03 Sep

ReVue d’actu de 11h11 – jeudi 3 septembre 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#StreetArt

► A Saint-Palais-sur-Mer (Charente-Maritime), depuis 75 ans, les fortifications de béton armé imposent leurs silhouettes massives tout le long du littoral communal. Un street-artist a entrepris de rhabiller deux blockhaus de la Seconde Guerre mondiale. « C’est décoratif et c’est une bonne manière de leur donner une seconde vie à ces blockhaus. D’habitude c’est tout triste alors que là c’est quand même plus réjouissant », explique une promeneuse. Il serait mis en valeur différemment, ce serait peut-être bien aussi. Un peu comme en Normandie avec les musées, les plaques commémoratives et des panneaux explicatifs. Après si on peut avoir des œuvres d’art éphémères sur un blockhaus, ça peut être sympathique. Ça permet en tout cas de les voir sous un autre angle. » Nicolas Chantereau, membre de l’association « Forteresse de Royan ». @franceinfo. Légende image : Blockhaus graphé sur la plage de la Grande Côte à Saint-Palais-sur-Mer en Charente-Maritime. (Photo : Alexandra Lassiaille / France Télévisions).

#Urbanisme

► Jeux Olympiques Paris 2024 : un Village des athlètes « écolo », alimenté en énergies locales et renouvelables. La ville de Paris et la Métropole du Grand Paris s’engagent de plus en plus dans une démarche environnementale et le village olympique qui sera construit pour accueillir les athlètes des jeux de 2024, qui n’échappera pas à la règle, pourrait même constituer une vitrine internationale en matière d’écologie et d’accessibilité. C’est tout au moins le vœu des élus locaux, du comité d’organisation et des entreprises qui travaillent sur la construction de ce village. Les travaux de préparation des terrains et de déconstruction des bâtiments existants, principalement des friches industrielles, ont démarré fin 2019. Les travaux de construction et d’aménagement sont prévus entre 2023 et 2024 avec notamment l’aménagement de voies piétonnes, cyclables et circulées, ainsi que les espaces verts, dont les berges de Seine. Ces aménagements comprendront également la construction de logements locatifs, bureaux, commerces, répondant aux dernières normes environnementales, ainsi que des écoles, crèches et équipements sportifs, dans l’optique de recycler le village olympique en quartier résidentiel et tertiaire. Lire la suite de l’article sur le site @villeintelmag

02 Sep

ReVue d’actu de 11h11 – mercredi 2 septembre 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Ville

► Légende image : « Fin de l’Été ». Le démontage de la grande roue aux jardins des Tuileries un samedi de fin d’août. (Photo : @padam92).

01 Sep

ReVue d’actu de 11h11 – mardi 1er septembre 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Téléphonie

► Un peu plus de 4G en Cantal, Ardèche, Corse…. Le déploiement de la 4G se poursuit en France. Quelque 239 nouvelles «zones blanches» ont été identifiées par le gouvernement. D’ici à deux ans, ces sites, qu’il s’agisse de cœurs de villages, de centres industriels, commerciaux ou de lieux touristiques bénéficieront à leur tour d’une couverture en 4G. Cette annonce s’inscrit dans le cadre du New Deal Mobile, ce contrat passé entre l’État et les quatre opérateurs nationaux en 2018 et visant à améliorer la couverture 4G dans les zones rurales. Depuis sept arrêtés ont déjà été pris, avec 1858 zones identifiées. Les zones ciblées sont très variées, depuis Bastelica, village de la montagne Corse, en passant par l’usine de chaussures Boissy à Laussonne (Haute-Loire), le Centre d’entraînement régional la Bonnauderie (Maine et Loire) ou encore une aire de campings-cars au Naray (Aveyron) et la Mairie de Chatenay-en-France dans le Val d’Oise. @Le_Figaro. Légende image : Un pylône télécoms, habillé, pour mieux s’intégrer dans le paysage. (Photo : Benjamin Ferran). 

