11 Oct

Primaire de la Droite et du Centre : Louis Giscard d’Estaing vote Juppé

Louis Giscard d'Estaing (Crédit photo MaxPPP)

Louis Giscard d’Estaing (Crédit photo MaxPPP)

Invité de Public Sénat et Sud Radio, mardi matin, Louis Giscard d’Estaing a apporté son soutien à Alain Juppé pour la primaire de la droite et du centre. Le maire UDI de Chamalières (Puy-de-Dôme) rejoint ainsi Philippe Vigier, le président du groupe UDI à l’Assemblée nationale, qui a déjà annoncé son soutien à l’ancien Premier ministre. 

« Je considère qu’il faut quelqu’un qui ait de l’expérience », explique LGE, ajoutant que le présidentiable idéal de son camp doit également avoir « du sang-froid » et « la capacité de prendre un peu de hauteur par rapport aux événements« . Le conseiller régional Auvergne-Rhône-Alpes apporte son soutien « à l’homme d’expérience et de dialogue qu’est Alain Juppé« .

06 Sep

Rififi à la tête de l’UDI : Giscard d’Estaing et la « faute politique majeure » de Lagarde au sujet de Macron

A peine Emmanuel Macron avait-il quitté le gouvernement que certains commençaient à lui faire la cour. Le premier à avoir déclaré sa flamme, on le trouve du côté de l’UDI. Jean-Christophe Lagarde, son président, affirmait au journal Le Parisien du 31 août que son parti avait « vocation à parler » avec l’ancien Ministre de l’économie. « Il y a plus de points communs dans le discours qu’il tient depuis deux ans avec nous qu’avec Aubry, Montebourg ou Hamon« , ajoutait alors le responsable centriste, allant jusqu’à évoquer un rapprochement en vue de l’élection présidentielle. Le projet commun « peut être porté par une candidature UDI, par la sienne, ou d’autres. (…) Nous en discuterons avec lui et avec nos amis« , expliquait enfin M. Lagarde.

Force est de constater qu’un des « amis » n’a pas l’air du même avis. Cité par Le Figaro, Louis Giscard d’Estaing, vice-président de l’UDI, estime que « Jean-Christophe Lagarde a commis une faute politique majeure en donnant l’impression de voler au secours d’Emmanuel Macron« . Le maire de Chamalières va-t-il à son tour voler dans les plumes de son président ?

https://twitter.com/LGiscardEstaing/status/773088139623759872

 

 

16 Sep

Régionales 2015 : Carole Montillet en piste avec Laurent Wauquiez

Carole Montillet, à côté de Laurent Wauquiez ( Les Républicains) lors de la conférence de presse du 16 septembre 2015 (Photo : AFP PHOTO/PHILIPPE DESMAZES)

Carole Montillet, à côté de Laurent Wauquiez ( Les Républicains) lors de la conférence de presse du 16 septembre 2015 (Photo : AFP PHOTO/PHILIPPE DESMAZES)

Pour remporter son match en deux rounds (les 6 et 13 décembre prochains) contre le socialiste Jean-Jack Queyranne, Laurent Wauquiez (Les Républicains) s’est adjoint les services d’une championne olympique de ski. Pour monter sur le trône régional regroupant l’Auvergne et Rhône-Alpes, le député-maire du Puy-en-Velay a fait appel à une spécialiste de la descente, Carole Montillet.

Médaillée d’or de la discipline aux JO de Salt Lake City en 2002, la skieuse française se présente aux élections régionales sur la liste Républicains-Modem-UDI dans le département de l’Isère d’où elle est originaire.

« Les gens qui me connaissent un peu vont être surpris« , a-t-elle déclaré mercredi lors de la présentation à la presse de 36 de ses co-listiers par Laurent Wauquiez, à Lyon. Si elle reconnait arriver « les bagages vides« , l’ex-sportive de haut niveau avance son « bon sens » et sa « ténacité » comme atouts.

Carole Montillet, au-delà de sa carrière sur les pentes enneigées, n’est pas une inconnue en Auvergne. Depuis 2011, elle est la marraine de la station de ski du Lioran dans le Cantal.

