20 Fév

Clermont-Ferrand: Olivier Bianchi et une équipe de France 3 Auvergne coincés dans un ascenseur !

Photo: Brigitte Cante

Photo: Brigitte Cante

Ce sont les aléas de la campagne et du porte à porte. Mercredi après-midi, alors qu’il tractait avec son équipe dans le quartier Saint-Jacques à Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi s’est retrouvé coincé dans un ascenseur.

La tête de liste socialiste est restée une trentaine de minutes bloquée entre le 1er étage et le rez-de-chaussée avec trois autres personnes. Il était accompagné par un de ses colistiers, Pascal Guittard, et par notre équipe de reportage composée de notre caméraman Jean Jazeix et de notre preneur de son Laurent Janin.

Ils ont finalement été libérés par les pompiers pendant que la concierge de l’immeuble confiait à notre collègue Brigitte Cante (qui avait eu la bonne idée, elle, de prendre les escaliers) que les pannes d’ascenseur étaient courantes. Un candidat averti en vaut deux…

Les candidats EELV aux Européennes lancent « l’appel pour Kiev »

Kiev (20/02/14) - BULENT KILIC / AFP PHOTO

Kiev (20/02/14) – BULENT KILIC / AFP PHOTO

Alors que les affrontements continuent dans le centre de Kiev et qu’on apprend auprès de l’AFP, jeudi matin, qu’au moins dix manifestants auraient été tués suite à des « tirs nourris à balles réelles » dans la capitale ukrainienne, dans le même temps, les candidats Europe Ecologie-Les Verts aux élections européennes ont décidé de lancer « l’appel pour Kiev ». Ils ont choisi le site d’information Médiapart pour demander aux Européens de « rompre avec le confort de l’inaction et réagir afin de se montrer à la hauteur de l’Histoire et des espérances qu’une partie des Ukrainiens place dans son choix d’un destin européen« .

Sandrine Bélier, José Bové, Karima Delli, Yvette Duchemann, Pascal Durand, Yannick Jadot, Eva Joly, Mohamed Mechmache, Michèle Rivasi, Karim Zéribi et Clarisse Heusquin (tête de liste sur l’euro-circonscription Massif Central-Centre) appellent « l’Union Européenne à prendre des mesures de rétorsion envers les dirigeants ukrainiens« .

L’appel pour Kiev à lire sur le site Médiapart

07 Fév

Clermont-Ferrand: les 55 noms de la liste « L’Union » de Michel Fanget (MoDem)

D’abord, la réponse à la question: Gilles-Jean Portejoie est-il sur la liste menée par Michel Fanget pour conquérir la mairie de Clermont-Ferrand ? Réponse…suspense…non ! Alors que l’avocat clermontois était annoncé, le 21 janvier dernier, en 9ème position de cette liste d’union MoDem/UDI et UMP dissidents, il a finalement disparu de ce pôle central. Peut-être s’est-il lassé des nombreuses tentatives de mariage à trois avec l’UMP Jean-Pierre Brenas, toutes avortées, ou alors celui qui espérait le poste de maire en cas d’union et de victoire avec Jean-Pierre Brenas estime-t-il minimes les chances de Michel Fanget de faire basculer Clermont-Ferrand…Le saurons-nous un jour ?

Médecins et retraités en force

En tout cas, Michel Fanget se lance une nouvelle fois dans la bataille municipale avec, à ses côtés, en deuxième position sur la liste, Anne Courtillé. La conseillère municipale UMP avait conduit la liste de son parti lors des Municipales 2008 face, notamment, à…Michel Fanget. En quatrième position, on trouve l’UDI Claudine Lafaye qui, pour mémoire, s’était étonnée que François Bayrou et son représentant dans le Puy-de-Dôme aient annoncé accorder leurs suffrages à François Hollande et pas à Nicolas Sarkozy au second tour des Présidentielles 2012. Bref, les uns et les autres ont mis des petits mouchoirs sur leurs divergences pour venir étoffer l’offre au premier tour des municipales à Clermont-Ferrand.

