Archives de l'auteur : François-Marie Lapchine

 C’est à l’occasion d’un atelier d’écriture en Belgique, son pays d’origine, que Josiane Van Melle, a décidé de raconter une histoire, d’écrire un roman autour de la viticulture et du vignoble, celui de la Bourgogne du sud, en particulier.Pour se faire, elle a réalisé une demi-douzaine d’aller-retour, des séjours au coeur du vignoble, pour s’imprégner de cette vie, trouver ses paysages, créer ses personnages.
Résultat :  » La Chair du Raisin « , son premier roman, edité dans la collection « Roman » par les éditions de Bourgogne, le parcours  d’Agathe, jeune femme rebelle,moderne dans cette période de l’entre-deux guerres.
« Agathe est née en Bourgogne du sud, au détour du 20 ème siècle.elle aime la nature, la liberté, et son père. Elle déteste la vie rangée à laquelle rêvent les ieunes filles de son âge, et sa mère.
Agathe, c’est la vigne qui la passionne c’est elle qui reprendra un jour les rênes de l’exploitation vificole. Mystérieuse, volontaire, déconcertante Agathe! Sa nature entière et indépendante, ses amours volages et contradictoires la vouent à des rencontres colorées :Ramona, Juan le gitan, Camille, André, la Bargette.
Et puis il y a Louise, la Flamande, qui travaille au domaine. Est-ce seulement de l’amitié qui se noue entre ces deux femmes si différentes?
La chair du raisin est une émouvante saga familiale aux nombreux rebondissements, où se confondent l’amour de la vie et la sensualité de la vigne.

Pendant de nombreuses années, Gilles Macagno a mené une double vie, celle d’enseignant au sein de l’éducation nationale et celle d’illustrateur et d »auteur d’ouvrages scientifiques imprégniés d’humour et de connaissance : une manière délicieuse de découvrir et d’apprendre les mystères de la vie. Mais celui qui a toujours voulu enseigner autrement vient de lancer, sous le pseudo du professeur Noyau, un trimestriel  » Le Drosophile « , il nous le présente le dernier numéro, le cinquième :  » Drosophile est aux amateurs de sciences naturelles ce que le Figaro est aux sarcophiles et ce que la Vie du Rail est aux agents de la SNCF: une bible, une boussole, un astre radieux.

D’un format élégant et pratique qui permet de l’emmener partout avec soi, en conférence de rédaction comme aux cabinets, richement illustré de dessins originaux, truffé d’articles d’une rigueur sourcilleuse et néanmoins rafraîchissants, Drosophile a vraiment tout pour plaire. Après avoir causé des mouches, du froid,  du sexe et des crottes, Drosophiles’interresse, enfin, à l’Homme. Avec 36 pages pour parcourir la généalogie de la famille, depuis Tournai, obscur crâne anthropomorphe du Pliocène jusqu’à l’Homo sapiens d’aujourd’hui, vous saurez tout sur les origines de ce drôle de bipède qui aimerait tant ne pas être un animal… Découvrez et faites découvrir Drosophile, plurimestriel en vente au numéro ou par abonnement sur htto://www.drosophile.net/ « .
 Il est accueilli dans  » Impressions  » pour l’ensemble de son oeuvre! N’hésitez pas à aller sur son site, on se régale !

Juliette Speranza a toujours vécu dans l’univers du théatre :

Comédienne, dans le compagnie qu »elle a crée avec Christophe Allwright, Jacques Fornier, Catherine Dasté,

comédienne sur les ondes radio et télévision ( France Inter, France Culture et Arte ).

C’est en 2007, qu’elle décide de se consacrer totalement à l’écriture : textes poétiques, politiques et pièces de théatre.

Elle écrit deux versions de la pièce  » Les hommes ne veulent mourrir « .

Engagée, au sein du réseau, Education sans Frontières, en janvier dernier, elle publie  chez Alna  » Ils étaient 29000″, une pièce engagée sur les sans papiers.

Elle  est venue dans « Impressions » pour nous en parler.

Philippe Bouin a toujours écrit, même si pendant une trentaine d’années, il a gardé vers lui des dizaines de textes de romans et de pièces de théatre sans jamais les proposer à des éditeurs. Aujourd’hui, tout est différent et ses oeuvres nous accompagnent : romans, récits, enquêtes et séries pour la jeunesse,  qui lui valent de nombreux prix.
En 2008, il obtient le Prix du Polar, le Prix Cognac pour un thriller original  « Comptine en Plomb » , également édité en poche.
Il est notre invité ce samedi, avec le tome 2 de l’Enfant de Bribracte,  » Les Souterrains d’Autun » un roman pour la jeunesse paru aux éditions Eveil et Découverte.
« La maison de Léa ronronne :il fait bon, il fait chaud. Fabien est heureux de séjourner chez sa grand-mère avec ses cousins, Gourmand et Aurélie, pour passer les fêtes de Noêl à Autun. La neige épaisse crée un paisible silence dans la nature environnante. Mais en descendant à la cave pour chercher des boules destinées à décorer le sapin, il est surpris un bruit étrange, un mur qui bouge…
Frofart, le roi des farfadets apparaît! Il annonce à Fabien que Carcaille veut le rencontrer le soir même dans le monde du Dessous… Fabien se doute de ce qu’il veut lui confier, ses voix l’ont alerté.
Ainsi, va-t-il retrouver le monde des Légendes, ses créatures mythiques, les Forces du Mal et le terrible Brouillard.. »
Et pour conclure, un petit mot de l’auteur, « Avant que l’on farfouille dans mon cercle privé, je m’empresse d’annoncer que je suis marié, père de fàmille et, pour reprendre la formule du prévenu dans Le Commissaire est bon enfant, que j’ai toujours vingt ans parce que cet âge m’a convenu. Dix-sept ne seraient pas sérieux. D’autant que j’évite de me promener sous les tilleuls et que Je ne bois pas de limonade. Je préfère le Bourgogne qui accompagne ma cuisine. Je suis un accro des fourneaux. Avant que l’on s’interroge sur mon Q.!., mes études, mon parcours, je rassure les inquiets. Oui, j’ai un brin de cervelle, je suis allé à l’école et j’ai bossé en entreprise. Le reste est de la littérature. C’est d’ailleurs d’elle dont je préfère parler. J’ai tourné la page sur cette époque pour en remplir de nouvelles surgies de mes histoires. Ceci posé, j ‘ai publié dix-sept romans et quelques collectifs depuis avril 2000, ai reçu de nombreux prix et récompenses (Grand Prix Polar Cognac, Prix Océanes, Prix lgm Lire, etc.), suis traduit dans plusieurs langues (russe, polonais, arménien…) et diffusé dans douze pays. »