31 Août

ReVue d’actu de 11h11 – lundi 31 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Exposition

► Le château des Rohan de Saverne (Bas-Rhin) est devenu le lieu d’une exposition et d’une performance en direct de street-art, ou art urbain. Le samedi 29 août, huit artistes ont créé des œuvres colorées sur les fenêtres du monument. Les artistes font partie du collectif Urban colors de Strasbourg. La municipalité de Saverne a pris l’initiative de les inviter. Parmi eux, le Portugais Tiago Francez, dit The Empty Belly, se voit comme un « muraliste ». Sa création est une représentation de la journaliste et féministe Louise Weiss, faite d’une multitude de points blancs. Elle est liée à Saverne depuis qu’elle a fait don au musée, abrité dans le château, de ses collections historiques. Car la démarche artistique impose de peindre un sujet en rapport avec les lieux. @franceinfo. (Photo : Cécile Poure, France Télévisions). (Photo : Cécile Poure, France Télévisions).

#Ville

► En 2019, les villes du monde entier ont vu défiler des millions de jeunes pour dénoncer l’inaction des Etats dans la lutte contre la crise climatique. La ville de demain prendra-t-elle le relais des Etats pour sauver la planète ? « Les villes veulent et peuvent devenir l’épicentre de la course contre la montre du dérèglement climatique (…) Ce sont leurs habitants eux-mêmes qui vont de plus en plus exiger de vivre dans des villes vivables (…) Elles ont toutes pour objectifs d’attirer des habitants et des investisseurs. Leur positionnement dans la lutte contre la crise climatique sera un levier d’attractivité. Leur premier levier d’action, c’est qu’elles ont la main sur les deux principales sources d’émissions de CO2 en France : les bâtiments et la mobilité (…) Elles ont déjà des outils efficaces comme les plans de déplacement urbain, le plan local d’urbanisme. Leur second levier d’action, c’est leur capacité à coopérer entre elles : elles sont concurrentes, oui, mais aussi partenaires », explique Cécile Maisonneuve, présidente du groupe de réflexion La Fabrique de la Cité, sur le site de franceinfo (Demain ma ville).

#LiensVagabonds publiés par le site Métamedia.

► Facebook contre Apple sur fond de publicité. À retenir cette semaine : – Et si Facebook était la véritable « majorité silencieuse » ? ; – Quel format pour l’info locale sur Instagram ? ; –  Comment les récits authentiques brisent les stéréotypes – et les barrières ; – Comment détruire le capitalisme de surveillance ; – La révolution vitesse 5G [Infographie] ; – Pourquoi l’informatique quantique est-elle importante ?

#IA

► « Nous sommes tous partie prenante de l’intelligence artificielle, explique Alexandre Pachulski, docteur en sciences informatiques. Nous possédons le bien le plus précieux de l’IA : lles données qui lui servent de carburant. Et nous sommes ceux que l’IA est censée aider. » Publié le 19 août, son livre Génération IA s’appuie sur quatre-vingts films et séries pour comprendre l’impact de cette intelligence dans nos vies. « J’ai voulu la rendre accessible par les films pour aider les gens à faire des choix. » L’auteur se penche sur « l’IA dans la cité ». Par exemple la série Westworld (2016) « avertit l’humanité que même si les IA sont des machines, elles ne sont pas là pour servir de souffre-douleur aux humains. Sinon, elles pourraient bien se rebeller », souligne l’auteur. @Le_Figaro

Écouter le podcast de la scientifique et entrepreneuse Aurélie Jean qui rappelle la nécessité d’avoir recours à la vulgarisation scientifique en cette période de pandémie de coronavirus. « La vulgarisation est un art, l’art d’expliquer un concept souvent complexe à travers une histoire de références du quotidien, des questionnements ou encore l’utilisation de différents médias comme le texte, le dessin, la musique ou le film, explique la scientifique. Vulgariser les sciences est un levier pour renforcer le pouvoir démocratique. » @europe1.

28 Août

ReVue d’actu de 11h11 – vendredi 28 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Energie