 

18 Nov

Régionales 2015: Louis Giscard d’Estaing vote… Michel Barnier

Louis Giscard d'Estaing et Michel Barnier lors de l'inauguration du Sommet de l'élevage à Cournon d'Auvergne en 2007. (Photo: AFP PHOTO THIERRY ZOCCOLAN)

Louis Giscard d’Estaing et Michel Barnier lors de l’inauguration du Sommet de l’élevage à Cournon d’Auvergne en 2007. (Photo: AFP PHOTO THIERRY ZOCCOLAN)

Ce n’est pas un secret. La bataille pour la présidence de la future région Auvergne-Rhône-Alpes est déjà lancée. Si, à gauche, la candidature de Jean-Jack Queyranne, actuel président de Rhône-Alpes, n’est pas ombragée par l’ambition de René Souchon, actuel président d’Auvergne, c’est parce que ce dernier a, d’ores et déjà, indiqué clairement qu’il ne se présentera pas à une éventuelle candidature.

A droite, pour l’heure, une telle entente n’est pas de mise. Le député-maire du Puy-en-Velay, Laurent Wauquiez, a déjà fait connaître sa disponibilité pour le poste. Mieux: en bon stratège de la communication, il a diffusé un sondage (1), commandé par son propre mouvement, la Droite Sociale, dans lequel il obtiendrait 56% d’opinions favorables pour conduire la liste UMP, contre Michel Barnier qui n’en obtient que 43%.

Pas de quoi impressionner l’ancien ministre et commissaire européen qui a lui-même annoncé sa candidature en octobre dernier. Il faut rappeler que Michel Barnier connaît la région, pour avoir été Président du Conseil Général de Savoie. C’est donc un duel à droite qui, d’ores et déjà, s’annonce.

Dans ce duel, le vice-président de l’UDI et maire de Chamalières, Louis Giscard d’Estaing a fait son choix. Répondant à une sollicitation de Michel Barnier, il a décidé de lui accorder son soutien, lui indiquant, dans une lettre qu’il « partage son analyse sur l’attente de nos concitoyens d’un changement de cap par la mise en place d’un projet régional à l’échelle de nouvelle collectivité ». S’il explique souhaiter « le rassemblement de toutes les familles politiques de la droite et du centre afin que ce projet régional soit porté d’une seule voix dès le premier tour », l’ancien député se met clairement en travers de la route de Laurent Wauquiez, dont il estime que l’emploi du temps est trop chargé. « S’il annonce qu’il quitte Le Puy-en-Velay, pourquoi pas… Mais dans les conditions actuelles, je ne vois comment il pourrait être un président suffisamment disponible », nous a-t-il expliqué en marge de sa participation à l’émission « La Voix est Libre », le 8 novembre dernier.

Yannick Kusy (@yannkusy)

(1) Sondage Opinion Way pour La Droite Sociale

11 Sep

Présidence de l’UDI : Hervé Morin cherche des soutiens auvergnats

A Chamalières, Hervé Morin attablé avec Louis-Giscard d'Estaing et plusieurs élus centristes auvergnats. (Photo : Nordine Mohamedi)

A Chamalières, Hervé Morin attablé avec Louis-Giscard d’Estaing et plusieurs élus centristes auvergnats. (Photo : Nordine Mohamedi)

Après avoir sillonné la région Centre mercredi, Hervé Morin poursuit sa campagne en Auvergne. Après un déjeuner avec Louis Giscard d’Estaing à Chamalières et une séance de dédicace de sa « lettre à Alma », le candidat à la succession de Jean-Louis Borloo tient une réunion publique ce jeudi soir à 18h au Centre Jean Richepin, à Clermont-Ferrand.

Le député de l’Eure, ancien ministre de la Défense des gouvernements Fillon 1 et 2, devra livrer bataille contre trois autres prétendants à la présidence de l’UDI : Jean-Christophe Fromantin, député des Hauts-de-Seine ; Jean-Christophe Lagarde, député de Seine-Saint-Denis ; Yves Jégo, député de Seine-et-Marne et actuel président par intérim de la toute jeune Union des démocrates indépendants.

