12 Fév

Le secrétaire d’État chargé du numérique vient à Labège pour lutter contre l’illectronisme

Le secrétaire d’État chargé du numérique va passer la Saint-Valentin près de Toulouse. Mounir Mahjoubi sera en visite à Labège ce jeudi 14 février pour parler du numérique inclusif. Un plan national déployé pour la première fois en Occitanie.

Thibaud Moritz / MaxPPP

Mounir Mahjoubi sera dans la région toulousaine ce jeudi 14 février à 17h00.

Le secrétaire d’État chargé du numérique est attendu à Labège pour signer la charte du numérique inclusif, avec le Sicoval qui regroupe 36 communes du Lauragais jusqu’au Sud-Est de Toulouse.

La signature sera ensuite suivi d’un débat sur le numérique pour tous. 

C’est la cinquième fois que Mounir Mahjoubi visite les terres d’Occitanie. Sa dernière venue date du 18 juin 2018 lors d’un sommet de start-up à Toulouse.

Le numérique inclusif, kesaco ?

Le numérique inclusif est un plan national lancé par le Gouvernement en septembre 2018.

L’objectif est de faciliter l’accès au numérique dans les territoires.

La stratégie comporte deux volets. La première est de lutter contre les zones blanches. Le ministère du numérique ne plus que « personne puise dire : je te rappelle ça capte plus !« .

Le second volet concerne l’amélioration des usages. « Un numérique inclusif, c’est aussi faire en sorte que dans chaque département français, dans chaque ville, dans chaque territoire, des outils de formation et d’accompagnement soient mis en place de manière pérenne pour toutes celles et ceux qui ne sont pas autonomes numériquement » précise le secrétariat chargé du numérique sur son site web.

Après Pau en octobre 2018, Sicoval est la deuxième collectivité locale de France a signé cette charte contre la fracture numérique.

« En contrepartie, le rôle de l’Etat est d’accompagner et de soutenir le Sicoval, comme 9 autres collectivités en France, dans la mise en œuvre d’actions concrètes sur son territoire pour notamment aider les publics les plus éloignés du numérique à l’heure de la dématérialisation de la plupart des services publics » nous précise la présidence du Sicoval.

Sur le plan national, cela concerne 14 millions de français. 

Julien Leroy

15 Jan

La startup toulousaine Staffman lève 600.000 euros (pour continuer à trouver un ingénieur à la dernière minute)

La startup toulousaine Staffman vient de boucler un tour de table de 600.000 euros. Un montant honorable pour cette jeune pousse qui permet aux entreprises du numérique (ESN) de trouver un ingénieur « pour lundi ».

Joël Alaux et Bastien Vialade, les deux fondateurs de Staffman / © Staffman

Le spécialiste du recrutement d’ingénieurs à la dernière minute, a annoncé ce lundi 14 janvier, sa première levée de fonds.

Staffman boucle ainsi un tour de table de 600.000 euros grâce à Hellowork, l’un des poids lourds français de l’emploi et de la formation sur internet. Ce dernier est l’éditeur des plateformes telles que Cadreo, Parisjob, RegionsJob, CVcatcher ou Talentdetection.

« Nous sommes ravis d’accueillir HelloWork dans notre actionnariat. Il y a une logique industrielle à ce rapprochement et une complémentarité évidente avec une offre de staffing à 360° (freelances, sous-traitance et candidats) qui correspond à l’évolution du marché du recrutement en France » explique Bastien Vialade, l’un des deux fondateurs de Staffman.

Cette levée de fonds va permettre également de recruter une dizaine de collaborateurs en 2019.

Née à Toulouse, Staffman est une plateforme collaborative qui met relation des entreprises avec des candidats prêts à enchaîner les missions d’intérim.

Il suffit à l’ingénieur informatique de s’inscrire gratuitement sur le site web et d’attendre l’appel d’un recruteur. Les algorithmes de Staffman permettent de cibler rapidement les profils. Cette agence d’intérim 2.0 revendique, aujourd’hui, un chiffre d’affaire multiplié par 10 en 2018, 500 entreprises en France et 10.000 candidats référencés.

