20 Oct

Des Toulousains conçoivent « Betters’Rift », le premier site français de paris sur le… eSport

Info France 3 Midi-Pyrénées. Betters’Rift propose aux fans d’eSport de parier (gratuitement) sur des compétitions de jeux vidéo. Née à Toulouse, la plateforme est unique en Europe.

© MaxPPP

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Unique en Europe

Bettersrift.com est le premier site français de paris sur l’eSport. Il vient de voir le jour fin septembre à Esclaquens, près de Toulouse.

La plateforme propose des paris en ligne sur des matchs de jeux vidéo. Ces compétitions se multiplient dans le monde entier réunissant des centaines de joueurs. D’ailleurs, Le zénith de Toulouse a accueilli, en septembre 2016, la première édition de l’Occitan ChampionShip Series et les meilleurs joueurs français du jeu « League of Legends ». 

Pour le moment, Betters’Rift couvre 5 jeux : League of Legends, CounterStrike Global Offensive, Defense of the Ancient 2 et Starcraft 2, Overwatch. Des créations qui sont des références chez les gamers. « De nouveaux jeux seront ajouté régulièrement pour couvrir l’entièreté de l’offre eSport disponible » promettent les fondateurs Toulousains.

L’originalité de bettersrift.com est d’être totalement… gratuit. « Pour parier, pas besoin de carte bleue » m’explique Philippe-Adrien Chaix, l’un des créateurs. « L’utilisateur se connecte et reçoit une somme virtuelle qu’il peut miser. S’il gagne suffisamment, il peut échanger ses gains contre des cadeaux chez nos boutiques partenaires » poursuit-il. « Et si vous tombez à cours de monnaie virtuelle, vous pouvez en gagner en regardant des publicités ». On appelle cela le « freetoplay » (de la pub contre la gratuité) très en vogue dans les jeux vidéos sur smartphone.

Parier sans se ruiner. Le concept est unique en Europe. D’autant plus que bettersrift.com est également le premier site français du secteur. Une bonne nouvelle pour les supporters d’eSport. Jusqu’à ici, il était difficile et coûteux de parier sur les principaux bookmakers basés aux Etats-Unis ou en Australie. 

Surfer sur la reconnaissance du eSport en France

3 jeunes Toulousains sont à l’origine de cette innovation : Alexis Cassan (27 ans) qui vient du monde des paris en ligne, Philippe-Adrien Chaix (26 ans) qui a travaillé dans les jeux vidéos chez Ankama ou Pokemon et Manuel Godeux, dirigeant de l’agence de marketing MonKees. Leur stat-up est installée à Escalquens, à quelques kilomètres au sud de Toulouse. Plusieurs grands groupes dont le PMU ou Amazon ont déjà montré leur intérêt pour le projet Toulousain.

Les fondateurs espèrent ainsi surfer sur le succès du eSport (ou sport électronique) en France et en Europe. Ce sport reconnu officiellement, compte 4,5 millions de spectateurs en France et 230 millions dans le monde. Le marché mondial pèse 325 millions de dollars. A vos paris !

> Plus d’info sur :Bettersrift.com

Julien Leroy

19 Oct

Émission Occitanie Matin : Les chroniques « Tout ce qui buzz » de cette semaine avec le Joueur du Grenier et Yenni

Depuis la rentrée, votre blog « Tout ce qui Buzz » fait une excursion sur les plateaux de télévision.

Chaque semaine, du lundi au vendredi (sauf le mercredi), retrouvez moi dans l’émission « Occitanie matin » à 9h50 sur France 3 Midi-Pyrénées et France 3 Languedoc-Roussillon. Retrouvez ici tous les Buzz présentés cette semaine.

Une rubrique quotidienne qui parle des starts-ups qui cartonnent, des youtubeurs qui buzz, des blogs qui comptent, des applis qui marchent, des web-séries à ne pas rater,… bref, tout ce qui buzz en Occitanie, d’Auch à Nîmes en passant par Toulouse ou Montpellier.

