12 Oct

A quel âge ont été élus les maires de Clermont-Ferrand ?

Donc, sauf incroyable retournement de situation, le prochain maire de Clermont-Ferrand devrait soit porter le nom d’Olivier Bianchi, soit celui de Jean-Pierre Brenas. « On change de génération ! Avec Bianchi et moi, c’est un vrai changement ! » s’exclame, du haut de ses 54 printemps, la tête de liste désignée par l’UMP. Côté socialiste, celui qui est arrivé en tête de la Primaire, et qui se retrouve seul après le retrait d’Alain Martinet, a 43 ans, c’est-à-dire 34 ans de moins que l’actuel maire de la ville, Serge Godard. Un grand écart qui a fait réagir un autre jeunot… Continuer la lecture

11 Oct

A Vichy, la tête de liste socialiste est désignée, l’UMP ironise

Jeudi soir, les militants socialistes étaient appelés à désigner ici et là leurs chefs de file pour les prochaines élections municipales. A Vichy, dans l’Allier, le premier tour de ces Primaires a suffi pour porter Pierre Gagnière en tête de la liste que le PS présentera en mars prochain dans la ville thermale. Le responsable local du PS a twitté ce succès dans la soirée, un message qui a entraîné une réaction de Frédéric Aguiléra, maire-adjoint à Vichy, UMP, le lendemain. Puis un bel échange de gentillesse et d’amabilité entre les deux hommes. Extraits… Continuer la lecture

09 Oct

Brignoles : les leaders auvergnats du FN pas surpris du résultat

Invité de France Bleu Pays d’Auvergne, mardi matin, Erik Faurot a réagi au score réalisé par le Front National lors de l’élection cantonale partielle à Brignoles dans le Var, dimanche. Le candidat frontiste est arrivé en tête au premier tour alors que la gauche est hors course. « Surprenant ? Je ne trouve pas » a dit le responsable du FN dans le Puy-de-Dôme à Jean-Pierre Demongelas. Continuer la lecture

07 Oct

Pour MAM, Laurent Wauquiez a besoin d’un peu « de raideur » !

Michèle Alliot-Marie aurait-elle un petit faible pour Laurent Wauquiez ? En tout cas, l’ex-ministre de l’Intérieur n’est pas insensible au maire du Puy-en-Velay et voit en lui un présidentiable tout à fait crédible. « Il est le plus intelligent de sa génération » a confié MAM au journal breton Le Télégramme. « Il me fait penser à Chirac » ajoute celle qui a été ministre des gouvernements Chirac (de 1986 à 1988) et Balladur (de 1993 à 195) puis sans interruption de 2002 à 2011. Continuer la lecture

Jean-Paul Dufrègne contre la limitation de la vitesse à 80 km/h !

Le président du Conseil Général de l’Allier, Jean-Paul Dufrègne, a fait savoir sur Facebook qu’il était opposé à une réduction de la vitesse maximum autorisée à 80 km/h contre 90 km/h aujourd’hui.

L’élu communiste, particulièrement concerné dans son département par les accidents de la routes avec la RCEA et la RN 7, estime que « la question est beaucoup plus dans le respect des limitations actuelles que dans un nouvel abaissement des vitesses autorisées« . Continuer la lecture

05 Oct

Jean-Luc Mélenchon lancera à Clermont-Ferrand la campagne municipale du Parti de Gauche

AFP PHOTO THOMAS SAMSON

AFP PHOTO / THOMAS SAMSON

A moins de six mois du premier tour des élections municipales, les partis politiques commencent à se mettre en ordre de marche. Alors que les Socialistes consacrent le mois d’octobre à l’organisation de Primaires, le Parti de Gauche va, lui, adopter son programme en vue de ces municipales. Les troupes de Jean-Luc Mélenchon ont choisi Clermont-Ferrand pour accueillir leur convention. Elle aura lieu les 12 et 13 octobre à Polydôme.  Ils réfléchiront également à un texte d’orientation pour les européennes.

Contactée dans la journée de samedi, Patricia Guilhot, co-secrétaire du Parti de Gauche pour le Puy-de-Dôme, a confirmé la présence dans la capitale auvergnate de Jean-Luc Mélenchon à cette occasion.

23 Sep

Le socialiste Bernard Lesterlin se verrait bien maire de Commentry (Allier)

Bernard Lesterlin jette son dévolu sur Commentry ! Le député de la deuxième circonscription de l’Allier a annoncé, lundi matin sur la radio RMB (à écouter ici), qu’il était candidat à l’investiture socialiste pour conduire une liste aux Municipales 2014 dans la commune bourbonnaise. « C’est une ville que j’aime beaucoup, c’est le berceau du mouvement ouvrier, c’est le berceau du socialisme » a-t-il expliqué pour justifier ce « choix personnel« . Bernard Lesterlin, qui a voté la loi sur le non cumul des mandats, a ajouté qu’en cas de succès en mars prochain, il cumulerait les deux fonctions de maire et de député avant de rendre son siège à l’Assemblée Nationale en 2017, quelle que soit l’issue des élections municipales.

