30 Mai

Exclu : voici la plus grande cave au monde, Latitude 20 à la Cité du Vin

C’est la plus grande cave au monde par la diversité de vins référencés, issus de 70 de pays. Ce sont 14000 bouteilles qui seront proposées par Régis Deltil à la cave Latitude 20. On comptera 120 domaines de Bordeaux dont la Grave Figeac, un petit domaine en Saint-Emilion Grand Cru que Côté Châteaux a déniché.

Caroline et Laurent Clauzel, heureux de présenter La Grave Figeac 2010, à la cave de la Cité du Vin © JPS

Caroline et Laurent Clauzel, heureux de présenter La Grave Figeac 2010, à la cave de la Cité du Vin © JPS

C’est pour eux un grand moment, Laurent et Caroline Clauzel arrivent pour découvrir la cave de la Cité du Vin : la Latitude 20. Ils ont été sélectionnés avec leur petit château de 6 ha et demi La grave Figeac en Saint-Emilion Grand Cru.

14000 bouteilles de 70 pays © Jean-Pierre Stahl

14000 bouteilles de 70 pays © Jean-Pierre Stahl

Ils figurent parmi les 120 bordeaux référencés à la cave de la Cité du Vin, autant dire c’est comme le confie à Côté Châteaux Laurent Clauzel « une grande fierté ». Un domaine qui bénéficie d’un très joli terroir : « on touche d’un côté Cheval Blanc et château l’Evangile, de l’autre la Conseillante. »

Régis Deltil, le "petit caviste" de la Cité du Vin © JPS

Régis Deltil, le « petit caviste » de la Cité du Vin © JPS

Cette cave compte 14 000 bouteilles de 70 pays. 14000 bouteilles présentées dans un meuble circulaire en bois.

Tout est circulaire comme la Cité du Vin © JPS

Tout est circulaire comme la Cité du Vin © JPS

C’est Régis Delthil, caviste à Pessac, qui a décroché ce marché  avec dans le comité de selection les expert Andréas Larson, meilleur sommelier du monde 2007, qui a réalisé les petits films de présentation des vins sélectionnés,  et Michel Rolland, oenologue conslutant de 250 propriétés dans le monde et  président de ce comité de sélection.

La cave aux 14000 bouteilles cet après-midi © Eric Delwarde

La cave aux 14000 bouteilles cet après-midi © Eric Delwarde

Les visiteurs pourront trouver 800 références au total dont 120 bordeaux et 150 autres vins français. Une cave magique où tout le monde pourra trouver son bonheur avec des vins accessibles. Cette cave restera accessible au public même sans ticket d’entrée.

Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix, Eric Delwarde et Boris Chague :

29 Mai

Rencontre avec Casson Mann : les scénographes londoniens de la Cité du Vin

Ils sont britanniques et faisaient un tandem avec les archistectes d’XTU. Les designers Casson Mann signent la scénographie du Parcours Permanent au 2e étage de la Cité du Vin. Ce sont des experts dans le design et la scénographie de musées dans le monde.

Gary Shelley, devant le Parcours Permanent de la Cité du Vin, conçu par Casson Mann © JPS

Gary Shelley, devant le Parcours Permanent de la Cité du Vin, conçu par Casson Mann © JPS

C’est à l’Est de Londres qu’il faut chercher les designers de la Cité du Vin, dans le quartier des architectes. Casson Mann Limited, c’est cette société, créée en 1984 par Dinah Casson et Roger Mann (d’où le nom), spécialisée dans le design et l’agencement intérieur. Depuis 15 ans, ils sont devenus LA référence dans les scénographies de Musées à Londres, mais aussi aux Etats-Unis et désormais en France.

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C’est Gary Shelley, l’un des responsables du projet de la Cité du Vin, qui nous accueille dans les bureaux de Casson Mann en cette fin mars : « Bonjour, bienvenue chez Casson Mann… Voici nos bureaux à l’est de Londres et comme vous pouvez le voir nous avons deux salles de réunions d’ailleurs avec des gens qui travaillent actuellement sur un projet à Nottingham, au centre il y a un grand espace et après ce passage vous allez découvrir notre 2e espace de travail… »

L 'open space chez Casson Mann© JPS

L ‘open space chez Casson Mann© JPS

C’est alors un open space qui s’ouvre à nous avec près de 20 collaborateurs, tous logés à la même enseigne, les bureaux de Dinah Casson et Roger Mann, y sont même intégrés. Tous planchent également sur les plus grands musées du monde. Ils ont déjà à leur actif le Churchill Museum à Londres, le Benjamin Franklin Museum à Philadelphie, ou encore la Cité du Vin dont ils ont élaboré le Parcours Permanent.

« Voici le projet dans son intégralité qui montre les différents modules. C’est l’un des premiers lieux où l’on peut vivre une expérience immersive avec des vues aériennes d’hélicoptères sur des vignobles du monde entier, «  explique Gary Shelley.

Le marché de la Cité du Vin représente un marché de 12 millions d’euros, un marché décroché en 2011, grâce au ticket gagnant formé avec les architectes parisiens d’XTU.