Au menu de cette semaine :17 & 18 octobre 2016 :

>>> Lundi 17 octobre 2016 – épisode 23 – « Joueur du grenier » est une chaîne YouTube humoristique sur des tests de jeux vidéo rétro. C’est le site n°1 français (voir européen) des passionnés de retrogamming. On doit cette initiative à deux vidéastes, Frédéric Molas et Sébastien Rassiat, originaires des Pyrénées-Orientales. A découvrir ici : http://www.joueurdugrenier.fr>

>>> Mardi 18 octobre 2016 – épisode 24 – « Yenni, une start-up humanitaire » : Yenni est une petite start-up toulousaine qui veut améliorer l’accès aux soins en Afrique via une « carte vitale » à destination de la diaspora africaine en Occitanie et en France. Une initiative à retrouver en cliquant ici

Vos chroniques « Tout ce Qui Buzz » prennent quelques jours de vacances durant la Toussaint. Rendez-vous à la rentrée, le jeudi 3 novembre.

Replay de l’émission : cliquer ici

A bientôt

Julien Leroy 

18 Oct

Votre médecin a toujours 1 heure de retard ? La réponse d’un généraliste toulousain fait le buzz

Votre médecin a systématiquement 1 heure de retard et ça vous agace ? Un généraliste toulousain a préféré y répondre via une vidéo sur Facebook. Depuis, c’est le buzz  ! Plus de 4 millions de vues en l’espace de 4 jours.

« L’autre jour, une connaissance a publié sur Facebook «ces médecins qui ont systématiquement 1 heure de retard me gonflent ! Grrrrrrrr». Avec tout plein de smiley tristes et énervés. (..) J’ai réfléchi et c’est VRAI ! Moi aussi, en tant que médecin, je suis souvent en retard ! À ma décharge, si je suis en retard, c’est parce que j’ai un secret (un peu honteux à avouer…) Venez ! Je vais vous le révéler quand même ! » explique Baptiste Beaulieu au début de sa vidéo. 

Ce généraliste toulousain de 31 ans, a posté le 13 octobre, une vidéo sur Facebook où il raconte pourquoi le médecin a (souvent) 1 heure de retard. Une réponse pleine d’humour et surtout de bon sens. 

Ça a commencé lundi : une patiente qui avait pris rendez-vous pour un certificat s’est mise à pleurer. Quel toupet ! Pleurer ?!?! Dans mon cabinet ? Et pourquoi, je vous le demande ? Madame m’annonce que, quand elle voit une fenêtre, elle a envie de sauter. Tout simplement. Et le pire, c’est que cette sans-gêne ne savait MÊME PAS pourquoi ! Juste que, parfois, elle pensait à son corps qui tombe. « Et je me dis que ce serait bien pour tout le monde ». Aurais-je dû lui annoncer, au bout de quinze minutes, en tapotant ma montre : « DING ! DONG ! Je vous ai écoutée, mais maintenant, c’est au patient suivant. Au revoir madame » ? Aurais-je dû lui dire cela ? Histoire de la remettre à sa place, un peu, cette pleureuse ! » raconte-t-il

La vidéo cartonne actuellement sur le web. Elle totalisent plus de 4,3 millions de vues en l’espace de 4 jours, notamment sur la page AuFeminin.

Baptiste Beaulieu n’est pas à son coup d’essai. Ce jeune médecin tient un blog « Alors Voilà » qui raconte son quotidien de professionnel de la santé. Il avait ouvert cette page en 2013 alors qu’il était interne à l’hôpital d’Auch. Depuis, Baptiste Beaulieu fait régulièrement le buzz sur Internet et en librairie. Il vient d’ailleurs de publier son troisième roman « La Ballade de l’enfant gris » (édition Mazarine). 

Notons également qu’il existe une application française de gestion du retard chez les professionnels de santé.  elle permet de connaître le trafic dans une salle d’attente et d’être informer en cas de retard. Unique en France, la plateforme a été développée

Notons également qu’il existe une application française de gestion du retard chez les professionnels de santé. Baptisée « MyDocteo« , elle permet aux médecins de communiquer en temps réel au sujet du retard en cours à la consultation. Les patients peuvent ainsi profiter de leur temps libre à l’extérieur du cabinet. Un concept « Donnant – donnant, Gagnant – gagnant » développé par Sylvain Guillet, un kinésithérapeuthe de Biarritz et Julien Trotoux un développeur web de Rennes. L’apps est utilisée par une trentaine de cabinets dont un chirurgien à Perpignan. 

