Le natif de Langon était l’invité de l’émission « DFCO & Débats » ce mercredi 23 novembre, et ce n’était pas un hasard. Pierre Lees-Melou a été formé aux Girondinsde 10 à 16 ans, avant d’être recalé par le centre de formation bordelais. Samedi 26 novembre 2016, il va défier son club formateur en Ligue 1, avec Dijon. Le milieu offensif a beaucoup fait parler de lui en ce début de saison, et il rêve plus que tout de marquer les esprits à l’occasion de ces retrouvailles. Revoyez l’émission, et notre débrief des meilleurs moments.
A Nancy, la déception
« C’est un peu la soirée cata, on est conscient qu’on n’a pas réalisé un bon match, on a fait des erreurs techniques. Le synthétique était bien humide, ça va très vite et ça change, mais il fallait s’adapter, on ne peut pas se servir du terrain comme excuse. On n’a pas fait ce qui était voulu par l’entraîneur. C’était un match sans et il faut vite réagir pour faire en sorte de l’oublier. On savait que si on gagnait on distançait un peu Nancy, mais on ne l’a pas fait. C’est vrai qu’on ne va pas avoir des matchs faciles jusqu’à Noël, mais on a envie de prouver qu’on peut prendre des points contre les grosses équipes du championnat. »
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Le retour à Bordeaux
« Ça me tarde, je suis un peu excité d’y retourner ! On y va pour jouer, on a montré qu’on ne craignait personne, on va essayer de grappiller des points. On ne peut pas parler de revanche, parce que c’est quand même grâce à eux que j’en suis là, j’ai tout appris là-bas. Je ne suis pas parti en ennemi, je suis content d’y retourner mais ça s’arrête là. Moi j’y crois, on va faire quelque chose à Bordeaux. Si je marque, j’ai prévu une petite célébration… Mon pronostic ? Une victoire 2-0, ce serait parfait ! Il faut être positif, dans la vie et dans le foot. Pour moi, aucun match n’est joué d’avance. »
En soirée, j’adore le Madison ! Je fais des danses endiablées sur ces quelques pas…
PLM, révélation du championnat ?
« Ça fait que 9 matchs que je suis titulaire, il ne faut pas s’enflammer. Moi je joue, mais on verra à la fin du championnat si on peut parler de révélation, là c’est beaucoup trop tôt. Je ne compte pas partir, je vais rester à Dijon. Je n’ai aucune sollicitation… Au niveau médiatique, je suis passé du rien au tout, ça fait un peu bizarre ! Mais j’arrive à m’adapter facilement. »
Le fou du Madison
« J’adore le Madison ! C’était ma célébration après mes buts contre Lyon, et le Paris FC la saison dernière. Ça vient de mes anciennes soirées à Bordeaux et sur le bassin, on m’envoyait toujours du Madison pour danser en soirée, parce que je fais des danses endiablées sur ces quelques pas… »