► La géothermie, une solution à la hausse des températures. Tribune de Mikael Philippe, Docteur énergéticien, BRGM et Fanny Branchu, Chargée de communication, BRG0M. La période de janvier à juillet 2020 est la plus chaude qu’ait connue la France depuis le début de l’enregistrement des relevés de température. L’augmentation de la température moyenne globale pourrait atteindre « 6,5 à 7 °C en 2100 » par rapport à l’ère préindustrielle (1850 à 1899) indique le scénario pessimiste de Climeri France. Les vagues de chaleur devraient également progresser en intensité et en fréquence. La possibilité de rafraîchir ou refroidir des bâtiments en été est déjà indispensable pour certains lieux (hôpitaux, maisons de retraite…). Elle va devenir déterminante pour les constructions et rénovations actuelles, si l’on veut éviter qu’elles soient obsolètes dans 20 ans en raison de températures insupportables. Mais comment conjuguer ce besoin de fraîcheur avec l’impératif de sobriété énergétique ? Lire la suite de la tribune sur le site @FR_Conversation. Légende image : Des habitants de Colmar se rafraîchissent sous des fontaines pendant une vague de chaleur, le 7 août 2020. (Photo : Sébastien Bozon / AFP).

#Télévision

► Edinburgh TV Festival 2020 : une révolution provoquée par la pandémie et #BlackLivesMatter. Par Kati Bremme, Direction de l’Innovation et de la Prospective. Par Kati Bremme, Direction de l’Innovation et de la Prospective. Deux événements ont ébranlé cette année la TV britannique “intrinsèquement snob” (Ben Frow) : une pandémie sans précédent depuis le début de la télévision, et le mouvement Black Lives Matter. Dans une industrie, où l’apogée de la diversité était pendant longtemps atteint par le juste équilibre entre les diplômés d’Oxford et de Cambridge, les voix fortes qui réclament un passage à l’acte pour une télé plus inclusive ont de quoi bouleverser les vielles habitudes. Lire la suite de l’article sur le site @metamedia.

#Cinéma

► Quatre jeunes habitants d’Aubervilliers ont tourné un court métrage de 90 secondes sur le thème de la solidarité. Ils participent au concours « Filme l’avenir », proposé par l’association « Les Amis(e) du Comedy Club », de Jamel Debbouze.. Les quatre amis ont écrit, tourné, joué, réalisé et monté un court-métrage dans des ateliers pédagogiques soutenus en particulier par France Télévisions et le CNC. « Je les encadre à faire un film, à leur apprendre les bases de l’écriture scénaristique, faire une prépa assez rapide et tourner un film en 48 heures », explique le réalisateur Achraf Ajraoui présent sur le tournage. Le but est de montrer un aspect positive des quartiers populaires. Les quatre camarades d’Aubervilliers se plient avec plaisir à l’exercice. « Ça représente l’occasion de montrer ce que l’on sait faire, explique Usman, un des quatre cinéaste. 90 secondes, c’est déjà pas mal. Ça reste une bonne plateforme, un beau projet. » @franceinfo.

#Environnement

► « 70% de la lutte contre le changement climatique se joue au niveau local » : l’eurodéputé Damien Carême imagine la ville écologique de demain. Damien Carême, eurodéputé d’Europe Ecologie-Les Verts, ancien maire de Grande-Synthe, reste persuadé que les municipalités ont un rôle essentiel à jouer dans la protection de l’environnement. De 2001 à 2019, l’élu écologiste a fait de la ville du Nord un laboratoire social et vert dans un contexte difficile – un taux de chômage proche de 25%, près de 65% de logements sociaux, le tout dans un bassin économique en perte de vitesse, à proximité directe d’une quinzaine de sites industriels dangereux classés Seveso. Durant les trois mandats de Damien Carême, Grande-Synthe s’est engagée dans la création d’éco-quartiers, de jardins partagés, d’une cantine 100% bio. La ville a ainsi été nommée « capitale de la biodiversité » en 2010 et a remporté le trophée « fleur d’or » ou encore le prix « zéro phyto, 100% bio »en 2015. Il s’agit du cinquième grand entretien de franceinfo, après ceux de la climatologue Valérie Masson-Delmotte, de l’économiste Thomas Piketty, du comédien Philippe Torreton et du médecin Rony Brauman, pour mesurer les conséquences de la crise du Covid-19 et tenter de comprendre de quoi sera fait le « our d’après ». @franceinfo.