Voici son témoignage en vidéo :

Julien Leroy

Numérique : le boom des écoles de code à Toulouse

Internet recrute à tour de bras en France et en Occitanie. Cependant, les entreprises peinent à embaucher des développeurs web. C’est ainsi qu’une nouvelle tendance voit le jour : les écoles de code. Les élèves y sont formés en quelques mois seulement.

© Wild Code School Toulouse

© Wild Code School Toulouse

Les écoles de code fleurissent un peu partout aux Etats-Unis, en Europe et à Toulouse.

Publiques ou privées, ces formations nouvelles générations, forment des développeurs web ou des codeurs de logiciel au niveau BAC+2. Tout se déroule en seulement 5 à 6 mois avec des journées de 8 heures de cours et un job assuré à la sortie.

Ces écoles de programmation veulent surtout répondre à une pénurie du secteur du numérique. Les startups françaises peinent à recruter des techniciens informatiques. Alors que les formations d’ingénieurs (BAC+5) se multiplient.

A Toulouse (3e ville française dans l’économie numérique), deux écoles de code viennent d’ouvrir leurs portes. La première s’appelle Simplon.co, une école de la deuxième chance où 24 étudiants venant tous d’horizon différents, se forment à chaque session. La seconde est une école privée : la Wild Code School. La formation existe déjà à La Loupe (Eure-et-Loire) depuis 2014 et vient de s’étendre, en 2016, dans 6 villes dont Bordeaux et Toulouse. Une dizaine d’élèves se forme actuellement sur le campus de la ville rose.

Découvrez les coulisses de ces écoles de code, nouvelle génération avec le reportage d’une de nos équipes de France 3 (Denis Tanchereau et Mathilde Laban) :


Le boom des écoles de code à Toulouse

Julien Leroy

17 Oct

Open Data : Publication du rapport sur l’ouverture des données publiques dans les collectivités locales

Commandé en juillet 2016, le rapport sur l’ouverture des données publiques (ou open Data) dans les collectivités locales, a été remis à Rodez, ce lundi 17 octobre à la secrétaire d’Etat chargée du Numérique, Axelle Lemaire. Le document vient d’être mis en ligne.

© Atte

© Atte

Cette étude a été réalisée par l’association Open Data France. Née à Toulouse et présidée par l’élu Toulousain, Bertrand Serp, cette organisation a pour objectif de soutenir les collectivités engagées dans leur démarche d’ouverture des données publiques.

La loi pour une République numérique prévoit une généralisation de l’ouverture des données publiques dans les collectivités locales de plus de 3 500 habitants d’ici 2018.

Le document remis à Rodez fait ainsi un état des lieux des initiatives en France et propose plusieurs pistes pour développer l’open data.

Plusieurs collectivités en Midi-Pyrénées se sont déjà ouverts à l’Open Data. Exemples avec le portail open data du conseil départemental de Haute-Garonne, celui de Toulouse Métropole ou encore la ville de Rodez.

Pour consulter le rapport : cliquer ici

Julien Leroy

Rodez accueille la secrétaire d’Etat chargée du Numérique, Axelle Lemaire, pour promouvoir l’Open Data

La secrétaire d’Etat chargée du Numérique, Axelle Lemaire, est en visite à Rodez ce lundi 17 octobre matin.

© MaxPPP

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Elle vient pour « la remise du rapport sur la généralisation de l’ouverture des données publiques dans les collectivités locales, prévue à l’horizon 2018 par la loi pour une République numérique » explique le communiqué de presse.

Ce rapport a été commandé en juillet 2016, par Axelle Lemaire et  Estelle Grelier (secrétaire d’État chargée des Collectivités territoriales) à l’association Open Data France.
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Née à Toulouse et présidée par l’élu Toulousain, Bertrand Serp, cette organisation a pour objectif de soutenir les collectivités engagées dans leur démarche d’ouverture des données publiques. D’ailleurs, la loi de la République numérique veut inciter les collectivités locales de plus de 3 500 habitants à s’ouvrir à l’open data.

Pour l’occasion, une démonstration des services numériques basés sur les données publiques de la ville de Rodez est prévue.

