L’équipe

Du 3 au 7 septembre 2012, France 3 Languedoc-Roussillon et une vingtaine d’étudiants en journalisme à l’ESJ Montpellier (encadrés des responsables éditoriaux) vous proposent de suivre l’actualité de Visa pour l’image.

Au programme, des rencontres, des reportages, décryptages de photos et d’expositions, des interviews, le tout accompagné d’un regard aiguisé et décalé. Découvrez l’équipe du blog Voir Visa pour l’image 2012.

21 étudiants en journalisme

Sophie Bonnevialle, 24 ans. « Passionnée de portraits et d’histoires vraies », comme l’indique mon profil sur Twitter, je travaille depuis deux ans à Saint-Etienne, ma ville d’origine,  comme reporter pour un site web d’information locale, zoomdici.fr. Enfant, je rêvais des JT de Claire Chazal. J’avais inventé ma propre émission de radio avec le magnétophone de mes soeurs. Et puis, la vie m’a menée ailleurs. Lire la suite…

Thomas Belet, 24 ans. Il aura suffit, en classe de troisième, d’un stage au journal Sud-Ouest pour que cette idée ne me quitte plus : je serai journaliste. Pour écrire sur les gens et ce qui nous entoure, que ce soit au coin de la rue ou à l’autre bout de la planète. Le reportage reste pour moi l’exercice le plus noble car il rend compte d’une situation à travers le regard d’une personne, de manière directe. Il reconnaît une certaine part de subjectivité dans cette profession que l’on tente habituellement d’occulter.. En contrat d’alternance à La Dépêche du Midi jusqu’à la fin du mois de septembre, j’ai une attirance pour les sujets qui touchent le social et l’environnement, tout en gardant un penchant pour le sport . J’espère pouvoir élargir mon champ d’action à de nouveaux horizons par le biais de la pige depuis Toulouse.

Mathieu Conte, 24 ans. Pour un gamin de La Paillade, quartier populaire de Montpellier, le journalisme, c’est inaccessible. Bien sur, dans les faits, ce n’est pas vrai. Mais, dans la tête, la barrière est réelle. Du coup, après l’arrêt de mon cursus en Staps (je voulais, comme tant d’autres, être prof d’EPS), il était plus logique de faire de la maçonnerie. C’est par hasard, à trois jours de signer un CDI, qu’une annonce du Midi Libre tombe du ciel : « Cherchons correspondant sur La Paillade ». J’ai toujours écrit, j’adore ça… je fonce. Il n’y aura pas de CDI maçon, mais le chômage et mes premiers pas de correspondant. Viennent ensuite le concours d’entrée a l’ESJ et un premier contrat au Dauphiné Liberé, à Grenoble. Apres deux années dans la rédaction d’un quotidien régional, mon rêve est d’écrire sur le football ou le handball que j’ai pratiqué pendant douze ans. Depuis tout jeune, chaque match auquel j’assiste a droit à son article, comme s’il allait paraître dans L’Equipe. Pour le plaisir, pour le souvenir. Pour le travail ? Chiche…

Emilie Coudrais, 25 ans. Après un bac littéraire, je me suis dirigée vers des études universitaires, en Lettres modernes avant de me réorienter en licence professionnelle de journalisme. Le journalisme réunit tout ce que j’aime : lire, écrire,  m’informer, apprendre, rencontrer et raconter. Après un premier stage au Dauphiné Libéré, j’ai pu conforter mon choix professionnel et poursuivre mes études au sein de l’ESJ. Sur le terrain, des rencontres m’ont profondément marquée. Des histoires aussi. J’aime les découvrir, les mettre en mot, les partager.

Hugo Daumas, 26 ans. J’ai débuté dans le journalisme par la radio, côté platines, avant de prendre le micro en studio. Longtemps bénévole sur une fréquence hip-hop, je travaille actuellement pour la rédaction grenobloise du Dauphiné Libéré. DJ, étudiant en histoire de la pensée économique, intérimaire, militant associatif, surveillant de collège, backpacker, autant de chemins détournés qui ont forgé ma sensibilité. Aujourd’hui localier, je me passionne presque naturellement pour le reportage au plus près des populations et pour l’analyse critique des enjeux sociaux et économiques des grands projets urbains de la capitale des Alpes.