27 Août

ReVue d’actu de 11h11 – jeudi 27 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Environnement

► À Maurice, comment la marée noire risque de perturber les écosystèmes marins côtiers. . Certaines fois, les catastrophes surviennent aux pires endroits possibles. C’est le cas de l’échouage du MV Wakashio sur les récifs de la côte sud-est de l’île Maurice, le 25 juillet dernier. L’épave du cargo a commencé à répandre son fioul juste devant une réserve naturelle (l’île aux Aigrettes), à quelques kilomètres d’un parc marin (Blue Bay) et proche d’une zone humide d’importance internationale (la Pointe d’Esny, site classé Ramsar). Le MV Wakashio transportait 4000 tonnes de carburant, ce qui est difficilement comparable aux 400 000 tonnes répandues lors de la catastrophe du Deepwater horizon en 2010. Mais dans le cas présent, la proximité du navire avec des groupements d’écosystèmes mondialement reconnus fait craindre des conséquences de long terme à Maurice. L’île représente un point chaud de la biodiversité et la majorité de la faune unique de l’île dépend de connexions intriquées entre récifs, lagunes, prairies sous-marines et mangroves. Par conséquent, la pollution d’un habitat peut avoir un effet ricochet dévastateur. Ainsi dans ce contexte, quelles répercussions pourrait avoir la récente fuite de pétrole sur l’environnement local ? Lire la chronique de Sivajyodee Sannassy Pilly, John Turner et Ronan Roche de Bangor University au Pays de Galles. Légende image : Un volontaire nettoie la côte après l’échouage du pétrolier à l’île Maurice. (Photo : ohrim / Shutterstock) @FR_Conversation.

#Entreprise

► Pour la seconde année, LM Wind Power a loué la salle des fêtes de Cherbourg pour mener son opération de recrutement. Il y a 250 postes à pourvoir pour fabriquer des pales d’éoliennes géantes. Pendant trois jours, des salariés de l’usine ont animé un job dating afin de séduire des candidats. « L’usine privilégie le savoir-être avant l’expérience et le diplôme, et recherche des profils ayant envie d’apprendre », précise la directrice des Ressources Humaines. Les candidats doivent être dotés de qualités telles que la curiosité, la rigueur, l’envie d’apprendre et de travailler en équipe ». @franceinfo.

26 Août

ReVue d’actu de 11h11 – mercredi 26 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Exposition

► La 32ème édition du festival de photojournalisme « Visa pour l’Image » à Perpignan (Pyrénées-Orientales) ouvre ses portes du 29 août au 13 septembre. Une édition bouleversée par la crise du coronavirus et avec un mot d’ordre : défendre le photojournalisme, pilier de l’information. « Cette édition est encore plus importante avec la crise mondiale du coronavirus. Le photojournalisme est de plus en plus menacé, personne n’a pu voyager, les situations de guerre ne sont pas couvertes. Les photographes sont en grande précarité, sans commande de journaux, explique  Jean-François Leroy, fondateur du festival Visa pour l’Image. Les photojournalistes sont des journalistes, ils préparent leurs sujets, se documentent, se rendent sur place, observent, témoignent. Un citoyen lambda, avec un iphone, ne sait pas faire la même chose. » Légende image : Sur le lac Manchar (Pakistan), 350 km² d’eau douce, il ne reste plus qu’une quarantaine de bateaux-maisons habités par les Mohana. Les familles vivent entourées d’oiseaux, devenus leurs animaux de compagnie (Photo : Sarah Caron / Figaro Magazine).

#Travail

► Port du masque obligatoire en entreprise dès le 1er septembre : le Covid-19 va t-il faire disparaître le coworking ? L’Espace by MAAARS a ouvert ses portes le 21 mars 2019 à Châteaudun, dans l’Eure-et-Loir. « C’était à l’occasion de la première journée nationale du coworking », se rappelle Sabine-Rose Aronsfrau-Moreau, sa fondatrice. À 54 ans, cette entrepreneure de la première heure a « roulé sa bosse » dans des domaines très variés, à l’image de l’événementiel, du recrutement et du management. Originaire de la région Île-de-France, elle a choisi de s’implanter dans les anciens locaux de la CCI avec son mari pour encourager le développement des entreprises dans le département. Sa stratégie ? Provoquer une émulation, en proposant des conseils personnalisés et en permettant aux acteurs du monde de l’entreprise de se réunir.Dans les 693 mètres carrés qu’elle met à leur disposition, on trouve des bureaux et des salles de conférence privées, que les entreprises peuvent réserver à la demande, mais aussi un grand espace réservé au coworking « avec une très bonne connexion internet et du matériel de pointe ». Les patrons de TPE, autoentrepreneurs et indépendants, qui payent l’accès à ce lieu, s’y retrouvent pour travailler sur leurs projets et échanger. Lire la suite de l’article sur le site @franceinfo.

