13 Mai

Eryk.e, le nouveau baladin Auvergnat aux chansons lumineuses

Seize, le premier album d'Eryk.e. Pochette signée Esther Decluzet

Seize, le premier album d’Eryk.e. Pochette signée Esther Decluzet

Nouvelle voix dans le paysage musical auvergnat, Eryk.e a deux vies. Derrière le médecin anesthésiste se cache un musicien qui pendant des années a composé et chanté dans l’ombre, à son rythme.

Une rencontre a tout changé : il a fait écouter ses mélodies à un ami. Et pas n’importe lequel : le plus célèbre des chanteurs auvergnats, Jean-Louis Murat, l’a adoubé.

Séduit par ses musiques, le compositeur lui a écrit les paroles de trois titres, Eryk.e a fait le reste et un album est né « seize ».

Dix chansons enregistrées dans le studio de Denis Clavaizolle avec Guillaume Bongiraud, Julien Quinet du Delano Orchestra et d’autres…

La dernière bonne idée a été de s’allier le contrechant prenant de Gaëlle Cotte sur certains titres. Elle apporte la touche exotique et chaude qui pouvait manquer à l’album.

Un premier opus qui en appelle d’autres. Après l’écoute, on se surprend à fredonner longtemps cette écriture juste et ces mélodies délicates. On pense à William Sheller, Dominique A… Puis très vite on oublie ces illustres aînés et on se remet en boucle « Les lieux » ou « Bleu » des chansons qui restent longtemps dans un coin de la tête…


Eryk.e


« Bleu » clip réalisé par Elodie Huré