Les premiers spécimens ont été repérés il y a quatre, cinq ans au large d’Oléron. C’étaient des petits, pesant 30 à 40 kg. Aujourd’hui, certains pèsent jusqu’à 300 kg.
Réglementation, fermeture de la pêche à l’anchois (sa nourriture) il y a quelques années, mise en place de quotas draconiens, tout cela conjugué à la bonne pratique de la pêche sportive, expliquent en partie cette bonne santé de la ressource en thon rouge.
Notre équipe a suivi un bateau proposant une sortie de pêche à des amateurs de « no kill », c’est-à-dire que le poisson retrouve sa liberté à l’issue du combat. Regardez.