Julien Leroy

11 Jan

Naissance du plus grand cluster numérique d’Occitanie (et quel sera son rôle ?)

Après 2 ans d’attente, DigitalPlace et FrenchSouth.digital fusionnent. Les deux clusters de Midi-Pyrénées et du Languedoc-Roussillon donnent ainsi naissance au plus grand réseau d’entreprises de la filière numérique d’Occitanie. Explication de ce club unique dans la région.

© DigitalPlace

La fusion des régions pousse les organisations à se restructurer. La filière numérique d’Occitanie n’échappe pas à la règle. Le cluster de Toulouse, DigitalPlace a ainsi décidé de s’allier avec son homologue de Montpellier, le FrenchSouth.digital.

« Ce Grand Cluster (..) représentera en 2019 plus de 400 entreprises et plus de 26 000 emplois, répartis sur 13 départements, devient l’un des plus importants de France » précise Daniel Benchimol, président de DigitalPlace .

« Ce rapprochement stratégique va nous permettre de construire une filière à la fois plus forte et plus dynamique mais aussi plus visible et ambitieuse à l’échelle nationale et internationale  » poursuit-il.

Doté d’un budget d’un million d’euros, ce club de professionnels du digital officiera son union le 5 février prochain lors d’une soirée à Toulouse.

Que fait ce cluster numérique d’Occitanie ?

Depuis 2011, les deux identités accompagnent, fédèrent et animent les entreprises du numérique. « Exclusivement les entreprises » précise Amélie Leclercq, la nouvelle directrice du cluster. C’est cela qui la distincte des autres associations du secteur comme la Mêlée numérique.

« Notre rôle est d’aider les entreprises à passer des étapes de croissance » poursuit-elle. Le Grand cluster numérique propose ainsi des ateliers, des événements, du networking et des services pour les entrepreneurs adhérentes.

L’ensemble est financé à 60 % par les cotisations et 40 % par des fonds publics (région, métropole et communautés de communes).

Le club mène également des projets pour l’écosystème régional. Exemples avec le « Label Cloud » ou « DigitalSkills » né en octobre 2017. Cette plate-forme régionale recense les formations, les compétences, les offres d’emploi liées au secteur du numérique. Actuellement, l’équipe de 10 personnes du cluster travail sur le projet Diva consacré à l’agriculture 2.0. 

Julien Leroy

07 Jan

CES 2019 : Las Vegas accueille une quarantaine de start-up d’Occitanie

La région Occitanie sera (évidemment) présente au plus grand salon mondial du high-tech. Le CES 2019 ouvre ses portes ce mardi 8 janvier à Las Vegas (Etats-Unis). Plus de 40 start-up de Toulouse à Montpellier sont du voyage.

CES 2018 © JAMES ATOA / MAXPPP

Une quarantaine de startup d’Occitanie participe au Consumer Electronics Show (CES) qui ouvre ses portes ce mardi 8 janvier. Il s’agit du plus grand salon mondial consacré au high-tech et au numérique. 

L’objectif des entrepreneurs est de se faire connaître, rencontrer des investisseurs et dénicher les nouvelles tendances.

Le CES de Las Vegas est la plus grande vitrine mondiale en matière d’innovation numérique avec 180.000 visiteurs, 7500 médias et 4500 exposants.Impossible de rater ce rendez-vous pour Occitanie, l’une des régions françaises les plus dynamiques du secteur.

Environ 40 entreprises de la « Tech Occitanie » seront du voyage. C’est un tiers de moins qu’en 2018, année record pour la French tech régionale.

