L’été dernier, le photographe Bruno Amsellem s’est rendu en Birmanie dans les camps des Rohingyas, une minorité musulmane persécutée par les bouddhistes extrémistes du pays. Il expose ses clichés cette année à Perpignan et raconte son parcours pour infiltrer ces camps très fermés.
Bruno Amsellem est un habitué de Visa pour l’image. Déjà présent en 2006 et 2012, le photographe lyonnais revient cette année avec un reportage sur les Rohingyas du sud-ouest de la Birmanie. Pendant plusieurs mois, lui et la journaliste Anne-Lise Fantino se sont immergés pour le magazine Femmes en résistance dans le quotidien de cette société musulmane persécutée par les bouddhistes qui leur refusent la nationalité birmane. Continuer la lecture