06 Oct

Clermont-Ferrand: Olivier Bianchi face à ses administrés, le 24 octobre

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Alors qu’il vient de passer le cap des six mois à la tête de la ville, le maire socialiste de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi, a accepté de débattre avec les internautes, le 24 octobre prochain. Si vous souhaitez discuter avec lui, si vous avez des questions à lui poser, des remarques à formuler, des idées à lui suggérer, France 3 Auvergne vous offre la possibilité de lui dire directement.

Le 24 octobre prochain, Olivier Bianchi vous donne rendez-vous à 17h30 pour un tchat vidéo et écrit.

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26 Sep

L’UMP Jean-Pierre Brenas veut « une métropole arverne » allant de Vichy à Issoire

Jean-Pierre BrenasChef de file de l’opposition clermontoise, l’UMP Jean-Pierre Brenas était l’invité du Club de la Presse d’Auvergne, vendredi, au lendemain du premier meeting marquant le retour officiel de Nicolas Sarkozy dans le jeu politique. Le conseiller municipal a évoqué son soutien à l’ancien chef de l’Etat mais il a aussi évoqué la vie locale et les prochaines échéances électorales, notamment les Départementales de mars 2015. Un scrutin auquel il n’exclut pas de participer.

Sarko 2, le retour

« Je constate que le pays est dans une ambiance politique cataclysmique. La Gauche, au gouvernement, est extrêmement fragilisée, on a une montée en puissance de Marine Le Pen. Les Français expriment de la colère, du rejet, du désarroi« , explique Jean-Pierre Brenas. L’élu clermontois estime que « dans ce contexte là, on a besoin d’un chef (…) qui fasse preuve d’autorité, de volontarisme et qui ait surtout des idées nouvelles« . Pour lui, Nicolas Sarkozy a le profil idéal et c’est pour cette raison qu’il a décidé de s’engager à ses côtés « en le parrainant« . La volonté du candidat à la présidence de l’UMP de refonder un parti qui « aille au-delà » de son périmètre actuel, en ouvrant la porte au Centre, a fini de le convaincre. Enfin, seul Nicolas Sarkozy semble pourvoir redonner à la présidence de la République une crédibilité que Jean-Pierre Brenas trouve mise à mal par l’actuel locataire de l’Elysée. François Hollande « n’a pas la stature d’un président de la République« , constate-t-il, « c’est un président normal qui fait un quinquennat anormal« .

Une métropole arverne pour demain

Sur le plan local, Jean-Pierre Brenas a ré-affiché sa vision de Clermont demain. Il y a nécessité, selon lui, de bâtir une grande « Métropole Arverne » qui aille de Vichy à Issoire en intégrant Riom, Clermont-Ferrand et Thiers. Il veut dépasser le clivage Gauche/Droite sur cette question. Au passage, il égratigne tout de même le nouveau maire de Clermont-Ferrand, le socialiste Olivier Bianchi, qui a « fait un effet d’annonce en disant que Clermont allait passer en communauté urbaine« . C’est un effet mécanique affirme son principal opposant puisque le seuil a été abaissé de 450 000 à 250 000 habitants. « Ce n’est pas parce que Clermont a connu une croissance« , dit-il. Le conseiller municipal UMP estime que « la métropole arverne apportera du pouvoir d’achat en diminuant le nombre d’élus et les frais de fonctionnement« . Il veut également créer un dynamisme qui attire les populations.

Olivier Bianchi ressemble à son mentor François Hollande.

Le sourire en coin, Jean-Pierre Brenas a évoqué l’action de l’actuel maire de Clermont-Ferrand. Refusant de le critiquer car « la politique politicienne exaspère les gens« , l’élu UMP a préféré « lui faire des compliments ». « Il ressemble à son mentor François Hollande« , lance-t-il. « Il est comme lui, un peu d’humour, pas très courageux, pas très volontariste, pas beaucoup d’énergie, il est politiquement mou », poursuit-il. Le maire socialiste « attend les vents de la croissance à Clermont-Ferrand » mais Jean-Pierre Brenas considère « que malheureusement on ne prépare pas l’avenir sans énergie, courage et volontarisme« . Selon lui, Olivier Bianchi « n’a pas la gnaque pour faire décoller la ville, il n’a pas de cap« .