Si certains sont des habitués du salon (Sigfox, Rubix,…), c’est l’heure du baptême pour de jeunes pousses. Notamment, pour l’Ariégeois Mobility Work (réseau social de la maintenance et de la réparation), le Tarnais Marienka (qui transforme tout type de surface en interrupteur) ou le Toulousain EyeLights et son casque de moto connecté

Depuis 4 ans, les startup françaises sont très attendues à Las Vegas. La French Tech est aujourd’hui l’une des principales attractions du CES. La délégation française est la 3e mondiale avec près de 421 entrepreneurs. Derrière les Etats-Unis et la Chine. 

>>> CES 2019 de Las Vegas : www.ces.tech

07 Déc

Le blog #ToutCeQuiBuzz totalise 1 million de vues. Merci !

© MaxPPP

Le blog Tout ce qui Buzz (#ToutCeQuiBuzz) est désormais millionnaire ! 

 A l’aube de ses 5 ans, il totalise 1 million de vues ! Une belle audience pour un blog régional. Vous êtes en moyenne 17.000 internautes à venir lire et partager les actus du blog chaque mois. Merci à chacun et à chacune ! 

Pour 2019, Tout ce qui Buzz continuera à vous informer de l’actualité du numérique et du web en Occitanie. N’hésitez pas à partager vos pépites du net, vos apps ou votre startup via Twitter (@julien17) ou par l’e-mail julien.leroy@francetv.fr.

Je profite de l’occasion pour vous faire (re)découvrir les autres blogs de la rédaction de France 3 Midi-Pyrénées :

A très vite !

Julien Leroy

31 Juil

Papernest, la startup d’un Tarnais qui facilite le déménagement

La start-up se charge des démarches administratives liées à un déménagement. Un service totalement gratuit qui rencontre un véritable succès en France. Basée à Paris, la jeune pousse a été fondée par un jeune Tarnais de 29 ans.

© Papernest

« Déménagez vos contrats en 1 seule fois« . C’est le concept de la start-up Papernest. Elle gère les résiliations et souscriptions des contrats d’assurance, d’Internet, d’électricité et se charge également de la redirection du courrier.

« Le déménagement n’est plus synonyme de complications pour s’assurer d’avoir un logement assuré, éclairé, connecté le jour de l’emménagement » assurent les fondateurs, Benoit Fabre et Philippe de La Chevasnerie.

Totalement gratuit pour les particuliers, il suffit de se connecter à la plateforme et de compléter un formulaire. Un conseiller va ensuite prendre le relais. « Fini le stress ou la phobie administrative » promettent les concepteurs.

Par contre, le service ne permet pas de mettre à jour certains services publics tels que les impôts, la CPAM ou Pôle emploi.

Succes story d’un Tarnais

Papernest est devenu l’un des leaders français du secteur.

Née en 2015, la start-up revendique « 160 000 déménagements » à travers la France. Elle compte également près de 150 salariés basées à Paris, dans le 19e arrondissement.

L’idée de cette plateforme a été imaginée par deux amis âgés de 29 ans : Philippe de La Chevasnerie et Benoit Fabre. Le premier est Parisien. Le second est originaire de Castres dans le Tarn.

Après avoir vécu 23 déménagements à eux deux, ils lancent Souscritoo qui deviendra Papernest en octobre 2017. Au même moment, ils parviennent à réaliser une levée de fonds de 10 millions d’euros.

Aujourd’hui, les fondateurs envisagent de recruter plus de 50 collaborateurs d’ici la fin de l’année 2018 et proposer d’autres prestataires.

>>> Plus d’info sur www.papernest.com

Julien Leroy

17 Juin

Toulouse accueille (une nouvelle fois) un sommet national de startup

Après Futurapolis, Emtech, la Mêlée numérique ou Innovation Day, Toulouse accueille ce lundi 18 juin, le sommet des start-up. Un rendez-vous organisé par les magazines Challenges et Sciences et Avenir. Le secrétaire d’État chargé du numérique, Mounir Mahjoubi, clôturera la journée.