La dernière visite de la secrétaire d’Etat chargée du Numérique en Midi-Pyrénées remonte au 13 février 2015

Julien Leroy

15 Oct

Émission Occitanie Matin : Les chroniques « Tout ce qui buzz » de cette semaine avec…

Depuis la rentrée, votre blog « Tout ce qui Buzz » fait une excursion sur les plateaux de télévision.

Chaque semaine, du lundi au vendredi (sauf le mercredi), retrouvez moi dans l’émission « Occitanie matin » à 9h50 sur France 3 Midi-Pyrénées et France 3 Languedoc-Roussillon. Retrouvez ici toutes les Buzz présentés cette semaine.

Une rubrique quotidienne qui parle des starts-ups qui cartonnent, des youtubeurs qui buzz, des blogs qui comptent, des applis qui marchent, des web-séries à ne pas rater,… bref, tout ce qui buzz en Occitanie, d’Auch à Nîmes en passant par Toulouse ou Montpellier.

Au menu de cette semaine, du 10 au 14 octobre 2016 :

>>> Lundi 10 octobre 2016 – épisode 19 – « Kelly, une star du web à Montpellier » : Kelly est une youtubeuse à succès, originaire de Montpellier. Cette maman de 25 ans est spécialisée dans les conseils mode & beauté. Ses vidéos totalisent plus de 23 millions de vues et sont suivit régulièrement pas près de 380 000 internautes. Sa chaine « Kay » est à découvrir ici.

>>> Mardi 11 octobre 2016 – épisode 20 – « Lyberty Rider, l’appli idéale pour les motards » : Liberty Rider est capable de détecter un accident à moto et de prévenir les secours pour qu’ils interviennent au plus vite. Créée par 4 Toulousains, cette application sur smartphone est unique en France. Elle est disponible sur Androïd et Iphone. L’histoire est à (re)découvrir par ici

>>> Jeudi 13 octobre 2016 – épisode 21 – « Un Youtubeur Toulousain nous réconcilie avec l’anglais » : Alban de Larrard est un youtubeur Toulousain de 33 ans, spécialisé dans les vidéos ludiques pour apprendre l’anglais. Il est suivi, chaque semaine, par plus de 15.000 internautes de toute la France et de tous les âges. Son objectif est de réconcilier les Français avec l’anglais. Reportage et plus d’info : cliquer ici.

>> Vendredi 14 octobre 2016 – épisode 22 – « OPUS pour découvrir la scène musicale de Toulouse » :Opus-musiques est un webzine consacré aux musiques actuelles à Toulouse et dans la région Midi-Pyrénées. Un site web unique sur la toile Occitane animé par un groupe d’amis passionnés de musique. Le site offre également une playlist gratuite 100% Toulousain.


Tout Ce Qui Buzz #21 – Opus

A la semaine prochaine !

Julien Leroy

12 Oct

Art numérique : des Toulousains créent un champ de lumières pour percevoir les ondes électromagnétiques

Les artistes Toulousains de Tazasproject viennent de présenter à Bordeaux, leur dernière création : une installation lumineuse qui s’allume en fonction des champs électromagnétiques qui nous entourent.

Tazasproject © Rodolphe Escher Photographe

Tazasproject
© Rodolphe Escher Photographe

L’oeuvre est à la fois artistique, bucolique et inquiétante. Le duo d’artistes Toulousains Tazasproject, spécialisé dans le numérique et les arts graphiques, a présenté ce 24 septembre, leur dernière création : un champ de lumières clignotantes qui s’allument avec les champs électromagnétiques environnantes. 

L’oeuvre toulousaine est composée de 500 tiges lumineuses équipées d’une LED et d’un capteur sensible aux perturbations électromagnétiques. Ces dernières sont produites par les ondes radio, la télévision, les réseaux mobiles, le wifi, le GPS ou l’électricité statique,…

Tazasproject © Rodolphe Escher Photographe

Tazasproject
© Rodolphe Escher Photographe

Une installation en plein air imaginée dans le cadre de la Nuit Verte de la Biennale Panoramasau nord de Bordeaux. Cette manifestation insolite met en valeur l’art numérique et la nature.

