11 Nov

Succès de « Météo09 » une page Facebook sur la météo en Ariège

Suivre localement la météo de l’Ariège. C’est le créneau de la page Facebook « Metéo09 » créée par Morgan Nietto, un météorologue amateur âgé de…19 ans. Il est suivi quotidiennement par plus de 2500 internautes !

© France 3 Midi-Pyrénées

© France 3 Midi-Pyrénées

Morgan Nietto est un passionné de météorologie depuis l’âge de 3 ans. « Mes parents m’ont raconté que je préférais regarder un bulletin météo à la TV qu’un dessin animée » s’amuse le jeune homme. 

Aujourd’hui, à 19 ans, il propose, quotidiennement, des prévisions locales et des alertes météo sur le département de l’Ariège via la page Facebook « Météo09″.

Ouvert depuis août 2015, le compte est alimenté par une équipe de jeunes météorologues amateurs, tous âgés de moins de 22 ans (Pierre, Corentin, Maël et les deux Morgan). Pour produire leurs bulletins, ils s’appuient sur des témoignages, des relevés officiels et des stations météorologiques chez des particuliers. Un réseau qui permet d’offrir des prévisions très locales. 

C’est d’ailleurs ce qui plait aux internautes. « Météo09 » comptabilise, en moyenne, 2500 visites par jour. La page connait des pics à 70.000 connexions, les jours d’alerte météo.

Morgan Nietto avait déjà fondé, à l’âge de 15 ans, une page Facebook Météo82, dédié à la météo dans le Tarn-et-Garonne. Nous avions dressé son portrait sur ce blog en juillet 2015

Le portrait (en vidéo) de Morgan Nietto, fondateur de la page Météo09 (reportage de Youshaa Hassenjee et Laurent Winsback de France 3 Midi-Pyrénées) :


PORTRAIT METEOROLOGUE AMATEUR

>> Page Facebook : « Météo 09 » :https://www.facebook.com/Meteo09/

Julien Leroy

06 Nov

La blogueuse Elodie Pagès publie un guide de ses 800 bons plans et adresses insolites de Toulouse

La Blog’trotteuse urbaine, Élodie Pagès, publie un guide de ses bons plans, coups de coeur et adresses insolites de la ville rose. « Toulouse. 800 promesses de bons moments » est en librairie depuis fin octobre.

© Hello-Toulouse / Elodie Pages

© Hello-Toulouse / Elodie Pages

Du blog au livre. Les maisons d’édition sont de plus en plus séduites par les blogueuses et les youtubeuses à succès. C’est ainsi que les éditions Bonneton sont venus voir la Toulousaine Elodie Pagès. Cette jeune de journaliste de 32 ans anime le blog “Hello’Toulouse”. Depuis 2011, elle y partage ses bons plans, coups de coeur et adresses insolites de Toulouse. Une « Blog’trotteuse urbaine » comme elle se définit elle-même. 

Une passion qui l’amène naturellement à écrire ce guide city : « Toulouse. 800 promesses de bons moments ».

Durant 128 pages, la blogueuse liste les « 800 choses à faire passionnantes pour vivre Toulouse et ses environs intensément«  précise-t-elle. Chaque idée est classé par quartier. L’ouvrage est destiné à tous les Toulousains « en amoureux, seul ou en famille« .

Vous serez ainsi où manger une véritable fondue chinoise, assister à un match d’impro, acheter un bon vinyle, assouvir sa passion pour le retrogamming,…. Chacun y trouvera son bon moment pour la somme de 8 euros.

>>> Plus d’informations : http://hello-toulouse.fr/800-promesses-de-bons-moments

Julien Leroy

20 Oct

Des Toulousains conçoivent « Betters’Rift », le premier site français de paris sur le… eSport

Info France 3 Midi-Pyrénées. Betters’Rift propose aux fans d’eSport de parier (gratuitement) sur des compétitions de jeux vidéo. Née à Toulouse, la plateforme est unique en Europe.

© MaxPPP

© MaxPPP

Unique en Europe

Bettersrift.com est le premier site français de paris sur l’eSport. Il vient de voir le jour fin septembre à Esclaquens, près de Toulouse.

