31 Oct

L’appel à l’union de la Droite clermontoise lancé par cinq maires de son agglomération

Serait-ce l’expression d’un ras-le-bol ? Cinq maires de l’agglomération de Clermont-Ferrand, tous à Droite, lancent « un appel solennel » aux « têtes de listes aux élections municipales clermontoises et aux responsables des partis politiques départementaux » pour que l’union se fasse, et vite.

« À la suite des deux sondages publiés, il apparaît clairement que les conditions de la victoire de l’opposition nationale à Clermont peuvent être réunies dès lors que l’unité se forme dès le premier tour » expliquent les signataires dans un communiqué. Dans ce courrier à l’entête du Groupe Alternance Républicaine qui siège à Clermont Communauté, son président, Hervé Prononce (maire du Cendre), Louis Giscard d’Estaing (Chamalières), Marcel Aledo (Royat), Jean-Marc Morvan (Orcines) et Lucien Vray (Durtol) exigent une réunion, autour d’eux, « rassemblant tous les acteurs concernés, responsables politiques départementaux et candidats à Clermont-Ferrand« , dans les plus brefs délais.

Les querelles internes qui animent la campagne de la Droite clermontoise depuis plusieurs semaines ne sont, semble-t-il, plus du genre à amuser la galerie. Reste à voir si l’appel se soldera, oui ou non, par un râteau.

Appel GAR pour union

30 Oct

Robert Pailler, 89 ans, maire depuis 1966 et…candidat en 2014 !

Robert Pailler est un cumulard ! Le doyen des maires du Puy-de-Dôme préside son conseil municipal de Saint-Sulpice depuis 47 ans et il a bien l’intention de repartir pour un nouveau mandat en mars prochain, son neuvième (à condition que ses administrés soient d’accord). Cet agriculteur retraité n’a jamais envisagé de laisser sa place à quelqu’un d’autre, « je suis motivé pour ça et ça me plait« , dit-il.

Pas effrayé du tout par l’accumulation des contraintes, des responsabilités et de la paperasse, Robert Pailler veut continuer à « se battre » mais s’il « y a moins d’argent« .

Fabien Gandilhon et Olivier Martinet ont rencontré ce personnage atypique de la politique.

 

La rédaction de France 3 Auvergne prépare une émission spéciale diffusée le samedi 9 novembre à 11h. On attend votre point de vue !

Pour vous exprimer sur facebook et twitter, un seul hashtag : #mairenonmerci

Vous pouvez également remplir le formulaire ci-dessous.

 

Le Front National veut s’installer à la mairie de Clermont-Ferrand et, plus tard, au Conseil Régional d’Auvergne

Trois. C’est le nombre de listes que le Front National est sûr, à l’entendre, de présenter en mars prochain lors des élections municipales. Profitant de l’inauguration de son local de campagne à Clermont-Ferrand, la troupe puydômoise de Marine le Pen a affiché ses ambitions pour mars prochain et affirmer que les électeurs pourront compter sur une liste FN dans la capitale auvergnate mais aussi à Lempdes et à Issoire. Continuer la lecture

28 Oct

« Maire ? Non, merci ! », l’émission spéciale de France 3 Auvergne qui attend votre avis #mairenonmerci

AFP PHOTO MYCHELE DANIAU

AFP PHOTO / MYCHELE DANIAU

Maire ? Non, merci !

Le rôle du maire a beaucoup évolué. Il est devenu plus difficile voire ingrat. La charge de travail s’est alourdie et l’engagement demande une motivation plus grande. Un maire doit être disponible 24h/24 et 7j/7. Conséquences: beaucoup ne souhaitent plus se représenter et trouvent difficilement quelqu’un pour s’engager à leur suite. C’est le cas d’Annie Tallard, maire de Lastic dans le Puy de Dôme. Que fait-on ? « On trouvera une solution », c’est la réponse du préfet.

Un véritable statut du maire pourrait-il être une solution à la « crise des vocations » ?

Faut-il donner au maire la possibilité de se dégager, le temps d’un mandat, de ses occupations professionnelles qu’il retrouverait automatiquement à la fin de ce mandat ?

Faut-il lui attribuer un salaire ?

Revoir l’émission

27 Oct

La Droite clermontoise veut-elle vraiment l’union Brenas/Portejoie ?