On ne s’attendait pas à gagner, parce qu’on est Anglais, et  d’autant plus pour parler de vin en France. L’explication, elle se trouve sûrement dans notre savoir-faire, c’est ce qui nous a fait gagner » Gary Shelley.

L'Impérial War Museum pour lequel Casson Mann a réalisé la scénographie de la 1ère guerre mondiale et est candidat pour la 2e © Jean-Pierre Stahl

L’Imperial War Museum pour lequel Casson Mann a réalisé la scénographie de la 1ère guerre mondiale et est candidat pour la 2e © Jean-Pierre Stahl

L’Impérial War Museum est très certainement l’une des plus grandes réalisation de Roger Mann. Un musée qui le touche d’autant que son grand-père fut l’une des « gueules cassées » de la grande guerre. Un musée pour lequel il a fait preuve d’une grande imagination et eu recours à de nouveaux procédés pour mettre en valeur des objets et documents historiques.

Des films d'époque, d'avant 1914, projetés sur des vitres © JPS

Des films d’époque, d’avant 1914, projetés sur des vitres © JPS

Ce petit-fils de Tommy raconte ainsi l’ambiance d’avant guerre qui reignait en Grande-Bretagne juste avant 1914 avec des projections de films d’époque projetés sur des vitres (formant un U) : « la Grande-Bretagne était une nation très optimiste, les gens étaient heureux, ils entamaient un nouveau siècle. Ce film montre vraiment les britanniques dans leur vie quotidienne, lorsqu’ils se rendaient à l’usine ou travaillaient sur des navires marchands ou de croisière. Au début du XXe siècle, personne ne s’attendait à ce qui allait arriver et à une guerre aussi rapide », explique Roger Mann.

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Une technologie et une interactivité au service du savoir avec des reproductions de journaux d’époque : « là il y a une caméra qui suit le geste de ma main, comme si je feuilletais un journal. »

Ce scénographe a eu recours à des acteurs pour reconstituer les troupes massacrées sur les champs de bataille français, et notamment ces moments où ils étaient fauchés par la mitraille…

Gary Shelley et Roger Mann devant une projection de scènes relatant les gaz avec un gant d'une victime © JPS

Gary Shelley et Roger Mann devant une projection de scènes relatant les gaz avec un gant d’une victime © JPS

« On se devait de recréer l’atmosphère du début du conflit et l’état d’esprit des soldats arrivant sur le champ de bataille. C’était une guerre très très violente et on amène le spectateur à imaginer ce qu’ils ont pu ressentir et combien cette guerre était brutale », Roger Mann à l’Imperial War Museum

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Dans ce musée relifté pour le centenaire de la Grande Guerre (il a été livré en 2014 par Casson Mann), 2000 armes et objets ont été mis en scène dont ce gant réduit attaqué par les gaz utilisés… la violence et l’atmosphère de cette vie dans les tranchées sont ici projetés, reconstitués avec un environnement oppressant.

« Ici nous sommes dans une reconstitution, une évocation de ce que pouvait être une tranchée », continue Roger Mann, « les gens passaient des mois, des années, sous le niveau de la terre avec des tanks et des avions sous le niveau de leur tête ».

Devant le musée d'histoire naturelle © JPS

Devant le musée d’histoire naturelle © JPS

Avec ce savoir-faire, cette mise en valeur et surtout cette facilité d’approche et d’explication, Casson Mann a acquis une expertise depuis plus de 15 ans, c’est devenu LA référence à Londres. Ainsi le Muséum d’Histoire Naturelle a aussi eu recours à leur service :« actuellement nous sommes en train de repenser le hall central du musée », explique Gary Shelley. « C’est l’un des intérieurs les plus appréciés de Londres, l’une des plus belles oeuvres architecturales également. On a même le privilège d’être retenus pour présenter les objets les plus spectaculaires dans cet espace réaménagé. »

Casson Mann va livrer Lascaux 4 en Dordogne en décembre © JPS

Casson Mann va livrer Lascaux 4 en Dordogne en décembre © JPS

Dernier projet en date, Lascaux 4. Dinah Casson et son équipe réalise la mise en valeur et la vulgarisation de l’art pariétal à partir des représentations peintes dans la grotte de Montignac il ya plusieurs milliers d’année en Dordogne. Lascaux 4 va ouvrir en décembre prochain :

« on s’attend à avoir 4000 visiteurs par jour en pleine saison, ça fait beaucoup de monde non ? C’est l’occasion de revivre des moments intense dans la grotte. Avec votre compagnon de visite (comme à la Cité du Vin), vous pourrez rechercher une information de manière interactive, et comprendre pourquoi ces peintures sont si particulières. Lascaux est unique par son explosion polychromatique, c’est incroyablement sophistiqué, le public sera vraiment étonné, même si c’est un fac-similé ».

Un tank et un avion ont été mis en scène avec plus de 2000 objets © JPS

Un tank et un avion ont été mis en scène avec plus de 2000 objets © JPS

Sur leurs étagères s’empilent les récompenses, Dinah Casson et Roger Mann ont été élus Royal Designers pour l’Industry. Un exemple de réussite, mais aussi d’innovation, de recherche et de travail en équipe.

