C’est désormais une évidence. Pour rétablir la bonne santé des rivières comtoises, il faut agir sur tous les fronts. Dans son rapport provisoire, l’expert du ministère de l’environnement Eric Vindimian formule cette recommandation :
« Accorder aux pressions polluantes de toutes origines liées à l’ensemble des activités anthropiques (agriculture, urbanisme, industrie, transport, tourisme…), notamment en terme d’usages de pesticides et biocides, un niveau de priorité aussi élevé que celui accordé jusqu’ici à la lutte contre les rejets diffus d’azote et de phosphore »