04 Mar

Vos photos de l’ouverture sur le site de France 3 Franche-Comté !

Le fils de Nicolas Germain et sa belle prise en no-kill sur la Franco-Suisse

Cette année pour l’ouverture du 9 mars, France 3 Franche-Comté vous invite à participer à la rédaction d’un article pour notre site internet  sur ce jour important pour les pêcheurs et les amis des rivières.
Nous souhaitons publier vos photos prises ce 9 mars racontant
-La rivière où vous aimez vous rendre ( en meilleure ou en pire état…)
-Votre première prise si vous êtes pêcheurs
Nous préparons des cartes des rivières importantes des 4 départements de Franche-Comté pour localiser à peu près vos photos ( les pêcheurs pourront ainsi garder leur coin secret…)
L’objectif est de montrer la diversité des situations et de tenter de se rendre compte de l’état des lieux des rivières et de l’état d’esprit des hommes et des femmes qui les côtoient.
L’ideal, pour nous, est d’identifier avant le 9 mars une liste de personnes d’accord pour participer à cette initiative. Il faut juste pouvoir envoyer une ou plusieurs photos avant 15 heures le jour même avec un petit commentaire et le nom de la rivière pour pouvoir publier l’article le soir même…
Voici l’adresse mail : loue@francetv.fr ou si vous préférez vous pouvez m’envoyez vos photos au 06 22 69 33 46  .

Je compte sur votre participation et je vous en remercie par avance !!

Isabelle Brunnarius

19 Fév

La vallée de la Loue comme vous l’avez rarement vue…

La vallée de la Loue vue du belvédère de Hautepierre photographiée par Stéphane Gavoye

Observez bien cette photo de Stéphane Gavoye, elle nous révèle la vallée de la Loue comme nous la voyons rarement. Le photographe était comme «seul au monde» à cet instant. Juché sur la roche de Hautepierre. Au loin , le village de Hautepierre comme enflammé…

Personnellement, j’imagine Esclarmonde, l’héroïne du dernier roman de Carole Martinez, assise là au petit matin juste avant d’annoncer sa volonté de se faire emmurer à vie… Le photographe capte le mystère de la vallée aux «heures bleues». C’est le moment de la journée où le soleil n’est pas encore levé et le ciel couleur bleu radieux.

Stéphane Gavoye est arrivé en Franche-Comté il y a neuf ans. Passionné de photographie, la vallée de la Loue est vite devenue un de ses terrains de jeux. Proche de chez lui, Stéphane a commencé par randonner. Comme tout néophyte, le photographe s’est rendu à la source. Logique ! Mais cela n’a pas été le coup de foudre; «j’ai mis du temps à l’apprécier. Aujourd’hui, je vais plutôt sur les belvédères» . Sur son site , créé il y a deux ans, Stéphane raconte sa marche en pleine nuit à la frontale et dans la neige pour arriver au sommet à la bonne heure.

Autre terrain de chasse d’émotions, les cascades de la Loue et de ses affluents. Stéphane commence d’ailleurs un travail sur ces flots d’eaux métamorphosés en rubans diaphanes.

L’artiste recherche les ambiances brumeuses encaissées dans la vallée, «cela fait des fleuves de nuages». Vous découvrirez sur le site de sublimes vidéos prises du Belvédère du Moine de la vallée…

Voilà pourquoi je souhaitais vous faire partager notre découverte réalisée grâce à Pascal Sulocha, webmaster de France 3 Franche-Comté !

Isabelle Brunnarius

29 Jan

Invitation à l’avant-première du documentaire « Doubs, Loue, histoires croisées »

Voici en guise de mise en bouche un premier extrait du documentaire de Jean-Philippe Macchioni : une truite qui joue ! L’image est magnifique et elle va parler aux pêcheurs à la mouche… Et oui, une truite peut s’amuser, elle nargue en quelque sorte le pêcheur en lui laissant croire qu’elle va gober pour de bon sa mouche. Que cela soit un vrai insecte ou une mouche, le résultat est le même; la truite ne gobe pas à tous les coups. Personnellement, j’ai une version qui déplairait certainement à Séverin Ménigoz et ses amis : la truite est tout simplement maladroite.

