28 Sep

Y a-t-il un L et un W dans le nouveau logo de la région Auvergne-Rhône-Alpes ?

Certains d’entre vous vont sans aucun doute trouver l’analyse qui suit un tantinet tirée par les cheveux, toutefois je ne peux m’empêcher de vous soumettre cette réflexion. 

Mardi, la région Auvergne-Rhône-Alpes a dévoilé son nouveau logo. Je ne vais pas revenir ici sur les commentaires que cette nouvelle identité visuelle a suscités (vous pouvez aller faire un tour ici pour voir si quelqu’un partage votre avis sur son esthétique), mon intention est plutôt de vous demander si, comme moi, vous pensez qu’on ne nous a pas tout dit sur la signification de cet amalgame de courbes et de traits.

Selon les explications fournies par la Région, le nouveau logo représente les Alpes, les Volcans d’Auvergne et le Rhône. C’est en tout cas ce qu’on peut constater quand on le regarde… à l’endroit.

logo-aura

Mais si on applique une rotation de 180° au logo, une autre lecture devient possible. En estompant le trait symbolisant le Rhône et la forme qui représente les volcans d’Auvergne (fig 1.), on voit clairement (si si) apparaître un L. Je sens que vous n’êtes pas encore tout à fait convaincus… Alors intéressons-nous à la figure 2. Laissons de côté le Rhône, et regardons plus attentivement les Alpes et l’Auvergne. Que voyez-vous sur la figure 2 ? Deux V. Rapprochons-les et voici qu’on devine un W (fig. 3). Nous avons donc bien un L et un W dans le nouveau logo de la région Auvergne-Rhône-Alpes présidée, rappelons-le, par un certain Laurent Wauquiez. Alors, d’accord ou pas ?

logo-Aura-180

20 Sep

Le socialiste Olivier Bianchi « avocat » de Laurent Wauquiez dans « Les Grandes Gueules » sur RMC

wauquiez_bianchi-wpOlivier Bianchi n’est pas du genre à avoir la langue dans sa poche, il en a une nouvelle fois fait la démonstration, mardi matin, sur l’antenne de RMC. Le maire socialiste de Clermont-Ferrand était l’invité de l’émission « Les grandes gueules » qui abordait la question du démantèlement de la jungle de Calais et la répartition des migrants sur le territoire métropolitain.

Le premier édile du chef-lieu du Puy-de-Dôme a confirmé qu’il était prêt à accueillir les réfugiés. A Clermont-Ferrand, les structures d’hébergement sont prêtes et « on peut accueillir une vingtaine, une trentaine, une quarantaine de personnes, sans grande difficulté », a confirmé Olivier Bianchi. Il rappelle au passage que sa commune a déjà accueilli 16 personnes, majoritairement syriennes, en 2015, « dans une ville de 150 000 habitants et une aire urbaine de 400 000, ça n’a pas été une invasion, ça n’a pas bouleversé la situation de la ville ».

Si il ne souhaite pas, en revanche, qu’il y ait « 500 ou 800 personnes qui arrivent sur Clermont-Ferrand », Olivier Bianchi estime que « la solidarité devra être faite par tous » et « associer les élus locaux ». « Tout ça se prépare avec les territoires, ça ne peut pas être une décision qui vient d’en haut mais ça ne peut pas être non plus être aux territoires de commencer à dire -nous allons résister, nous disons non- », a-t-il poursuivi. Dire non, justement, c’est la position d’un autre élu auvergnat, Laurent Wauquiez.

Le président du parti Les Républicains et de la région Auvergne-Rhône-Alpes, première région concernée par la répartition des migrants de la « jungle » de Calais, a déclaré récemment qu’il s’agissait d’une « folie ». « La question dans notre région est la même que partout en France : c’est s’opposer », avait-il vivement réagi le 14 septembre sur RTL, craignant de voir se « multiplier des Calais partout ». Attaqué, y-compris dans son propre camp, après ses propos, Laurent Wauquiez sait maintenant qu’il peut trouver un peu de réconfort du côté de Clermont-Ferrand.

