23 Avr

Par ici la magie, Pils apparaît avec un disque et une expo

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Côté expo : Mémoire d’Art-Ménie, à Clermont-Ferrand, une exposition en appartement commémore le terrible anniversaire du génocide arménien. Côté disque : naissance d’un groupe de Jazz manouche : To Trio, qui vient de sortir son premier album.

Cent ans se sont écoulés depuis le génocide arménien.

En souvenir, à Clermont-Ferrand, Béatrice Saribédrossian, fondatrice de l’Epicerie d’Art et passionnée de peinture d’origine arménienne organise dans son appartement une exposition mettant en scène des artistes arméniens ( Maurice Der Markarian, Annie Kurkdjian, Christine Tchouhadjian et Laurent Karagueuzian) et français (Chantal Roux et Véronique Soriano).

Les tableaux de l’exposition sont installés dans l’entrée de l’appartement, certes il y en a peu mais c’est une belle occasion d’avoir un aperçu du talent de ces artistes. Annie Kurkdjian notamment qui vit à Beyrouth et propose une peinture à la fois drôle, tragique et surréaliste.

L’exposition est à visiter jusqu’au 30 avril à « l’Epicerie d’Art » 43 bd Trudaine à Clermont-Ferrand.

Bien sûr, Pils parle aussi de musique : ils sont trois, ils aiment le jazz « sans tambours ni trompettes » mais avec des cordes. Ils s’appellent To Trio et ces amoureux de Django Reinhardt viennent de sortir leur premier album qui mêle des compositions originales et des standards bien connus des amateurs de jazz manouche.

 

22 Avr

Le CD de la semaine : To Trio

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 Ils sont trois, ils aiment le jazz « sans tambours ni trompettes » selon la devise de Stéphane Grappelli.

Deux guitares et une contrebasse forment To Trio et ces amoureux de Django Reinhardt viennent de sortir leur premier album le 10 avril.

Pour l’occasion, Milan Ollier, Kader Berkani et Natan Vidal ont invité François Brunel et s’offrent le luxe d’un son plus riche grâce à une guitare complémentaire. L’album mêle standards du jazz manouche, du jazz classiques et compositions originales pour sortir des sentiers battus. Il font même une surprise aux fans des années soixante-dix en réinterprétant Comme d’habitude, le grand succès de Claude François.

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