#Agriculture

► Dans le 93, la ferme « Zone sensible » cultive des légumes… et du lien social. Derrière les tracteurs, les HLM se dressent comme des géants de bétons sur une quinzaine d’étages. Deux poules picorent des graines dans l’une des huit allées qui séparent les champs de haricots verts et de mini-navets et convergent vers un rond-point de verdure. « On aime plaisanter en disant qu’ici, on est sur la place de l’Étoile du 93″, s’amuse Jean Philip Lucas, coordinateur du développement du Parti Poétique. Son association s’est installée en 2017 à Saint-Denis, sur une ancienne ferme maraîchère du XIXe siècle, après avoir répondu à un appel à candidature de la ville, destiné à sélectionner les projets pédagogiques et agricoles qui profitent aux Dionysiens. « Avant, le nord de Paris s’appelait la plaine des Vertus, car c’était la plus vaste plaine légumière de France ; il y avait des fermes partout, lâche ce volubile amoureux de la nature. Il faut qu’on arrive à préserver ce patrimoine, qu’il ne disparaisse pas au profit de McDonald’s, des kebabs et des immeubles. » Lire la suite de l’article sur le site @WeDemain.

#Transport

► À partir du 5 septembre prochain, les transports en commun seront gratuits le week-end pour les quelque 457 800 habitants de Montpellier Méditerranée Métropoler. Il s’agit de la première phase d’un projet qui doit amener à l’exonération totale. Elle devrait être suivie, « d’ici la mi-mandat », de la gratuité en semaine pour les personnes âgées et les jeunes, puis pour l’intégralité des habitants de l’agglomération. Les usagers du réseau TaM devront tout de même se munir d’un titre de transport. La validation à bord est toujours obligatoire à chaque trajet, afin « d’évaluer la fréquentation par ligne et ainsi ajuster l’offre de transport« , précise la métropole. @franceinfo.

#Travail

► Port du masque obligatoire en entreprise dès le 1er septembre : le Covid-19 va t-il faire disparaître le coworking ? L’Espace by MAAARS a ouvert ses portes le 21 mars 2019 à Châteaudun, dans l’Eure-et-Loir. « C’était à l’occasion de la première journée nationale du coworking », se rappelle Sabine-Rose Aronsfrau-Moreau, sa fondatrice. À 54 ans, cette entrepreneure de la première heure a « roulé sa bosse » dans des domaines très variés, à l’image de l’événementiel, du recrutement et du management. Originaire de la région Île-de-France, elle a choisi de s’implanter dans les anciens locaux de la CCI avec son mari pour encourager le développement des entreprises dans le département. Sa stratégie ? Provoquer une émulation, en proposant des conseils personnalisés et en permettant aux acteurs du monde de l’entreprise de se réunir.Dans les 693 mètres carrés qu’elle met à leur disposition, on trouve des bureaux et des salles de conférence privées, que les entreprises peuvent réserver à la demande, mais aussi un grand espace réservé au coworking « avec une très bonne connexion internet et du matériel de pointe ». Les patrons de TPE, autoentrepreneurs et indépendants, qui payent l’accès à ce lieu, s’y retrouvent pour travailler sur leurs projets et échanger. Lire la suite de l’article sur le site @franceinfo.

#Agriculture

► Dans le 93, la ferme « Zone sensible » cultive des légumes… et du lien social. Derrière les tracteurs, les HLM se dressent comme des géants de bétons sur une quinzaine d’étages. Deux poules picorent des graines dans l’une des huit allées qui séparent les champs de haricots verts et de mini-navets et convergent vers un rond-point de verdure. « On aime plaisanter en disant qu’ici, on est sur la place de l’Étoile du 93″, s’amuse Jean Philip Lucas, coordinateur du développement du Parti Poétique. Son association s’est installée en 2017 à Saint-Denis, sur une ancienne ferme maraîchère du XIXe siècle, après avoir répondu à un appel à candidature de la ville, destiné à sélectionner les projets pédagogiques et agricoles qui profitent aux Dionysiens. « Avant, le nord de Paris s’appelait la plaine des Vertus, car c’était la plus vaste plaine légumière de France ; il y avait des fermes partout, lâche ce volubile amoureux de la nature. Il faut qu’on arrive à préserver ce patrimoine, qu’il ne disparaisse pas au profit de McDonald’s, des kebabs et des immeubles. » Lire la suite de l’article sur le site @WeDemain.