Les élections départementales et régionales

Enfin, Jean-Pierre Brenas n’a aucun doute sur le fait que « les élections régionales sont gagnables » en décembre et que le département du Puy-de-Dôme, à Gauche actuellement, peut basculer en mars prochain. Sur ce point, l’union UDI/UMP est « indispensable pour gagner des cantons« . Enfin, sera-t-il lui-même candidat? « Je ne sais pas encore », affirme-t-il, « ce sera le fruit des discussions ». Et quand le fruit sera mûr, sur quel canton se voit-il tenter sa chance? « Sur le canton Clermont sud-ouest, il y a beaucoup à faire…« 

18 Sep

Puy-en-Velay: Fusion des régions, Front de Gauche et réunion publique

Dans le cadre de la réforme territoriale, et plus particulièrement la fusion des régions, le Front de Gauche propose une réunion publique, le 26 septembre, au Puy-en-Velay. Eric Dubourgnoux, qui préside le groupe au Conseil Régional d’Auvergne, et les élus qui l’entourent « portent une autre vision que celle défendue par l’actuel gouvernement » et ils souhaitent l’exposer et en débattre.

Dans son communiqué, le Front de Gauche estime que « la fusion de l’Auvergne et de Rhône-Alpes est lourde de dangers. C’est pour cela que nous pensons que rien ne peut se faire, ni se décider, sans l’implication citoyenne et le débat démocratique« . « C’est la casse systématique du modèle français au profit de celui qui règne dans les pays anglo-saxons« , estiment-ils par ailleurs, « même l’Etat français y perdra de sa force au profit d’instances européennes encore plus éloignées des citoyens. Que dire des conséquences désastreuses pour les territoires ruraux ?« ; s’interrogent-ils.

La réunion aura lieu le vendredi 26 septembre à 18h au centre Roger-Fourneyron du Puy-en-Velay.

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11 Sep

Présidence de l’UDI : Hervé Morin cherche des soutiens auvergnats

A Chamalières, Hervé Morin attablé avec Louis-Giscard d'Estaing et plusieurs élus centristes auvergnats. (Photo : Nordine Mohamedi)

A Chamalières, Hervé Morin attablé avec Louis-Giscard d’Estaing et plusieurs élus centristes auvergnats. (Photo : Nordine Mohamedi)

Après avoir sillonné la région Centre mercredi, Hervé Morin poursuit sa campagne en Auvergne. Après un déjeuner avec Louis Giscard d’Estaing à Chamalières et une séance de dédicace de sa « lettre à Alma », le candidat à la succession de Jean-Louis Borloo tient une réunion publique ce jeudi soir à 18h au Centre Jean Richepin, à Clermont-Ferrand.

Le député de l’Eure, ancien ministre de la Défense des gouvernements Fillon 1 et 2, devra livrer bataille contre trois autres prétendants à la présidence de l’UDI : Jean-Christophe Fromantin, député des Hauts-de-Seine ; Jean-Christophe Lagarde, député de Seine-Saint-Denis ; Yves Jégo, député de Seine-et-Marne et actuel président par intérim de la toute jeune Union des démocrates indépendants.

Les belligérants disposent encore de trois bonnes semaines pour mener la campagne du premier tour de l’élection du président de l’UDI, dont le vote se tiendra le 15 octobre prochain. Le second tour aura lieu le 13 novembre, à l’avant-veille du Congrès du parti.

 

Laurent Wauquiez: « Si le président de la République était responsable, il remettrait sa crédibilité politique et démocratique sur la table »

STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Au lendemain de l’annonce de son soutien à Nicolas Sarkozy pour la présidence de l’UMP, Laurent Wauquiez était l’invité du Jean-Jacques Bourdin sur RMC Info. Le député-maire du Puy-en-Velay a demandé que François Hollande tire les leçons de l’ambiance générale qui règne dans le pays.

Si le président de la République était responsable, il remettrait sa crédibilité politique et démocratique sur la table.

« Si le président de la République était responsable, il remettrait sa crédibilité politique et démocratique sur la table« , a ainsi dit Laurent Wauquiez. Si « ce ne sont pas les sondages » qui gouvernent, « c’est l’accumulation » qui pose problème selon l’élu auvergnat. Il estime que l’absence de confiance, « les vaudevilles qui s’accumulent, une explosion économique, des promesses » (sous-entendu non-tenues) sont autant de raisons qui doivent faire réagir au plus haut sommet de l’Etat. « Il nous a promis la pause fiscale cette année, il nous a promis l’inversion de la courbe du chômage, il nous a promis l’exemplarité« , poursuit Laurent Wauquiez selon qui la dissolution de l’Assemblée Nationale et le départ de François Hollande en cas de défaite de la gauche sont aujourd’hui devenus nécessaires.

Je refuse qu’un étranger en situation irrégulière ait accès gratuitement à tout notre système de santé.

Concernant les économies que pourrait réaliser l’Etat pour réduire son déficit, Laurent Wauquiez a présenté quelques pistes. L’une d’entre elles concernent la santé. L’ancien ministre de la Recherche pointe du doigt « l’aide médicale d’Etat, qui vaut quasiment un milliard d’euros pour des étrangers en situation irrégulière« . « Il faut le supprimer« , affirme-t-il, « je refuse qu’un étranger en situation irrégulière ait accès gratuitement à tout notre système de santé« . « L’Accès quasi gratuit aux services de santé est assez déresponsabilisant, je pense que ça on ne peut plus se le payer« , poursuit l’édile ponot.

