21 Jan

La députée socialiste du Puy-de-Dôme Christine Pirès-Beaune missionnée par Manuel Valls

Crédit Photo: AFP PHOTO/ FRANCOIS GUILLOT

Crédit Photo: AFP PHOTO/ FRANCOIS GUILLOT

Christine Pirès-Beaune a été chargée par le Premier Ministre de se pencher sur les finances locales et plus particulièrement une réforme de la dotation globale de fonctionnement. La DGF est une des principales recettes des collectivités territoriales.

La députée socialiste du Puy-de-Dôme formera avec Jean Germain, sénateur PS d’Indre-et-Loire, un binôme dont la mission est de proposer des pistes de travail pour réduire l’écart entre les dotations des grandes villes et des petites communes, souhait exprimé par Manuel Valls devant le congrès des maires en novembre dernier.

« Cette réforme devra permettre de rendre les dotations de l’Etat aux collectivités plus lisibles et plus justes« , peut-on lire dans le communiqué émis par Matignon. Cette dotation annuelle de l’Etat avoisine les 50 milliards d’euros. Certains, comme Christian Eckert, la considère « injuste » et « illisible et complètement déresponsabilisante« . « Il n’est pas normal que dans les Hauts-de-Seine, il y ait des communes qui reçoivent par habitant des produits doubles ou triples de (ceux de) la Creuse« , estime le secrétaire d’Etat au Budget.

Un rapport d’étape sera remis fin février par les deux parlementaires. Le rapport définitif est attendu pour la fin juin.

16 Jan

Régionales : René Souchon répond aux critiques de Laurent Wauquiez

Au lendemain de l’annonce de la candidature de Laurent Wauquiez aux prochaines élections régionales, l’actuel président de la région Auvergne a vivement réagit aux critiques du sénateur-maire du Puy-en-Velay. Dans un communiqué de presse intitulé « A droite, rien de nouveau » diffusé vendredi, René Souchon dénonce « l’outrance mensongère » des propos tenus par le numéro 3 de l’UMP, notamment concernant les coûts liés à la construction du nouvel Hôtel de Région.

Un partout, balle au centre. La campagne des élections régionales (dont le scrutin est prévu en décembre 2015) s’annonce mouvementée !

 

Le communiqué de presse de René Souchon

C’est dans un contexte national particulièrement troublé, après les évènements dramatiques survenus la semaine dernière, que le Secrétaire général de l’UMP a souhaité annoncer sa candidature aux élections régionales de décembre prochain.

Si le temps de la campagne n’est pas venu, il est cependant impensable de ne pas réagir compte tenu des nombreuses approximations et contre-vérités affirmées par ce dernier. Le candidat UMP a choisi d’utiliser le registre de l’outrance mensongère, à renfort d’expressions du type « ils ont asphyxié la région », « ils ont laissé dériver la dépense », « on a fait exploser les impôts », « on a gaspillé l’argent ».

Il convient tout d’abord de rappeler que la collectivité régionale ne prélève plus d’impôts directs et ce depuis plusieurs années. On ne peut donc laisser dire que « les auvergnats payent les conséquences sur les feuilles d’impôts » à partir du moment où la région ne perçoit plus un centime, que ce soit sur les taxes d’habitation, les taxes foncières et alors que la taxe professionnelle a été supprimée.

La Région fait l’objet, depuis près de quatre ans, d’une notation financière effectuée par une agence indépendante (Standard & Poor’s) et qui vient de confirmer la note de « AAperspective
stable » pour la collectivité et ce en vertu d’anticipation et d’une gestion rigoureuse qui permet notamment de maintenir un haut niveau d’investissement.