#Transport

► À partir du 5 septembre prochain, les transports en commun seront gratuits le week-end pour les quelque 457 800 habitants de Montpellier Méditerranée Métropoler. Il s’agit de la première phase d’un projet qui doit amener à l’exonération totale. Elle devrait être suivie, « d’ici la mi-mandat », de la gratuité en semaine pour les personnes âgées et les jeunes, puis pour l’intégralité des habitants de l’agglomération. Les usagers du réseau TaM devront tout de même se munir d’un titre de transport. La validation à bord est toujours obligatoire à chaque trajet, afin « d’évaluer la fréquentation par ligne et ainsi ajuster l’offre de transport« , précise la métropole. @franceinfo.

25 Août

ReVue d’actu de 11h11 – mardi 25 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Territoire

► Haut lieu du cyclotourisme, le village de Bréhémont (Indre-et-Loire) offre à ses visiteurs un aperçu d’un port des bords de Loire. La culture du chanvre s’est installée aux environs du village parce que le sol était facile à irriguer entre Loire, Cher et Indre. La commune compte 140 fours à chanvre sur son territoire. Le chanvre ainsi produit servait à confectionner les cordages indispensables à la batellerie. L’activité de pêche a aussi existé sur le secteur de Bréhémont jusque dans les années 70 avant de revenir aujourd’hui avec l’installation de Dominique Chauvreau, pêcheur professionnel. Il conserve les engins de pêche de ses ancêtres. (Voir la photo ci-dessus de Nathanaël Lemaire / FTV). @franceinfo.

#Ville

► Comment réconcilier la ville intelligente et la ville verte ? « Si j’étais psychanalyste, je mettrais la smart city sur le divan et lui dirais d’abord de soigner son addiction aux données. Cela veut dire s’occuper des données dont on a vraiment besoin. Je lui dirais aussi qu’une ville vraiment « smart » et maline, ce n’est pas la ville du « »toujours plus », mais celle du « toujours mieux ». C’est une ville où je peux remplir chaque jour mon programme d’activités sans dégrader l’environnement. C’est une ville qui utilise le numérique, oui : le numérique fait partie de nos vies ; on ne va pas le désinventer. Mais pour en faire un allié au service des citadins, au service de la qualité de vie », explique Cécile Maisonneuve, présidente du groupe de réflexion « La fabrique de la Cité ». Elle décrypte chaque fin de semaine les grandes tendances qui façonneront nos vies d’urbains dans « Ma Maison Demain » sur le site @franceinfo.

#Climat

► Pour construire le « monde d’après », 200 militants formés au Camp Climat de Toulouse à la lutte non-violente. Apprendre à se défendre face aux forces de l’ordre, s’organiser en collectif, coordonner des actions de désobéissance civile non-violente, organiser une campagne pour plus de pistes cyclables en ville, répondre à des journalistes, gérer ses émotions, tels étaient quelques-uns des thèmes des ateliers qui ont réuni 200 militants pendant 5 jours à Ramonville lors du Camp Climat de Toulouse qui s’est tenu du 19 au 23 août. Ces journées proposées par les groupes toulousains d’Alternatiba, des Amis de la Terre, des Désobéissants et d’Action Non Violente COP21 font partie des Camps Climat régionaux organisés en France dans une vingtaine de territoires durant l’été. Ils font suite au Camp Climat 2019 ayant accueilli un millier de participants en Alsace, à Kingersheim et constituent la version Covid-19 de ce rendez-vous désormais annuel, mieux adapté aux conditions sanitaires qu’un seul grand événement. Mais l’objectif reste le même : « poursuivre la montée en puissance du mouvement climat partout en France, renforcer notre résilience, et nous doter des outils permettant de construire le monde d’après. » @franceinfo.