Pourquoi Bernard Lesterlin n’est-il pas candidat à Montluçon comme on pouvait le penser ? Parce que, selon lui, cette ville « a besoin encore plus que d’autres d’un véritable choc de génération, (…) de nouvelles équipes avec de nouvelles idées« . Enfin, il estime que « refaire le coup du face-à-face Dugléry/Lesterlin n’était pas ce qu’il y avait de mieux à faire« . Sans doute le député aura été également refroidi par le dernier résultat du combat entre les deux hommes. Lors des Municipales de 2008, Daniel Dugléry l’avait emporté par KO au premier round face à l’outsider Bernard Lesterlin (50,18% des voix contre 23,93%).

Conséquence de la décision du député socialiste de ne pas retenter l’aventure à Montluçon, son parti va devoir trouver un visage. Pour Bernard Lesterlin, il ne fait aucun doute que son suppléant à l’Assemblée Nationale, Nicolas Brien, a les compétences pour mener à bien cette mission. Le jeune homme, qui aura 25 ans l’année prochaine, incarne ce nécessaire renouveau que défend le député de l’Allier. Reste à savoir s’il a cette ambition et si les militants socialistes de Montluçon la partage…

16 Sep

Laurent Wauquiez a « pété un câble » quand il est entré au Gouvernement

Invité du Supplément de Canal+, dimanche, Laurent Wauquiez, le « cool et réac » député-maire du Puy-en-Velay, a tenu à clarifier sa propre position après les propos de François Fillon qui a affirmé, dans le cadre d’un duel PS/FN, qu’il pourrait voter pour « le moins sectaire des deux candidats« . Pas question pour l’élu UMP de Haute-Loire de marcher dans les pas de celui qu’il a soutenu lors de la course à la présidence du parti: « Je ne vote pas pour le FN, je ne voterai jamais pour le FN, et je ne vote pas pour le PS parce que je considère qu’on ne peut pas soutenir ce qu’ils sont en train de faire« , a ainsi expliqué Laurent Wauquiez.

Concernant l’inventaire des années Sarkozy en particulier et de la Droite au pouvoir en général, l’ancien ministre a estimé que c’était « un exercice sain » avant d’enfoncer le clou: « vous avez exercé des responsabilités pendant dix ans, à l’arrivée, les Français n’ont pas voté pour vous, ça veut dire qu’il y a des leçons à en tirer, c’est aussi simple que ça. Et, pour moi, les leçons c’est un peu trop de paroles et pas assez d’actes« .

Si la liste des amis et proches de Laurent Wauquiez a été dressée au cours de l’émission, on sait aussi qu’une figure de droite ne mangera pas à la table de l’élu ponot avant de longues années. Evoquant ses modèles en politique, il a surtout dressé le portrait de l’anti-modèle à ses yeux. « Mon anti-modèle, ce sont des gens comme Villepin« , dit-il, « c’est l’intelligence arrogante, c’est le mépris du terrain, de l’élection« . L’intéressé appréciera.

Sur Twitter, c’est une petite phrase prononcée par Laurent Wauquiez qui a intéressé Pierre Cheynet, le leader du front National en Haute-Loire. « Quand j’ai été nommé porte-parole du gouvernement, j’ai pété un câble (…) et je suis devenu insupportable » a raconté celui qui est devenu Secrétaire d’Etat auprès du Premier Ministre en 2007 en se souvenant qu’il s’est retrouvé du jour au lendemain avec « un chauffeur et quelqu’un qui lui ouvre la porte« .

01 Sep

Laurent Wauquiez, le bon candidat à l’Elysée en 2017 pour 2% des sympathisants UMP

Si Laurent Wauquiez veut passer un jour de l’hôtel de ville du Puy-en-Velay au Palais de l’Elysée à Paris, il devra apprendre à être patient et surtout convaincant auprès des sympathisants de l’UMP.

Selon un sondage* réalisé par l’Ifop, publié dans Sud-Ouest Dimanche et repris par l’AFP, 2% seulement des 424 personnes interrogées souhaitent la candidature du député de la Haute-Loire à l’élection présidentielle de 2017. Le vice-président de l’UMP arrive loin derrière Nicolas Sarkozy (54%), François Fillon (17%), Alain Juppé (11%), Christine Lagarde (5%) et Jean-François Copé (4%).

*Sondage réalisé en ligne du 21 au 30 août auprès d’un échantillon de 424 sympathisants de l’UMP, extrait du cumul de deux échantillons correspondant à un total de 1 998 personnes et représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas.

A lire également

  • Où sont passés les amis de Nicolas Sarkozy? (Le Parisien)
  • 2017 : Sarkozy, candidat préféré des sympathisants UMP (Europe 1)