09 Déc

Jacques Barrot remplacé par Lionel Jospin au Conseil Constitutionnel

Après le décès de Jacques Barrot, le 3 décembre dernier, Lionel Jospin va faire son entrée au Conseil Constitutionnel et prendre le fauteuil de l’ancien ministre centriste.

A 77 ans, il a été choisi par le président PS de l’Assemblée nationale Claude Bartolone. Lionel Jospin est nommé « pour cinq ans, pour finir le mandat de Jacques Barrot« , a-t-on précisé à la présidence de l’Assemblée nationale.

Premier ministre de François Mitterand et candidat battu à l’élection présidentielle en 1995 (au second tour) et dès le 1er tour en 2002, Lionel Jospin, en remplaçant un Auvergnat au Conseil Constitutionnel, va en retrouver deux autres: l’ancien Président de la République Valéry Giscard d’Estaing et l’ancien ministre socialiste et très fervent mitterrandien Michel Charasse.

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02 Déc

VIDEO. Le maire de Clermont-Ferrand bouscule deux syndicalistes

Mardi après-midi, une cinquantaine d’agents syndiqués à la CGT ont fait irruption dans la salle de l’hôtel de ville de Clermont-Ferrand où se tenait la réunion de la commission technique paritaire. La commission devait notamment se prononcer sur la diminution des ratios d’avancement des agents en  2015.

Tout le monde sait que je suis un sanguin. – Olivier Bianchi

Le maire PS, Olivier Bianchi, a pris la décision d’interrompre la réunion après l’envahissement de la salle et, furieux, il est sorti de la pièce en bousculant deux agents au passage. « Tout le monde sait que je suis un sanguin« , a réagi, après coup, l’édile devant la caméra de France 3 Auvergne. « L’ambiance était électrique, c’est anecdotique », poursuit l’élu pour qui « ce qui est plus important, ce sont les conséquences d’une décision d’une ou deux organisations syndicales« . Selon lui, « sur environs 2600 salariés, il y a eu une cinquantaine de grévistes (…) et, à cause de cette interruption de séance provoquée par la CGT« , les membres de la commission technique paritaire n’ont pas pu « prendre de mesures aujourd’hui qui auraient été au bénéfice de l’ensemble des salariés de la ville« .

De la part d’un démocrate, je trouve cela inacceptable. – Rémi Vigier, CGT

Du côté de la CGT, Rémi Vigier estime qu’on « nous amuse depuis huit mois » et que « le dialogue social n’est pas vraiment ancré« . Quant au geste d’humeur du maire de Clermont-Ferrand, le responsable syndical a réagi en disant trouver « cela inacceptable de la part d’un démocrate« .

28 Nov

Laqueuille et le Puy-en-Velay récompensées par les Marianne d’Or

marianne-orLa commune de Laqueuille a été récompensée d’une Marianne d’Or de la République. Ce prix vient saluer le projet économique mis en place autour de l’embouteillage de l’eau de source qui coule depuis ses montagnes.

La commune du Puy-de-Dôme s’est distinguée dans la catégorie Développement Durable grâce au projet économique développé autour de l’eau. Aujourd’hui 250 millions de litres sont mis en bouteille sur place chaque année. L’activité nécessite 45 emplois et génère des retombées pour le budget de la commune à hauteur de 50 % de l’investissement communal.

Au Puy-en-Velay, c’est la « pédagogie municipale pour les écoliers » qui a valu à la commune dirigée par l’UMP Laurent Wauquiez une Marianne d’Or 2014. Là, le jury s’est laissé séduire par les équipements interactifs et les aménagements qui assurent des bonnes conditions de travail. « Enfin, un temps périscolaire de qualité (projet scientifique, classe de musique…) offrent une palette diversifiée et ludique d’activités« , précise-t-on également sur le site internet des Marianne d’Or.