On ne peut enfin laisser affirmer que l’hôtel de région se traduit par un coût au m² de 5 000 € pour un coût total de 80 millions d’€. La dépense finale de cet équipement nécessaire au service public régional sera, dès lors que le remboursement de la TVA sera intervenu, de 68 millions d’€ toutes dépenses confondues. Dès lors, le prix au m² ne sera que de 4 058 €. Si l’on isole le coût des travaux de construction, d’un montant de 49 millions d’€, le prix au m² est de 2 924 €. Il faut enfin rappeler au candidat UMP que ses propres amis politiques ont adopté le principe de construction de l’hôtel de région, tout comme les crédits nécessaires à la construction de cet équipement.

La Région Auvergne n’a enfin pas attendu Monsieur Wauquiez pour déployer le Haut Débit et le Très Haut Débit Internet sur la base d’un partenariat exemplaire avec l’ensemble des Départements de notre région. L’Auvergne est aujourd’hui une région pionnière en matière de numérique, elle est en cela plus à même d’affronter les futurs défis économiques.

Oui, la région Auvergne a fait plus pour ceux qui ont moins !

Cette devise, aujourd’hui usurpée par l’UMP, figurait dans l’engagement n°70 des 82 engagements issus des Assises Territoriales en janvier 2005. La Région n’a eu de cesse de décliner ce principe fondateur de son action en direction de tous les territoires.

Le débat démocratique et la nécessaire confrontation des idées qui doivent avoir lieu dans le cadre des futures élections pour la grande région Auvergne – Rhône-Alpes, qui fait actuellement l’objet d’une co-construction entre les deux présidents, mérite mieux que cette série d’approximations et de contre-vérités.

Départementales : le FN de l’Allier retire l’investiture d’une candidate condamnée pour escroquerie

C’est une mésaventure dont le Front national se serait bien passé, à deux mois des élections départementales… Le parti de Marine Le Pen a dû retirer en début de semaine l’investiture d’une candidate sur un canton de Montluçon.

Cette ex-auxiliaire de vie, âgée de 57 ans, a été condamnée en juillet 2014, en première instance, pour escroqueries et contrefaçons de chèques, au préjudice de personnes âgées. Le tribunal correctionnel de Montluçon l’a toutefois été relaxée des faits d’abus de faiblesse. Selon le quotidien régional La Montagne, elle a écopé d’une peine de huit mois de prison avec sursis et a été condamnée à verser 20.000 euros de dommages et intérêts. Ayant fait appel, cette personne reste présumée innocente.

La future ex candidate avait été présentée samedi 10 janvier aux militants locaux, à Montluçon, en présence du député européen Bruno Gollnish, réunis autour d’une galette des rois. Gageons que la fève a été difficile à avaler, malgré les dénégations du responsable Front national de la jeunesse dans le département.

Arnaud Couture a ainsi déclaré à l’AFP : « Ce n’est pas un coup dur pour le FN dans l’Allier. Le problème a été tué dans l’oeuf et nous avons deux candidates à sa place pour la remplacer. (…) Nous avons simplement pris les devants pour lui permettre de préparer sa défense tranquillement et éviter une surmédiatisation excessive de cette affaire ».

Ce « couac » n’est pas sans rappeler la révélation du passé criminel d’un conseiller municipal FN, en avril dernier, quelques jours après son élection à Clermont-Ferrand. Une information fracassante qui avait considérablement embarrassé le parti et mené à la démission de l’élu.

 

Sources : AFP, La Montagne, France 3 Auvergne

15 Jan

Laurent Wauquiez, candidat à la présidence de la région Auvergne-Rhône-Alpes, mais avec quels mots ?

C’est depuis Lyon, jeudi matin (15/01/2015), que Laurent Wauquiez a annoncé sa volonté de mener la liste de la droite aux prochaines élections régionales, celles qui verront la constitution d’une grande entité Auvergne-Rhône-Alpes.

Le député-maire UMP du Puy-en-Velay, également numéro 3 du parti présidé par Nicolas Sarkozy, affirme être « candidat pour apporter un nouveau souffle, du dynamisme et du renouvellement à cette région« . Dans un texte publié sur le site wauquiez.net, il évoque la candidature d’une « équipe » plutôt que celle « d’un homme« . 

