©ClemB – 2013
Le parking des Près-de-Vaux se transforme cette année encore en salle de concert à ciel ouvert pour un rendez-vous immanquable entre la musique classique et les Bisontins.
Au pied de la Citadelle éclairée, chaque année, le concert d’ouverture du Festival de Musique de Besançon est un ravissement visuel et auditif. C’est l’Orchestre des Pays de Savoie, dirigé par Nicolas Chalvin, qui nous propose pour cette 67ème édition une programmation résolument moderne et plutôt enjouée, où piano et opérette sont à l’honneur :
- Jacques Offenbach : La Vie parisienne (ouverture)
- Guillaume Connesson : The Shining one, concerto pour piano et orchestre
- Darius Milhaud : Le Bœuf sur le Toit, op. 58
- Maurice Ravel : Concerto pour piano et orchestre en sol majeur
Début du concert à 20h30, entrée gratuite. Toute la programmation du Festival de Musique de Besançon, du 12 au 21 septembre 2014 sur festival-besancon.com.
A 22h00, on traverse le parking de la Rodia pour se rendre au concert de Koum Tara, une rencontre entre poésie, mélodies traditionnelles Chaâbi (Algérie), tradition du quatuor à cordes occidental, improvisation du jazz et musiques électroniques. Places à retirer à partir de 18h au guichet de la Rodia, ou dès maintenant au Kursaal de Besançon.
© Koum Tara – photo Facebook
En attendant ce soir, nous vous proposons de revivre l’édition 2013 du concert d’ouverture du Festival de Musique de Besançon à travers l’émission spéciale de France 3 Franche-Comté. L’Orchestre philharmonique de Strasbourg, sous la houlette de Marko Letonja, nous avait interprété Rienzi de Wagner, Peer Gynt de Grieg, La Force du destin de Verdi et Suite Masquerade de Khatchaturian.
Emission diffusée le samedi 14 septembre 2013
A voir également une série d’archives exceptionnelles, (cliquez sur le lien !) notamment de 1965 où l‘orchestre philharmonique de l’ORTF joue la Symphonie Fantastique de Berlioz. A sa tête, un jeune chef, lui aussi fantastique. Il n’a que 30 ans. Il a gagné le concours des jeunes chefs d’orchestre de Besançon en 1952. Il s’agit de Seiji Osawa, aujourd’hui l’un des plus grand chef d’orchestre au monde.