Et c’est l’équipe entière qui fait un accueil chaleureux à l’une de leur dernière recrue, organisant ce soir-là un pot d’arrivée et d’anniversaire,  et porte un toast par la même occasion à la Cité du Vin.

Regardez ce reportage sur Casson Mann réalisé à Londres de Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix, et Christophe Varone.

28 Mai

La Cité du Vin : le fruit de l’imagination d’Anouk Legendre et Nicolas Desmazières

Venez faire connaissance avec les Architectes d’XTU, Anouk Legendre et Nicolas Desmazières, qui signent ce concept. Cette Cité du Vin, ils l’ont voulue très fluide,  « une rondeur sans couture » comme aime à le rappeler Anouk Legendre. Elle symbolise le mouvement du vin dans un verre mais aussi les courbes de la Garonne.

Anouk Legendre et Nicolas Desmazières, de XTU, les deux architectes de la Cité du Vin

Anouk Legendre et Nicolas Desmazières, de XTU, les deux architectes de la Cité du Vin

Il y a presque 6 ans ses premiers traits figuraient sur un papier. Aujourd’hui, la Cité du Vin est bien réelle. Un projet à 4 mains, signé Anouk Legendre (qui a fréquenté l’Ecole d’Architecture de Bordeaux) et Nicolas Desmazières, les deux architectes fondateurs et associés de l’agence parisienne XTU.

Archis Cité 081C’est en 2010 qu’ils ont planché sur ce projet. Ils étaient 115 sur la ligne de départ. Et finalement 5 retenus dans la dernière ligne droite. Leur projet devait comporter une partie horizontale susceptible d’accueillir ce qui devriendra le parcours permanent et une autre verticale pour permettre d’avoir un belvédère et permettre au visiteur d’avoir une vue imprenable sur Bordeaux.

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« Cette enveloppe vient réunifier une tour verticale qui est la tour du belvédère » commente Nicolas Desmazières qui nous dévoile les premières ébauches de la fin 2010 avant de montrer une autre esquisse qui déjà montre une petite évolution :« on se retrouve là dans une hypothèse un peu différente où l’enveloppe devient un petit peu la robe pour reprendre un vocabulaire du vin… »

Les architectes d’XTU devaient monter un dossier en faisant équipe avec des scénographes d’intérieur. Ils ont choisi Casson Mann, des experts dans l’aménagement de musée en Grande-Bretagne qui bénéficiaient déjà à l’époque d’une belle notoriété

Début 2011, ils font donc partie de la « short list » des architectes et designers qui sont retenus pour finalement rendre un projet qui a une histoire totalement inspirée du vin. 

https://france3-regions.blog.francetvinfo.fr/cote-chateaux/2016/05/28/la-cite-du-vin-le-fruit-de-limagination-danouk-legendre-et-nicolas-desmazieres.html

Le musée de la préhistoire en Corée du Sud signé par les architectes d’XTU © JPS

En effet, ils ont vécu deux moments forts qui ont eu une influence sur leur dessin final : « tout d’abord on est allé s’immerger dans le vignoble bordelais, à la rencontre des vignerons, » explique Nicolas Desmazières, ainsi que des paysages de vignes. Et puis il y a eu également ce chantier en Corée du Sud, non loin de Séoul, pour lequel il leur avait été demandé de dessiner le musée de la préhistoire (livré avant la Cité du Vin)

Anouk Legendre et Nicolas Desmazières aux pieds de la Cité du Vin mercredi dernier © Jean-Pierre Stahl

Anouk Legendre et Nicolas Desmazières aux pieds de la Cité du Vin mercredi dernier © Jean-Pierre Stahl

Anouk Legendre explique quel a été leur déclic : « Au moment, où l’on est parti en Corée voir le chantier, on était dans une phase du projet de Bordeaux où on était sur un mouvement tournant, une forme en spirale qui se finissait en tour…et on est arrivé en Corée, on n’avait pas encore vu le projet en vrai (…), on est arrivé sur le site et c’était tellement scotchant de voir le bâtiment dans le site avec ses formes arrondies, douces, en harmonie dans le paysage et fluides, qu’on s’est dit bien sûr c’est cela qu’il faut faire pour Bordeaux, parce que c’est ce qui va faire le lien avec le fleuve avec la fluidité, avec l’élément liquide et finalement cela donnait un sens à l’ensemble. Et quelque part le projet de Bordeaux c’est un peu le mariage, la rencontre entre la Corée, le fleuve, et l’élément liquide et la rencontre avec les vignerons. »

Au 8e étage, le belvédère avec une vue à 360° © JPS

Au 8e étage, le belvédère avec une vue à 360° © JPS

 « Quand on a aussi rencontré les vignerons, on a goûté un vin, et ce vigneron a posé le vin, l’un des 10 meilleurs qu’il avait goûté dans sa vie, et il a dit une « rondeur sans couture » et quand on a repensé à ce qu’on allait faire là à Bordeaux, la rondeur sans couture nous a habités car le vin qu’on avait goûté nous avait touché aussi. »

Un plafond avec plusieurs milliers de bouteilles © JPS

Un plafond avec plusieurs milliers de bouteilles © JPS

Le projet une fois redessiné va traduire cette fluidité avec une tour qui atteindra 55 mètres de hauteur, plus haut que l’Arc de Triomphe à Paris avec ses 50 mètres.