La plateforme propose des paris en ligne sur des matchs de jeux vidéo. Ces compétitions se multiplient dans le monde entier réunissant des centaines de joueurs. D’ailleurs, Le zénith de Toulouse a accueilli, en septembre 2016, la première édition de l’Occitan ChampionShip Series et les meilleurs joueurs français du jeu « League of Legends ». 

Pour le moment, Betters’Rift couvre 5 jeux : League of Legends, CounterStrike Global Offensive, Defense of the Ancient 2 et Starcraft 2, Overwatch. Des créations qui sont des références chez les gamers. « De nouveaux jeux seront ajouté régulièrement pour couvrir l’entièreté de l’offre eSport disponible » promettent les fondateurs Toulousains.

L’originalité de bettersrift.com est d’être totalement… gratuit. « Pour parier, pas besoin de carte bleue » m’explique Philippe-Adrien Chaix, l’un des créateurs. « L’utilisateur se connecte et reçoit une somme virtuelle qu’il peut miser. S’il gagne suffisamment, il peut échanger ses gains contre des cadeaux chez nos boutiques partenaires » poursuit-il. « Et si vous tombez à cours de monnaie virtuelle, vous pouvez en gagner en regardant des publicités ». On appelle cela le « freetoplay » (de la pub contre la gratuité) très en vogue dans les jeux vidéos sur smartphone.

Parier sans se ruiner. Le concept est unique en Europe. D’autant plus que bettersrift.com est également le premier site français du secteur. Une bonne nouvelle pour les supporters d’eSport. Jusqu’à ici, il était difficile et coûteux de parier sur les principaux bookmakers basés aux Etats-Unis ou en Australie. 

Surfer sur la reconnaissance du eSport en France

3 jeunes Toulousains sont à l’origine de cette innovation : Alexis Cassan (27 ans) qui vient du monde des paris en ligne, Philippe-Adrien Chaix (26 ans) qui a travaillé dans les jeux vidéos chez Ankama ou Pokemon et Manuel Godeux, dirigeant de l’agence de marketing MonKees. Leur stat-up est installée à Escalquens, à quelques kilomètres au sud de Toulouse. Plusieurs grands groupes dont le PMU ou Amazon ont déjà montré leur intérêt pour le projet Toulousain.

Les fondateurs espèrent ainsi surfer sur le succès du eSport (ou sport électronique) en France et en Europe. Ce sport reconnu officiellement, compte 4,5 millions de spectateurs en France et 230 millions dans le monde. Le marché mondial pèse 325 millions de dollars. A vos paris !

> Plus d’info sur :Bettersrift.com

Julien Leroy

18 Oct

Numérique : le boom des écoles de code à Toulouse

Internet recrute à tour de bras en France et en Occitanie. Cependant, les entreprises peinent à embaucher des développeurs web. C’est ainsi qu’une nouvelle tendance voit le jour : les écoles de code. Les élèves y sont formés en quelques mois seulement.

© Wild Code School Toulouse

© Wild Code School Toulouse

Les écoles de code fleurissent un peu partout aux Etats-Unis, en Europe et à Toulouse.

Publiques ou privées, ces formations nouvelles générations, forment des développeurs web ou des codeurs de logiciel au niveau BAC+2. Tout se déroule en seulement 5 à 6 mois avec des journées de 8 heures de cours et un job assuré à la sortie.

Ces écoles de programmation veulent surtout répondre à une pénurie du secteur du numérique. Les startups françaises peinent à recruter des techniciens informatiques. Alors que les formations d’ingénieurs (BAC+5) se multiplient.

A Toulouse (3e ville française dans l’économie numérique), deux écoles de code viennent d’ouvrir leurs portes. La première s’appelle Simplon.co, une école de la deuxième chance où 24 étudiants venant tous d’horizon différents, se forment à chaque session. La seconde est une école privée : la Wild Code School. La formation existe déjà à La Loupe (Eure-et-Loire) depuis 2014 et vient de s’étendre, en 2016, dans 6 villes dont Bordeaux et Toulouse. Une dizaine d’élèves se forme actuellement sur le campus de la ville rose.