Parmi les 55 noms, le corps médical, cher au docteur Fanget, est particulièrement bien représenté. Avec Michel Fanget, une douzaine de co-listiers sont issus du monde de la santé. C’est un peu moins que les retraités qui sont, eux, au nombre de quatorze.

Les 55 noms de la liste « L’Union »

  1. Michel Fanget (Cardiologue)
  2. Anne Courtillé (Professeur des universités honoraire)
  3. Alexis Jamet (Directeur d’hôpital)
  4. Claudine Lafaye (Cancérologue)
  5. Stanislas Renie (Commerçant artisan)
  6. Céline Pires (Secrétaire Comptable)
  7. Jean-Philippe Degui (Médecin)
  8. Marie-Françoise Tête (Directrice établissement personnes handicapées à la retraite)
  9. Miloudi Yacine (Commissaire aux comptes)
  10. Claudie Martin (Responsable associatif)
  11. Louis Rollin (Ingénieur)
  12. Stéphanie Fagot-Revurat (Directrice ressources humaines groupe La Poste)
  13. André Ledu (Médecin)
  14. Françoise Dequaire (Aide soignante)
  15. Jean-Marc Villate (Psychiatre)
  16. Delphine Perry (Chef d’entreprise dans l’évènementiel)
  17. Jean-Louis Fourcade (Cadre de santé infirmier anesthésiste)
  18. Anne Gourdy-David (Documentaliste)
  19. Guy Ballet (Publicitaire)
  20. Séverine Levert (Contrôleur interne groupe Michelin)
  21. Eric Laurent (Cadre SNCF)
  22. Marie-Françoise Michel (Chirurgien dentiste
  23. Bernard Dimoyat (Ingénieur)
  24. Colette Chirouse (Gérante d’auto-école en retraite et vice-présidente du CNPA)
  25. Jérôme Bages (Comptable)
  26. Marie-Claire Papon-Noël (Notaire)
  27. Pierre Chassaing (Chef de projet en recherche d’emploi)
  28. Annie Gounel (Avocate)
  29. Georges Mazet (Conducteur de travaux à la retraite)
  30. Françoise Gagnaire (Retraitée de l’éducation nationale)
  31. Jean Barrat (Chef d’entreprise en retraite)
  32. Brigitte Eyraud (Fonctionnaire)
  33. Thierry Morel (Formateur-chercheur Isabelle)
  34. Bertrand (Kinésithérapeute)
  35. Samir Satih (Nutritionniste/Nutrithérapeute)
  36. Chantal Rapaly (Retraitée en assurances)
  37. Loï Chanemugan (Commerçant-restaurateur)
  38. Nicole Adolph (Retraitée MSD-Chibret)
  39. Christian Guittard (Artisan-boucher en retraite)
  40. Odette Lardy (Attachée de presse en retraite)
  41. Michel Charvet (Employé de ville en retraite)
  42. Amel Abdejlil (Courtière en assurances)
  43. Daniel Mathat (Manager d’une ONG)
  44. Sum El Bargui (Conseillère en banque)
  45. Pierre Vaisse (Masseur-kinésithérapeute)
  46. Brigitte Williot (Chercheur)
  47. Paul Serre (Fonctionnaire en retraite)
  48. Louisette Orlianges (Retraitée)
  49. Gonzague Spohn (Auto-entrepreneur en téléphonie)
  50. Sarah Ben Chaffi (Etudiante)
  51. Serge Caillot (Chef de cuisine en retraite)
  52. Patricia Gerbaud (Aide-soignante)
  53. Bertrand Boyer (Informaticien en recherche d’emploi)
  54. Marie-Thérèse Lao (Retraité du ministère de l’économie et des finances)
  55. Jean-Paul Chapus (Avocat)

06 Fév

Haute-Loire: maire de Beauzac depuis 1962, Jean Proriol est à nouveau candidat

Dans son éditorial à la Une du site Internet de Beauzac, commune altiligérienne de 2 762 habitants au dernier recensement, Jean Proriol explique que, « depuis le début de [son] mandat de maire« , il a soutenu « un effort constant pour favoriser les initiatives durables« . Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’applique sans relâche cette politique depuis maintenant 52 ans. Jean Proriol est devenu maire en 1962 ! Mercredi, l’ancien député de la deuxième circonscription de Haute-Loire a annoncé qu’il ne comptait pas en rester là et qu’il était candidat à sa propre succession.