C’est tout de même un exploit avec une ossature en bois digne du cathédrale. Ce sont 574 arches en bois lamellé-collé qui vont constituer son squelettre et ces formes si particulières, avec des bois qui semblent tels les ceps de vigne prendre racines dans le sol  : « toutes ces charpentes font un univers à l’intérieur du parcours permanent en créant des paysages qui sont tout le temps changeants;  et on va vraiment immerger le spectateur dans un paysage qui a une évocation des vignes et de l’univers du vin. » explique Nicolas Desmazières.

Anouk Legendre, Nicolas Desmazières et Florence Maffrand à al santé de la Cité du Vin © JPS

Anouk Legendre, Nicolas Desmazières et Florence Maffrand à al santé de la Cité du Vin © JPS

« Tous les arcs en bois sont tous différents. Il y a des grandes portées, c’était quand même un challenge à relever. Tous ces arcs sont repris avec des fixations très très fines, ce qui fait que quand vous vous promenez ils sont juste posés sur le béton, on n’a pas des grosses charnières ou des grosses fixations. »

Anouk Legendre et Nicolas Desmazières devant la Cité du Vin © Jean-Pierre Stahl

Anouk Legendre et Nicolas Desmazières devant la Cité du Vin © Jean-Pierre Stahl

L’autre exploit réside encore dans la vêture mixte avec ces 2500 panneaux d’aluminium et 918 de verres blancs, noirs et transparents sérigraphiés tous différemment. Une vêture constamment changeante au niveau de ses réflets:

Anouk Legendre conclue « on avait cherché à exprimer un élément liquide, quelque chose un peu dansant qui danse au bord de l’eau et qui répond au fleuve, qui reprend aussi les couleurs du fleuve : des fois c’est plus doré, des fois c’est plus gris et le fleuve est comme cela aussi un peu changeant, et le vin aussi c’est changeant, jamais toujours pareil. »

Regardez le reportage  de Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix, Eric Delwaerde, Chrsitophe Varone :

27 Mai

La Cité du Vin : les réactions des personnalités du monde du vin

La Cité du Vin. On l’aime beaucoup, un peu, à la folie ou pas du tout. C’est un choix. Les goûts et les couleurs…Voici en tout cas, une série de réactions de personnalités du monde du vin, de châteaux, mécènes, et d’un syndicat viticole sur ce nouvel édifice. 

Basile et Michel Tesseron de Lafon-Rochet en Saint-Estèphe lors du dernier Bordeaux Tasting © JPS

Basile et Michel Tesseron de Lafon-Rochet en Saint-Estèphe lors du dernier Bordeaux Tasting © JPS

Basile Tesseron (château Lafon Rochet): « J’ai eu la chance de la visiter il y a quelques mois, j’ai été époustouflé… C’est le plus beau bâtiment que j’ai vu construit ces dernières années, ces grandes structures en bois, c’est extraordinaire. Les reflets que donne le soleil dessus, c’est un outil fantastique. »

Bernard Magrez (mécène – propriétaire de 4 crus classés à Bordeaux) : « C’était nécessaire, dans la mesure où les gens quand ils arrivaient à Bordeaux ne pouvaient découvrir le Bordeaux que dans les châteaux, et quelques fois c’est long, il faut y aller, le Médoc c’est 1 heure et quart, Saint-Emilion, c’est 1 heure, tandis que là ils vont pouvoir avoir une idée précise de Bordeaux en prenant tout simplement le tram. Le tram les laisse devant la porte et c’est extraordinaire.

Pierre Lurton (mécène -PDG Yquem Gérant Cheval Blanc) : « Au début j’étais un peu sceptique, il faut le reconnaître. Maintenant quand je vois ce magnifique élancement du côté des bassins à flots, quand je vois tous ces projets à l’intérieur, cette émulation qu’il y a autour de cette Cité du Vin, en plus des vitrine que sont nos propriétés, je trouve que ce sera une animation formidable, en plus dans une ville comme Bordeaux, l’une des plus attractives. Ce sera un lieu incontournable où il faudra aller et pour nous 1ers crus classés ce sera une synergie pour nos vins. »

Lionel Lateyron (crémants Lateyron), Sylvie Courselle (château Thieuley) entre Lionel Lateyron (crémants Lateyron) et Hervé Grandeau (château Lauduc), dans leur bulle © Jean-Pierre Stahl

Lionel Lateyron (crémants Lateyron), Sylvie Courselle (château Thieuley) entre Lionel Lateyron (crémants Lateyron) et Hervé Grandeau (château Lauduc), à Bordeaux Tasting © Jean-Pierre Stahl

Prince Robert du Luxembourg (mécène – Propriétaire du château Haut-Brion) : « Ca représente un rêve, devenu réalité. Il faut oser commencer quelque chose de nouveau d’une telle ampleur et aussi de voir revivre tout un quartier qui sera au centre de la vie culturelle de Bordeaux demain. C’est complémentaire de tout ce que l’on a ici à Bordeaux…de voir réveillée cette belle ville depuis 10 ans, c’est extraordinaire et le centre culturel va faire partie d’un des joyaux de cette ville. »