Découvrez les coulisses de ces écoles de code, nouvelle génération avec le reportage d’une de nos équipes de France 3 (Denis Tanchereau et Mathilde Laban) :


Le boom des écoles de code à Toulouse

Julien Leroy

17 Oct

Open Data : Publication du rapport sur l’ouverture des données publiques dans les collectivités locales

Commandé en juillet 2016, le rapport sur l’ouverture des données publiques (ou open Data) dans les collectivités locales, a été remis à Rodez, ce lundi 17 octobre à la secrétaire d’Etat chargée du Numérique, Axelle Lemaire. Le document vient d’être mis en ligne.

© Atte

© Atte

Cette étude a été réalisée par l’association Open Data France. Née à Toulouse et présidée par l’élu Toulousain, Bertrand Serp, cette organisation a pour objectif de soutenir les collectivités engagées dans leur démarche d’ouverture des données publiques.

La loi pour une République numérique prévoit une généralisation de l’ouverture des données publiques dans les collectivités locales de plus de 3 500 habitants d’ici 2018.

Le document remis à Rodez fait ainsi un état des lieux des initiatives en France et propose plusieurs pistes pour développer l’open data.

Plusieurs collectivités en Midi-Pyrénées se sont déjà ouverts à l’Open Data. Exemples avec le portail open data du conseil départemental de Haute-Garonne, celui de Toulouse Métropole ou encore la ville de Rodez.

Pour consulter le rapport : cliquer ici

Julien Leroy

07 Oct

Toulouse : la conférence Emtech expliquée…au grand public

Pour la deuxième année consécutive, Toulouse accueille les 6 et 7 octobre, cet événement unique en Europe. La conférence EmTech étiquetée comme « l’un des plus grands rendez-vous internationaux sur les technologies du futur » peut-on lire un peu partout dans la presse ou sur les communiqués de presse. Mais pourquoi ? votre blog s’est promené quelques heures dans les allées de la conférence. Ambiance.

© Julien Leroy

© Julien Leroy

 
De quoi ça parle ? 

EmTech est considéré comme la plus importante conférence mondiale sur les technologies du futur. Durant deux jours, des experts du monde entier viennent présenter, débattre et découvrir les dernières technologies en matière de hightech et d’innovation numérique. Les thématiques sont très diversifiées : smartcity, réalité virtuelle, intelligence artificielle, biotechnologie et économie collaborative.

« Ici, on trouve une synthèse des tendances actuelles au niveau international » me résume en quelques mots Arnaud Thersiquel, président de l’incubateur toulousain At Home. « L’innovation à l’échelle mondiale » complète Luc Penazzi, enseignant-chercheur à l’école des Mines d’Albi venu par curiosité pour trouver des idées. Parler du futur ! C’est l’une des marques de fabrique des conférences Emtech. Les visiteurs viennent d’abord écouter l’innovation de demain.

Qui vient parler ?

25 experts venus de France, d’Europe et des États-Unis, interviennent durant les 2 jours. « Emtech la seule conférence qui offre une telle concentration d’experts internationaux » estime Arnaud Thersiquel. Il est vrai que le plateau de speakers est impressionnant. « Cela permet d’écouter et de rencontrer des personnes que l’on n’a pas l’habitude de voir à Toulouse » complète notre entrepreneur. « C’est la ligue des champions ! » s’amuse Arnaud Thersiquel. 

« Le niveau est excellent » juge Roxanne Varza, l’une des intervenantes de cette édition Toulousaine. Directrice de Station F (le plus grand incubateur pour start-up au monde initié par Xavier Nel), cette Américaine de 31 ans a déjà participé à de nombreuses conférences tech dans le monde. « Cela me fait penser à la NipTech Conf  à Lausanne« , considéré également comme l’un des plus grands rendez-vous technologiques au monde. 

Qui organise ?

EmTech est organisé par MIT Technology Review, le plus ancien magazine de technologie du monde publié par le célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT). Basé à Cambridge aux États-Unis, le MIT est un institut de recherche et une université américaine spécialisée dans les domaines de la science et de la technologie. Et dans l’univers de l’innovation, le MIT est une référence mondiale. « C’est le MIT ! » me répond Edouard Forzy, président de la Mêlée Numérique, lorsque je lui demande pourquoi EmTech est si prestigieux. 