© Challenges

Toulouse est l’une des capitales françaises du numérique. Après Futurapolis, Emtech, la Mêlée numérique ou Innovation Day, le sommet des start-up se tient ce lundi 18 juin à l’hôtel de région.

« Pionnière de la French Tech, la région Occitanie vit au rythme de son écosystème foisonnant, porté par ses incubateurs de start-up et ses champions planétaires, comme Sigfox, acteur incontournable de l’Internet des objets » précise les organisateurs.

Ce nouveau rendez-vous toulousain est en réalité, l’édition régionale du colloque du même nom, organisé depuis 3 ans à Paris, par les magazines Challenges et Sciences et Avenir. 

Ce sommet des start-up, est l’occasion de « dresser les perspectives de l’économie numérique dans l’Hexagone » et de multiplier les passerelles entre grands groupes, jeunes pousses et investisseurs.

Organisée avec le soutien du conseil régional d’Occitanie, la journée rassemblera des acteurs du numérique local et des personnalités de l’innovation. Rachel Delacour (co-présidente de France Digitale), Ludovic Le Moan (fondateur de Sigfox), Bibop Gresta (co-fondateur du programme Hyperloop),… sont parmi les invités de marque.

Le colloque sera clôturé par un discours du secrétaire d’État chargé du numérique. C’est la deuxième visite de Mounir Mahjoubi à Toulouse en l’espace de 6 mois

Les médias du numérique aiment Toulouse

Ce rendez-vous ressemble à Futurapolis Toulouse ou à Emtech France (qui se tient dans la ville rose depuis 3 ans). Tous ces salons professionnels ont la particularité d’être organisés par des médias.

Futurapolis est une initiative du Point. Et Emtech France est l’événement du MIT Technology Review, le plus ancien magazine de technologie du monde publié par le célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT).

Qui sera le prochain à venir dans la capitale d’Occitanie ? 

>> Plus d’info sur le sommet des startup de Toulouse 2018 : cliquez ici

Julien Leroy

15 Juin

Des week-ends de digital détox organisés par une startup de Toulouse

Comment déconnecter de son smartphone ou de ses e-mails durant quelques jours ? Les cures de diète numérique se multiplient en Occitanie. Exemple avec l’agence toulousaine Keywe.

© Keywe

Les notifications Facebook, les alertes info, les e-mails du bureau, les messages Twitter,… ne prennent jamais de congés. Alors, comment déconnecter de votre mobile le temps d’un week-end ou durant les vacances ?

Les cures de diète numérique se multiplient en Occitanie.

Keywe, l’agence du digital detox

Depuis 2 ans, l’agence de voyage toulousaine « Keywe » propose des week-ends sans téléphone, sans PC, sans wifi !

Le principe est simple : rassembler une douzaine de participants d’une même ville et les envoyer dans une villa privatisée avec feu de bois, jacuzzi, piscine et barbecue.

Privés de nouvelles technologies, la cohésion se fait naturellement. Le but est de rendre les rencontres authentiques et vivre le moment présent.

« Nous vivons dans une dépendance passive des relations virtuelles (..). Le but est de déconnecter les gens de leur téléphone pour les reconnecter en vrai » précisent les 2 fondateurs toulousains Tom Blandet et Hugo Sautarel.

Lancé en novembre 2015, la formule séduit de plus en plus les actifs âgés de plus de 25 ans. Plus de 500 personnes ont déjà participés à ces 48 heures de digital detox.

Comptez environ 230 euros pour ce week-end de rencontre. Inscription sur le site de Keyme.

Une cure de diète numérique dans les Hautes-Pyrénées :

Autre initiative locale avec les thermes de Bagnères-de-Bigorre dans les Hautes-Pyrénées.

La station thermale propose une semaine de sevrage baptisée « mains libres ». Durant 6 jours, le curiste alterne séance de relaxation et ateliers avec des spécialistes en addiction numérique.

L’objectif est d’apprendre à maîtriser ses usages virtuels.

