On fait un métier sympa. Courir les terrains de la région, tendre le micro aux champions, et raconter leurs exploits en images : il y a pire, dans le monde du travail. Cela dit, il y a des critiques qui reviennent très régulièrement sur le tapis. Quand cela se produit, deux options : le journaliste sourit et laisse pisser (le plus souvent). Ou le journaliste se défend. Nos vœux pour 2014 seraient de ne plus entendre certaines remarques, balancées sans y penser. Puisse cet article, écrit sans animosité et avec le sourire (smiley), vous convaincre de ne plus nous les adresser… 😉 (smiley appuyé).
07 Jan