Enfin, évoquant son long silence médiatique durant l’été, Laurent Wauquiez a simplement dit que « quand on s’exprime, il faut que ça ait du sens« , « on a beaucoup trop de politiques qui bavardent, qui parlent à tire-larigot« . Quelques secondes de plus et il citait Coluche, Laurent Wauquiez: « de tous ceux qui n’ont rien à dire, les plus intéressants sont ceux qui se taisent« , disait autrefois l’humoriste.

 

L’écologiste Cécile Duflot à Vichy le 18 septembre

AFP PHOTO / GUILLAUME SOUVANT

AFP PHOTO / GUILLAUME SOUVANT

Cécile Duflot sera de passage à Vichy le 18 septembre. L’ancien ministre du Logement et de l’Egalité des Territoires des gouvernements Ayrault 1 et 2 doit visiter, sous réserves de changements de dernière minute, le domaine thermal de 15h à 16h. Elle tiendra ensuite une conférence de presse (16h30) avant de se prêter à une séance dédicace à 17h30. Cécile Duflot a sorti, fin août, un livre intitulé « De l’intérieur, voyage au pays de la désillusion ». Elle raconte ses deux années de ministre, ses relations, parfois tendues avec certains membres du gouvernement.

Faute d’avoir voulu être un président de gauche, il n’a jamais trouvé ni sa base sociale ni ses soutiens. A force d’avoir voulu être le président de tous, il n’a su être le président de personne.

Le chef de l’Etat n’est pas épargné non plus et en prend pour son grade. « J’ai fait le même chemin que des millions de Français. J’ai voté Hollande, cru en lui et été déçue« , écrit-elle. « A force d’avoir voulu être le président de tous, il n’a su être le président de personne« , ajoute Cécile Duflot. De son engagement, de sa désillusion, et de son avenir, il sera aussi forcément question lors d’une réunion publique organisée le soir de sa venue à Vichy, vers 18h (horaire à confirmer).

09 Sep

Les ténors de l’UMP se retroussent les manches et publient « Les 12 travaux de l’opposition »

Main dans la main. Douze ténors de l’UMP se sont retrouvés sur un projet commun: écrire un livre intitulé « Les 12 travaux de l’opposition ». Pêle-mêle, Alain Juppé, François Baroin, Jean-François Coppé, François Fillon, Xavier Bertrand, Benoist Apparu, Nathalie Kosciusko-Morizet, Valérie Pécresse, Bruno Le Maire, Jean-Pierre Raffarin et les Auvergnats Brice Hortefeux et Laurent Wauquiez exposent dans l’ouvrage leurs « projets pour redresser la France ».

C’est Benoist Apparu qui a convaincu ses amis de faire fi de leur différence et remettre l’opposition sur le droit chemin: celui des projets politiques. « Je ne sens pas dans ce livre de clivages entre gaullistes, libéraux et centristes« , s’est réjoui Jean-Pierre Raffarin lors de la conférence de presse de présentation, mardi, dans un café proche de l’Assemblée Nationale. Un rendez-vous qu’ont manqué Jean-François Copé et Xavier Bertrand mais les dix autres auteurs étaient bien là, assis côte à côte.

Dans le livre, ces anciens ministres, dont certains briguent où l’investiture présidentielle ou la tête de l’UMP, exposent leurs idées sur leurs thèmes de prédilection. Brice Hortefeux, ancien ministre de l’Intérieur, a, par exemple, planché sur les moyens de « maîtriser durablement les flux migratoires en France et en Europe ».

« On n’est pas dans une logique de conquête de pouvoir. Face à l’affaissement de plus en plus rapide du pouvoir socialiste« , la question est « comment redonner de la crédibilité » à l’action politique, a affirmé le député-maire du Puy-en-Velay Laurent Wauquiez.

05 Sep

Le socialiste Alexandre Pourchon soutient François Hollande et le Gouvernement « par conviction, pas par obligation »

Alexandre PourchonQuand Alexandre Pourchon passe en revue les sujets d’actualité de la rentrée, ce n’est pas la page people qui l’intéresse le plus. Pourtant, questionné sur la sortie du brûlot de Valérie Trierweiler dans lequel elle raconte ses huit années de vie auprès de François Hollande, le premier secrétaire fédéral du Parti Socialiste du Puy-de-Dôme a pris quelques secondes pour donner son sentiment. Il voit dans le livre, intitulé « Merci pour ce moment », « un tissu de conneries qui ne mérite aucun commentaire« . « La vie privée des gens ne m’intéresse pas« , ajoute-t-il en précisant que le portrait de François Hollande dressé par son ex compagne ne correspond pas au personnage qu’il connaît depuis de longues années.