Comment fait-on pour réussir une telle image? « Il faut de la patience…me répond Jean-Philippe Macchioni. Tu longes la Loue, tu t’installes et tu restes là un après-midi entier à observer jusqu’à ce que la truite commence à s’amuser! ».

Pendant les jours qui viennent, le blog de la Loue vous fera découvrir d’autres extraits de ce film qui retrace les histoires croisées de ces deux rivières.
Bien sûr, vous êtes invités à l’avant-première de ce documentaire prévue le jeudi 7 février à 20 heures à la Saline d’Arc-et-Senans. Il vous suffit juste de confirmer votre présence à clemence.baverel[@]francetv.fr !

Quant à la diffusion, elle est prévue le samedi 9 février à 15h20 sur France 3 Franche-Comté

18 Jan

Le «sorcier d’Ornans» de nouveau disponible chez les libraires.

Les deux romans de Philippe Koeberlé, lui même pêcheur à la mouche.

Les 500 premiers exemplaires de ce roman sorti il y a deux mois ont tous été vendus… Leurs lecteurs ont pu se plonger avec délectation dans la nouvelle enquête de Séverin Ménigoz, le guide de pêche franc-comtois issu de l’imagination de Philippe Koeberlé et Nicolas Robert.

Cette fois-ci, Philippe Koeberlé écrit en solo cette histoire campée dans la vallée de la Loue.  Meurtres, suspens, humour… le trio gagnant est au rendez-vous pour vous assurer de bons moments de lectures mais, personnellement, ce qui me fascine, ce sont les descriptions de l’univers de la pêche à la mouche.

Déjà dans le premier roman «Autopsie d’une truite», Philippe Koeberlé détaillait pendant deux chapitres les relations entre Séverin et «sa» grosse truite :

«Le lendemain il était là, à la même heure, canne à la main, idéalement placé, les nuées de mouches de mai faisaient l’ascenseur et voletaient en tout sens, mais pas de truite. Une crue subite le tint éloigné de la rivière pendant plusieurs jours, mais dès que l’eau s’éclaircit et baissa il attendit tous les soirs une apparition de sa truite. Elle sortit enfin de son repère, au cours d’une éclosion massive de phryganes.»

Moi qui ne pêche pas, j’ai l’impression d’apprendre les bases de cet art rien qu’en lisant ces lignes. Dans le «Sorcier d’Ornans», la rencontre entre Aimé Besson et Séverin Ménigoz révèle la profondeur de ce type de pêche. Lors de leur rencontre, le maître adoube le jeune guide. Le personnage d’ Aimé Besson est inspiré d’Aimé Devaux et de Henri Bresson, deux pêcheurs à la mouche admirés de tous et inventeurs de plusieurs ces appâts si particuliers.

«-C’est parfait et tu le sais, dit Aimé Besson. Ce sont des mouches d’ensemble qui flotteront dans la pellicule superficielle de l’eau, c’est ce qu’il faut actuellement puisqu’il paraît que les détergents retardent l’émergence des insectes ailés. Et puis la lumière, il faut que la mouche artificielle capte la lumière, c’est la lumière qui la  rendra vivante, prête au mouvement, pas la simple imitation de la  nature.»