Les belligérants disposent encore de trois bonnes semaines pour mener la campagne du premier tour de l’élection du président de l’UDI, dont le vote se tiendra le 15 octobre prochain. Le second tour aura lieu le 13 novembre, à l’avant-veille du Congrès du parti.

 

31 Mar

Jean-Pierre Brenas: « J’ai tendu la main à l’UDI jusqu’à en avoir des crampes »

Jean-Pierre Brenas, UMP (crédit photo: MaxPPP)

Jean-Pierre Brenas, UMP (crédit photo: MaxPPP)

Jean-Pierre Brenas est passé tout près de l’exploit à Clermont-Ferrand. Alors qu’en 2008, la liste UMP d’Anne Courtillé avait terminé à plus de 10 700 voix de celle conduite par le socialiste Serge Godard, le chef de file de l’opposition clermontoise a échoué, dimanche, à 2 504 voix de la liste d’Olivier Bianchi. Dans la soirée, dès les résultats connus, les différentes composantes de la droite puydômoise, à commencer par l’UMP et l’UDI, se sont rejeté mutuellement la responsabilité de cet échec les unes sur les autres. Toutes se retrouvent, en tous cas, sur un point, c’est l’absence d’union qui a empêché la droite de ravir la capitale auvergnate à la gauche.

Lundi matin, Jean-Pierre Brenas en a remis un petite couche sur Twitter en affirmant qu’il avait « tendu la main à l’UDI jusqu’à en avoir des crampes« . Au lendemain du premier tour, des discussions avaient eu lieu entre le candidat de l’UMP et la liste MoDem/UDI emmenée par Michel Fanget. Des tractations qui n’ont pas eu de succès, pas plus les longues négociations entreprises des mois avant le premier tour pour constituer un trio Brenas/Fanget/Portejoie.

 

La réponse du berger à la bergère ne s’est pas faite attendre. La liste l’Union Pour Clermont a très rapidement répondu à Jean-Pierre Brenas en lui conseillant de prendre du magnésium. Même KO debout, le Centre clermontois a encore des ressources…

25 Mar

Clermont-Ferrand: l’UDI appelle à voter Jean-Pierre Brenas (UMP) au second tour

Absent du second tour des élections municipales à Clermont-Ferrand après avoir échoué dans ses négociations avec le candidat UMP, les deux forces principales de la liste centriste  « l’Union » sont en désaccord sur l’attitude à adopter dimanche à l’égard de Jean-Pierre Brenas.

Michel Fanget ne donne pas de consigne de vote aux 3 039 électeurs qui ont apporté leur voix à la liste qu’il conduisait le 23 mars. « Nos électeurs sont libres » dit le président du MoDem 63 qui digère difficilement la tournure qu’ont prise les négociations avec l’UMP. Lors d’une conférence de presse, mardi après-midi, il a évoqué son « exaspération » et sa « colère » face aux agissements d’une « partie de l’équipe Brenas qui voulait éliminer le Centre du conseil municipal clermontois« .

Dimanche, il faudra faire barrage à la gauche, il faudra voter Jean-Pierre Brenas. – Hervé Prononce, président de l’UDI 63

Du côté de l’UDI, on dit comprendre la déception de ses amis Michel Fanget et Anne Courtillé après la « rupture des discussions de la part de l’équipe de Jean-Pierre Brenas » mais Hervé Prononce, qui préside le parti dans le Puy-de-Dôme, s’est montré particulièrement agacé par l’annonce de l’alliance entre le socialiste Olivier Bianchi et Alain Laffont qui menait la liste « Place au peuple » (Gauche Anticapitaliste et Parti de Gauche). Un agacement tel qu’il appelle à voter pour Jean-Pierre Brenas, dimanche, pour « faire barrage à la gauche« .

