Le 8 décembre prochain, les militants socialistes sont appelés à choisir qui seront leurs candidat(e)s dans les différentes circonscriptions à l’occasion des prochaines élections législatives (11 et 18 juin 2017). On sait déjà qu’un élu socialiste, majeur, du Puy-de-Dôme, ne se prononcera pas ce jour-là.
Bien qu’il soit à jour de cotisation et adhérent depuis au moins le 8 juin 2016, comme le stipulent les règles instaurées par le Parti Socialiste, Olivier Bianchi n’ira pas voter. Sa voix n’ira donc à aucune des trois candidates à la candidature sur la 1e circonscription du Puy-de-Dôme : Cécile Audet, Marion Canalès et Anna Aubois.
#Legislatives @olivierbianchi1 à Paris le 8/12 ne votera pas pour départager les trois candidates #Clermont Nord Trop de division au #PS ?
— Brigitte Cante (@BriKant) December 1, 2016
A cause d’un calendrier (ou grâce à ?) qui l’envoie à Paris pour une réunion importante (et calée de longue date) de l’ANRU, le maire de Clermont-Ferrand ne pourra pas dire dans l’urne qui de ses deux adjointes ou de la conseillère régionale Auvergne Rhône-Alpes il préfère.
Après 19 ans (elle a été élue pour la première fois en 1997), la socialiste Odile Saugues a décidé de ne pas se représenter sur la 1e circonscription du Puy-de-Dôme. Le PS a annoncé que ce territoire d’élection serait réservé à une candidature féminine, ce que conteste Bertrand Pasciuto, le maire de Cournon-d’Auvergne et… suppléant de la députée sortante. L’élu socialiste a d’ores et déjà annoncé qu’il serait « candidat aux élections législatives quoi qu’il arrive« .