Hervé Grandeau (Président du Syndicat des Bordeaux et Bordeaux Supérieur): « A mon avis, c’est une reconnaissance du vignoble bordelais comme un élément essentiel de la sphère mondiale du vin. Et cette Cité, je suis très fier qu’elle soit ici chez nous plutôt que dans le Napa Vallée ou dans le Chianti.En fait, je pense que ça mettre un coup de projecteur sur notre ville et notre vignoble magnifiques et que cela développera un tourisme relativement soutenu. Et quand on voudra apprendre sur le monde du vin, tout en visitant, en faisant du toursime, c’est à Bordeaux que l’on viendra. »

Réactions par Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix, Pascal Lécuyer, Eric Delwarde, Cécile Lagaüzère

26 Mai

La Cité du Vin au confluent des civilisations : le magazine qui retrace toute l’épopée

« La Cité du Vin au confluent des civilisations » est un magazine d’un peu plus de  26′ qui retrace la genèse et la construction de ce chantier hors normes qui a duré 3 ans. Un magazine signé Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix, Eric Delwarde, Xavier Granger et Véronique Lamartinère pour France 3 Aquitaine.
J-7 avant l'ouverture au public © Jean-Pierre Stahl

J-7 avant l’ouverture au public © Jean-Pierre Stahl

Puisque les architectes ont joué avec les courbes fluides et ont puisé dans le vin élément liquide leur inspiration, l’écriture toute en fluidité accompagne le spectateur dans un voyage qui démarre en bord de Garonne « le fleuve   a  cette force d’insuffler à l’homme l’idée d’accoster… »

Une histoire dont le commencement se perd dans un épais brouillard et ces matinées hivernales où le bruit des pelleteuses couvrent à peine le pas décidé des géniteurs de la future Cité du Vin qui annoncent sur le site des forges à Bacalan cette future cité des civilisations.
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Les architectes Anouk Legendre et Nicolas Desmazières en plein travail, avec les maquettes de la Cité, dans leur cabinet XTU à Paris © JPS

Une histoire racontée depuis 2009 avec l’annonce d’un centre culturel et touristique du vin depuis le Clos des Dominicains à Saint-Emilion, avec ce moment intense où la maquette est dévoilée lors de Vinexpo 2013 pour la pose de la première pierre, puis des travaux titanesques passant du gros oeuvre fin 2013 à la couverture de verre et d’aluminium en 2015,  par un aspect cathédrale avec sa charpente faite de 574 arches en lamellé-collés.

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Cette épopée est rythmée par de nombreuses réactions des initiateurs de la Cité au premier rang desquels figurent Alain Juppé, Sylvie Cazes, Bernard Farges, mais aussi les mécènes français et américains de la Cité du Vin. L’histoire de Thomas Jefferson sera également évoquée puisque le 3e président, l’un des pères fondateurs des Etats-Unis d’Amérique, va donner son nom à l’auditorium de la Cité, financé à 100% par un mécénat américain.
Sur les traces des scénographes du Parcours Permanent "Casson Mann" à Londres

Sur les traces des scénographes du Parcours Permanent « Casson Mann » à Londres

Un voyage qui nous mène de la Garonne vers la Tamise à Londres, en passant par les bords de Seine à Paris, car les concepteurs de la Cité du Vin sont Anouk Legendre et Nicolas Desmazières du cabinet parisien d’architectes  XTU associés aux scénographes de  CassonMann,  les designers anglais du Parcours Permanent.

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Un tandem qui a concouru en 2010 et a décroché le projet en 2011 parmi 115 dossiers . Vous y apprendrez comment la Cité du Vin a trouvé sa forme « une rondeur sans couture », vous découvrirez le savoir-faire des  scénographes dans les plus grands musées londoniens.

L'équipe de Casson Mann portant un toast à la Cité du Vin © JPS

L’équipe de Casson Mann portant un toast à la Cité du Vin © JPS

La Cité du Vin en a inspiré plus d’un: entre des petits films teasers d’avant ouverture (notamment par My Destination – le Vestiaire- 18-55) ou un travail de photographie et un time-lapse étonnant réalisé par Philippe Caumes, photographe d’architecture.

La Cité a été largement commentée par des amateurs de vin lors de Bordeaux Tasting, des acteurs du monde du vin et son parrain-ambassadeur Pierre Arditi, le célèbre acteur notamment du Sang de la Vigne sur France 3.

 Ce magazine évoque également les retombées économiques et laisse entrevoir les perspectives avec le développement des routes du vin et des croisières oenotouristiques au départ de l’édifice ou faisant une escale au Ponton Cité du Vin.

Un magazine en 18 chapitres raconté et réalisé par Jean-Pierre Stahl, avec Guillaume Decaix, Eric Delwarde, Xavier Granger, Francis Lassus-Lalanne et Véronique Lamartinière pour France 3 Aquitaine.  En exclusivité découvrez le magazine ci-dessous :

25 Mai

Campagne d’affichage « la cité du vin un voyage extraordinaire » : embarquement immédiat !