Julien Depelchin, 26 ans. Journaliste au Dauphiné Libéré en contrat de professionnalisation avec l’ESJ de Montpellier, je travaille au sein du service des informations générales de ce quotidien. J’assure la rédaction d’articles pour les pages « France-Monde » du journal et je gère également le contenu du site internet. J’ai choisi ce métier pour sa diversité et pour toutes les rencontres qu’il rend possibles. Je suis passionné par le web et les nouvelles formes de narration qu’il permet… Lire la suite…

Giulia De Meulemeester, 25 ans. J’ai commencé par être correspondante locale pour Nord Eclair. C’est grâce à cette expérience, qui a duré tout le temps de mes études, que ma curiosité naissante pour le journalisme s’est transformée en désir d’en faire mon métier. Ce qui m’attire ? La rencontre, l’écriture, informer, le lien étroit avec les lecteurs. Ce qui me motive ? Etre l’éclaireur d’une situation, faire en sorte que chacun ait les clés nécessaires pour comprendre l’actualité. Après un master d’histoire option journalisme, cela fait bientôt deux ans que je suis la formation en alternance à l’ESJ de Montpellier, tout en travaillant pour la Tribune de Montélimar.

Romain Dimo, 23 ans. Après un parcours universitaire atypique, évoluant du sport vers l’économie, ce sont deux envies un peu contradictoires qui m’ont amené au journalisme. La première, presque égoïste, est une envie très personnelle de connaissance et de compréhension de l’actualité et des rouages de notre société. La seconde, qui m’a réellement poussé à entreprendre des études à l’ESJ de Montpellier est, à l’opposé, une envie de partage. Partant du principe qu’un « savoir » n’est intéressant que s’il est diffusé, il m’est paru évident que ce métier était un excellent moyen de partager ses connaissances et ses recherches sur tel ou tel sujet. Avec les mutations que connaît actuellement cette profession, et plus particulièrement l’arrivée du web et des réseaux sociaux, une nouvelle sorte de journalisme est entrain de naître. Je trouve cela passionnant. Trouver les bonnes concordances pour rendre un site dynamique, viable, proposant un contenu pertinent et novateur est ma source de motivation, exprimée actuellement dans le développement d’un site internet culturel sur la région Languedoc-Roussillon.

Aurélia Dumté, 30 ans. Timide durant mon adolescence, j’ai découvert à 18 ans, derrière le comptoir de ma boutique de jeux vidéo en Nouvelle-Calédonie, que j’aimais parler aux gens. Et que j’aimais les écouter. Avec ma collection de 44 carnets que j’agrandis chaque année, je savais que j’aimais écrire des histoires. Et puis j’ai passé un baccalauréat audiovisuel. Alors l’image fait aussi partie de mon quotidien. Le jour où j’ai décidé de prendre ma  »carrière » en main (après le commerce, un voyage, les boulots de femme de ménage, serveuse, vendeuse, cueilleuse de fruits), le journalisme s’est (enfin) révélé comme une évidence. Un CV au Dauphiné Libéré en Ardèche, et me voilà correspondante. Près de deux ans à côtoyer les journalistes, avant un contrat de professionnalisation dans le même journal, à Valence. La presse quotidienne régionale offre une grande variété de sujets, on rencontre toutes sortes de personnes, des citoyens anonymes, les acteurs de la cité, les politiques… Ce sont les gens qui me plaisent, ici, ailleurs, partout. La timidité s’est envolée, je me suis affirmée. Je suis journaliste.