Si François Hollande n’allait pas au bout de son mandat, ce serait une catastrophe pour le parti socialiste.

Le chef de l’Etat a vécu une semaine compliquée, ponctuée par un nouveau sondage qui le place au plus mal dans l’opinion que les Français ont de lui. Selon TNS-Sofres, la cote de popularité de François Hollande est tombée à 13%. Une crise de confiance qui fait naître ici et là un scénario: celui d’une possible démission. Alexandre Pourchon balaie l’hypothèse d’un revers de la main, il ne pense pas l’issue plausible pour une simple raison: « si François Hollande n’allait pas au bout de son mandat, ce serait une catastrophe pour le Parti Socialiste« .

Les socialistes ont changé leur vision du monde économique.

Alexandre Pourchon soutient le Président et le gouvernement « par conviction, pas par obligation » mais il regrette que ce qui a été fait depuis la prise du pouvoir ne soit pas mieux mis en avant. Et le conseiller général de pointer du doigt un problème récurrent chez les socialistes: « quand on fait des choses biens, on ne sait pas en parler« . « On ressent un vrai malaise au sein du PS », reconnaît-il mais le virage social-libéral pris par le François Hollande ne lui déplait pas, bien au contraire. « Les socialistes ont changé leur vision du monde économique« , poursuit-il, expliquant que sa formation politique « a besoin d’être dépoussiérée« .

La réforme territoriale? J’en attendais beaucoup plus.

Au cours de la matinée, l’élu du Puy-de-Dôme a également évoqué son avenir personnel. Alexandre Pourchon se sent à l’étroit, aujourd’hui, dans son habit de conseiller général. S’il a bien eu une discussion « en tête-à-tête » avec René Souchon, avant l’annonce de la fusion des régions, pour lui présenter sa manière de voir les choses, la réforme territoriale voulue par Manuel Valls a changé la donne. Pas avare de critiques: « il fallait d’abord travailler sur les compétences, la méthode choisie n’a pas été la bonne », Alexandre Pourchon précise qu’il attendait « beaucoup plus » de cette réforme. Une petite déception qui n’a guère d’emprise sur son ambition. Est-ce qu’il a « l’envie, la gnaque » pour projeter la collectivité vers l’avenir ? « Pour le Département, non. Pour la Région, oui« . L’Auvergnat n’a pas fait une réponse de Normand.

 

 

22 Juil

Brice Hortefeux, parrain des « Jeunes avec Nicolas Sarkozy »

Brice Hortefeux et Nora Berra, le 5 juillet 2014 (Photo: AFP PHOTO / GUILLAUME SOUVANT)

Brice Hortefeux et Nora Berra, le 5 juillet 2014 (Photo: AFP PHOTO / GUILLAUME SOUVANT)

L’ancienne secrétaire d’Etat à la Jeuness, Nora Berra, a créé une association avec l’aval de l’ancien président. Cette association porte le nom de « Jeunes avec Nicolas Sarkozy » et elle doit « fédérer la jeunesse qui a envie du retour » de celui qui a dirigé la France entre 2007 et 2012.

A l’AFP, Nora Berra a confié qu’elle a été « beaucoup interpellée par des jeunes » qui lui ont dit: « On se reconnaît dans ce que Nicolas Sarkozy a fait pour les jeunes« . Selon elle, « Nicolas Sarkozy suscite vraiment un désir, chez les jeunes mais aussi chez de nombreux Français« .

L’ancien chef de l’Etat « a approuvé » le lancement de cette association lors d’un rendez-vous début juillet avec Nora Berra. La présidence de l’association a été confiée au Lyonnais Antoine Guérin, alors que Brice Hortefeux, qui préside par ailleurs « Les amis de Nicolas Sarkozy », est le parrain de l’association.

03 Juil

Brice Hortefeux: « Nicolas Sarkozy est un atout et une chance pour notre pays »

Brice Hortefeux et Nicolas Sarkozy, le 3 juin 2010. (Crédit photo: MaxPPP)

Brice Hortefeux et Nicolas Sarkozy, le 3 juin 2010. (Crédit photo: MaxPPP)

Le fidèle parmi les fidèles, Brice Hortefeux, a réagi à l’interview accordée par Nicolas Sarkozy à Europe 1 et TF1 au lendemain de sa triple mise en examen. Le conseiller régional d’Auvergne a estimé que « ceux qui doutaient sont rassurés » et « ceux qui étaient convaincus sont renforcés« .

En revanche, l’eurodéputé UMP ne semble pas en phase avec une majorité des français. Alors que l’ancien ministre de l’intérieur affirme que « plus que jamais, Nicolas Sarkozy est un atout et une chance pour notre pays« , un sondage CSA/BFM TV rapporte que 65% des Français sont contre un retour dans la vie politique de l’ancien président de la République.