MIT organise chaque année une conférence Emtech sur chaque continent : Amérique, Europe, Inde et Asie. Toulouse est ainsi devenu, en 2015, la première ville européenne à accueillir l’événement. Et l’édition 2017 d’Emtech France se déroulera une nouvelle fois dans la ville rose avant de déménager.

Quelle ambiance ?

La conférence est relativement petite. Une grande salle de 400 places installée au cœur du Quai des savoirs de Toulouse. Face aux participants, une scène avec 3 écrans géants. Le tout accompagné d’un jeu de lumière et de caméras. Les speakers se succèdent. L’anglais est de rigueur.

A proximité, le hall du Quai des savoirs permet de se restaurer mais surtout d’échanger. L’anglais et le français se mêlent dans les conversations. Les participants peuvent ainsi rencontrer et prendre contact avec des représentants de grands groupes français et européens. Les noms sur les badges (Airbus, La Poste, Engie,…) permettent de constater que la conférence Emtech est également un lieu de rendez-vous incontournable pour les relations B to B

Julien Leroy

05 Oct

Toulouse ouvre un musée virtuel pour (re)découvrir 2000 œuvres emblématiques de la ville

© Musée des Augustins

© Musée des Augustins

La ville de Toulouse a ouvert ce lundi 3 octobre, un musée en ligne baptisé : « 2000 ans 2000 images ».

On y trouve les 2000 œuvres emblématiques exposées dans les principaux musées de la ville rose : musée des Augustins, musée Saint-Raymond, muséum, musée Paul-Dupuy, musée de l’Affiche et musée Georges-Labit. La navigation se fait à la carte. Un clic sur l’image permet d’afficher quelques éléments historiques et artistiques.

Ce site internet a été réalisé à l’occasion du bimillénaire de Toulouse.

A découvrir en cliquant ici : 2000ans2000images.toulouse.fr

Julien Leroy

16 Sep

Livraison de repas à domicile via internet : les start-up se succédent à Toulouse

La start-up Deliveroo, spécialisée dans la livraison de repas à la demande, débarque à Toulouse. Une arrivée qui se succèdent après la faillite de ses concurrents directs : Take Eat Easy et Tok Tok Tok. 

© MaxPPP

© MaxPPP

La concurrence européenne des livraisons de repas de restaurant à domicile ou au bureau via internet, fait rage depuis quelques mois. Et Toulouse n’est pas épargné par le phénomène. 

Fondé en 2013, Deliveroo est présenté officiellement à Toulouse ce jeudi 15 septembre même si le service fonctionne depuis février 2016. La start-up britannique est déjà présente dans 13 villes françaises. Et à compter du 19 septembre, Montpellier rejoindra le réseau.

70 plusieurs restaurants toulousains sont partenaires avec Deliveroo dont quelques institutions : Le Bibent, la Villa Tropézienne et Duck Me. Pour les livraisons, la start-up fait appel à une centaine de coursiers auto-entrepreneurs dont plusieurs anciens de Take Eat Easy. 

Reste à savoir si Deliveroo survivra plus longtemps que ses concurrents. 

En effet, la jeune pousse belge Take Eat Easy a déraillé après 12 mois de présence dans la ville rose. En juillet dernier, la société de livraison de repas à vélo a été placée en liquidation judiciaire, laissant 4500 livreurs dans l’incertitude dont une centaine à Toulouse. 

Même sort pour la start-up Tok Tok Tok, créé en 2011 par le Français Serge Alleyne. Début septembre, il a annoncé la fin de son histoire, ainsi que celle de l’antenne toulousaine. Le business model de ces sociétés de service reste ainsi très fragile. 

Julien Leroy

15 Sep

It’s Tea Time, un blog toulousain sur le… thé

Découverte France 3 Midi-Pyrénées. It’s Tea Time est l’un des rares blogs français consacrés entièrement au…thé. Né en 2014, l’idée a germé chez une Toulousaine de 24 ans. A découvrir avec une tasse de thé vert.