J’ai même l’intime conviction que je peux être utile car j’ai toujours l’énergie et désormais le temps pour le faire. – Jean Proriol

Dans des propos rapportés par le journal L’Eveil, l’UMP Jean Proriol affirme que la commune de Beauzac « lui est chevillée au corps » et il affirme avoir la conviction d’être utile car il a « toujours l’énergie et désormais le temps pour le faire« .

Jean Proriol est élu depuis l’âge de 28 ans. Au cours de sa longue carrière politique, il a été élu neuf fois maire, cinq fois conseiller général, quatre fois conseiller régional, sept fois député et une fois sénateur.

03 Fév

Clermont-Ferrand: pas d’union de Brenas avec Fanget qui partirait finalement sans Portejoie

Il n’y aura donc pas de liste communes UMP/MoDem/UDI à Clermont-Ferrand au premier tour des élections municipales. « Force est de constater que cette démarche n’a pu aboutir« , peut-on lire dans un communiqué envoyé dimanche soir et signé conjointement par les deux présidents associés du MoDem et de l’UDI du Puy-de-Dôme, Michel Fanget et Hervé Prononce.

Dans ce bref texte envoyé aux rédactions, les deux composantes du Pôle Central expliquent que « les exigences de l’équipe de Jean-Pierre BRENAS (…) ne prennent pas en considération les attentes des Clermontois« . Conséquence, Michel Fanget partira seul de son côté, et seulement soutenu par Gilles-Jean Portejoie. L’avocat clermontois a en effet annoncé à nos confrères de La Montagne, lundi matin, qu’il pourrait renoncer à être candidat. « Je ne veux plus directement mêler mon nom à ce Vaudeville qui désespère les Clermontois, et dont la responsabilité n’incombe ni aux dirigeants de l’UDI, ni à Fanget Fanget » dit l’ancien premier adjoint du socialiste Serge Godard. Contacté par téléphone, il n’a pas confirmé ses propos et affirmé qu’il se plierait à ce que lui demanderait Michel Fanget.

Le premier tour des élections municipales à Clermont-Ferrand aura donc des allures de primaires à Droite. Lequel de Jean-Pierre Brenas ou Michel Fanget arrivera devant l’autre ? Qui sera le mieux à même de rivaliser avec le socialiste Olivier Bianchi ? Pour essayer de trouver une réponse à ces questions, pour savoir quel choix pourraient faire les électeurs clermontois, nous nous sommes penchés sur les résultats des élections depuis 1993, année qui a vu Michel Fanget devenir député.

Si, en démocratie, la vérité sort des urnes, la dynamique n’est, semble-t-il, pas au centre de l’échiquier politique. Alors qu’il avait obtenu plus de 23% des suffrages au premier tour des législatives de 1993 et plus de 28% au même stade en 1997, le MoDem Michel Fanget voit, depuis, ses scores fondre comme neige au soleil. Au premier tour des dernières législatives, candidat sur la première circonscription du Puy-de-Dôme, il n’a obtenu que 4,84% des voix.

Si, comme le dit le communiqué du Pôle Central, l’équipe de Jean-Pierre Brenas avait des exigences, peut-être étaient-elles une conséquence de la récente confrontation des deux hommes dans les urnes. En juin 2012, le candidat UMP était arrivé largement devant Michel Fanget au premier tour des législatives avec 8 918 voix contre 2 087.

