Suite à cette manifestation, le colonel Pierre Gazan a réaffirmé son « total soutien » à ses hommes. Le commandant du groupement de gendarmerie de Haute-Saône estime qu’il ne peut « laisser impunément traiter [les gendarmes] de meurtriers ou d’assassins ».
Il rappelle que les militaires ont eu « à faire face à une série d’actes graves qui à deux reprises ont consisté à percuté volontairement et à renverser les forces de l’ordre qui tentaient de faire cesser ces infractions. Malheureusement, le choc n’a pu être évité face à quelqu’un de déterminé qui a volontairement et brusquement freiné sur une poursuite à vive allure ».
Reportage de Laurent Ducrozet et Jean-Marie Baverel