24 Août

ReVue d’actu de 11h11 – lundi 24 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Agriculture

► A Amiens, une micro-ferme urbaine fait triompher le circuit court. Au cœur d’Amiens, l’Ile aux fruits, une micro-ferme maraîchère au modèle atypique est submergée par la demande de ses 4 500 adhérents. L’agriculture urbaine aurait donc de l’avenir ? « Au début du siècle, Amiens comptait 980 agriculteurs. Aujourd’hui, il en reste 8. Avec nous, ça fait 9 », se félicite Frédéric Fauvet, le président de l’association Terres Zen à l’origine du projet. L’île était une terre maraîchère avant que les fermes ne disparaissent une à une. Il y a trois ans, une petite équipe d’urbains avait pour objectif de démontrer qu’on peut cultiver sur cette ile produire des fruits et légumes. Ainsi chaque semaine, tout au long de l’année, l’association, qui compte trois salariés, distribue 500 à 600 paniers de légumes, avec des ventes multipliées par 2,5 pendant le confinement. Forte d’une activité qui associe un peu de restauration (un food-truck) et de l’événementiel, elle engrange un chiffre d’affaire de 500 000 euros par an. Légende image : Le marché de l’Ile aux Fruits se tient tous les jeudis de l’année. @usbeketrica.

#Urbanisme

► A Bagneux, les ateliers et les activités programmés sur l’un des chantiers de l’écoquartier Victor-Hugo n’ont pas rencontré leur public. Et ce, malgré l’éventail d’activités proposées aux potentiels visiteurs. « On avait imaginé des choses très sympas », regrette Noémie Carric, responsable d’opération à la Sadev 94, société d’économie mixte du Val-de-Marne en charge de l’aménagement de l’écoquartier. Les différents promoteurs se sont associés à des associations locales qui proposent des activités ludiques, tournées notamment vers l’environnement et l’art. En principe, ce type d’événement est aussi l’occasion, pour les riverains, de rencontrer les promoteurs partenaires qui portent l’initiative et de leur poser des questions ». @le_Parisien.

#Environnement

► Selon Global Footprint Network, nous avons épuisé le samedi 22 août l’ensemble des ressources que la Terre est capable de régénérer en un an. Ce jour du dépassement de la Terre est la date à partir de laquelle l’humanité vit à crédit et puise dans ses réserves non renouvelables. À ce jour, nous aurions besoin de 1,6 Terre pour assouvir nos besoins. C’est cette surexploitation de notre planète que dénoncent dix-neuf maires et présidents de métropoles écologistes, dans une tribune publiée sur le site du journal Le Monde. Ils défendent « une relance économique au service de la planète ». « Il est important de montrer que notre planète est unique et que ses ressources sont limitées. Nous allons trop vite dans notre consommation et nous devons nous réinventer pour ne pas mettre les générations futures en péril », explique le maire EELV de Tours, Emmanuel Denis. @franceinfo.

#Territoire

► Donges : le village du peuple occupe une ferme préemptée pour permettre le développement économique du territoire. C’est un ancien corps de ferme, sur la commune de Donges (Loire-Atlantique),. Squatté depuis le mois d’avril 2019 et rebaptisé village du peuple par des gilets jaunes qui avaient perdu l’usage d’un autre lieu à Saint-Nazaire, nommée à l’époque Maison du Peuple, et détruite depuis. L’endroit héberge aujourd’hui toutes sortes de projets tels qu’un magasin gratuit ouvert à tous, où il est possible de recevoir ou de donner des vêtements, par exemple. « On récupère ce dont les gens n’ont plus besoin, ils nous le ramènent ici, nous on le trie et chacun peut venir ici voir ce qui lui plaît, prendre ce qu’il a envie et puis donner aussi des choses… s’il a envie » Alice, habitante du village du peuple. @franceinfo

#LiensVagabonds publiés par le site Métamedia.

► QAnon face à la Big Tech. À retenir cette semaine : – Télétravail : les 10 gestes numériques écolo à adopter ; – Vente en ligne : la France franchit le cap historique des 100 milliards d’euros ; – Nommé aux Emmy Awards, le studio français Targo voit dans la réalité virtuelle le futur du documentaire ; – Le succès fulgurant de  Meredith Kopit Levien, la nouvelle PDG du New York Times ; – Netflix épinglé pour sa promo du film « Mignonnes ».

