07 Fév

Benoît Hamon, ministre délégué de l’Economie Sociale et Solidaire, à Clermont-Ferrand, lundi

AFP PHOTO ERIC PIERMONT

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Benoît Hamon, le ministre délégué chargé de l’Economie Sociale et Solidaire et de la Consommation, effectuera une visite à Clermont-Ferrand, lundi. Le ministre échangera avec les acteurs locaux de l’ESS et leur présentera les avancées de la loi Economie sociale et solidaire, adoptée en première lecture au Sénat le 8 novembre dernier.

Après un passage par la Préfecture du Puy-de-Dôme où il échangera, le matin, avec des acteurs locaux de l’ESS, Benoît Hamon est attendu en début d’après-midi dans les murs de la pépinière d’entreprises Pascalis. C’est là que se trouve le pôle territorial de coopération économique (PTCE) « Le Damier ». Ce pôle est l’un des 23 lauréats nationaux de l’appel à projets pour le développement des PTCE lancé dans le cadre de la loi Economie sociale et solidaire.

Le ministre délégué participera ensuite, à la Direction régionale de Pôle Emploi, à la signature d’une convention entre Pôle emploi et le cabinet de recrutement Mozaïk RH, association soutenue par le ministère qui facilite le recrutement de jeunes diplômés des quartiers.

Programme

  • 11h Echange avec les membres de la Chambre régionale d’économie sociale et solidaire (CRESS) sur le développement de l’Economie sociale et solidaire pour les cinq prochaines années. Préfecture du Puy-de-Dôme, salle Etienne Clementel – 18 boulevard Desaix Clermont-Ferrand
  • 12h10 Point presse à la préfecture. 14h30 Visite du Pôle territorial de coopération économique « Le Damier », spécialisé dans les musiques actuelles, les media et l’image. Pépinière d’entreprises Pascalis – 10 rue Evariste Galois-La Pardieu – Clermont-Ferrand
  • 15h45 Signature d’une convention avec le cabinet de recrutement Mozaïk RH. Direction régionale Pôle Emploi, 91 avenue Edouard Michelin Clermont-Ferrand

16 Oct

Sylvia Pinel dans le Puy-de-Dôme, jeudi

Sylvia Pinel - LIONEL BONAVENTURE / AFPSylvia Pinel, la ministre de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme, est attendue dans le département du Puy-de-Dôme, jeudi. Sa matinée sera consacrée à la visite d’un regroupement de commerce de proximité à Paugnat puis à celle de lodges à Saint-Pierre-le-Chastel. L’après-midi, la ministre ouvrira le congrès de la fédération des Offices de Tourisme à Clermont-Ferrand.

Son programme en détail :

  • 09 H 30 – Visite du regroupement de commerces de proximité en centre bourg (Paugnat, commune de Charbonnières-les-Varennes)
  • 10 H 45 – Visite de l’hôtel « Volca’lodges », hôtel comprenant 10 lodges éco-construits au pied du puy de Dôme (Saint Pierre le Chastel), suivie de la présentation du projet de création Locavore, une épicerie qui proposera à Saint Gervais d’Auvergne, des produits régionaux agricoles et artisanaux
  • 13 H 30 – Ouverture du Congrès de la fédération des Offices de tourisme (Polydôme de Clermont-Ferrand – Centre d’Expositions et des Congrès)

Remise par Sylvia PINEL de la médaille d’or du tourisme à Jean BURTIN, Président de la fédération des Offices du tourisme.

14 Juin

Dans le Puy-de-Dôme, Marylise Lebranchu affirme au sujet des retraites que « s’il faut prendre des décisions, quelle qu’en soit la nature, nous les prendrons »

C’est à Riom, dans le Puy-de-Dôme, que Marylise Lebranchu, ministre de la fonction publique, a réagi pour la première fois aux conclusions du rapport de la commission Moreau sur les retraites. Dans le journal de 12h de France 3 Auvergne, la ministre du gouvernement Ayrault a affirmé que « la négociation sociale va primer dans tout le cheminement des décisions à prendre« .

Concernant la préconisation d’augmenter la durée de cotisation à 43 ans pour la génération née en 1962, puis à 44 ans pour les personnes nées en 1966 (contre une durée maximale de 41,5 ans actuellement), Marylise Lebranchu n’a pas engagé son avis, préférant prendre le temps de la réflexion. Toutefois, « s‘il faut prendre des décisions, quelle qu’en soit la nature, nous les prendrons, a dit la ministre, mais il faut qu’elles soient justes, équilibrées et qu’on réponde au déficit de vingt milliards d’euros« .

Sur l’instauration d’un nouveau mode de calcul pour les fonctionnaires, « en le faisant progressivement reposer sur une période (de calcul) plus longue que six mois » et en intégrant une partie des primes, Marylise Lebranchu a profité de sa visite dans une école d’Auvergne pour rappeler que tous « les traitements des fonctionnaires ne sont pas construits de la même façon » en ajoutant que être « ici dans une école où des enseignants n’ont pas de prime quand d’autres de leurs collègues en ont« .

Plus généralement, la ministre de la Réforme de l’Etat, de la Décentralisation et de la Fonction publique a dit ne pas souhaiter « qu’on évacue le fait qu’il manque vingt milliards d’euros pour notre régime de retraite par péréquation en 2020« , elle ne veut pas non plus de entendre de « commentaires plus ou moins bienveillants » à l’intention des « fonctionnaires » rappelant que « régler le problème des vingt milliards » était « une grande urgence pour nous tous« .