Et plus cette nouvelle énigme avance, plus le lecteur pénètre dans l’univers si particulier de la vallée de la Loue. Une vallée scindée en parcours privés, chics et chers et des parcours publiques autrefois ignorés par les pêcheurs à la mouche…

Je ne vous en dit pas plus et rassurez-vous, Philippe Koeberlé vient de faire imprimer 300 nouveaux exemplaires…

Isabelle Brunnarius

04 Jan

Le documentaire de J.P. Macchioni diffusé sur france 3 en février

Voici un tout premier extrait de ce documentaire « Doubs Loue, histoires croisées » qui promet d’être passionnant. Ce film de 52 minutes sera diffusé sur France 3 Franche-Comté et France 3 Bourgogne le samedi 9 février à 15 h20. Attention, cet extrait est encore une version de travail; le commentaire de Jean-Philippe Macchioni n’est pas encore enregistré. Le réalisateur a choisi de raconter les histoires à la fois liées et distinctes du Doubs et de la Loue. Après avoir rappelé la spécificité karstique des sols et raconté le lien qui unit le Doubs et la Loue avec la fameuse découverte de 1901 grâce à l’incendie de l’usine d’absinthe, Jean-Philippe Macchioni rentre dans le vif du sujet avec des images de truites malades…

Malgré la dégradation des milieux, ces rivières demeurent magnifiques…Les images du film montrent également le Doubs et la Loue dans leur splendeur. Cela sera l’objet d’autres extraits. Jusqu’à la diffusion de février, nous tacherons de vous présenter des extraits de ce documentaire.

Comment les poissons vivent les crues ?

Le Doubs en crue près de Goumois. Photo : Patrice Malavaux

En regardant la Loue et le Doubs en crue, je me suis posée une question de néophyte : comment les poissons vivent ces moments de fortes turbulences ? N’étant pas encore bilingue en français-truite, je me suis tournée vers ceux qui observent si bien les rivières. «  C’est comme si vous étiez dans une tempête de sable, m’explique Thomas Perrine, garde pêche de la fédération du Doubs. Les sédiments sont soulevés, l’eau est trouble, cela peut gêner la respiration des poissons et ils perdent une partie de leurs repères.  Alors, ils se réfugient dans les bras morts des cours d’eau, au calme ». Des refuges qui ont tendance à disparaître quand les rivières ont fait l’objet d’endiguement.

Patrice Malavaux, le garde pêche de la Franco-Suisse me rappelle qu’ « une crue régulière est de toute façon indispensable pour la bonne santé de la rivière, c’est une grosse « opération de décrassage », un fort renouvellement de l’eau jusque dans les zones d’ordinaire plus calmes, qui emporte tous les résidus animaux et végétaux morts, les algues, dilue les accumulations de polluants, etc… Enfin elles participent à ce que les scientifiques appellent la « dynamique fluviale », c’est à dire le renouvellement et l’évolution des bancs de graviers, des îlots, des bras morts, autant de zones parmi les plus riches et indispensables à la biodiversité dans la rivière et sur les berges. »

Les truites de l'Ain sont en place pour frayer, les couples se forment… Photo Nicolas Germain

« Tout dépend du niveau de la crue, précise le pêcheur et créateur de mouches Nicolas Germain. Si le niveau est quinquennal (probabilité de se produire tous les cinq ans) et que c’est la période de reproduction des truites, cela peut avoir des conséquences. Cette année, sur l’Ain, on voyait bien que les truites sentaient que ce n’était pas le moment de frayer ».

Patrice Malavaux est souvent interrogé sur l’impact des crues sur la fraye des truites . « Même si une quantité d’oeufs se font emporter, répond-il, cela fait partie de la perte naturelle et il vaut mieux peut être moins d’oeufs qui vont se développer sur un substrat propre que plus d’oeufs dans un milieu encrassé, colmaté et désoxygéné comme on l’a beaucoup vu ces dernières années. De toute façon, l’incubation des oeufs de truites dans les graviers dure tout l’hiver, le alevins n’en sortiront que vers le mois d’avril. Dans un cycle normal, une rivière comme le Doubs devrait être en crue au mois une fois par an. Si cela devait ne pas convenir aux truites, je pense qu’il y a longtemps qu’il n’y en aurait plus… ou alors elles auraient changé de façon de se reproduire! » conclut Patrice Malavaux.