25 Nov

Elections départementales: Cambadélis voit le FN triompher dans l’Allier

C’est une information qu’on peut lire dans l’édition du Parisien-Aujourd’hui en France datée du 25 novembre. On apprend ainsi que le Parti Socialiste commence à faire des projections sur les prochaines élections départementales et régionales de 2015. Le PS « va se prendre deux énormes baffes« , ce n’est pas moi qui le dit (même si je ne prendrais pas trop de risque en l’affirmant) mais Jean-Christophe Cambadélis.

Pour le 1er secrétaire du PS, « les pertes vont être significatives« , selon les propos rapportés par le quotidien. Rue de Solférino, on prédit même la prise de pouvoir du Front National dans trois départements: l’Aisne, le Vaucluse et…l’Allier.

18 Nov

Régionales 2015: Louis Giscard d’Estaing vote… Michel Barnier

Louis Giscard d'Estaing et Michel Barnier lors de l'inauguration du Sommet de l'élevage à Cournon d'Auvergne en 2007. (Photo: AFP PHOTO THIERRY ZOCCOLAN)

Louis Giscard d’Estaing et Michel Barnier lors de l’inauguration du Sommet de l’élevage à Cournon d’Auvergne en 2007. (Photo: AFP PHOTO THIERRY ZOCCOLAN)

Ce n’est pas un secret. La bataille pour la présidence de la future région Auvergne-Rhône-Alpes est déjà lancée. Si, à gauche, la candidature de Jean-Jack Queyranne, actuel président de Rhône-Alpes, n’est pas ombragée par l’ambition de René Souchon, actuel président d’Auvergne, c’est parce que ce dernier a, d’ores et déjà, indiqué clairement qu’il ne se présentera pas à une éventuelle candidature.

A droite, pour l’heure, une telle entente n’est pas de mise. Le député-maire du Puy-en-Velay, Laurent Wauquiez, a déjà fait connaître sa disponibilité pour le poste. Mieux: en bon stratège de la communication, il a diffusé un sondage (1), commandé par son propre mouvement, la Droite Sociale, dans lequel il obtiendrait 56% d’opinions favorables pour conduire la liste UMP, contre Michel Barnier qui n’en obtient que 43%.

Pas de quoi impressionner l’ancien ministre et commissaire européen qui a lui-même annoncé sa candidature en octobre dernier. Il faut rappeler que Michel Barnier connaît la région, pour avoir été Président du Conseil Général de Savoie. C’est donc un duel à droite qui, d’ores et déjà, s’annonce.

Dans ce duel, le vice-président de l’UDI et maire de Chamalières, Louis Giscard d’Estaing a fait son choix. Répondant à une sollicitation de Michel Barnier, il a décidé de lui accorder son soutien, lui indiquant, dans une lettre qu’il « partage son analyse sur l’attente de nos concitoyens d’un changement de cap par la mise en place d’un projet régional à l’échelle de nouvelle collectivité ». S’il explique souhaiter « le rassemblement de toutes les familles politiques de la droite et du centre afin que ce projet régional soit porté d’une seule voix dès le premier tour », l’ancien député se met clairement en travers de la route de Laurent Wauquiez, dont il estime que l’emploi du temps est trop chargé. « S’il annonce qu’il quitte Le Puy-en-Velay, pourquoi pas… Mais dans les conditions actuelles, je ne vois comment il pourrait être un président suffisamment disponible », nous a-t-il expliqué en marge de sa participation à l’émission « La Voix est Libre », le 8 novembre dernier.

Yannick Kusy (@yannkusy)

(1) Sondage Opinion Way pour La Droite Sociale

07 Oct

La fusion Auvergne/Rhône-Alpes au coeur d’une Voix est Libre Spéciale le 11 octobre à 10h50 #FusionRAA

Gif RAA

Le compte à rebours a commencé. En décembre 2015, les électeurs d’Auvergne et de Rhône-Alpes devront élire leurs conseillers régionaux. Ce scrutin marquera la fusion entre les deux entités comme le prévoit le premier volet de la réforme territoriale adoptée le 23 juillet dernier par les députés.