Critiquant la gestion, dans leur région respective, des socialistes Jean-Jack Queyranne et René Souchon, il se fixe comme objectif « de faire de la Région Rhône-Alpes – Auvergne, la région leader en France« .

Dans le message qu’il a posté sur son site internet, Laurent Wauquiez a utilisé 540 mots pour expliquer son envie de mener la droite vers la victoire en décembre prochain. Nous avons recensé les mots qui revenaient le plus souvent.

Le texte de candidature de Laurent Wauquiez

JE SUIS CANDIDAT POUR APPORTER UN NOUVEAU SOUFFLE ET DU DYNAMISME

Je suis candidat pour apporter un nouveau souffle, du dynamisme et du renouvellement à cette région. Ce n’est pas la candidature d’un homme, mais d’une équipe. Déjà de nombreux parlementaires m’ont apportés leur soutien de même que les maires auxquels les Rhône-Alpiens et Auvergnats ont fait confiance au cours des dernières élections.

Il faudra choisir mais la légitimité viendra du terrain, ce sont les Rhône-Alpiens et Auvergnats qui décideront mais pas Paris. Un choix devra être fait.

Je tends la main à Michel Barnier pour qu’il rejoigne notre équipe. C’est un homme de talent qui a de grandes compétences internationales.

Les gens ne veulent pas de division, mais du rassemblement. Je souhaite aller à leur contact car c’est avec eux et en les écoutant que je construirai mon programme.

Il faudra gérer la Région avec tout le monde, dans un rassemblement le plus large possible, mais je m’adresse directement aux Rhône-Alpiens et Auvergnats en dehors des étiquettes. Ne comptez pas sur moi pour les petites combines d’arrière-cuisine.

Je regrette que l’argent public ait été gaspillé ces dernières années avec comme exemple emblématique les 140 millions d’euros du nouveau siège de la Région Auvergne, qui est déjà trop petit vu le nombre de personnel. Combien aurait-on pu créer de lycées, ou de centres d’apprentissage avec cet argent ?

Je reproche aussi l’endettement de Rhône-Alpes multiplié par quatre en dix ans. Le principal bilan de Jean-Jacques Queyranne, sera de laisser des dettes. Je reproche aussi d’avoir laissé la Région aux abonnés absents, dans la crise : trop peu a été fait pour soutenir l’emploi et les entreprises.

Les rapports avec la nouvelle métrople Lyonnaise doit être à l’inverse de l’image déplorable donnée jusqu’à présent d’une querelle de personnes d’un même parti. Il faut que Région et métropôle travaillent ensemble. Celle-ci est une chance pour la Région mais la Région doit s’occuper de tous les territoires.

Cette querelle est absurde. Chacun a un rôle à jouer en bonneintelligence. Mon objectif est de faire de la Région Rhône-Alpes – Auvergne, la région leader en France. Je veux porter haut son drapeau !

Ma priorité sera la Région.

Je ne serai plus maire du Puy-en-Velay mais j’utiliserai mon poids politique national pour défendre mon territoire à Paris.

Lorsque je me donne pour quelque-chose je me donne jsuqu’au bout. Vous savez, je veux être jugé pour mes actes et non sur mes paroles. Comme maire, j’ai repris une ville en difficultés financières, je l’ai remonté ;
– les impôts augmentaient : ils baissent
– les industries ne s’y installaient plus : j’ai fait venir une entreprise de luxe dans la Maroquinerie
– la ville perdait des habitants : elle en regagne

Comme Ministre à l’emploi et à l’université, j’ai toujours veillé à la Région.

Je viens ici pour m’occuper de la Région, en laquelle je crois profondément et que j’aime. Je suis le fils de cette grande Région et du lien entre Rhône-Alpes et Auvergne ; né à Lyon, je suis élu et je vis en Haute-Loire.