« Depuis des années, Alain Laffont ne fait que harceler, ne fait que stigmatiser la politique du Parti Socialiste et, systématiquement, est contre les propositions du Parti Socialiste, et le voilà aujourd’hui 3ème sur la liste d’Olivier Bianchi« , s’étonne-t-il. Tout fraichement réélu maire du Cendre, Hervé Prononce se demande si Olivier Bianchi a « besoin de s’abaisser si bas pour pouvoir gagner une élection« . Face à une union qui représente « les impôts et l’alliance de la carpe et du lapin », le président de l’UDI 63 dit « clairement » qu’il faut s’opposer à « cette gauchisation de Clermont-Ferrand » en apportant son soutien au candidat UMP parce que sa sensibilité est « là, au centre droit« .

14 Mar

Clermont-Ferrand: Jean Lassalle et Michel Fanget vont marcher main dans la main contre l’abstention

AFP PHOTO/PHILIPPE DESMAZES

AFP PHOTO/PHILIPPE DESMAZES

Une marche et ça repart ? Michel Fanget, mal en point à l’approche du premier tour des élections municipales selon notre sondage Ipsos/Stéria, a invité « le député qui marche » Jean Lassalle à venir faire un tour à Clermont-Ferrand.

Le lundi 17 mars, la « liste de l’Union » organise une « marche de mobilisation citoyenne pour le vote« . Crédité de 10% des intentions de vote au premier tour, et donc incertain de figurer au second tour tant la marge est faible, Michel Fanget espère convaincre les abstentionnistes et les attirer vers les urnes le 23 mars prochain.

Un autre candidat à la mairie de Clermont-Ferrand nous a signifié sa volonté de participer à cette marche, il s’agit de Frédéric Ranchon qui conduit la liste 100% Citoyens. « Je me retrouve dans les valeurs du député Lassalle« , nous a-t-il confié estimant qu’aller « au contact de la population était quelque chose que les hommes politiques avaient perdu l’habitude de faire« .

La marche débutera à 18h, lundi, devant le siège social de Michelin pour une arrivée à 19h sur la place de Jaude.

26 Fév

Chamalières: Louis Giscard d’Estaing (UDI) reçoit le soutien de l’UMP

Alors que l’UDI n’est pas parvenue à un accord d’union avec l’UMP à Clermont-Ferrand pour une liste commune au premier tour des élections municipales, on apprend mercredi que l’UMP du Puy-de-Dôme apporte son soutien à la liste conduite à Chamalières par le maire sortant, encarté à l’UDI, l’ex-UMP Louis Giscard d’Estaing. C’est l’intéressé lui-même qui a annoncé la nouvelle sur son compte Twitter. Continuer la lecture

07 Fév

Clermont-Ferrand: les 55 noms de la liste « L’Union » de Michel Fanget (MoDem)

D’abord, la réponse à la question: Gilles-Jean Portejoie est-il sur la liste menée par Michel Fanget pour conquérir la mairie de Clermont-Ferrand ? Réponse…suspense…non ! Alors que l’avocat clermontois était annoncé, le 21 janvier dernier, en 9ème position de cette liste d’union MoDem/UDI et UMP dissidents, il a finalement disparu de ce pôle central. Peut-être s’est-il lassé des nombreuses tentatives de mariage à trois avec l’UMP Jean-Pierre Brenas, toutes avortées, ou alors celui qui espérait le poste de maire en cas d’union et de victoire avec Jean-Pierre Brenas estime-t-il minimes les chances de Michel Fanget de faire basculer Clermont-Ferrand…Le saurons-nous un jour ?

Médecins et retraités en force

En tout cas, Michel Fanget se lance une nouvelle fois dans la bataille municipale avec, à ses côtés, en deuxième position sur la liste, Anne Courtillé. La conseillère municipale UMP avait conduit la liste de son parti lors des Municipales 2008 face, notamment, à…Michel Fanget. En quatrième position, on trouve l’UDI Claudine Lafaye qui, pour mémoire, s’était étonnée que François Bayrou et son représentant dans le Puy-de-Dôme aient annoncé accorder leurs suffrages à François Hollande et pas à Nicolas Sarkozy au second tour des Présidentielles 2012. Bref, les uns et les autres ont mis des petits mouchoirs sur leurs divergences pour venir étoffer l’offre au premier tour des municipales à Clermont-Ferrand.