Les crues jouent même un rôle dans la reproduction de certaines espèces. Thomas Perrine m’a raconté que le brochet profite des crues pour se reproduire. « Quand l’eau envahit pendant plusieurs mois, les prairies au printemps, il y dépose ses œufs. Maintenant, le brochet est en régression car  il n’arrive plus à se reproduire faute de longues crues douces ». Tout ces spécialistes partagent le même constat : l’aménagement des rivières bouscule le cours naturel des crues. Aujourd’hui, l’eau monte très vite et descend très vite et si c’est un bien pour les hommes, ce n’est pas forcement le cas pour les poissons.

Voici une vidéo tournée récemment par Patrice Malavaux montrant le Doubs en crue dans les environs de Goumois.

20 Nov

«Mémoire en images : le pays d’Ornans», un hommage à la vallée de la Loue et ses habitants

2OO associations recensées dans les environs d'Ornans

Il suffit de feuilleter quelques pages et vous voici envahis par la bonne humeur, celle des jours où tout va bien. Ce livre est un remède contre la morosité, c’est également une source d’informations sur tout ce qui s’est passé et se passe encore dans la vallée de la Loue.
Gérard Ferrand et Roland Philippe ont du passer de délicieux moments à collecter les cartes postales anciennes, la photos des mariés sous les cerisiers de Mouthier-Haute-Pierre et tous ces clichés pris lors des nombreuses fêtes des environs d’Ornans. Rassemblés des anecdotes, chercher à identifier ceux qui posent sur une photo souvenir… tout cela prend du temps et c’est aussi l’occasion de faire de belles rencontres.

Des images commentées plutôt qu'un texte illustré

En parcourant toutes ces pages largement illustrées ( c’est le principe de cette collection), je n’arrêtais pas de me dire combien j’aimerais retourner me promener sur le sentier karstique de Merey ou encore filmer la fête des failles de Mouthier et partir à la découvertes d’endroits qui me sont encore inconnus. Un jour,  j’irai marcher dans le  défilé des gorges de Noailles sur le pas  des habitants de Mouthier qui allaient vendre leurs choux «tête de pierre»…
De ce livre ressort une richesse d’activités impressionnantes :  sportives, économiques,agricoles,  culturelles… Et même si la fête est parfois ternie par la pollution des cours d’eau et les difficultés économiques, La vallée de la Loue demeure un véritable trésor !

Isabelle Brunnarius

« Mémoire en images, le pays d’Ornans » de Gérard Ferrand et Roland Philippe,éditions Alain Sutton

26 Sep

Mais qui est Nicolas Jachet ?

Ce lecteur de l’Est Républicain est bien mystérieux ! Et difficile à joindre. Pas de contact dans l’annuaire, pas de profil facebook, pas d’ «identité numérique» Rien ! Introuvable. Et d’après la mairie d’Ornans, Nicolas Jachet ne serait pas inscrit sur les listes électorales. Bon, après toutes ces longues réponses à votre courrier et même celle de Gustave Courbet en personne, j’aimerai bien connaître, Monsieur Jachet, votre réaction !

Isabelle Brunnarius

Gustave Courbet répond à Nicolas Jachet.

La truite de Courbet version 2012 vu par Jean-Michel Blondeau à partir d'une photo de Patrice Malavaux

Jean-Michel Blondeau, Ornanais et habile webmaster de SOS Loue et rivières comtoises, a concocté tout spécialement pour le blog de la Loue une réponse au courrier de Nicolas Jachet : Il s’est glissé dans la peau de l’illustre peintre !

Voici son billet :

jeudi 30 août 2012 18:47

Très chère Isabelle,

Vous m’avez convié à sortir de mon sommeil pour vous aider à illustrer votre réponse à la lettre du Sieur Jachet, suite à son séjour dans ma vallée. C’est en effet le spectacle le plus désolant qu’il soit possible d’imaginer.

J’ai hésité à vous brosser une prairie du plateau couverte de pissenlits, mais j’ai créé le réalisme et non l’hyper-réalisme, mon style aurait amené la confusion avec les jonquilles de mon époque.