Je vais d’abord aller sur le terrain à la rencontre des habitants et de leurs attentes mais ma priorité sera l’emploi, l’apprentissage et le soutien aux petites d’entreprises.

Olivier Bianchi éprouve un « malaise » face à la ruée vers le dernier numéro de Charlie Hebdo

Olivier Bianchi

Le 11 janvier 2015, il était en première ligne de la manifestation qui a rassemblé plus de 70 000 personnes dans les rues de Clermont-Ferrand. Quand il s’agit de défendre la liberté de la presse, la liberté d’expression, les valeurs de la république, Olivier Bianchi est Charlie.

Les images des gens se précipitant, comme lors des soldes à Londres, pour acheter Charlie Hebdo, ça crée en moi un malaise.

Mais il n’est pas Charlie dans ses lectures. « Je vais être honnête, a-t-il avoué lors de ses vœux à la presse, je n’ai jamais acheté Charlie Hebdo de ma vie« . Le maire clermontois se reconnaît davantage dans Le Canard Enchaîné qu’il lit, en revanche, chaque semaine.

A ce sujet, l’élu socialiste avoue un certain « malaise » quand il voit « des gens se précipitant, comme lors des soldes à Londres, pour acheter Charlie Hebdo« . « Ces gens vont-ils l’acheter dans un mois, six mois, un an ?« , s’interroge-t-il.

On va voir s’il y a un vrai effet républicain, si ça dure plus de trois mois.

Fier d’avoir été à la tête d’un cortège de plusieurs dizaines de milliers de personnes venues, comme lui, défendre la liberté, l’égalité et la fraternité républicaines, Olivier Bianchi espère que cette prise de conscience populaire ne se limitera pas à un sursaut. « En démocratie, ce sont d’abord les élections qui compte« , a-t-il rappelé à son audience. « On va voir s’il y a un vrai effet républicain, si ça dure plus de trois mois« , a-t-il ajouté avant de conclure: « il ne faudrait pas que la prochaine étape de cette affaire soit l’arrivée au pouvoir du Front National« .

07 Jan

L’Auvergne « abattue, en colère, horrifiée, révoltée, abasourdie, boulversée »… #JeSuisCharlie

charlie

Abattu, en colère, horrifiés, révoltés, abasourdi, boulversé…Voici quelques-uns des mots utilisés par les figures politiques auvergnates pour condamner l’attentat dont a été la cible le journal satirique Charlie Hebdo, mercredi matin.

Face à l’horreur, les couleurs politiques s’effacent pour laisser place à l’unité. Sur les réseaux sociaux, l’émotion s’exprime. « Face à l’horreur, la consternation d’abord puis l’union nécessaire pour faire reculer la terreur« , a réagi Laurent Wauquiez, le député-maire UMP du Puy-en-Velay, sur Facebook. Le maire socialiste de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi, a transmis un communiqué aux rédactions: « Ce geste lâche est une intolérable atteinte à la liberté de la presse. Face à cette violence et à cette barbarie, l’émotion me submerge« , écrit-il.

Mercredi soir, des rassemblements sont organisés à 18h30 à Clermont-Ferrand, sur la place de Jaude, et au Puy-en-Velay devant la préfecture, « sans signe partisan » insiste Laurent Johanny, candidat socialiste aux dernières municipales dans la cité ponote. Vichy et Aurillac gonflent également la liste.

 

06 Jan

Bus Clermont-Périgueux: les Auvergnats et Périgourdins pas sur la même ligne que François Hollande

Invité sur France Inter, lundi matin, François Hollande a défendu la loi Macron et l’un de ses aspects: l’assouplissement de la législation du transport en autocar. Pour le chef de l’Etat, le texte devrait permettre de faciliter les échanges entre les grandes villes de province quand le train ne répond pas aux attentes. « Quand vous voulez aller de Clermont-Ferrand à Périgueux, même avec un bon réseau ferré c’est pas facile, des fois, on vous demande même de remonter vers Paris« , a ainsi justifié M. Hollande au micro de Patrick Cohen.