 

Le Creusot, automne 1940
Un jeune élève des Ecoles Schneider se voit refuser l’accès à la classe de Seconde Spéciale, malgré sa réussite au concours d’entrée, pour la simple raison que son père, employé aux Etablissements Schneider, a tenté, vingt ans plus tôt, de créer un embryon de section syndicale au sein de l’entreprise.

C’est, pour ce jeune homme, le mobile et le début d’une rébellion qui va l’amener à s’engager dans la JOC puis dans l’action syndicale, où il va assumer des responsabilités de plus en plus importantes, et dans le combat politique. Avant qu’ il ne s’ investisse, durant les vingt-cinq dernières aimées de sa vie, dans l’aventure des Missions Locales qui, dejiuis 1982, prennent en charge les jeunes en difficulté ou sans formation.
Avec, en toile de fond, une période marquée, au plan local et national, par de profonds bouleversements économiques et sociaux, ce livre retrace un parcours, exemplaire à plus d’un titre et dans lequel nombre de militants devraient pouvoir retrouver les traces ou suivre les étapes de leur propre itinéraire.

Paul Vannier, d’abord professeur puis responsable de l’information et des relations publiques dans diverses institutions culturelles (Maison de la Culture, Scène Nationale, etc.), est l’auteur de romans, guides, récits, abécédaires, etc.
 

Yanik Martin a toujours été passionné par le jouet.

Après avoir collectionné des voitures de sport grandeur nature, il est passé aux modèles

Réduits :

Le départ d’une collection de jouets anciens qui se monte aujourd’hui à plus de 6000 pièces.

Beaucoup sont exposés au musée du jouet de Montélimar, lieu de rêve entouré des palais  du

Bonbon et du Nougat.

Animateur socio-éducatif  dans un centre pour demandeur d’asile en Saône et Loire, moniteur de ski à Courchevel, Yanik Martin est également créateur de jeux.

Il est l’invité d’Impressions’ pour son livre  ‘Mon coffre à Jouets’, qui rassemble le témoignage de 75 célébrités du monde du cinéma, de la télévision, de la littérature, de la chanson et du sport, sur leur jouet préféré.

Souvenirs souvent émouvants, auxquels l’auteur a ajouté diverses informations concernant 

différentes catégories de jouets anciens, le tout magnifiquement illustré d’innombrables photos.

Un livre unique, passionnant et délicieux paru aux éditions Ouest France.

« L’Ecole de la Vie » croise forcemment le chemin de l’école et de l’éducation nationale, deux univers que l’auteur, René Prieur connait bien.

Dans son roman, il déroule la saga d’une famille d’enseignants d’après- guerre,en Bourgogne,  dont le fils Filou, le héros, tour à tour enseignant, directeur d’école et d’établissement

nous emmène jusqu’aux années 2000.

Dans ce roman, aux allures de récit, rené Prieur décortique la vie de l’école.

Il analyse, il critique, nous fait des propositions et nous on le suit avec curiosité au milieu de ces réformes et ces boulversements.

René Prieur a mis plusieurs années pour bien poser ce roman de plus de 400 pages, qui nous touche tous quelque part, par sa justesse et l’écho que suscite en nous

l’évocation de toutes ces périodes qui nous parraissent toujours si proches.

Marion Sigaut est écrivain et historienne.

Une grande partie de son oeuvre a été consacrée aux rencontres entre Israeliens et Palestiniens.

Ecriture et vécu qui la méneront à travers le monde.

Depuis 2001,résidant en Bourgogne; elle publiera de nombreux ouvrages historiques ou elle met en lumière des faits, des vérités

souvent ignorés ou occultés.

C’est justement le cas pour   » Le Mystère du Tableau de David  » que viennent de publier les Editions de Bourgogne.

Le parcours de Louis-Michel Le Pelletier de Saint Fargeau qui, après avoir voté la mort du roi Louis Seize,

se verra assassiné, la veille de l’éxécution du monarque.

Il deviendra  » Martyr  » de la République, immortalisé par le peintre Jacques Louis David.

Un tableau que l’on ne retrouvera jamais, pas même à Saint Fargeau Là ou il est enterré

Lien : www.editions-de-bourgogne.com

En raison de la diffusion de l’émission spéciale  sur la Transjurassienne, l’émission  » Impressions » est reportée au samedi 19 févier 2011