Violaine Gargala, 24 ans. J’ai fait une licence de droit, mais j’ai toujours eu pour objectif d’intégrer une formation en journalisme. J’étais d’ailleurs, parallèlement à mes études, correspondante pour le quotidien Paris Normandie. J’ai ensuite intégré l’ESJ-Montpellier en contrat de professionnalisation « presse écrite/web » ; la forme de journalisme qui m’a toujours le plus attirée. Je travaille en alternance pour un bi-hedomadaire à Evreux, Eure Infos/La Dépêche. Lire la suite…

Victor Guilloteau, 23 ans. Avant d’intégrer l’ESJ de Montpellier, j’ai fait trois années de droit, dont une année à l’université Montpellier I. Ma passion pour le sport et mon goût pour l’information m’ont naturellement orienté vers le journalisme. J’ai intégré la rédaction du magazine SPORTMAG pendant mon contrat de professionnalisation, ce qui m’a permis de découvrir le travail de terrain, d’être face aux acteurs du monde sportif… Lire la suite…

Fanny Hardy, 27 ans. J’ai longtemps cru que mon envie de devenir journaliste était apparue au lycée, alors que je participais au Jeanho, le journal des lycéens. Mais non. L’histoire avait commencé une dizaine d’années plus tôt. Lors d’un déménagement récent, j’ai en effet retrouvé une fausse carte de presse sur laquelle j’avais écrit mon nom. Je l’avais découpée dans Le Journal de Mickey. Après le lycée, après Le Jeanho, je suis partie à l’université, pour une formation en Lettres modernes. J’ai très vite abandonné. Puis je suis partie à l’étranger, j’en suis revenue, je me suis de nouveau installée dans les amphis de la fac, pour une formation en Droit et Sciences politiques. Et j’en suis repartie, la licence en poche. Avec, toujours, le journalisme en ligne de mire. Rencontrer ceux qui font notre monde. Aller les chercher au coin de la rue ou à des milliers de kilomètres. S’intéresser aux affaires des puissants comme aux affaires des impuissants. Poser les questions, toutes, celles aussi que je n’oserais pas poser si je n’étais pas journaliste. Tenter de comprendre le monde et partager ces découvertes ou ces éléments de réponse avec le plus grand nombre. Voilà ce qui me passionne. Voilà pourquoi je suis convaincue que le journalisme est le plus beau métier du monde.

Mélanie Houé, 25 ans. Journaliste pour la chaîne de télévision locale Yvelines Première, je couvre l’actualité de ce département de la grande couronne parisienne depuis près de deux ans. C’est après un master d’Histoire et une maîtrise d’Affaires européennes, respectivement obtenus à la Sorbonne et à l’université de Cergy-Pontoise, que je me suis orientée vers le métier de journaliste. Avec un objectif en tête : devenir correspondante de presse à Bruxelles. Après cinq années passées à étudier les mécanismes et enjeux de la construction européenne… Lire la suite…

Christophe Hubard, 25 ans. Après une licence d’Histoire/Sciences politiques acquise à Caen, j’ai poursuivi ma formation universitaire au pays de Galles, à Cardiff, pour apprendre l’anglais. De retour en France, j’ai intégré l’école de journalisme supérieure de Lille… à Montpellier. Une nouvelle formation débutait, cette fois en alternance entre le monde de l’entreprise et l’école. Deux ans au sein du Dauphiné Libéré (à Gap) m’ont permis d’acquérir… Lire la suite…

Mylène Jourdan, 25 ans. Après quatre années passées à user les bancs de l’université d’histoire de Clermont-Ferrand, j’en ai eu marre de rester assise. Il me fallait trouver un métier exaltant, de terrain… Journaliste, évidemment. Je me suis lancée. Une année de licence professionnelle en journalisme de proximité, un stage de quatre mois cumulé à deux mois de CDD… Lire la suite…

