Dans sa voix, on entend le vent, la pluie, les villes, les gens. Auteure-compositrice, Yasmina Sana apparaît sur la scène française avec délicatesse, habillée d’une poésie singulière, de chants antiques et de riffs de guitare où le soleil et la nuit se côtoient.
Farid Haroud l’a rencontrée pour France 3 Rhône-Alpes à l’occasion de la sortie de l’album ‘Animale ordinaire »
Remarquée lors des premières parties d’Ayo, du groupe berbère Tinariwen, de la chanteuse indienne Susheela Raman, ou encore de Batlik, Mathieu Boogaerts, Alexis HK et Barbara Carlotti, Yasmina Sana se place aux frontières de la chanson française et de la fusion de sons d’ailleurs.
Son style singulier, nourri par la littérature et par les auteurs du rock des années 60, mêle guitares folk, basses précises et percussions africaines. Son premier album « ANIMALE ORDINAIRE » la place d’emblée dans un univers folk rock, félin et généreux. Un opus sous le signe du mouvement, entre acoustique et électrique, peaux et battements, origines et destinations.