Sandrine Martinet en or. La judokate mâconnaise offre la première médaille et le premier tire à l’Equipe de France aux Jeux Paralympiques de Rio.
Il y a eu les larmes de tristesse et de rage à Londres après sa défaite et sa blessure en demi-finale, il y a eu les larmes à Rio mais de joie pour Sandrine Martinet Aurières.
Après l’argent à Athènes (2004) et à Pékin (2008), la judokate mâconnaise Sandrine Martinet a enfin décroché l’or ! Mal voyante de naissance, la Bourguignonne a dominé son tableau des moins de 52 kilos de la tête et des épaules, après deux ippons expédiés pour atteindre la finale, elle a dominé sa bête noire l’Allemande Ramona Brussig.
#JeuxParalympiques : Revivez la victoire de Sandrine Martinet en finale de #Judo -52kg #Rio2016 #BleuParalympique pic.twitter.com/mgnmMOYsJZ
— francetv sport (@francetvsport) 8 septembre 2016
Avec un waza ari et deux yuko, Sandrine Martinet a remporté le seul titre qui lui manquait. Elle a pu le fêter avec sa famille en rejoignant ses enfants et son mari dans les tribunes de la Carioca Arena.
Revivez la 1ere Marseillaise des #JeuxParalympiques pour Sandrine Martinet #Rio2016 #Judo pic.twitter.com/2dYNKKQF6D
— francetv sport (@francetvsport) 8 septembre 2016
Elle débloque aussi le compteur médaille dès le premier jour de compétition, en offrant à la France son premier titre à Rio. Mâcon était en tout cas fier de sa championne, même son célèbre footballeur, Antoine Griezmann l’a chaudement félicité.
La première médaille française est pour la mâconnaise Sandrine Martinet. Félicitations #Rio2016 ???? pic.twitter.com/iaIm9UZgl6
— Antoine Griezmann (@AntoGriezmann) 8 septembre 2016
Après avoir été couronnée deux fois championne du monde, Sandrine, 33 ans, va arrêter sa carrière et se consacrer à son cabinet de kiné.