L’annonce de la fin des pourparlers entre le Centre et la Droite a forcément fait réagir, dimanche soir. Juste avant de regarder la finale du Super Bowl, le candidat socialiste à Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi, a estimé « pitoyable » le spectacle offert par ses adversaires. Et répondant à une question que lui posait Michel Sauvade, le maire MoDem de Marsac-en-Livradois, sur la menace que représenterait une liste centriste pour le PS, Olivier Bianchi a répondu « avec GJP ? Non, vous allez perdre des voix« . Le MoDem et l’UDI auraient-ils vu là un conseil à suivre…

Le communiqué de Michel Fanget et Hervé Prononce

Après la présentation de l’équipe rassemblée dans le Pôle central autour de Michel FANGET, le 21 janvier dernier, nous avons participé, l’UDI, le MoDem et les membres de la société civile à une dernière tentative de liste commune avec Jean-Pierre BRENAS, dès le 1er tour.

Force est de constater que cette démarche n’a pu aboutir.

En effet, les exigences de l’équipe de Jean-Pierre BRENAS, qui ne prennent pas en considération les attentes des Clermontois, nous amènent à proposer une vraie alternative d’union avec des membres du MoDem, de l’UMP, de l’UDI et de la société civile, afin de réussir enfin l’alternance à Clermont-Ferrand face au parti socialiste qui gère la ville en solitaire depuis si longtemps.

Nous avons donc décidé, aujourd’hui, de soutenir une liste ouverte, tolérante et rassemblée autour de Michel FANGET avec Gilles-Jean PORTEJOIE qui apporte tout son soutien.

Michel FANGET, Président du MoDem                                                   Hervé PRONONCE, Président de l’UDI

 

Le communiqué de Jean-Pierre Brenas

Le principe de l’union approuvé par tous a été acté le 21 janvier dernier. L’entente sur la juste représentation des forces en présence a été validée. Aujourd’hui, malgré tous ses engagements, Michel Fanget décide de rompre unilatéralement cet accord et une nouvelle fois de conduire une liste de division comme cela a été le cas dans le passé.

Jean-Pierre Brenas a, tout au long de la semaine, formulé des propositions afin que toutes les sensibilités puissent être représentées. Quelles qu’aient été ses propositions,  toutes ont été refusées, démontrant ainsi que la décision de la division était hélas prise.

Jean-Pierre Brenas regrette cette position. Il persiste dans sa volonté d’union et présentera une liste rassemblant tous ceux qui croient en l’unité et veulent sincèrement l’alternance. Elle représentera toutes les sensibilités composant l’opposition républicaine, toutes les catégories socio-professionnelles, tous les quartiers.

Jean-Pierre Brenas, dont la seule préoccupation est l’intérêt des clermontois, en appelle à la raison et reste la main tendue pour aboutir à l’union.

Les clermontois sauront se souvenir de ceux qui par la division empêcheront l’indispensable succès de l’alternance. Oui à ceux qui construisent l’union, non a ceux qui agitent la division.

Plus que jamais, l’objectif numéro un est de battre la gauche et le candidat socialiste. Jean-Pierre Brenas à la tête d’une liste de rassemblement UMP-Centristes incarne l’avenir, le rassemblement et un véritable espoir d’alternance  politique à Clermont-Ferrand.

02 Fév

Marie Savre mènera une liste Lutte ouvrière à Clermont-Ferrand

Marie Savre est candidate LO à Clermont-Ferrand

Marie Savre est candidate LO à Clermont-Ferrand

Lors des élections municipales de 2001, la liste Lutte Ouvrière clermontoise menée par Daniel Séguy avait enregistré le score le plus faible avec 5,15% des voix. En 2014, le parti d’extrême-gauche tentera de faire mieux avec une liste menée par Marie Savre.

L’actuelle conseillère municipale, formatrice de profession, sera secondée par Dominique Leclair, ouvrier chez Michelin. Le fabricant de pneumatiques est justement l’une des cibles de la liste anticapitaliste : « Michelin réalise des profits records et supprime des emplois. Il faut prendre l’argent de Michelin et ses actionnaires et le redistribuer localement ! » projette Marie Savre. Autre cible de la candidate : le Parti socialiste, auquel Lutte Ouvrière s’était pourtant associée lors des municipales de 2008. Alors qu’est-ce qui a changé ? Aujourd’hui le PS est au gouvernement et sa politique ne sert pas l’intérêt des travailleurs et des chômeurs, qui ne se font pas suffisamment entendre selon la candidate. Son programme est avant tout économique : « interdire les licenciements et augmenter les salaires »… des employés municipaux, pour commencer !