Avec ces nouveaux outils informatiques je ne retrouve pas encore l’habileté de mes pinceaux, mais ce sera bien suffisant pour exprimer ce que j’en pense.

Ce que vous voyez là, ce ne sont que quelques poissons morts, dont la seule vue suffit à me retourner dans mon trou depuis une bonne trentaine d’années.

Ils ne sont pourtant que les indicateurs visibles de problèmes bien plus graves et profonds : C’est en effet toute ma région, la Franche-Comté qui part à vau-l’eau avec son économie malade.

Le comté devenu immangeable, les prix du lait vont s’écrouler, le problème de la pollution agricole se réglera de lui même avec la ruine des paysans. Mais pour le tourisme de qualité qui faisait aussi la richesse de ma chère vallée, il n’y aura bientôt plus que mes toiles (bien mal éclairées) à donner à voir. Quand je pense que de mon temps ils les auraient bien brûlées !

C’est la société dans son haut, dans son bas, dans son milieu qui a rendu les armes. L’État et les élus, trop occupés à estomper la catastrophe dépensent l’argent public sans compter, mais à quoi serviront des passes à poissons quand tout sera crevé ?

Le courrier du Sieur Jachet montre quelle perception un voyageur de passage peut avoir de notre région. Mais ce n’est malheureusement pas celle de la majorité des habitants de la vallée, habitués à confier les merdes à la rivière, et pour qui un bel orage va remettre les choses en ordre ! D’où je suis, je connais leur moindre pensée, et j’ajouterai ce qu’ils se cacheront bien d’avouer, persuadés qu’ils sont qu’eux-mêmes n’en subiront pas les conséquences et que leur descendance se démerdera comme elle le pourra…

Cet égoïsme en est la principale cause, avec le manque d’éducation et de connaissances qui permettent depuis toujours les arrangements complices.

Ne vous attendez pas à ce que je me lève, faisant revivre l’esprit de la Commune, afin de mettre fin aux intérêts de quelques castes et privilégiés au détriment du peuple. Depuis la crise de l’usure vous avez laissé les mafieux entrer au capital des banques, les risques sont redevenus identiques à ceux de mon époque, et un nouvel exil m’est aujourd’hui difficilement envisageable. Écoutez plutôt les conseils de quelques uns de vos contemporains (tout comme moi réalistes) comme les gens du collectif SOS Loue et rivières comtoises, ils sont compétents et œuvrent à faire émerger depuis deux ans les dernières chances de solutions.

Encore vous faudra-t-il réussir à mettre tout ce monde autour d’une table avec comme seule volonté une sortie de crise honorable.

Vous souhaitant beaucoup de courage et la réussite nécessaire, je vous remercie, de la constance de votre engagement pour cette noble cause.

Veuillez agréer, chère Isabelle, l’expression de mes salutations sincères.

Gustave. Fait à Ornans le 30 août 18 2012.

30 Août

Vos réactions publiées sur le blog de la vallée de la Loue !

Une fois n’est pas coutume ! Aujourd’hui, je m’adresse à vous tous pour recueillir votre réaction au courrier des lecteurs publié récemment dans l’Est Républicain et diffusé sur Twitter par le blogueur Bisonteint. Le voici :

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J’aimerais que vous preniez le temps de réagir à cette interpellation car il me semble que Nicolas Jachet résume bien le point de vue d’une partie des habitants de la vallée.
Bien sûr, je m’adresse plus particulièrement aux élus, aux responsables de structures agissant pour la Loue… parce que des actions sont bel et bien entreprises même si les résultats ne sont pas encore visibles. Cependant, tous les avis m’intéressent !
Une fois vos réactions recueillies par mail ou par téléphone, je rédigerai un nouvel article pour le blog de la Loue.

Un grand merci par avance !

isabelle.brunnarius@francetv.fr ou 06.22.69.33.46