21 Août

ReVue d’actu de 11h11 – vendredi 21 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Climat

► D’abord, la Sibérie a connu des températures extrêmes. Puis, plus à l’ouest, dans le Svalbard, à mi-chemin entre la Norvège et le pôle Nord, le thermomètre a affiché des températures allant jusqu’à 10 °C au-dessus des normales saisonnières pendant plusieurs jours. Ces phénomènes, qui se sont accompagnés d’incendies hors normes et d’une fonte accélérée des glaciers et du permafrost, inquiètent ceux qui vivent au milieu de cet écosystème fragile. A lire l’article : Canicules, incendies, fonte des glaces… Comment l’Arctique traverse l’été de tous les records sur le site @franceinfo. Un pêcheur parmi un pack d’iceberg dans un fjord, près de Tiniteqilaaq, au Groenland, le 5 juillet 2020. (Photo : Philippe Roy / Afp).

#Numérique

► Ce que la crise du coronavirus a changé dans nos vies quotidiennes. Huit Européens sur dix en sont convaincus : les nouvelles technologies numériques vont sauver l’humanité. Les deux tiers (67%) des Français, eux, estiment qu’ils n’auraient jamais pu réussir le confinement sans leur présence. Ce sont les conclusions d’un sondage Odoxa, commandé par Huawei début juin. Il faut le dire : pendant le temps fort de la crise, le numérique était partout. Il a en effet été possible de travailler à distance grâce aux progrès de l’informatique et des télécommunications. S’adresser à son médecin sans bonder les salles d’attente s’est révélé plus facile que prévu grâce aux téléconsultations. Enfin, l’isolement, lié au confinement, a pu être trompé avec Zoom, House Party, Google Meet, des applications apprivoisées en un temps record. En juin, une note de la Fondation Jean Jaurès, l’affirmait : « la place prise par le numérique dans nos vies confinées a atteint un seuil inédit qui nous permet d’affirmer que nous sommes entrés dans une « société numérique ». L’Express en esquisse ses contours. Lire la suite de l’article sur le site @LExpress

#Pollution

► Le bruit, un nouvel enjeu pour les villes ? Dans un Paris confiné, le cri des mouettes planant le long de la Seine remplaçait celui des moteurs de voiture. Partout en France, l’une des conséquences du confinement fut notamment la diminution spectaculaire du niveau sonore en milieu urbain et l’apparition de sons nouveaux. À Lyon, Grenoble ou Aix-en Provence, on a observé une réduction de 4 à 10 décibels pendant le confinement, soit 60 % à 75 % de l’énergie sonore, ce qui est conséquent », résume Patricio Munoz, directeur de Acoucité, l’Observatoire de l’environnement sonore de la Métropole de Lyon. Menées par Acoucité et Bruitparif, les études sur l’environnement sonore montrent également que la baisse d’un flux sonore a eu pour résultat la redécouverte de nouveaux sons. « En temps normal, les bruit des transports dominent notre environnement sonore, poursuit Patricio Munoz. Pendant le confinement, ces sources sonores étaient moins présentes que les sons d’origines naturelles comme les chants des oiseaux ou le bruit des feuillages. L’étude révèle également que ces derniers sont systématiquement accueillis de manière favorable et positive. Lire la suite de l’article sur le site @WeDemain.

#Réseau_5G

► Le maire de Bordeaux souhaite ralentir le rythme. Alors que la procédure d’attribution des fréquences 5G se tiendra à la fin du mois de septembre, le nouveau maire écologiste de Bordeaux, Pierre Hurmic, souhaite mettre en place un moratoire autour de la nouvelle norme réseau avant de poursuivre son usage, rapporte  France 3. La rentrée risque d’être mouvementée pour la 5G. Dès la fin du mois de septembre, les principaux opérateurs français (Orange, SFR, Bouygues Telecom, Free) pourront acheter chacun un bloc de base de 50 mégahertz (MHz) au prix fixe de 350 millions d’euros, et enchérir s’ils souhaitent obtenir des blocs supplémentaires de 10 MHz à 70 millions d’euros chacun. Une procédure pour laquelle Bouygues Telecom a demandé un report, mais dont la requête a été refusée par le Conseil d’État. Dans le même temps, l’installation des stations expérimentales se poursuit dans l’hexagone. Ainsi, dès la fin d’année, la France verra sûrement naître ses premières offres 5G. Lire la suite de l’article sur le site @siecledigital