A une semaine de l’ouverture, partout fleurissent des affiches plus ou moins grandes, avec notamment des 4×3. Elles interpellent les passants et automobilistes. Une campagne intitulée « la Cité du Vin un voyage extraordinaire ». Tant que ce n’est pas « rencontre du troisième type »

Un panneau juste en face de la Cité, des fois qu'ils ne soient pas au courant de la date d'ouverture...© Jean-Pierre Stahl

Un panneau juste en face de la Cité, des fois que les riverains ne soient pas au courant de la date d’ouverture…© Jean-Pierre Stahl

Regardez le dernier teaser de la Cité du Vin: il ne manque pas d’humour. Un joli couple digne du Cap Ferret accoste au Ponton Cité du Vin et là, c’est le coup de foudre ou presque…Pauvre Bruno…

Le ponton from La Cité du Vin on Vimeo.

24 Mai

Alain Juppé sur La Cité du Vin : « il fallait à Bordeaux un lieu vraiment fort, attractif, de grande qualité »

Entretien avec Alain Juppé, l’initiateur de la Cité du Vin, qui tenait le 5 février dernier une conférence de presse avec Sylvie Cazes, durant laquelle il est revenu sur la genèse de ce projet. Un projet mûri durant 20 ans…

La conférence de presse ce matin à Oenomedia © jps

La conférence de presse en février dernier à Oenomedia à Bordeaux © JPS

Alain Juppé : « En 1995, je m’étais dit : « il faut à Bordeaux un lieu vraiment fort, attractif, de grande qualité » pour bien montrer que Bordeaux est la capitale mondiale du vin. Alors j’ai eu du mal à faire pénétrer cette idée, j’ai véritablement avancé de le projet en 2008, et c’est au cours des 6 ou 7 dernières années que ce projet a pris corps avec là un engagement très fort de la profession à la fois financièrement car ils participent au financement de l’équipement mais aussi dans la conception même du projet, dans sa promotion ».

« L’objectif est ambitieux puisque nous voulons attirer 450 000 visiteurs dans ce bâtiment tous les ans. Je rappelle qu’il y a 6 millions de touristes qui viennent chaque année à Bordeaux donc vous voyez que c’est à la fois ambitieux mais réaliste. Et puis, on y trouvera un parcours tout-à-fait intéressant avec notamment ce qu’on appelle un compagnon de visite, c’est à dire un audioguide de nouvelle génération, interactif, qui permettra d’avoir vraiment une visite très passionnante. »

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JPS: « Ce phare de l’oenotourisme a coûté un certain budget qui finalement a été réajusté ? »

Alain Juppé :« Il a été réajusté comme tous les grands projets, quand on compare avec le Mucem, le Centre Pompidou décentralisé, la Fondation Vuitton, on se rend compte que le pourcentage de dépassement à Bordeaux est ici extrêmement modeste. Le coût au m2 ou au visteur attendu se situe dans la fourchette basse des 6 ou 7 grands équipements comparables à travers la France. »

« Je voudrais aussi rappeler que le coût de 81 millions ne pèse pas intégralement sur les épaules des contribuables bordelais, la ville apporte un peu moins de 38 millions sur le lot, l’Europe participe, la métropole apporte 10 millions, la profession apporte 15 millions, la Région en apporte 7 et le Département 1, donc vous voyez que c’est un financement collectif et c’est cela qui assure la réussite de l’opération ».

Sylvie Cazes, la présidente de la Fondation pour al Culture et les civilisations du vin © JPS

Alain Juppé, maire de Bordeaux, Sylvie Cazes, la présidente de la Fondation pour la Culture et les civilisations du vin et Bernard Farges, président du CIVB © JPS

JPS : « Est-ce que c’est un projet qui doit avoir un rayonnement mondial ? »

Alain Juppé : « Oui, on s’y intéresse de partout. Il y a une fondation des amis de la Cité du Vin qui s’est constituée à New-York, les Américains sont très fascinés par le vignoble français; dans la fréquentation touristique de Bordeaux, il y a une très grande diversité, les Espagnols sont très nombreux, je pense qu’ils viendront ici aussi. Nous voulons en faire une tête de pont pour faciliter le développement du tourisme viti-vinicole, il y a d’ailleurs un ponton devant la Cité du Vin, donc vous pourrez prendre les routes du vin soit par la route (nous travaillons à avec l’office métropolitain du tourisme pour améliorer encore l’information), soit par le fleuve car à partir de ce ponton les bateaux de tourisme fluvial pourront amener les touristes à Pauillac, remonter aussi la Dordogne jusqu’à Libourne, ou encore aller à Cadillac. »

Interview réalisée par Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix et Eric Delwarde.

23 Mai

Pierre Arditi, l’ambassadeur de la Cité du Vin : « le vin va parler d’histoire, d’humanité, … au fond le vin dit le monde… »

Entretien avec Pierre Arditi, l’acteur de nombreux films et du « Sang de la Vigne » sur France 3. Il revient sur la Cité du Vin dont il a accepté d’être le parrain et l’ambassadeur. Côté Châteaux et France 3 Aquitaine l’ont interviewé sur la Cité et sa passion pour le Vin. Il est l’invité ce mois-ci de Parole d’Expert.