Wallès Kotra, 27 ans. Jamais vu de reporter sourd en France ? Me voilà. Je suis en contrat d’alternance à Websourd, site web d’information en Langue des Signes. J’appartiens à une minorité : je suis calédonien et sourd. Pour moi, la surdité n’est pas un handicap mais une société. Pendant longtemps, mon parcours  n’a pas eu de rapport avec le journalisme. Les différentes filières que j’ai pu suivre se sont  soldées par des échecs. J’ai très tôt découvert le monde du journalisme, mon père travaillant dans cette profession pour la télévision. Dans cet univers, c’est l’information sous toutes ses formes qui me passionne : journaux télévisés, reportages, films documentaires et émissions culturelles. Si j’ai envie de pratiquer le métier de journaliste reporter d’image, c’est bien évidemment pour tout le rêve que ce métier porte en lui, notamment la possibilité de voyager. Mais pour moi, l’élément le plus important, c’est avant toute autre chose l’information et plus précisément, rapporter l’information. Le JRI met en image une histoire,  il la scénarise. Il est polyvalent et peut à lui seul réaliser, cadrer, filmer, monter, présenter. C’est que j‘adore dans ce métier. : la  minorité en interaction permanente avec la société majoritaire par le biais de l’actualité médiatisée. Les personnes issues des minorités sont curieuses, curieuses de savoir, de mieux connaître, d’apporter un regard critique. Et la curiosité, c’est ce qui caractérise le JRI. Il adore réfléchir, remettre en cause, se questionner au quotidien. Ce métier représente pour moi le seul véritable rêve que j’ai. Je n’ai pas peur de l’insécurité de l’emploi dans ce secteur. Ne pas obtenir un CDI ne m’inquiète pas. J’ai avant tout peur qu’on ne me laisse pas la chance d’accéder à ce rêve.

Dimitri Kucharczyk, 25 ans. Après un bac scientifique et des études de pharmacie, je me suis finalement orienté vers le journalisme par curiosité, pour découvrir et faire découvrir. C’est vraiment ce qui me passionne dans ce métier : tenter de comprendre et expliquer des situations ou des personnes. Actuellement, je travaille pour des magazines et surtout sur Internet dans le domaine du sport et des nouvelles technologies… Lire la suite…

Audrey Morel, 26 ans. Des rencontres, des découvertes, puis des mots et des images pour les raconter : c’est ce qui m’a d’abord incitée à m’intéresser à ce métier. Puis je me suis laissée happer par le besoin de partager le fruit de mes recherches. A 26 ans, il y a maintenant 5 ans que j’ai posé les pieds dans le monde des journalistes, ces hommes et femmes vus au fil des époques et à travers les couches de la société comme fouineurs, fins limiers, intellectuels, touche-à-tout, racoleurs, stratèges, proches du pouvoir, irrévérencieux, corrompus ou  indomptables… Quant à moi, je les vois surtout comme des maillons de la grande machine qui permet à tous de déchiffrer le monde et son actualité, du plus petit fait- divers aux immenses revirements historiques. Je m’appelle Audrey Morel, je suis localière à Montélimar, pour le Dauphiné Libéré, en alternance avec une formation à l’ESJ Montpellier.

Camille Peter, 24 ans. Après un bac technologique et une année de Droit à l’université qui ne m’a pas intéressée, j’ai décidé de m’orienter vers le journalisme. Depuis l’adolescence, je suis passionnée par l’information, la compréhension et la transmission de ce qui se passe dans le monde. Je suis actuellement en contrat de professionnalisation à l’ESJ Montpellier. J’écris depuis deux ans pour Websourd, un site d’information en langue des signes. J’ai en effet une particularité, je suis sourde . Être différente rend le monde plus beau.

Céline Picard, 26 ans. Depuis deux ans, grâce à la formation en alternance dispensée par l’antenne sud de l’École Supérieure de Journalisme de Lille, je travaille dans un hebdomadaire gratuit d’informations locales, La Tribune d’Angers. Je suis responsable des pages culture du journal. J’écris, relis et sabre les textes ; je recherche des iconographies : bref, je m’investis pour un métier passionnant, où chaque jour est une nouvelle aventure. Cependant, c’est par un autre biais que je suis “entrée en journalisme″ : la littérature. Lire la suite…