Marie Savre sera également candidate dans la circonscription du Centre aux élections européennes.

01 Fév

Une deuxième liste à droite à Chamalières

Comme lors de la précédente élection, la droite se présentera divisée au premier tour des municipales à Chamalières. Une seconde liste conduite par Brigitte Vaury-Billebaud, qui vient de se mettre en congé de l’UMP, affrontera celles de Louis Giscard D’Estaing (UDI) et d’Eric Spina (PS). Cette liste nommée « Réveillons Chamalières » se veut une alternative à la municipalité actuelle mais elle apparaît clairement comme un signe de division et de querelle personnelle.

L’échange d’amabilités a déjà commencé : « Je n’ai pas retrouvé chez le fils les qualités que j’admire chez le père », attaque Brigitte Vaury-Billebaud. Riposte de Louis Giscard d’Estaing : « Si elle veut utiliser son énergie sur le plan local – puisqu’on ne l’a pas vue à Chamalières depuis 10 ans – qu’elle le fasse à Clermont-Ferrand où elle a déjà été deux fois candidate ».

Alors que ses militants sont présents dans les deux camps, l’UMP affirme ne soutenir ni l’un ni l’autre des candidats. Notons la présence, sur la liste « Reveillons Chamalières », de la belle-soeur de Brice Hortefeux ainsi que de Gérard Amblard (divers droite), déjà candidat contre Louis Giscard d’Estaing en 2008.

Reportage de Pierre-Oliver Belle et Eric Taxil. 
Intervenants : Brigitte Vaury-Billebaud (tête de liste « Ensemble réveillons Chamalières »),  Christophe Serres (président de l’UMP du Puy-de-Dôme), Louis Giscard-d’Estaing (tête de liste « Pour Chamalières, une équipe en action »).

28 Jan

Marine le Pen annoncée à Clermont-Ferrand le 11 février

AFP PHOTO / BERTRAND LANGLOIS

AFP PHOTO / BERTRAND LANGLOIS

Dans un planning chargé, Marine le Pen pourrait consacrer une journée à l’Auvergne. Elle est annoncée le 11 février prochain dans le Puy-de-Dôme. La présidente du Front National devrait également tenir une conférence de presse ce jour-là à Clermont-Ferrand, commune dans laquelle Antoine Rechagneux est la tête de liste du Rassemblement Bleu Marine.

Pour Gérard Roche, président UDI du Conseil Général de Haute-Loire, les territoires ruraux ont du mal à se faire entendre à Paris

A la fin du mois de juin, Gérard Roche quittera la présidence du Conseil Général de Haute-Loire qu’il occupe depuis dix ans. A 71 ans, le sénateur UDI a décidé de ne pas se représenter, non plus, sur le canton de Fay-sur-Lignon aux prochaines élections départementales. D’ici là, il a choisi de passer la main en douceur à son successeur, Jean-Pierre Marcon. Alors que Gérard Roche vient de présider sa dernière session budgétaire, il a accordé un entretien à Gérard Rivollier dans lequel il dresse le bilan de son action et fustige les « professionnels de la politique« . Continuer la lecture

27 Jan

Clermont-Ferrand: et l’on reparle d’un trinôme Brenas/Fanget/Portejoie…

De gauche à droite: Gilles-Jean Portejoie, Jean-Pierre Brenas, Michel Fanget

De gauche à droite: Gilles-Jean Portejoie, Jean-Pierre Brenas, Michel Fanget

C’est une histoire sans fin…Alors que Brice Hortefeux avait lancé « un appel solennel » devant le club de la presse d’Auvergne, vendredi matin, pour que la raison l’emporte et que l’union Brenas/Fanget/Portejoie se fasse, les trois hommes se sont retrouvés lundi matin dans le bureau du vice-président de l’UMP, resté en Auvergne pour régler définitivement cette affaire. Continuer la lecture