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Côté Châteaux avec Pierre Arditi © Guillaume Decaix

Jean-Pierre Stahl : « La Cité du Vin, que vous inspire-t-elle ? »

Pierre Arditi : « On voit bien que c’est une carafe à décanter, une immense, gigantesque carafe à décanter, mais en même temps ça m’inspire un vaisseau spatial du type  Guerre des Etoiles. »

JPS  : « Que va-t-on trouver à l’intérieur de cette Cité du Vin ? »

Pierre Arditi : « On va aborder tout ce que les hommes, depuis la nuit des temps ou presque, ont fait de ce breuvage.

Quand on boit un verre de vin, on boit d’abord l’âme de celui ou de celle qui l’a fait. On boit l’humanité quand on boit du vin », Pierre Arditi.

« Le vin va parler d’histoire, de géographie, d’humanité, de philosophie, de savoir-faire, d’artisanat, d’humanisme, d’humanité, donc le vin, au fond d’une certaine manière, dit le monde ! C’est ça que cette Cité va raconter. »

Le Banquet des Hommes Illustres © La Cité du Vin - les Films d'Ici

Le Banquet des Hommes Illustres © La Cité du Vin – les Films d’Ici

JPS : « Au sein de la Cité, dans le parcours permanent, on vous retrouve dans un banquet des hommes illustres, style noces de Cana, qu’est-ce que ce banquet ? »

Pierre Arditi : « Il y aura effectivement tout un tableau vivant où l’on voit des gens qui n’auraient pas du se retrouver car ils ne font pas partie de la même époque. Mais ils sont tous liés par leur goût du vin, par leur science du vin parfois même. On découvrira par exemple Churchill, Hitchcock, Napoléon,…, qui diront ce que le vin a ou a été pour eux, ainsi que l’usage qu’ils en ont fait… »

Archis Cité 006

JPS : « Comment avez-vous découvert, fait connaissance avec le vin ? »

Pierre Arditi : « Mon père et ma mère buvaient du vin très mauvais, j’ai un souvenir de vinaigre…alors on n’avait pas beaucoup d’argent à la maison, mais enfin il semble me souvenir quand même qu’à cette époque là, avec peu d’argent, on pouvait boire du vin qui était moins mauvais que cela mais ils ne le savaient pas. Et donc chaque fois qu’on a essayé de m’en faire boire un peu, j’ai rejeté cela parce que je trouvais cela vraiment épouvantablement mauvais, c’était aigre. Et puis ensuite ma vie m’a emmené à Lyon…

A Lyon, où j’ai fait mes débuts d’acteur et là, j’ai bu des vins simples, des Côte-du-Rhône ou des Beaujolais qui étaient absolument délicieux et qui ne coûtaient pas un rond, et cela, c’est resté gravé dans ma mémoire. »

JPS : « Vous avez l’une des caves les plus importantes de Paris, qu’en est-il, combien de flacons possédez-vous? »

Pierre Arditi : « Je ne sais pas… On va dire entre 12000 et 15000… Le vin pour moi, c’est comme les livres, si vous voulez. Vous voyez derrière, il y a une bibliothèque, c’est l’un des bibliothèques de la maison. Ce n’est pas parce qu’elle est pleine que je n’achète plus de livres. Cela n’a pas de sens. Le vin, encore une fois, ce que je vous ai dit, ce qui est bien c’est de le partager, de le faire goûter aux autres, à ceux qu’on aime, à ceux qui aiment cela, parce que si on fait goûter cela à des gens qui s’en foutent cela n’a pas d’intérêt évidemment. Eh bien, c’est la même chose, je ne boirai pas tout ce qu’il y a dans ma cave, certains de ces vins m’enterreront. »

Pierre Arditi, une passion en bouteilles... © JPS

Pierre Arditi, une passion en bouteilles… © JPS

Pierre Arditi : « Une dégustation magnifique au Domaine de la Romanée-Conti, avec Aubert de Villaine. D’abord parce que la personnalité d’Aubert de Villaine donnait au vin quelque chose que lui enjolivait par sa seule présence et sa manière d’en parler. Donc j’ai goûté les 2014, de l’ensemble de la gamme dans l’après-midi : magnifique, absolument magnifique dans un lieu mythique.

Ce que l’on déguste c’est du vin sans doute, mais c’est la vie, et ça (la vie) c’est un breuvage qu’il faut boire sans aucune modération. C’est pour cela que j’aime cela. »

Entretien avec Pierre Arditi réalisé par Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix, Eric Delwarde, montage Rémi Grillot, mixage Emmanuel Crémèse à regarder et écouter, c’est encore plus intense :

22 Mai

Il était une fois… La Cité du Vin

Côté Châteaux va vous raconter l’histoire de la Cité du Vin, depuis sa genèse jusqu’à son ouverture prévue le 1er juin. Une histoire retracée également sur notre antenne France 3 Aquitaine dans les journaux, à travers un magazine le 28 mai et lors d’une émission spéciale le jour de son inauguration le 31 mai.