La fusion aura-t-elle vraiment lieu ou se traduira-t-elle en absorption de la plus petite par la plus grosse? Quels seront les atouts et les faiblesses de cette nouvelle région? Quel sera son poids économique? Comment intégrera-t-elle le Grand Lyon? Toutes ces questions, et bien d’autres, seront posées aux quatre invités d’une Voix Est Libre exceptionnelle préparée par les rédactions de France 3 Auvergne, Rhône-Alpes et Alpes, le samedi 11 octobre à 10h50.

Les invités seront:

  • Jean-Jack Queyranne (pdt PS de la région Rhône-Alpes)
  • René Souchon (pdt PS de la région Auvergne)
  • Brice Hortefeux (eurodéputé et conseiller régional UMP de la région Auvergne)
  • Hervé Gaymard (député et pdt UMP du Conseil Général de la Savoie)

Un peu d’histoire

En 2009, le comité Balladur proposait de ramener à quinze le nombre de régions en provoquant des fusions. Celle de Rhône-Alpes et Auvergne est alors évoquée. Si René Souchon parle aujourd’hui de « mariage » entre les deux voisines, il n’a pas toujours défendu cette idée. A l’époque de la publication du rapport de l’ancien premier ministre, le président du Conseil Régional d’Auvergne disait: « Elle est stupide parce que l’Auvergne a une forte identité historique, géographique, économique. Et la supprimer ne résout rien et n’apporte pas plus d’efficacité« . Et de poursuivre: « je vois mal comment l’Auvergne pourrait être absorbée purement et simplement dans Rhône-Alpes avec des départements, comme le Cantal, qui sont entièrement tournés vers Toulouse, voire Montpellier, grâce à l’A75« .

Son homologue Rhône-Alpins n’était pas plus tendre avec cette idée de fusion. « Il n’y a aucune justification » réagissait alors Jean-Jack Queyranne en rappelant que sa région avait « la taille de la Suisse, avec le nombre d’habitants du Danemark » et il ne voyait pas « l’intérêt de s’étendre« . Pourtant, en 2014, le discours n’est plus le même. Le 3 juin, M. Queyranne « accueille favorablement le projet de fusion entre Rhône-Alpes et l’Auvergne annoncé par le Président de la République« , il évoque même une « chance historique« .

Droite, l’UMP Brice Hortefeux estimait récemment que cette fusion était une « cohérence économique et, dans plusieurs cas, administrative« . En 2009, le conseiller régional d’Auvergne était plus modéré: « Je pense que là-dessus il faut pas se précipiter, certainement faire de la pédagogie, consulter la population, et donc, engager une réflexion de manière sereine, et pas brutale« , disait-il alors. Brutal, il l’est davantage quand il attaque le président de la Région Auvergne après l’annonce du projet de Manuel Valls: « cette fusion Rhône-Alpes-Auvergne sonne comme un désaveu pour René Souchon qui souhaitait une fusion entre l’Auvergne et le Limousin. Encore une fois, il se voit désavoué par son propre parti« .

06 Oct

Clermont-Ferrand: Olivier Bianchi face à ses administrés, le 24 octobre

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Alors qu’il vient de passer le cap des six mois à la tête de la ville, le maire socialiste de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi, a accepté de débattre avec les internautes, le 24 octobre prochain. Si vous souhaitez discuter avec lui, si vous avez des questions à lui poser, des remarques à formuler, des idées à lui suggérer, France 3 Auvergne vous offre la possibilité de lui dire directement.

Le 24 octobre prochain, Olivier Bianchi vous donne rendez-vous à 17h30 pour un tchat vidéo et écrit.

