Eryk.e est médecin anesthésiste mais il revient à ses premières amours : la chanson et sort « Seize« , un bel album parrainé par Jean-Louis Murat.
Quant au festival étudiantHippocampus, après plusieurs années place du Premier Mai puis à la coopérative de Mai, il revient sous chapiteau au campus des Cézeaux avec une belle programmation.
Deux soirées festives en perspective :
Vendredi 13 mai : Thomas Kahn, Lyre le Temps et Manudigital
Samedi 14 mai : Comausaure, Jabberwocky et DJ Pfel et DJ Greem du célèbre collectif C2C
Seize, le premier album d’Eryk.e. Pochette signée Esther Decluzet
Nouvelle voix dans le paysage musical auvergnat, Eryk.e a deux vies. Derrière le médecin anesthésiste se cache un musicien qui pendant des années a composé et chanté dans l’ombre, à son rythme.
Une rencontre a tout changé : il a fait écouter ses mélodies à un ami. Et pas n’importe lequel : le plus célèbre des chanteurs auvergnats, Jean-Louis Murat, l’a adoubé.
Séduit par ses musiques, le compositeur lui a écrit les paroles de trois titres, Eryk.e a fait le reste et un album est né « seize ».
Dix chansons enregistrées dans le studio de Denis Clavaizolle avec Guillaume Bongiraud, Julien Quinet du Delano Orchestra et d’autres…
La dernière bonne idée a été de s’allier le contrechant prenant de Gaëlle Cotte sur certains titres. Elle apporte la touche exotique et chaude qui pouvait manquer à l’album.
Un premier opus qui en appelle d’autres. Après l’écoute, on se surprend à fredonner longtemps cette écriture juste et ces mélodies délicates. On pense à William Sheller, Dominique A… Puis très vite on oublie ces illustres aînés et on se remet en boucle « Les lieux » ou « Bleu » des chansons qui restent longtemps dans un coin de la tête…