Au début de son intervention sur RMC, Olivier Bianchi a d’abord corrigé une vision parisienne de la vie politique en Auvergne qui voulait voir des tensions sur fond d’influence régionale entre Clermont-Ferrand et le Puy-en-Velay. « Mes relations sont plutôt bonnes comme maire de Clermont-Ferrand avec Laurent Wauquiez », a précisé l’élu. Plus tard, sur la question des positions du président de Région par rapport au démantèlement de la « jungle » de Calais, parfois retranscrites avec quelques raccourcis par « Les Grandes Gueules », Olivier Bianchi a lui-même rétabli la vérité, prenant d’une certaine manière la défense de son voisin auvergnat : « Wauquiez, il a dit deux choses. D’abord, il lance un pétition, donc il anime un débat. Et deux, il a dit -je suis prêt à donner des moyens juridiques aux communes qui refuseront-, il n’a pas dit qu’il empêchait tous les maires de prendre des décisions. Heureusement encore, je reste souverain à Clermont-Ferrand. »

Une séquence que vous pouvez écouter ici.

14 Sep

Laurent Wauquiez opposé à l’accueil de réfugiés de la « jungle » de Calais en Auvergne-Rhône-Alpes

Selon le plan de démantèlement de la « jungle » de Calais annoncé par le gouvernement, la région Auvergne-Rhône-Alpes doit accueillir le plus gros contingent de réfugiés : 1 800. « La question dans notre région est la même que partout en France : c’est s’opposer« , a réagi mercredi matin, sur RTL, Laurent Wauquiez. « C’est de la folie« , a ajouté le président de la Région et du parti Les Républicains.

VIDEO. Démantèlement du camp de Calais : Cazeneuve dénonce « les contre-vérités » de l’opposition (à lire sur franceinfo:)

Le gouvernement veut créer 12 000 places d’hébergement, à l’échelle nationale, d’ici à la fin de l’année pour évacuer les migrants de Calais et Paris, comme l’expliquait le Figaro dans son édition de mardi. Pour Laurent Wauquiez, « le gouvernement n’est pas en train de démanteler Calais, on ne résout pas Calais, on va multiplier des Calais partout en France« . L’élu auvergnat regrette au passage que cela soit « fait avec un mépris pour la population et les élus qui est absolument incroyable« .

Enfin, Laurent Wauquiez craint que ce plan du gouvernement, crée « un appel d’air énorme sur l’immigration clandestine« .

18 Juin

Hortefeux sur Wauquiez : « C’est un vrai bonheur de travailler avec lui »

Invité de La Voix est Libre, le 18 juin, sur l’antenne de France 3 Auvergne, Brice Hortefeux a été interrogé par Yannick Kusy sur sa relation avec Laurent Wauquiez, le n°2 du parti Les Républicains. « Laurent est quelqu’un que j’aime vraiment, affectivement, beaucoup », assure l’eurodéputé, également vice-président du Conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes.

Depuis le début de l’année 2016, Laurent Wauquiez préside la 2e région de France et, pour Brice Hortefeux, « on n’imagine pas la fonction qui est la sienne ». « Il y a douze départements dans cette région, il les parcourt nuit et jour », rappelle le conseiller régional, « je pense qu’il est plus souvent en voiture qu’à son domicile ».

Les éloges ne s’arrêtent pas là. « Il est profondément engagé, profondément disponible, profondément dynamique », ajoute M. Hortefeux. « C’est un vrai bonheur de travailler avec lui ».

22 Mar

Laurent Wauquiez : « Je demande à nouveau l’internement des individus fichés S »

Quelques heures après les attentats qui ont frappé Bruxelles, le 22 mars au matin, les réactions ont été nombreuses sur les réseaux sociaux. Parmi elles, celle de Laurent Wauquiez. Le député de Haute-Loire et président Les Républicains de la région Auvergne-Rhône-Alpes a réitéré sa demande d’internement « des individus fichés S et de ceux qui reviennent du djihad« .

Au lendemain des attentats du 13 novembre 2015 qui avaient fait 130 morts et 413 blessés en France, le secrétaire général du parti Les Républicains avait déjà demandé que « les 4 000 personnes vivant sur le territoire français, fichées pour terrorisme » soient « placées dans des centres d’internement anti-terroristes spécifiquement dédiés« . « Notre système de défense doit maintenant être à la hauteur de la menace. Il n’y a pas de liberté pour les ennemis de la France et de la République« , avait-il justifié.