Lucille Topin, 24 ans. L’envie d’être journaliste ne me vient ni de mon enfance, ni de Tintin, ni de la lecture de ‘’Girls !’’ (mais si, le magazine pour adolescentes). Mais d’une rencontre. Avec un journaliste de Radio France, qui m’a donné envie d’aller plus loin. Soit à quelques kilomètres de la fac, derrière les portes du quotidien de ma région, le Courrier Picard. Une autre rencontre, elle, m’a dissuadée de m’engager sur cette voie professionnelle « tout à fait bouchée ». Trop tard. Dès les premiers jours sur le terrain, j’ai su que j’avais finalement trouvé ce que je voulais faire. D’autres rencontres. Des échanges inattendus. L’urgence, la frénésie du quotidien. Le plaisir d’écrire et de partager. J’étais foutue. Et prête à tous les sacrifices pour y arriver. Même à passer deux ans au fin fond d’un village de 5000 habitants à couvrir l’AG de l’association de scrapbooking, des concours de belote ou de pétanque, à passer six heures à un conseil municipal… Mon obstination m’a finalement menée à Grenoble. Où il m’arrive de couvrir des AG, le forum des associations, des conseils municipaux, des concours de pétanque et même, de boule lyonnaise ! PQR, quand tu nous tiens…

Solange van der Zwaag, 23 ans. Après le baccalauréat, j’ai eu à choisir entre deux passions : les langues et les lettres. Si j’ai commencé par un an de licence de japonais, j’ai rapidement trouvé le compromis avec le journalisme : l’opportunité d’écrire tout en découvrant le monde. J’ai d’abord intégré  une école de Lyon, avant de trouver ma formation en alternance et de partager mon temps entre l’ESJ Montpellier et le Dauphiné Libéré dans l’Ain. Aujourd’hui, alors que cette formation est presque terminée, je pense avoir fait le bon choix. Mon but est à présent de continuer à découvrir de nouveaux endroits, de nouvelles personnes et des cultures, afin de partager ces trouvailles avec, je l’espère, de nombreux lecteurs.

4 responsables éditoriaux et techniques

Laurence Creusot. Rédactrice-en-chef adjointe de France 3 Languedoc-Roussillon chargée du web, couvre depuis 3 ans le festival Visa pour l’image sur le net pour France 3. Journaliste depuis 27 ans, à Radio France puis France 3. Elève de l’ESJ Lille, ancienne directrice de l’ESJ Montpellier.


Benoît Califano, directeur de l’ESJ Pro Montpellier. Journaliste et documentariste de télévision et radio, Benoît Califano a travaillé pour Arte, France 5 et France Inter. Il est directeur de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Montpellier depuis 2007.


Marie-Laure Colson. Journaliste, Marie-Laure Colson est depuis 2007 le « fil rouge » des étudiants en presse écrite qui suivent une formation en alternance à l’ESJ Pro Montpellier. Elle les encadre et anime des formations en liaison avec les journalistes qui interviennent ponctuellement durant leurs études.  Elle a travaillé 18 ans à Libération, dont plus de 12 ans au service « Monde ». Si l’essentiel de sa carrière s’est déroulée dans des titres de presse écrite (La Tribune, Jeune Afrique,…), Marie-Laure Colson a également participé à l’écriture de plusieurs émissions télévisées, notamment sur l’immigration et l’Afrique.

Vanessa Asse. Journaliste web et community manager, Vanessa Asse a travaillé en presse quotidienne régionale et en télévisions locales avant de se tourner vers la presse en ligne. Côté web, elle a collaboré avec Dioranews (agence de presse, média précurseur dans l’information sur mobile), avant d’accompagner Midilibre.fr dans son développement numérique. Formatrice en webjournalisme à l’ESJ Montpellier, elle va prochainement participer au développement de l’agence de presse Sipa News en région. (Crédit photo : Nanda Gonzague)

1 photographe professionnel

Gilles Favier. Né en 1955 à Roanne. En 1981, il rencontre Christian Caujolle qui vient de créer le service photo de Libération. Commence alors une collaboration qui ne s’est jamais interrompue avec le quotidien. Nourri aux images de Diane Arbus, Gilles Favier s’est efforcé depuis ses débuts de porter un regard humaniste sur les marges de la société. En  2002, il commence un important travail documentariste sur les traces de l’ethnologue Pierre Verger. Il a quitté Paris et vit désormais dans le sud de la France.
Membre de l’Agence Vu depuis 1987.
Directeur artistique « d’ImageSingulières » festival de documentaire à Sète
Enseigne à l’Etpa Toulouse et à l’école supérieure de journalisme de Montpellier.
Collabore au journal Libération depuis 1982.
Site perso :  www.gilles-favier.com