Comment participer

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26 Sep

L’UMP Jean-Pierre Brenas veut « une métropole arverne » allant de Vichy à Issoire

Jean-Pierre BrenasChef de file de l’opposition clermontoise, l’UMP Jean-Pierre Brenas était l’invité du Club de la Presse d’Auvergne, vendredi, au lendemain du premier meeting marquant le retour officiel de Nicolas Sarkozy dans le jeu politique. Le conseiller municipal a évoqué son soutien à l’ancien chef de l’Etat mais il a aussi évoqué la vie locale et les prochaines échéances électorales, notamment les Départementales de mars 2015. Un scrutin auquel il n’exclut pas de participer.

Sarko 2, le retour

« Je constate que le pays est dans une ambiance politique cataclysmique. La Gauche, au gouvernement, est extrêmement fragilisée, on a une montée en puissance de Marine Le Pen. Les Français expriment de la colère, du rejet, du désarroi« , explique Jean-Pierre Brenas. L’élu clermontois estime que « dans ce contexte là, on a besoin d’un chef (…) qui fasse preuve d’autorité, de volontarisme et qui ait surtout des idées nouvelles« . Pour lui, Nicolas Sarkozy a le profil idéal et c’est pour cette raison qu’il a décidé de s’engager à ses côtés « en le parrainant« . La volonté du candidat à la présidence de l’UMP de refonder un parti qui « aille au-delà » de son périmètre actuel, en ouvrant la porte au Centre, a fini de le convaincre. Enfin, seul Nicolas Sarkozy semble pourvoir redonner à la présidence de la République une crédibilité que Jean-Pierre Brenas trouve mise à mal par l’actuel locataire de l’Elysée. François Hollande « n’a pas la stature d’un président de la République« , constate-t-il, « c’est un président normal qui fait un quinquennat anormal« .

Une métropole arverne pour demain

Sur le plan local, Jean-Pierre Brenas a ré-affiché sa vision de Clermont demain. Il y a nécessité, selon lui, de bâtir une grande « Métropole Arverne » qui aille de Vichy à Issoire en intégrant Riom, Clermont-Ferrand et Thiers. Il veut dépasser le clivage Gauche/Droite sur cette question. Au passage, il égratigne tout de même le nouveau maire de Clermont-Ferrand, le socialiste Olivier Bianchi, qui a « fait un effet d’annonce en disant que Clermont allait passer en communauté urbaine« . C’est un effet mécanique affirme son principal opposant puisque le seuil a été abaissé de 450 000 à 250 000 habitants. « Ce n’est pas parce que Clermont a connu une croissance« , dit-il. Le conseiller municipal UMP estime que « la métropole arverne apportera du pouvoir d’achat en diminuant le nombre d’élus et les frais de fonctionnement« . Il veut également créer un dynamisme qui attire les populations.

Olivier Bianchi ressemble à son mentor François Hollande.

Le sourire en coin, Jean-Pierre Brenas a évoqué l’action de l’actuel maire de Clermont-Ferrand. Refusant de le critiquer car « la politique politicienne exaspère les gens« , l’élu UMP a préféré « lui faire des compliments ». « Il ressemble à son mentor François Hollande« , lance-t-il. « Il est comme lui, un peu d’humour, pas très courageux, pas très volontariste, pas beaucoup d’énergie, il est politiquement mou », poursuit-il. Le maire socialiste « attend les vents de la croissance à Clermont-Ferrand » mais Jean-Pierre Brenas considère « que malheureusement on ne prépare pas l’avenir sans énergie, courage et volontarisme« . Selon lui, Olivier Bianchi « n’a pas la gnaque pour faire décoller la ville, il n’a pas de cap« .

Les élections départementales et régionales

Enfin, Jean-Pierre Brenas n’a aucun doute sur le fait que « les élections régionales sont gagnables » en décembre et que le département du Puy-de-Dôme, à Gauche actuellement, peut basculer en mars prochain. Sur ce point, l’union UDI/UMP est « indispensable pour gagner des cantons« . Enfin, sera-t-il lui-même candidat? « Je ne sais pas encore », affirme-t-il, « ce sera le fruit des discussions ». Et quand le fruit sera mûr, sur quel canton se voit-il tenter sa chance? « Sur le canton Clermont sud-ouest, il y a beaucoup à faire…« 

18 Sep

Puy-en-Velay: Fusion des régions, Front de Gauche et réunion publique

Dans le cadre de la réforme territoriale, et plus particulièrement la fusion des régions, le Front de Gauche propose une réunion publique, le 26 septembre, au Puy-en-Velay. Eric Dubourgnoux, qui préside le groupe au Conseil Régional d’Auvergne, et les élus qui l’entourent « portent une autre vision que celle défendue par l’actuel gouvernement » et ils souhaitent l’exposer et en débattre.