Anouk Legendre et Nicolas Desmazières aux pieds de la Cité du Vin mercredi dernier © Jean-Pierre Stahl

Anouk Legendre et Nicolas Desmazières aux pieds de la Cité du Vin mercredi dernier © Jean-Pierre Stahl

A partir de ce lundi, votre blog Côté Châteaux va donner la parole aux initiateurs de la Cité du Vin dont Alain Juppé et Sylvie Cazes, ses concepteurs les architectes d’XTU Anouk Legendre et Nicolas Desmazières, son parrain Pierre Arditi, les acteurs du monde du vin, mais vous ferez aussi connaissance avec les scénographe-designers anglais Cassonmann qui ont signé le parcours permanent au sein de la Cité.

Vous pourrez voir ces 4 reportages dans le 19/20 à compter de vendredi 27 mai et jusqu’au 30, à la veille de l’inauguration.

Samedi 28 à 11h30, vous découvrirez sur France 3 Aquitaine « La Cité du Vin au confluent des Civilisations », le documentaire de Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix, Eric Delwarde, Xavier Granger, Véronique Lamartinière sur la genèse, la construction, les concepteurs et les retombées économiques de ce projet.

Mardi 31 mai au matin (vers 10h), une émission spéciale aura lieu le jour de l’inauguration présentée par Marie-Luce Rigout, inauguration en présence du Président de la République. Les journaux 12/13 avec SandrinePapin et 19/20 avec Vincent Dubroca reviendront sur les moments forts de cette journée et sur la Cité elle-même.

Côté Châteaux vous présente dès ce lundi son entretien avec l’ambassadeur de la Cité du Vin : Pierre Arditi.

18 Mai

A 14 jours de l’ouverture de La Cité du Vin: par ici la e-billeterie !

Ca y est, la e-billetterie est ouverte… Les visiteurs peuvent réserver leur billet pour le parcours permanent et leur abonnement sur la e-billetterie accessible depuis le site de la Cité du Vin.

La Cité du VIn à J-14, ce mercredi 18 mai © Jean-Pierre Stahl

La Cité du VIn à J-14, ce mercredi 18 mai © Jean-Pierre Stahl

Plus que 14 jours à attendre. Avec une ouverture de La Cité du Vin programmée au 1er juin.

La Fondation pour la culture et les civilisations du vin vient de lancer le système de billetterie horodatée, histoire de préparer sa visite de manière optimale : le visiteur pourra choisir sa date de visite ainsi que son heure d’arrivée, et ce pendant tout l’été. 

Le survol des vignobles sur 3 écrans géants © JPS

Le survol des vignobles sur 3 écrans géants © JPS

LES AVANTAGES : EVITER L’ATTENTE AUX CAISSES

L’e-billet est un billet coupe-file : il évite à son détenteur l’attente aux caisses. L’e-billet garantit au visiteur d’effectuer sa visite à la date et sur le créneau horaire choisis en ligne. L’achat de billet sur place sera bien entendu possible dès l’ouverture de La Cité du Vin le 1er juin, mais le choix du créneau horaire dépendra de l’affluence au moment de l’achat.

Bienvenue "à bord", l'un des 19 modules du Parcours Permanent © JPS

Bienvenue « à bord », l’un des 19 modules du Parcours Permanent © JPS

DES BILLETS DEJA DISPONIBLES EN LIGNE

Le billet parcours permanent : accès au parcours permanent avec le compagnon de voyage (guide multimédia disponible en 8 langues) pour une visite d’environ deux heures, accès à l’exposition « Carte blanche à Isabelle Rozenbaum – Phtographies de chantier », accès au belvédère au 8ème étage du bâtiment offrant une vue panoramique sur Bordeaux, et dégustation d’un verre de vin de monde.
Plein tarif adulte : 20,00€

L'amphithéâtre Thomas Jefferson, financé par des mécènes américains © JPS

L’amphithéâtre Thomas Jefferson, financé par des mécènes américains © JPS

Les abonnements annuels : 2 formules sont disponibles.
Formule solo : 48€
Formule duo* : 84,50€
L’abonnement à La Cité du Vin est valable pendant 1 an, et donne un accès illimité au parcours permanent, aux expositions temporaires et au belvédère (dans la limite de 5 dégustations sur l’année), un tarif préférentiel pour les accompagnants (4 maximum par visite), des tarifs avantageux à La boutique de La Cité du Vin, et des remises et cadeaux au restaurant Le 7 et dans les espaces Latitude20.

Pas mal même sous la grisaille © Jean-Pierre Stahl

Pas mal même sous la grisaille © Jean-Pierre Stahl

Les billets et Pass pour les ateliers et la programmation culturelle de l’auditorium seront disponibles à la vente dans les jours à venir.
A noter : Les billets, Pass et abonnements à tarifs réduits (adulte réduit, jeune réduit, jeune, enfant, pack famille, accompagnants) seront disponibles à la vente uniquement sur place sur présentation d’un justificatif.
*Formule duo valable pour 2 personnes d’une même famille

La Cité du Vin est un concept de XTU Architects-CassonMann scénographes

Pour réserver en ligne, allez sur le site www.laciteduvin.com