Parmi les 55 noms, le corps médical, cher au docteur Fanget, est particulièrement bien représenté. Avec Michel Fanget, une douzaine de co-listiers sont issus du monde de la santé. C’est un peu moins que les retraités qui sont, eux, au nombre de quatorze.

Les 55 noms de la liste « L’Union »

  1. Michel Fanget (Cardiologue)
  2. Anne Courtillé (Professeur des universités honoraire)
  3. Alexis Jamet (Directeur d’hôpital)
  4. Claudine Lafaye (Cancérologue)
  5. Stanislas Renie (Commerçant artisan)
  6. Céline Pires (Secrétaire Comptable)
  7. Jean-Philippe Degui (Médecin)
  8. Marie-Françoise Tête (Directrice établissement personnes handicapées à la retraite)
  9. Miloudi Yacine (Commissaire aux comptes)
  10. Claudie Martin (Responsable associatif)
  11. Louis Rollin (Ingénieur)
  12. Stéphanie Fagot-Revurat (Directrice ressources humaines groupe La Poste)
  13. André Ledu (Médecin)
  14. Françoise Dequaire (Aide soignante)
  15. Jean-Marc Villate (Psychiatre)
  16. Delphine Perry (Chef d’entreprise dans l’évènementiel)
  17. Jean-Louis Fourcade (Cadre de santé infirmier anesthésiste)
  18. Anne Gourdy-David (Documentaliste)
  19. Guy Ballet (Publicitaire)
  20. Séverine Levert (Contrôleur interne groupe Michelin)
  21. Eric Laurent (Cadre SNCF)
  22. Marie-Françoise Michel (Chirurgien dentiste
  23. Bernard Dimoyat (Ingénieur)
  24. Colette Chirouse (Gérante d’auto-école en retraite et vice-présidente du CNPA)
  25. Jérôme Bages (Comptable)
  26. Marie-Claire Papon-Noël (Notaire)
  27. Pierre Chassaing (Chef de projet en recherche d’emploi)
  28. Annie Gounel (Avocate)
  29. Georges Mazet (Conducteur de travaux à la retraite)
  30. Françoise Gagnaire (Retraitée de l’éducation nationale)
  31. Jean Barrat (Chef d’entreprise en retraite)
  32. Brigitte Eyraud (Fonctionnaire)
  33. Thierry Morel (Formateur-chercheur Isabelle)
  34. Bertrand (Kinésithérapeute)
  35. Samir Satih (Nutritionniste/Nutrithérapeute)
  36. Chantal Rapaly (Retraitée en assurances)
  37. Loï Chanemugan (Commerçant-restaurateur)
  38. Nicole Adolph (Retraitée MSD-Chibret)
  39. Christian Guittard (Artisan-boucher en retraite)
  40. Odette Lardy (Attachée de presse en retraite)
  41. Michel Charvet (Employé de ville en retraite)
  42. Amel Abdejlil (Courtière en assurances)
  43. Daniel Mathat (Manager d’une ONG)
  44. Sum El Bargui (Conseillère en banque)
  45. Pierre Vaisse (Masseur-kinésithérapeute)
  46. Brigitte Williot (Chercheur)
  47. Paul Serre (Fonctionnaire en retraite)
  48. Louisette Orlianges (Retraitée)
  49. Gonzague Spohn (Auto-entrepreneur en téléphonie)
  50. Sarah Ben Chaffi (Etudiante)
  51. Serge Caillot (Chef de cuisine en retraite)
  52. Patricia Gerbaud (Aide-soignante)
  53. Bertrand Boyer (Informaticien en recherche d’emploi)
  54. Marie-Thérèse Lao (Retraité du ministère de l’économie et des finances)
  55. Jean-Paul Chapus (Avocat)