Le photojournalisme s’affiche à même les murs de Perpignan.
D’ordinaire, le collage a lieu de nuit à la sauvage dans les rues de Paris. A Perpignan, Jean-Marc Pujol a donné son accord et l’ambiance est plus bon enfant. Mais l’objectif demeure le même pour le collectif #dysturb né en mai dernier : « Donner à voir des photos d’actualité en pleine rue pour réveiller les consciences », « Trouver un nouveau support », « Montrer qu’en pleine crise de la presse, le photojournalisme n’est pas mort ». Continuer la lecture