L’objectif de Guillaume Beinat et Alexandre Suné, fondateurs de Tazasproject, est de « rendre visible ce qui est invisible«  m’expliquent-ils. Il est vrai que la multiplication des champs électromagnétiques autour de soi, peut se révéler inquiétante. Mais « Nous n’avons jamais voulu faire peur » précise Guillaume Beinat. L’oeuvre sera présentée fin octobre aux Etats-Unis. 

Plus d’info sur la page Facebook de Tazasproject : www.facebook.com/tazasproject

Julien Leroy

11 Oct

Insolite : Des Toulousains utilisent Twitter sur un… minitel

© Epitech de Toulouse

© Epitech de Toulouse

Consulter vos tweets et naviguer sur Internet grâce à votre bon vieux….minitel. C’est désormais possible grâce à une innovation développée par le Hub Innovation d’Epitech à Toulouse (espace dédié aux expérimentations, au prototypage et au développement de projets innovants). 

Grâce au système d’exploitation FénixOS, le bon vieux Minitel se transforme en véritable navigateur internet. Il suffit de connecter un mini-ordinateur au Minitel pour lui conférer tous les pouvoirs d’un ordinateur moderne, capable de se connecter à internet, d’afficher des images ou de récupérer des infos. Le Minitel devient ainsi un simple écran accompagné d’un clavier.

L’équipe toulousaine a également créé, au début de l’été 2016, un compte officiel sur Twitter afin de dialoguer avec l’ancêtre du PC : @MinitelOnTweet

Lire des tweets avec le minitel (vidéo de Rodolphe Asséré – Epitech Toulouse / Octobre 2016) :

Tout ce qui Buzz : Le minitel qui tweet

Julien Leroy

10 Oct

Cours en ligne : succès d’un Youtubeur Toulousain qui réconcilie les Français avec l’anglais

Les cours d’anglais d’un Toulousain cartonnent sur YouTubeAlban de Larrard est suivi, chaque semaine, par plus de 15.000 internautes de toute la France et de tous les âges. Son objectif est de réconcilier les Français avec l’anglais.

© Alban De Larrard

© Alban De Larrard

Alban de Larrard est un youtubeur Toulousain spécialisé dans les vidéos ludiques pour apprendre l’anglais.

Chaque semaine, le jeune professeur de 33 ans dispense un petit cours de quelques minutes, en tenue décontractée dans un lieux emblématique de Toulouse. « J’adore faire des vidéos dans mes lieux préférés de Toulouse : le Pont Neuf, la Prairie des Filtres, le Jardin des Abattoirs,… (..). Tout est prétexte pour ne pas se sentir dans une salle de classe ! » explique-t-il. 

Les vidéos sont à la fois ludiques et inattendues. Une méthode pédagogique qui souhaite « aider les Français à se décomplexer avec la langue de Shakespeare » précise notre Youtubeur Toulousain. « Traumatisés par un apprentissage académique et ridiculisés lors de leurs voyages à l’étranger », il veut redonner aux « Français le plaisir à apprendre l’anglais de façon vivante et sympathique devant leur tablette ou leur ordinateur« . 

Et ça marche ! Ces cours particuliers gratuits sont un succès. Plus de 15.000 internautes de toute la France et de tous les âges le suivent chaque semaine. Ses vidéos totalisent près d’1,5 million de vues depuis son lancement en 2015.

Un engouement qui se mesure également par les témoignages et les encouragements qu’il reçoit. « Des dizaines d’e-mails par jour » nous raconte Alban de Larrard. « Parmi eux, des témoignages de jeunes retraités qui veulent apprendre l’anglais pour aller voir leur petit-fils à l’étranger » qui rendent heureux le Toulousain.   

Après des études en Angleterre et en Irlande, Alban de Larrard se lance, en 2010, dans les cours particuliers en ouvrant sa propre société « Cours Anglais club ». Passionné par la pédagogie, « j’ai commencé à mettre des cours en ligne et ça a fonctionné » explique-t-il.

Aujourd’hui, 95% de ses vidéos sont gratuites. « 5% sont payantes avec des vidéos plus structurées » détaille l’enseignement autodidacte qui se fait régulièrement aider par un ami Britannique « Ben ». L’espace compte à ce jour, 263 abonnés. 

Sa chaîne YouTube est à découvrir ici : https://www.youtube.com/user/AnglaisCours

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Julien Leroy

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