go et 919 € pour le modèle 128Go. Pour l’iPhone 6 Plus, comptez 100 € supplémentaire par rapport aux tarifs de l’iPhone 6. Soit plus de 1000 euros pour le modèle haut de gamme (1019€ exactement)… L’inovation est belle, certes, mais elle n’est pas accessible à toutes les bourses. Et c’est là, sans doute, la brèche dont profiteront les plus sérieux concurrents de la marque à la pomme, Samsung, Sony et LG en tête.