 

Les propos du Président de la République ont provoqué de nombreuses réactions. Certains s’en sont simplement amusés quand d’autres ont ri…jaune. Leader de l’opposition municipale à Clermont-Ferrand, l’UMP Jean-Pierre Brenas, déjà lassé d’attendre un TGV qui n’arrivera peut-être jamais, se dit que l’autocar, c’est peut-être finalement mieux.

 

Philauvergne, quant à lui, suggère qu’on recrute davantage d’Auvergnats à l’Elysée pour éviter ce genre de dérapage (in)contrôlé.

Du côté aquitain, la pilule passe mal également. David Derhille, animateur sur la radio France Bleu Périgord ironise en demandant la mise en service d’une « chariote » sur la ligne !

https://twitter.com/DavidDerhille/status/552162822709579777

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Poste à pourvoir à la mairie de Clermont-Ferrand

Jusqu’au vacances de Noël, Anne Korobelnik occupait le poste de directeur de cabinet du maire de Clermont-Ferrand. Vieille connaissance d’Olivier Bianchi, elle avait dirigé la campagne du candidat avant de devenir son bras droit à l’Hôtel de Ville. Mais, moins de neuf mois après la prise de fonction du successeur de Serge Godard, leur collaboration s’est arrêtée.

La rumeur d’une probable séparation circulait déjà avant les congés, le départ d’Anne Korobelnik aurait été confirmé lundi soir aux adjoints par Olivier Bianchi lui-même selon Cédric Gourin, notre confrère de La Montagne.

Pour trouver son ou sa remplaçante, l’édile socialiste pourra toujours diffuser une annonce sur Twitter. Clermont-Ferrand étant la 9ème ville de France la plus suivie sur le réseau.

23 Déc

Le candidat PS sur le canton de Chamalières se prend pour VGE dans un Dubsmash

C’est la nouvelle tendance du web, et il était fort à parier qu’elle ne tarderait pas à être adoptée par les hommes et femmes politiques. Pour annoncer sa candidature sur le canton de Chamalières (Puy-de-Dôme) aux prochaines élections départementales, le socialiste Clément Voldoire a utilisé l’application Dubsmash.

Nouveau venu sur le web, cet outil permet de réaliser des playbacks sur des textes ou des chansons. Le candidat PS a choisi de reprendre le discours de Valéry Giscard d’Estaing annonçant sa candidature à l’Elysée en 1974 pour lancer sa propre campagne.

L’idée en soi n’est sans doute pas mauvaise mais le comédien aurait pu apprendre son (court) texte un peu mieux…On sent une pointe d’hésitation à chaque mot. Serait-ce si difficile de marcher dans les pas de son illustre aîné ?

 

09 Déc

Jacques Barrot remplacé par Lionel Jospin au Conseil Constitutionnel

Après le décès de Jacques Barrot, le 3 décembre dernier, Lionel Jospin va faire son entrée au Conseil Constitutionnel et prendre le fauteuil de l’ancien ministre centriste.

A 77 ans, il a été choisi par le président PS de l’Assemblée nationale Claude Bartolone. Lionel Jospin est nommé « pour cinq ans, pour finir le mandat de Jacques Barrot« , a-t-on précisé à la présidence de l’Assemblée nationale.

Premier ministre de François Mitterand et candidat battu à l’élection présidentielle en 1995 (au second tour) et dès le 1er tour en 2002, Lionel Jospin, en remplaçant un Auvergnat au Conseil Constitutionnel, va en retrouver deux autres: l’ancien Président de la République Valéry Giscard d’Estaing et l’ancien ministre socialiste et très fervent mitterrandien Michel Charasse.

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