25 Fév

Obama peut appeler Laurent Wauquiez, mais pas le dimanche !

Laurent Wauquiez (Photo :   PATRICK KOVARIK / AFP)

Laurent Wauquiez (Photo : PATRICK KOVARIK / AFP)

Le numéro 2 du parti Les Républicains et tout frais président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes a ouvert les portes de sa maison à Gala. Une petite virée dans le monde de la presse people pour Laurent Wauquiez, considéré par les uns comme gendre idéal et bad boy de la politique pour d’autres.

Le député de Haute-Loire raconte qu’il s’astreint, malgré un emploi du temps chargé, à accompagner ses enfants à l’école un jour sur deux. On apprend également que, chez les Wauquiez, les dimanches sont sacrés. La journée se « termine toujours par une soirée crêpes et un film qu’on regarde tous ensemble. Barak Obama m’ap­pel­le­rait, je ne décro­che­rais pas« , dit le père sur le ton de l’humour.

L’article de Gala

22 Jan

Flexibilité du travail, rapprochement avec le centre et la droite, Laurent Wauquiez… Le socialiste René Souchon parle sans retenue dans La Voix est Libre

Souchon-LVEL-220116Il restera dans l’histoire comme ayant été le dernier président de la région Auvergne avant que celle-ci ne fusionne avec sa voisine Rhône-Alpes. Le socialiste René Souchon est resté à la tête du Conseil régional pendant plus de 9 ans, succédant en février 2006 à Pierre-Joël Bonté, décédé en cours de mandat.

Après une longue carrière politique qui l’a d’abord vu devenir maire d’Aurillac en 1977, Ministre délégué, secrétaire d’Etat puis député du Cantal en 1986, il a décidé de prendre du recul en ne briguant pas un nouveau mandat en décembre dernier. Invité de La Voix est Libre le 23 janvier sur France 3 Auvergne, René Souchon parle sans retenue pendant 45 minutes n’épargnant personne, pas même son propre camp.

Le travail le dimanche c’est inéluctable aujourd’hui.

« Il faut refonder le Parti Socialiste« , dit René Souchon. Celui qui a désormais une activité de consultant depuis qu’il est libéré de son mandat a quelques idées pour son parti à qui il rappelle qu’on « a changé d’époque » (un message qui vaut également pour l’autre bord). « On continue dans tous les partis, et le PS en particulier, à décliner les mêmes recettes pour aller de l’avant qu’il y a dix ou quinze ans, mais ça ne marche plus« , assure-t-il.

Au passage, il adresse une petite pique au monde syndical, pas exempt de tout reproche à ses yeux non plus et qui doit aussi envisager d’évoluer pour adapter son mode de pensée à un monde qui change. « Les syndicats doivent se refonder complètement », dit René Souchon pour le moins circonspect quand il voit l’attitude de certains syndicats sur le travail le dimanche, « ils peuvent faire ce qu’ils veulent, le travail le dimanche c’est inéluctable aujourd’hui« .

Il faut préserver les droits et les intérêts des travailleurs mais permettre la flexibilité et la souplesse absolument indispensables.

Pour lutter contre le chômage et relancer l’emploi, là encore René Souchon estime qu’il faut briser des tabous, certes en conservant les valeurs fondamentales du socialisme mais en les déclinant « à la lumière des contraintes du monde actuel« . « On ne peut plus continuer avec les rigidités comme celles que l’on a mais, d’un autre côté, on ne peut pas précariser les salariés. Il faut préserver les droits et les intérêts des travailleurs mais permettre la flexibilité et la souplesse absolument indispensables ». Voilà un discours que ne renierait pas Emmanuel Macron, pas même quelques figures du centre et de la droite.

D’ailleurs, René Souchon pense que le moment est peut-être venu de mettre en place « un contrat de législature« . « On peut se mettre d’accord avec certains centristes voire certains hommes et femmes de droite sur un certain nombre de réformes« . Juppé, Raffarin, Souchon, même combat ?

[Laurent Wauquiez] est en train de transformer le Conseil régional en chambre d’enregistrement.