© itsteatimefr

© itsteatimefr

It’s Tea Time est un blog spécialisé dans la dégustation de…thé. L’un des rares de l’hexagone. En ligne depuis 2 ans, il est régulièrement alimenté par Sophia, une Toulousaine de 24 ans. Un « blog d’une théino-dépendante curieuse » s’amuse-t-elle lorsqu’on lui demande de décrire sa page.

Son blog parle des nombreuses facettes de cette boisson ancestrale : thé aromatisé, thé blanc, thé noir, thé vert, thé fumé, Oolong… sans oublier les infusions, le Rooibos ou des recettes à base de thé.

Pour chaque dégustation, notre jeune Toulousaine donne son avis, ses critiques et ses coups de coeur, le tout avec un brin d’humour. It’s Tea Time comblera tous les amateurs. 

It’s Tea Time attire entre 1000 et 1500 internautes par mois. Un score honorable pour un blog de niche. « Je ne suis absolument pas la première à faire la pub pour mon blog, ce sont mes lecteurs et autres amis blogueurs qui me font de la publicité par leur discussion et leur retour sur les articles. Sans compter les marques et les boutiques qui jouent aussi le jeu de me supporter et de discuter avec moi » raconte Sophia.  

Ex-blogeuse de beauté, la jeune Toulousaine a eu l’idée du blog après avoir découvert la « Team Tea Addicts qui réunit une bonne partie des blogueurs thé » sur Twitter. « A force de discussion et d’apprentissage via des échanges, l’idée d’une catégorie sur mon blog à propos du thé ou d’un blog de thé a germé » explique-t-elle. En juin 2014, elle se lance dans l’aventure en parallèle de son blog beauté (supprimé aujourd’hui).

Une belle réussite que je vous invite à découvrir sans attendre.

> Blog It’s Tea Time : itsteatime-fr.blogspot.fr

Julien Leroy

29 Août

Deux prix internationaux pour la websérie aveyronnaise « Mortus Corporatus » au Sicily Web Fest en Italie

La webserie aveyronnaise Mortus Corporatus collectionne les prix. Après les festivals de webserie à Toulouse et Seloncourt, la série a été de nouveau récompensée, ce dimanche au festival international « Sicily Web Fest » en Italie. Mortus Corporatus remporte les trophées du Meilleur scénario et de la Meilleure comédie. 

© Mortus Corporatus

© Mortus Corporatus

Les Aveyronnais de Mortus Corporatus ont décroché, ce dimanche 28 août en Sicile, deux trophées au Sicily Web Fest (SWF 2016) : prix du meilleur scénario et prix de la meilleure comédie. Le Sicily Web Fest est un grand-vous international dédié aux webséries. La seconde édition s’est déroulée sur l’ile d’Ustica en Sicile du 26 au 28 août. 85 webséries et 15 pays étaient en lice. 

Déjà 7 prix pour les faucheurs de Mortus Corporatus !

Mortus Corporatus collectionne les prix. En novembre 2015, la webserie remporte la palme d’or lors du 3e festival francophone de la websérie (FFW) de Labège, près de Toulouse. L’équipe repart également avec le prix du meilleur scénario (Thomas Pierre) et le prix des meilleurs acteurs (Fred Saurel et Julien Joerger). 

Quelques mois plus tard, la websérie remporte un nouveau prix du jury au festival Connect-E-Cut de Seloncourt dans le Doubs. Au total, Mortus Corporatus a remporté 7 prix. Un vrai succès qui va probablement continuer. La création aveyronnaise est désormais co-produite par TF1 et diffusée sur le site internet de la chaîne depuis juillet 2016. Une saison 2 est en cours de préparation.

Lancée en mars 2015 sur YouTube, la webserie aveyronnaise raconte le « quotidien des faucheurs employés dans la plus grande entreprise mondiale dans le domaine du passage de la vie à trépas« . Aujourd’hui, Morthus Corporatus compte 10 épisodes et près de 150.000 fans. A (ré)découvrir par ici

Julien Leroy