>>> Plus d’info sur http://www.thermes-bagneres.fr/

Julien Leroy

12 Juin

La French Tech invite les start-up de Toulouse à conquérir les USA et Israël

La French Tech Toulouse propose aux jeunes entrepreneurs, deux missions à l’international. L’objectif est de se faire connaître hors de la ville rose et favoriser le contact avec des donneurs d’ordre étrangers.

© Christophe Morin / MaxPPP

Participer au salon DLD de Tel Aviv

Le premier appel propose de participer au DLD Innovation Festival à Tel Aviv, du 5 au 7 septembre 2018.

Depuis 2010, ce salon professionnel est le grand rendez-vous annuel de l’écosystème numérique israélien. « C’est le 2e écosystème parmi les plus favorables aux start-up dans le monde, juste derrière la Silicon Valley » assure Philippe Coste, le directeur Délégué French Tech Toulouse.

Inscription avant le 22 juin en cliquant ici

Partir dans un incubateur d’Atlanta

Pour la 3e année consécutive, l’opération d’échange de startups entre Toulouse et Atlanta est renouvelée.

Du 14 au 20 octobre, les jeunes pousses de la ville rose pourront partir dans 3 incubateurs de la métropole américaine : ATDC, The Garage et Sandbox ATL.

Les candidats intéressés doivent s’inscrire d’ici le 22 juin sur cliquant ici

Lancé en novembre 2013, le programme « French tech » a pour objectif de « construire un grand mouvement de mobilisation collective pour la croissance et le rayonnement des startups numériques françaises » explique le ministère à l’économie numérique.

Toulouse a obtenu le label en novembre 2014 et reste aujourd’hui la troisième région française dans l’industrie numérique avec 38 000 emplois, 3000 entreprises et plus de 2600 chercheurs.

Julien Leroy

11 Juin

Linknow, l’application qui aide à trouver son réseau professionnel (de proximité)

Se rapprocher d’un professionnel qui travaille sur la table d’a côté pour partager. C’est l’objectif d’une nouvelle application née à Toulouse : Linknow. Elle veut ainsi aider à développer son réseau professionnel en connectant les personnes ayant les mêmes centre d’intérêts et se trouvant autour de soi.

Imaginez que vous êtes dans un salon professionnel, un espace de co-working, une salle d’étude ou dans un hall de gare. Des personnes vous entourent. Qui sait, l’une d’entre elles peut vous aider dans votre travail ou devenir votre prochain collaborateur ?

C’est sur ce constat qu’un ingénieur informatique de 34 ans, Julien Biau, a eu l’idée de créer « Linknow », une application mobile qui permet de rapprocher les professionnels se trouvant à proximité.

« A mi-chemin entre LinkedIn et Tinder, Linknow se veut être plus qu’un réseau social de rencontre. L’application souhaite être un outil de développement personnel et professionnel » explique son concepteur.

Des hashtags pour rencontrer

Une fois connectée, la plateforme vous invite à saisir vos centre d’intérêts et vos compétences sous forme de hastag.

Ces derniers permettent de détecter les professionnels partageant les mêmes mots clés. Ce concept fait l’originalité de cette application toulousaine.

L’ensemble fonctionne via le bluetooth du smartphone.

Linknow s’adresse ainsi aux travailleurs nomades, aux utilisateurs des espaces de co-working et aux participants d’un salon professionnel.

« C’est un facilitateur » précise Julien Biau « née de la volonté d’aider les personnes à se rapprocher les unes des autres, en dépassant les barrières de l’inhibition ou de la timidité« .

Entièrement gratuit pour les utilisateurs, le modèle économique de Linknow repose sur des partenariats avec des événements et des grandes entreprises. L’application vise également le marché international avec des versions disponibles en anglais et en espagnol.

Lancé en mai 2018, Linknow cherche aujourd’hui à se faire connaître auprès des professionnels.

>>> Pour télécharger l’apps : www.linknow.fr

Julien Leroy