Au cours de l’émission, René Souchon a bien évidemment été interrogé sur les premiers pas du nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Au cours de la campagne électorale, il n’avait pas hésité à parler du « nouveau souffle » de Laurent Wauquiez comme étant « du vent du passé« . Des propos qu’il maintient trois semaines après la prise de fonction de l’élu Les Républicains et il en remet une couche. « Dans le Cantal, on va faire des routes, au Puy-en-Velay, on va s’occuper de la statue de Saint-Joseph et à Moirans on va mettre des portiques dans les lycées. Ce n’est pas avec ça qu’on construit l’avenir, il faudrait que la Région reste dans ses compétences, je rappelle qu’il y a une loi qui interdit la compétence générale. Toutes ces annonces sont faites alors que le Conseil Régional n’a pas délibéré. Il est en train de transformer le Conseil régional en chambre d’enregistrement« .

En retrait, René Souchon, mais en pleine forme !

09 Nov

Régionales 2015 (Auvergne-Rhône-Alpes) : les 4 listes Wauquiez pour l’Auvergne

Laurent Wauquiez a présenté ses listes pour les Régionales 2015 en Auvergne-Rhône-Alpes, le 9 décembre 2015, à Saint-Priest (Crédit Photo : AFP PHOTO/PHILIPPE DESMAZES)

Laurent Wauquiez a présenté ses listes pour les Régionales 2015 en Auvergne-Rhône-Alpes, le 9 décembre 2015, à Saint-Priest (Crédit Photo : AFP PHOTO/PHILIPPE DESMAZES)

Lundi matin, à quelques heures de la clôture des inscriptions, Laurent Wauquiez a présenté les 13 listes qui porteront son « nouveau souffle » pour les élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes, les 6 et 13 décembre prochain.

En Auvergne, les 4 listes sont menées par Daniel Dugléry pour l’Allier, Alain Marleix pour le Cantal, Brice Hortefeux pour le Puy-de-Dôme et Laurent Wauquiez lui-même pour le département de la Haute-Loire.

 ALLIER

  1. Daniel Dugléry
  2. Charlotte Benoit
  3. Emmanuel Ferrand
  4. Cécile de Breuvand
  5. Yannick Lucot
  6. Isabelle Gardien
  7. Bernard Faureau
  8. Viviane Alloin
  9. Romain Lefebvre
  10. Bernadette Vergne
  11. Eric Bochef

CANTAL

  1. Alain Marleix
  2. Martine Guibert
  3. Jean‐Pierre Delpont
  4. Angélique Brugeron
  5. Olivier Roche
  6. Anne‐Flore Sournac

HAUTE-LOIRE

  1. Laurent Wauquiez
  2. Marie‐Agnès Petit
  3. Jean‐Pierre Vigier
  4. Isabelle Valentin
  5. Michel Chapuis
  6. Caroline Di Vincenzo
  7. Gilles Da Costa
  8. Marie‐Laure Mugnier

PUY-DE-DÔME

  1. Brice Hortefeux
  2. Marie‐Thérèse Sikora
  3. Louis Giscard d’Estaing
  4. Myriam Fougère
  5. Frédéric Bonnichon
  6. Florence Dubessy
  7. Jean-Pierre Brenas
  8. Laurence Vichnievsky
  9. Michel Fanget
  10. Caroline Bevillard
  11. Sylvain Casildas
  12. Pascale Brun
  13. Boris Souchal
  14. Claude Pracros
  15. Arnaud Pailloncy
  16. Anne‐Claire Martinet
  17. Benoit Sanchez
  18. Andrea Favain
  19. Bertrand Barraud

06 Nov

Elections régionales Auvergne-Rhône-Alpes : les 19 noms de la liste conduite par Brice Hortefeux dans le Puy-de-Dôme (Un nouveau souffle)

Hortefeux - 051115Brice Hortefeux a présenté le 5 novembre ses 18 colistiers qui porteront dans le Puy-de-Dôme le « nouveau souffle notre région » prôné par Laurent Wauquiez. Le député-maire du Puy-en-Velay, candidat déclaré à la présidence de la région Auvergne-Rhône-Alpes, a souhaité rassembler les forces de la droite et du centre mais il semblerait que la démarche ne soit pas aussi simple que cela. Les candidats ont jusqu’au lundi 9 novembre à midi pour déposer leurs listes en préfecture, à Lyon. A trois jours de l’échéance, une seule des treize listes Les Républicains-MoDem-UDI est intégralement connue.