Le sondage BVA commandé par des proches de Gilles-Jean Portejoie a suscité de nombreuses réactions du côté de l’UMP clermontoise. Sur les réseaux sociaux, au moment où l’institut interrogeait les 508 personnes de son panel, quelques voix s’étaient déjà élevées contre la formulation même des questions. Continuer la lecture

25 Oct

Pour le Socialiste Olivier Bianchi, « la Droite clermontoise, c’est Dallas ! »

Candidat à la succession de Serge Godard à la mairie de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi s’amuse des querelles à Droite alors que deux sondages viennent d’être rendus publics. C’est une association proche de Gilles-Jean Portejoie, qui se verrait bien calife à la place du calife, qui a dégainé la première avec un sondage de BVA avant que Jean-Pierre Brenas ne divulge la fameuse enquête de l’IFOP réalisée en juin dont les conclusions avaient participé à sa désignation comme chef de file de l’UMP pour mars prochain.

Pour Olivier Bianchi, qui conduira la liste du PS aux prochaines élections municipales dans la capitale auvergnate, « la Droite, c’est Dallas ! » a-t-il dit lors de l’émission La Voix est Libre enregistrée vendredi après-midi et diffusée samedi 26 octobre à 11h30 sur France 3 Auvergne.

Selon l’institut BVA qui a sondé 508 Clermontois par téléphone entre le 14 et le 17 octobre, Gilles-Jean Portejoie affiche une notoriété plus forte (75%) que celle de Jean-Pierre Brenas (46%). L’ancien premier adjoint de Serge Godard, qui espère toujours mener une liste soutenue par l’UMP et l’UDI, obtiendrait, par ailleurs, deux points de plus que son rival en termes d’intentions de vote au premier tour. Concernant ce dernier point, BVA et l’IFOP, que l’UMP avait mandaté pour une enquête d’opinion en juin, mettent sur un pied de quasi égalité les deux frères ennemis de la Droite en termes de scores. Toujours selon l’IFOP, la notoriété de l’avocat est certes meilleure que celle du dentiste mais ce dernier possède une plus grande marche de progression.

21 Oct

Posez vos questions à Olivier Bianchi, tête de liste PS à Clermont-Ferrand pour les Municipales 2014, invité de la Voix est Libre

Olivier BianchiLe samedi 26 octobre, à 11h30, Olivier Bianchi est l’invité de la Voix est Libre sur France 3 Auvergne. Celui qui vient d’être désigné par les militants socialistes clermontois pour être leur tête de liste aux prochaines élections municipales sera interrogé par Brigitte Cante. Nous vous invitons à lui poser, vous aussi, vos questions. Pour cela, rien de plus simple, il vous suffit de remplir ce formulaire.

20 Oct

Alexandre Pourchon à Marseille pour observer la Primaire socialiste

Le premier secrétaire de la fédération du Parti Socialiste dans le Puy-de-Dôme est à Marseille, dimanche. Alexandre Pourchon a été appelé en renfort avec une quinzaine d’autres premiers Fédéraux du PS pour surveiller le second tour de la Primaire entre Patrick Mennucci et Samia Ghali. « Ils ont demandé à une quinzaine de premiers secrétaires issus de fédérations qui tournent bien de venir observer le scrutin » nous a expliqué, vendredi, Alexandre Pourchon. « Mais attention, ça ne veut pas dire qu’il n’y a que quinze fédérations qui tournent correctement ! » a-t-il ajouté avec humour.

Alexandre Pourchon a été chargé de surveiller un bureau de vote situé dans les quartiers Nord de Marseille.

15 Oct

Clermont-Ferrand : Christian Portefaix pour un « rassemblement derrière Olivier Bianchi »

Arrivée cinquième de la première manche de la Primaire socialiste à Clermont-Ferrand, Christian Portefaix appelle au « rassemblement derrière Olivier Bianchi« , seul candidat encore en lice au second tour après le retrait d’Alain Martinet. Dans un communiqué, celui qui a rassemblé 9 voix (4,85%), le 10 octobre, explique qu’il « convient de faire de ce deuxième tour la première marche qui conduira Olivier Bianchi et la liste qu’il conduira vers la victoire en mars prochain« . Christian Portefaix ajoute que la force du PS « c’est notre unité face à l’adversité« .

 

portefaix

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Clermont-Ferrand : quel métier pour diriger la ville ?

14 Oct

Aurillac : l’UMP Jean-Antoine Moins part à la conquête de la mairie

Jean-Antoine Moins a annoncé lundi qu’il se lançait dans la bataille des Municipales à d’Aurillac. Le secrétaire départemental de l’UMP sera à la tête d’une liste qu’il espère « ouverte« . Membre du groupe d’opposition municipale « Le Changement Ensemble« , il espère ravir prendre le fauteuil de maire que Pierre Mathonier a hérité d’Alain Calmette. Une tâche qui s’annonce difficile dans une ville historiquement tournée à Gauche, Jean Mézard, maire entre 1971 et 1977 sous l’étiquette CNIP, représentant une des rares parenthèses du Centre Droit depuis 60 ans.