Dans son communiqué, le Front de Gauche estime que « la fusion de l’Auvergne et de Rhône-Alpes est lourde de dangers. C’est pour cela que nous pensons que rien ne peut se faire, ni se décider, sans l’implication citoyenne et le débat démocratique« . « C’est la casse systématique du modèle français au profit de celui qui règne dans les pays anglo-saxons« , estiment-ils par ailleurs, « même l’Etat français y perdra de sa force au profit d’instances européennes encore plus éloignées des citoyens. Que dire des conséquences désastreuses pour les territoires ruraux ?« ; s’interrogent-ils.

La réunion aura lieu le vendredi 26 septembre à 18h au centre Roger-Fourneyron du Puy-en-Velay.

Invitation débat réforme territoriale 260914 le puy en velay

11 Sep

Laurent Wauquiez: « Si le président de la République était responsable, il remettrait sa crédibilité politique et démocratique sur la table »

STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Au lendemain de l’annonce de son soutien à Nicolas Sarkozy pour la présidence de l’UMP, Laurent Wauquiez était l’invité du Jean-Jacques Bourdin sur RMC Info. Le député-maire du Puy-en-Velay a demandé que François Hollande tire les leçons de l’ambiance générale qui règne dans le pays.

Si le président de la République était responsable, il remettrait sa crédibilité politique et démocratique sur la table.

« Si le président de la République était responsable, il remettrait sa crédibilité politique et démocratique sur la table« , a ainsi dit Laurent Wauquiez. Si « ce ne sont pas les sondages » qui gouvernent, « c’est l’accumulation » qui pose problème selon l’élu auvergnat. Il estime que l’absence de confiance, « les vaudevilles qui s’accumulent, une explosion économique, des promesses » (sous-entendu non-tenues) sont autant de raisons qui doivent faire réagir au plus haut sommet de l’Etat. « Il nous a promis la pause fiscale cette année, il nous a promis l’inversion de la courbe du chômage, il nous a promis l’exemplarité« , poursuit Laurent Wauquiez selon qui la dissolution de l’Assemblée Nationale et le départ de François Hollande en cas de défaite de la gauche sont aujourd’hui devenus nécessaires.

Je refuse qu’un étranger en situation irrégulière ait accès gratuitement à tout notre système de santé.

Concernant les économies que pourrait réaliser l’Etat pour réduire son déficit, Laurent Wauquiez a présenté quelques pistes. L’une d’entre elles concernent la santé. L’ancien ministre de la Recherche pointe du doigt « l’aide médicale d’Etat, qui vaut quasiment un milliard d’euros pour des étrangers en situation irrégulière« . « Il faut le supprimer« , affirme-t-il, « je refuse qu’un étranger en situation irrégulière ait accès gratuitement à tout notre système de santé« . « L’Accès quasi gratuit aux services de santé est assez déresponsabilisant, je pense que ça on ne peut plus se le payer« , poursuit l’édile ponot.

Enfin, évoquant son long silence médiatique durant l’été, Laurent Wauquiez a simplement dit que « quand on s’exprime, il faut que ça ait du sens« , « on a beaucoup trop de politiques qui bavardent, qui parlent à tire-larigot« . Quelques secondes de plus et il citait Coluche, Laurent Wauquiez: « de tous ceux qui n’ont rien à dire, les plus intéressants sont ceux qui se taisent« , disait autrefois l’humoriste.