Alors qu’un présentation globale était initialement prévue le 5 novembre au matin, par Laurent Wauquiez, à Lyon de l’ensemble de ses troupes, celle-ci a été repoussée à lundi. Dans le Puy-de-Dôme, Brice Hortefeux n’a pas voulu changer son calendrier et comme annoncé quelques jours plus tôt, il est apparu jeudi soir, à Beaumont, avec ses colistiers, parmi lesquels Michel Fanget (Président du MoDem 63) et Louis Giscard d’Estaing (Vice-président de l’UDI).

La liste complète dans le Puy-de-Dôme

1. Brice Hortefeux
Ancien Ministre de l’intérieur – député européen

2. Marie-Thérèse Sikora
Maire de Saint-Eloy-les-Mines

3. Louis Giscard d’Estaing
Maire de Chamalières

4. Myriam Fougère
Maire d’Ambert

5. Frédéric Bonnichon
Maire de Châtel-Guyon – Président de la communauté de Communes Volvic Sources et Volcans

6. Florence Dubessy
Adjointe au maire d’Issoire – Institutrice

7. Jean-Pierre Brenas
Conseiller municipal à Clermont-Ferrand – Conseiller communautaire à Clermont Communauté – Chirurgien-dentiste

8. Laurence Vichnievsky
Magistrate

9. Michel Fanget
Médecin cardiologue

10. Caroline Bevillard
Responsable de la communication et de l’international au sommet de l’élevage – Famille d’exploitants agricoles (élevage)

11. Sylvain Casildas
Conseiller municipal d’Aubière – Cadre administratif

12. Pascale Brun
Maire d’Augnat – Psychologue scolaire – Militante pour la sauvegarde de la chasse et de la pêche

13. Boris Souchal
Maire d’Herment – Commercial

14. Claude Pracros
Première adjointe au maire de Royat

15. Arnaud Pailloncy
Conseiller municipal de Riom – Salarié d’entreprise

16. Anne-Claire Martinet
Conseillère en assurances – membre de l’Association des Paralysés de France

17. Benoit Sanchez
Chef d’entreprise – membre de la CGPME

18. Valérie Coudun
Directrice d’un centre médico-social

19. Bertrand Barraud
Maire d’Issoire

16 Sep

Régionales 2015 : Carole Montillet en piste avec Laurent Wauquiez

Carole Montillet, à côté de Laurent Wauquiez ( Les Républicains) lors de la conférence de presse du 16 septembre 2015 (Photo : AFP PHOTO/PHILIPPE DESMAZES)

Carole Montillet, à côté de Laurent Wauquiez ( Les Républicains) lors de la conférence de presse du 16 septembre 2015 (Photo : AFP PHOTO/PHILIPPE DESMAZES)

Pour remporter son match en deux rounds (les 6 et 13 décembre prochains) contre le socialiste Jean-Jack Queyranne, Laurent Wauquiez (Les Républicains) s’est adjoint les services d’une championne olympique de ski. Pour monter sur le trône régional regroupant l’Auvergne et Rhône-Alpes, le député-maire du Puy-en-Velay a fait appel à une spécialiste de la descente, Carole Montillet.

Médaillée d’or de la discipline aux JO de Salt Lake City en 2002, la skieuse française se présente aux élections régionales sur la liste Républicains-Modem-UDI dans le département de l’Isère d’où elle est originaire.

« Les gens qui me connaissent un peu vont être surpris« , a-t-elle déclaré mercredi lors de la présentation à la presse de 36 de ses co-listiers par Laurent Wauquiez, à Lyon. Si elle reconnait arriver « les bagages vides« , l’ex-sportive de haut niveau avance son « bon sens » et sa « ténacité » comme atouts.

Carole Montillet, au-delà de sa carrière sur les pentes enneigées, n’est pas une inconnue en Auvergne. Depuis 2011, elle est la marraine de la station de ski du Lioran dans le Cantal.